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Ville de Noirmoutier CAP AUX SCIENCES CAP AUX SCIENCES 1, rue de la Chevalerie 85330 Noirmoutier 06 10 83 70 36 http://cap.sciences.free.fr [email protected] Graphisme : Brigitte Dubois - Impression : C.Print

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Ville deNoirmoutier

CAP

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1, rue de la Chevalerie

85330 Noirmoutier

06 10 83 70 36

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SOMMAIRE

Organisation et renseignements : Association CAP AUX SCIENCES 06 10 83 70 36www.cap.sciences.free.fr - e-mail : [email protected] - Lieu : Centre Culturel Les Salorges Noirmoutier-en-L’île

14-38-52 > ANNÉE MONDIALE DE L’ASTRONOMIE 24 > SOIRÉE D’OUVERTURE30 > APRÈS-MIDI ENFANTS34 > ACTUALITÉS DE LA RECHERCHE40 > MAGIE DU 7ÈME ART42 > HOMMAGE À HENRI ALEKAN 46 > ART ET SCIENCES52 > NUIT D’ÉTOILES58 > SOIRÉE DE CLÔTURE33-51 > DÉBATS50-57 > CONFÉRENCES60 > EXPOSITIONS15-25 > ANIMATIONS

FILMS42 > Alekan, le magnifi que46 > Au cœur de la lumière10-12-18-29 > Aurores boréales32 > Bolivia Inti 13-21-29-32 > Bon appétit monsieur Soleil20 > Bulles de savon12-18-22-28-56 > Chants électriques52 > Dans le champs des étoiles39 > Dans le vent du soleil49 > De l’art à la révélation… le verre47 > Encrier romain14-52-56 > Enigmes de Sirius23 > Fenêtre sur l’âme56 > Finie ou infi nie ?42 > La Belle et la Bête24 > La face obscure de la lumière12-22 > La nuit, tous les chats sont gris 29 > La photonique10-30 > La tête dans les étoiles48 > La vision des couleurs52-56 > Lascaux, ciel des premiers hommes 22-28 > Le compteur de couleurs 23 > Le corps en transparence 42 > Le cours d’Henri Alekan, chef opérateur 29 > Le cyclope de la mer18-56 > Le feu, lumière de l’homme

41 > Le grand Méliès 11-30 > Le trop petit prince22 > Les ailes de la nuit19-29 > Les algues, une forêt sous la mer (extrait)40 > Les autochromes Lumière20 > Les corbeaux du soleil11-12 > Les couleurs41 > Les incunables du cinéma scientifi que 58 > Les lumières de la ville (City lights) 10-18-56 > Les lumières de ta ville 24-56 > Les magiciens de la lumière22-56 > Les passeurs de lumière 18-22-28 > Les poissons électriques ont la parole 33 > Les temps sont mûrs34 > Les trames du futur40 > Magie de l’image, la photographie révélée 33 > Mais où vont les neiges d’antan ? 34 > Mémoires d’un éléphant de mer49 > Monet, l’instant et la lumière52 > Nos plus beaux rendez-vous 38 > Oasis, l’œil aux mille regards21-29-32-56 > Odeillo, le soleil apprivoisé 14-28-56 > Pêcheurs d’étoiles39 > Phaéton et la voie lactée13 > Que serions-nous sans nos miroirs ?28 > Râ, le dieu soleil 56 > Rendez-nous la nuit 46 > Signac, la révélation de la lumière 23 > Sous le feu des ondes 38 > Télescope solaire Thémis11-30 > Tôt ou tard47 > Turner, Monet, Whistler, au fi l de l’eau 19-46 > Un souffl e pour la science 15 > Véga et Altaïr48 > Vermeer, le grain de la lumière39 > Vol d’éclipse

Depuis 6 ans maintenant l’île de Noirmoutier et ses qua-tre communes accueillent le Festival 7ème Art et Sciences. Sous la houlette de Nicole Brunet, et de l’ensemble des bénévoles qui l’accompagnent, cette 7ème édition se présente forte des succès obtenus lors des précédents festivals. Progressivement ce festival a rencontré son public grâce à la passion de l’ensemble des montreurs de science qui se retrouvent chaque année à Noirmoutier en l’île. A travers un ensemble de thématiques choisi avec dis-cernement par la programmation, la rencontre peut s’établir autour d’une réfl exion approfondie sur la connaissance du monde qui nous entoure. Le truchement du 7ème Art est un formidable vecteur pour, à l’instar de notre Monsieur Jourdain, approcher sans en avoir l’air la matière scientifi que. Le thème retenu cette année est celui de la Lumière. A la fois source de vie et de connaissances, ce thème ne pouvait mieux trouver son expression sur l’île de Noirmoutier. Ne dit-on pas qu’elle est fi lle de la lumière, tant l’atmos-phère saturée d’embruns qui est la nôtre apporte une généreuse palette de teintes et de nuances au pinceau lumineux de chaque jour ? Les peintres, les photographes et les cinéastes qui séjournent sur l’île ne s’y trompent pas, eux qui savent mieux que personne saisir cet instant magique de la lumière lovée sur les reliefs de nos paysages familiers.L’éclectisme scientifi que est formidablement mis en scène par une pluridisciplinarité qui nous permettra tour à tour de découvrir la lumière, thérapie et source de vie, mais aussi d’affres et de souffrance, comme elle peut apporter également la connaissance et emporter l’imaginaire. La force de la symbolique lumineuse est infi nie et partagée à la fois par la science et par la religion.Ligne de vie, marque du temps, c’est à un embarque-ment merveilleux dans la compréhension de notre monde que nous invitent les bénévoles, les cinéastes et les scientifi ques réunis cette année. Un grand merci à tous ceux qui permettent cette rencon-tre entre passionnés et néophytes, entre convaincus et hésitants.

Un très bon festival à toutes et à tous.

Noël FAUCHERMaire de Noirmoutier en l’île

Président de la Communauté de communes de l’île de Noirmoutier

NOËL FAUCHER >

Le festival « 7ème art et Sciences », pour sa 6ème édition, nous offre, une fois de plus, la possibilité d’échanger autour d’un thème riche et pluridisciplinaire : la Lumière. D’ailleurs, que seraient les images sans la lumière et quelle bonne idée de les donner à voir dans une île qui a séduit par sa luminosité de nombreux artistes !La mise en images de la science est un facteur clé de succès pour mieux faire adhérer les citoyens aux grands enjeux scientifi ques. La présence des chercheurs venus pour animer les débats permettra une fois encore d’aller à la conquête d’un public chaque année plus nombreux et toujours aussi avide de connaissance. Le CNRS se réjouit de soutenir un festival qui offre à son public, et plus particulièrement aux scolaires et à leurs enseignants, un terrain d’apprentissage participatif, ludi-que et un lieu d’échanges privilégiés. CNRS Images a pour mission, sous l’égide de la direc-tion de la communication, de produire et de coproduire des documentaires scientifi ques pour tous publics mais aussi de réaliser des expositions et de participer avec ses partenaires publics et privés aux grandes manifesta-tions scientifi ques qui mettent la science en fête.Le festival « 7ème art et Sciences » est l’une de ces ren-contres, et pas la moindre par la qualité de sa program-mation, la passion qui anime sa directrice et sa prési-dente mais aussi par le soutien fort de l’ensemble des partenaires et intervenants.

Que la fête soit belle et que la lumière soit !

Catherine BALLADURDirectrice adjointe de CNRS Images

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La persévérance et la compétence de Nicole BRUNET ont eu raison de tous les obstacles qu’elle a rencontré pour lancer dans notre île de Noirmoutier le Festival « 7ème art et Sciences ».Dès notre première rencontre, j’ai fait confi ance à la passion qui anime Nicole Brunet pour l’organisation de cette manifestation et le Conseil Général a su apporter, également, un soutien précieux pour son fi nancement.Au cours des 3 dernières décennies, les élus et les res-ponsables de l’île de Noirmoutier ont privilégié la voix d’un développement diversifi é pour compléter notre vocation touristique par d’autres actions telles que les activités culturelles.Le lancement de la Semaine des arts et des lettres de la mer, le Festival théâtral de Noirmoutier en l’île et, dé-sormais, le Salon du Livre de Mer de l’île de Noirmou-tier complètent des actions comme celle du Festival « 7ème art et Sciences ».Le thème de la « lumière » qui est retenu pour 2009 est particulièrement judicieux puisque Noirmoutier a bâti, en partie, sa réputation artistique autour de cette lumi-nosité qui lui est si particulière et si précieuse et qu’avait vantée, en son temps, le peintre Renoir lors de son séjour dans l’île.Dans toutes les civilisations, le soleil et la lumière ont été vénérés comme des bienfaits irremplaçables. Il en est de même dans l’île puisque nous attendons cette manne avec impatience pour la production de ce sel qui est un des produits emblématique de notre île pour la satisfaction de nos résidents estivaux qui apprécient cette luminosité et cette chaleur.Année après année, le Festival 7ème art et Sciences prend racine et se développe dans notre île avec le soutien du CNRS et d’un ensemble de partenaires particulièrement fi dèles et généreux. A cet égard, je tiens à remercier Michel ADRIEN, parrain du Festival, qui a tant fait pour notre île de Noirmoutier. Je suis sûr que l’édition 2009 sera, comme les précéden-tes, un succès.

Jacques OUDIN.Sénateur Honoraire,

Vice président du Conseil Général de la Vendée.

> JACQUES OUDIN

CE FESTIVAL ! Pourquoi on l’AIME

Développer le goût de la curiosité, de la recherche, ap-préhender la science de façon ludique : Voilà ce que ce festival apporte à nos jeunes ! Au moment où les évènements économiques particuliè-rement diffi ciles que nous traversons démontrent que la recherche scientifi que est un atout majeur pour affron-ter les mutations inévitables qui s’annoncent dans notre monde, quelle chance pour les jeunes de notre île de bénéfi cier à domicile d’une telle initiative ! Leurs enseignants l’ont bien compris et, malgré la com-plexité grandissante de leur métier, ils n’ont pas ménagé leurs efforts pour que leurs élèves puissent participer et bénéfi cier de l’évènement. Comme chaque année, à l’issue du festival, des voca-tions scientifi ques vont germer chez nos jeunes.

ET CELA N’A PAS DE PRIX !

Les moins jeunes, quant à eux, repartent enchantés après ces séances cinématographiques remarquables, enchantés et enrichis. Chaque année ils sont plus nombreux à prendre du plai-sir en apprenant des choses qu’ils croyaient inaccessi-bles pour eux, mais que les chercheurs et réalisateurs font l’effort de leur délivrer avec des mots simples Merci au CNRS de faire ainsi rayonner et diffuser ce savoir au grand public. Merci aux collectivités pour leur aide indispensable. A tous les bénévoles qui se dévouent pour la réussite du festival, nous exprimons notre profonde reconnais-sance

Michel ADRIEN Président du groupe Adrien et parrain du festival

MICHEL ADRIEN >

COMITÉ SCIENTIFIQUE

L’ÉQUIPEAnne TALLEC - Jean Paul SERRANO - Joseph CHAUVEAU Bernard THIBEAUD - Herma VOS Jana MAUCOURT - Michèle VIVIER - René BIRON Lone ASKOV NIELSEN - Eddy MAUCOURT Carmen VILLALABA - Brigitte VILLIERAS Jean VILLIERAS - Seb THIBOULET - Brigitte DUBOIS Christophe GHAMBIR - Odile LORBER - Romain SOUPAULT Florian ADRIEN - Baptiste PILO - Sylvie HUSSENOT

Lorenzo BRUTTI : ethnologue, CNRSJean-François TERNAY : enseignant chercheur, univ. OrsayLydia GABORIT : écrivainePaul BERNIER : géologue, univ. Lyon Michel PERRIN : ethnologue, CNRS

> NICOLE BRUNET

Vaste thème que celui de la lumière ! Photons, neutrinos, soleil, étoiles, aurores boréa-les, trous noirs… quels phénomènes mystérieux se cachent derrière ce vocabulaire ?Les projections de fi lms du festival « 7ème art et Sciences » étant destinées à tous, nous avons travaillé dès septembre 2008 avec les enseignants de l’Ile de Noirmoutier pour les programmations scolaires. Qu’ils soient ici remerciés pour leur accueil et leur mo-tivation. Nous sommes également très heureux de bénéfi cier du soutien de nouveaux partenaires fi nanciers (CNRS et EDF R&D) qui nous permettent d’allonger la durée du festival, au bénéfi ce des plus jeunes.Venez partager avec nous la magie des images sur la naissance de la photographie et du cinéma scientifi que : les maîtres des lumières du cinéma français éclaireront notre lan-terne. Réchauffez votre cœur (et votre assiette !) aux rayons de notre « astre du jour ». Découvrez quelle féerie fl amboyante transcende les œuvres des artistes (peintres et photographes, verriers ou sculpteurs) pour notre plus grand bonheur !Nous célébrerons aussi « L’Année Mondiale de l’Astronomie » avec trois programma-tions spécifi ques dont une « nuit d’étoiles » qui illuminera la fi n du festival.Et c’est ainsi que le contenu de certains fi lms nous a amenées à envisager la théma-tique du festival 2010, afi n de nouer, bien en amont du festival, des partenariats qui nous feront naviguer vers de vastes horizons… Surprise !

Directrice du festival « 7ème art et Sciences »Présidente de l’association Cap aux Sciences

Présidente du festival / directrice de la programmation

LE JURYCollège Molière

Nicolas MEUNNIER, Julie BERNARD,

Louise Martin LARREZET, Florent GAUTIER,

élèves de Michèle VIVIER professeur de SVT.

Collège Les Sorbets.Dylan PETITGAS, Denys PIRAUX, Stanislas MARCE, Steven FRIOUXet leur prof de SVT Bernard THIBEAUD. >>>>>>>> CHRISTINE CHAPON >

Le thème d’abord : comment est-il choisi ? et bien… il ne l’est pas. Il est là, dans l’air de Noirmoutier, où le vent l’envole, l’entremêle, et où la parole le porte, le crie parfois. Je ne fais que démêler et tramer - depuis 6 ans déjà - un festival, une rencontre, une cérémonie, une offrande peut-être. (Ce serait fausse modestie de ne pas dire « je », mais il serait beaucoup plus exact de dire « je et vous »). Et la science dans tout cela ? Elle n’est pas si loin. Faire résonner, rituellement à chaque printemps, fusse-t-il en images, ce qui tisse la vie des noirmoutrins, relève à n’en pas douter d’une pratique ethnologique, d’une recherche qui n’en fi nit pas, d’un don aussi. En effet, le vent, la pêche, le littoral, l’insularité, la terre, la lumière, ne sont-ils pas ce qui nous – bon allez, « vous » - défi nit, vous unit, vous appartient, constitue votre patrimoine et votre identité ? Le prochain thème ? « Naviguer » !... Pour la suite, on verra, vous le souffl erez.

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LA TÊTE DANS LES ÉTOILES LES LUMIÈRES DE TA VILLE AURORES BORÉALES LE TROP PETIT PRINCE LES COULEURS TÔT OU TARD CHANTS ÉLECTRIQUES AURORES BORÉALES LES COULEURS LES LUMIÈRES DE TA VILLE BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEIL LA NUIT, TOUS LES CHATS SONT GRISQUE SERIONS-NOUS SANS NOS MIROIRS ? PÊCHEURS D’ÉTOILESENIGMES DE SIRIUSVÉGA ET ALTAÏR

DE 9H00 À 12H00

DE 14H00 À 18H00

DE 20H30 À 22H00ANNÉE MONDIALE DE L’ASTRONOMIE

LUNDI!20!AVRIL 09

De 9h30 à 12h et de 14h à 16h les projections sont réservées en priorité aux scolaires et accessibles au grand public en fonction des places disponibles.

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LUNDI 20 AVRIL 9h30 >12h00 LUNDI 20 AVRIL 9h30

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RÉALISATION : ZOÏA TROFIMOVAPRODUCTION, DIFFUSION : FOLIMAGE

ANNÉE : 2002 DURÉE : 7MN30

LES COULEURSSérie « Les Enquêtes de la Luciole » Documentaire animé Ce documentaire scientifi que, s’adresse aux jeunes à partir de 7 ans. Au début Lucy la luciole est confrontée à la découverte d’un objet insolite, qui la mène sur la piste d’une enquête où elle fait de nombreuses découvertes sur le monde des couleurs.

RÉALISATION : ROSELINE TALBOT / FANNY CLÉMENT/ LAURENCE SCARBONCHI/ ANNE GUICHERDPRODUCTION : C CHROMATIQUES PRODUCTIONSANNÉE : 2003 DURÉE : 13MN

TÔT OU TARDPapiers découpés Deux mondes entrent en collision. Un écureuil rencontre une chauve-souris so-litaire. Ensemble, ils essaient de remettre de l’ordre dans les rouages souterrains qui orchestrent la danse du jour, de la nuit, et de bien plus encore.

RÉALISATION, PRODUCTION, DIFFUSION : JADWIGA KOWALSKA :

ANNÉE : 2008 DURÉE : 35MN

LA TÊTE DANS LES ÉTOILESUn jeune homme cherche, de sa fenêtre, à voir les étoiles. Mais la ville est trop lumineuse ; il décide donc de la quitter. Son voyage en voiture aboutit à une colline qu’il juge idéale. Il y installe sa tente et savoure son bonheur...

RÉALISATION : SYLVAIN VINCENDEAU PRODUCTION, DIFFUSION : FOLIMAGE

ANNÉE : 2005 DURÉE : 8MN35

RÉALISATION : ROSELINE TALBOT PRODUCTION, DIFFUSION : C CHROMATIQUES PRODUCTIONSANNÉE : 2003 DURÉE : 13 MN

AURORES BORÉALES(Satellite polar) Série décryptage images de science. Les thématiques 1/2

LES LUMIÈRES DE TA VILLESérie « Les Enquêtes de la Luciole » Ce documentaire scientifi que animé, s’adresse aux jeunes à partir de 7 ans. Grâce à Lucy la luciole, personnage d’animation qui les entraîne de laboratoires en milieux natu-rels au fi l de ses investigations, les enfants vont à la découverte des sciences, des technologies et des métiers qui se cachent derrière les éclairages des villes et des campagnes.

RÉALISATION : HERVÉ COLOMBANIPRODUCTION DIFFUSION : CNRS IMAGES - CITÉ DES SCIENCES ET DE L’INDUSTRIE.IMAGES : NASA / GSFC / POLAR / G. SHIRAH ANNÉE : 2008 DURÉE : 1MN30

LE TROP PETIT PRINCEDessin animé rehaussé à la craie Chaque jour, le soleil se lève à l’horizon. Chaque jour un petit homme s’évertue, avec la même ténacité et par tous les moyens possibles, à nettoyer les taches du bel astre lumineux.

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BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEILAu bord du Sahel, le bois de cuisson se fait rare et cher. Le désert avance chaque année à grands pas. Pour contrer cette déforestation et la misère induite, tout un réseau d’ONG, d’artisans soudeurs et d’associations de femmes développe depuis dix ans une alternative effi cace au bois de cuisson : les cuisinières solaires paraboliques. part à la rencontre du nord au sud du Burkina Faso, des femmes et des hommes qui s’approprient et développent cette technique pour prendre en main leur avenir. Les femmes du Burkina Faso marchent toujours plus loin et plus longtemps à la recherche de quelques bouts de bois pour préparer leur repas.

A obtenu le Grand prix du documentaire et Arbre d’or au Festival du fi lm d’environne-ment Bourges. Notre commentaire : voir aussi l’exposition de fours solaires par l’ONG Bolivia Inti.

RÉALISATION : BORIS CLARET PRODUCTION DIFFUSION : LES FILMS DE LA CASTAGNE ANNÉE : 2005DURÉE : 28 MN

QUE SERIONS-NOUS SANS NOS MIROIRS ? Objets technologiques, d’art et de ré-fl exion, les miroirs sont partout. Ils nous déforment, ils nous informent sur les étoi-les, sur la logique, sur nous-mêmes. Ils viennent du fond des âges, qu’ils soient en bronze poli (dans l’Antiquité) ou en verre souffl é (à Venise). L’astronomie les utilise abondamment depuis Newton, qu’il s’agisse, parmi les plus récents, des quatre miroirs du Very Large Telescope (dont est montré le polissage), des réfl ecteurs-grilla-ges radioastronomiques, des réfl ecteurs lunaires, ou encore des gigantesques voi-les-miroirs utilisant la propulsion photoni-que. Les sciences de l’homme et les arts s’en sont aussi emparés : Jean-Claude Carrière explique le « trucage du miroir » utilisé par les cinéastes, par exemple pour des scènes faisant intervenir un bûcher. Boris Cyrulnik traite des comportements de l’animal et de l’homme face au miroir, selon leur place dans l’évolution phylogé-nétique : le miroir dérègle la vie sociale du macaque, et accroît la prise en compte du réel chez les adolescents.Jean-Pierre Vernant découvre comment, dans les mythes de Persée et Méduse, de Narcisse et de Dyonisos, le refl et amène

aux problèmes de la connaissance de soi et de l’autre. Les touristes de Venise ad-mirent les peintures au plafond des palais grâce à de petits miroirs. Par ailleurs, les miroirs apparaissent dans nombre de ta-bleaux, sacrés ou non. Jean Gattegno ex-plique comment le miroir que Carroll fait traverser à Alice montre une réalité pas tant inversée que décalée. Jean-Michel Folon, enfi n, estime que les grands artis-tes modernes de l’image s’effacent devant la réalité pour n’en être plus que le miroir. D’autres séquences évoquent encore la fabrication des miroirs, le concept de vio-lation de symétrie en astrophysique, les anamorphoses, les miroirs de détresse et les miroirs ardents, les nettoyeurs de gla-ces... Procédé audiovisuel : Prises de vues réelles. Utilisation d’extraits de fi lms en noir et blanc et en couleur, de nombreuses images de refl ets dans l’eau ou dans des miroirs, de tableaux, de peintures sur va-ses, de dessins et d’incrustation de textes.

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CHANTS ÉLECTRIQUESObservation en aquarium du comporte-ment d’un poisson électrique : le Gnatho-nemus d’Afrique équatoriale qui émet un courant électrique par les muscles de sa queue. Les chercheurs observent la sen-sibilité des cryptes sensorielles, situées sur sa tête, au courant produit. Le champ électrique émis entoure et accompagne ce poisson dans tous ses mouvements, et lui permet également de communiquer.

RÉALISATION : JEAN-MARIE BASSOTPRODUCTION ET DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 1985DURÉE : 9 MN

AURORES BORÉALES Rediffusion cf page 10

LES COULEURS Rediffusion cf page 11

LES LUMIÈRES DE TA VILLE Rediffusion cf page 10

RÉALISATION : LAURENT CHARBONNIERAUTEUR : DOMINIQUEPRODUCTION ET DIFFUSION : LES FILMS D’ICI/ VIE DES HAUTS PRODUCTION/ FRANCE 3/ RTBF BRUXELLES/ TSR (TÉLÉVISION SUISSE ROMANDE)ANNÉE : 2006DURÉE : 52 MN

LA NUIT TOUS LESCHATS SONT GRIS La fi n de la journée approche. En atten-dant un ami, sous le soleil rasant, un fer-mier arrose ses salades. Au crépuscule, des grenouilles copulent et croassent près de l’étang où pêche le héron. Les animaux diurnes vont se coucher. Un hé-risson se réveille et se faufi le à travers le jardin, la renarde alors sort de son terrier : que la chasse commence ! Le monde mystérieux de la nuit s’éveille...Générique

LUNDI 20 AVRIL 14h00 >18h00 LUNDI 20 AVRIL 14h00

>18h00

RÉALISATION : ANNE PAPILLAULT / JEAN-FRANÇOIS DARS PRODUCTION : ASS. NESTOR/ CNRS DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 1993DURÉE : 52 MN

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RÉALISATION : PIERRE PELLI PRODUCTION : LA CINQUIÈME, SYSTEM TV, CNRS IMAGES

DIFFUSION : CNRS IMAGES ANNÉE : 2001

DURÉE : 2MN49

VÉGA ET ALTAÏR, LES AMANTS CÉLESTES Série de treize fi lms présentant différen-tes constellations et corps célestes. Jean-Pierre Luminet, astrophysicien au CNRS, raconte d’abord une légende ou un phéno-mène remarquable qui y est liée, puis fait le bilan des connaissances scientifi ques d’aujourd’hui.Les notices détaillées ont été établies à chacun des titres : Callisto la Grande Our-se - Les Corbeaux du soleil - L’Eclipse et le beurre céleste - Icare et la conquête spa-tiale - Maroucla et les saisons - Le Mythe de la lune - Mythologie et système solaire - Phaéton et la voie lactée - Râ, le dieu soleil - Sirius et le Pô Tolo - Tiamat, Mardouket le big bang - Tirawa et la création de la terre - Véga et Altaïr, les amants célestes.

PIERRE ALDEBERT MÉDIATEUR SCIENTIFIQUE CHIMISTE CNRS

Venez jouer avec les fi lles de la lumière …Vous croyez connaître la couleur de la mer ? Un billet de banque est-il fl uores-cent ou phosphorescent ?Venez vérifi er dans le labo de Pierre. Avec lui, vous en verrez de toutes les couleurs sur la lumière !Avertissement et précautions : vous ris-quez de sortir du labo pris de passion pour la recherche et enfl ammé par l’éner-gie de Pierre ! ne vous protégez pas !

INTERVENTIONS : Sur le stand « Le labo de Pierre » durant tout les festival.Salle des petites Salorges.

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RÉALISATION : MARIE CHEVAIS PRODUCTION ET DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2008DURÉE : 26 MN

PÊCHEURS D’ÉTOILES ANTARES est le premier télescope à neu-trinos sous-marin mais c’est également un véritable laboratoire pluridisciplinaire sous la mer. Le détecteur est installé en Méditerranée, à 2500 m de fond. L’objectif du télescope est de détecter les neutrinos de haute énergie provenant du fi n fond de l’Univers. Pour observer cette particule très furtive, les chercheurs ont dû installer le détecteur au fond de la mer car l’eau sert de révélateur des neutrinos. Ceux-ci sont de véritables messagers cosmiques qui s’échappent des phénomènes violents de l’Univers comme les supernovae et les trous noirs ou qui proviennent de l’énigmatique matière noire. Ainsi, en mesurant la trajectoire et l’énergie des neutrinos, ANTARES per-mettra de mieux connaître ces mystérieux objets célestes et d’acquérir une meilleure compréhension de l’Univers.

RÉALISATION : JÉRÔME BLUMBERG/ J.M. BIDAUD PRODUCTION ET DIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 2009DURÉE : 41 MN

ÉNIGMES DE SIRIUS Sirius est l’étoile la plus brillante du ciel.Mais son image est particulièrement dif-fi cile a obtenir, même avec les télescopes les plus performants. L’astrophysicien Jean-Marc Bonnet-Bidaud, s’appuyant sur des observations de l’astronome grec Pto-lémée, et sur des textes astronomiques chinois contemporains, émet l’hypothèse que Sirius aurait changé de couleur au dé-but de notre ère. Ce changement de cou-leur pourrait s’expliquer par la présence d’une ou deux « étoiles compagnon » gravitant autour de Sirius. Le fi lm accom-pagne Jean-Marc Bonnet Bidaud dans ses recherches, qui le conduisent dans les plus grands observatoires de la planète, mais aussi en Afrique, à l’écoute des Dogon qui placent Sirius au centre de leur cosmogonie.

ANNÉE MONDIALE DE L’ASTRONOMIE LUNDI 20 AVRIL 20h30 >22h00 LUNDI 20 AVRIL 20h30

>22h00

du festivaloAut ur

http://www.gouters-des-sciences.net/pages/accueil.htm

LE LABO DE PIERRE

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MARDI!21!AVRIL 09

LE FEU, LUMIÈRE DE L’HOMME AURORES BORÉALES LES LUMIÈRES DE TA VILLE CHANTS ÉLECTRIQUES UN SOUFFLE POUR LA SCIENCE LES ALGUES, UNE FORÊT SOUS LA MER BULLES DE SAVONLES CORBEAUX DU SOLEIL ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉ BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEILLES TEMPS SONT MÛRS CHANTS ÉLECTRIQUES LA NUIT, TOUS LES CHATS SONT GRIS LE COMPTEUR DE COULEURS LES AILES DE LA NUITLES PASSEURS DE LUMIÈRELE CORPS EN TRANSPARENCESOUS LE FEU DES ONDES FENÊTRE SUR L’ÂMELES MAGICIENS DE LA LUMIÈRE LA FACE OBSCURE DE LA LUMIÈRE

DE 9H00 À 12H00

DE 14H00 À 18H00

DE 20H30 À 23H30 SOIRÉE D’OUVERTURE

De 9h à 12h les projections sont réservées en priorité aux scolaires et accessibles au grand public en fonction des places disponibles.

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UN SOUFFLE POUR LA SCIENCEPour fabriquer des prototypes ou du matériel très spécifi que, le CNRS et les autres organismes de recherche publics font appel à des souffl eurs de verre.Ce fi lm rend hommage à ces hommes qui façonnent, en verre, en pyrex ou en quartz, des appareillages pour de nombreux la-boratoires de chimie ou de physique.RÉALISATION : LUC RONAT PRODUCTION : CNRS AVDIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 1999DURÉE : 9 MN

LES ALGUES, UNE FORÊT SOUS LA MER (EXTRAIT)Les algues sont le poumon de la Terre : elles produisent à elles seules la moitié de l’oxygène de notre planète ! Pour elles, tout a commencé avec une petite bactérie aux couleurs bleues qui vivait il y a trois milliards d’années... rien de moins ! De-puis, cette petite bactérie a essaimé : en eau douce ou en eau salée, sur les murs de nos maisons, dans les plumes de cer-tains oiseaux ou dans la chair des pois-sons... les algues sont partout ! Fred et Jamy sont partis explorer les fonds marins des côtes bretonnes pour découvrir en compagnie d’un scientifi que de l’IFREMER les quelque 670 espèces d’algues qui y vi-vent. Ils nous expliquent comment vivent et se reproduisent ces végétaux dépour-vus de feuilles et de racines. Nous les re-trouvons ensuite à bord d’un goémonier pour récolter, à l’aide d’un curieux scou-bidou, des tonnes d’algues qui fi niront en gélifi ants ou en épaississants, sous le mystérieux nom de code E 401 ou E 405.

RÉALISATION : LORRAINE SUBRA-MOREAUPRODUCTION : RIFF PRODUCTIONS

DIFFUSION : FRANCE TÉLÉVISIONANNÉE : 2004

DURÉE : 26 MN

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RÉALISATION : PHILIPPE PIAZZA, PRODUCTION : ETC PRODUCTION / LA CINQUIÈME / LA COMPAGNIE DES TAXI-BROUSSE / LES PRODUCTIONS SOVIMAGE INC. / SFRS / VSP PRODUCTIONDIFFUSION : CERIMES ANNÉE : 1997 DURÉE : 26 MN

LE FEU LUMIÈRE DE L’HOMME1960. La grotte de l’Escale (Bou-ches-du-Rhône - France). Dans la na-ture, le feu a précédé l’homme. Mais E. Bonifay et Henry de Lumley dé-couvrent l’un des plus anciens foyers d’origine humaine. A combien de mil-liers d’années remonte-il ? - 750 000 ans ? 1965, Nice. France. H. de Lumley, encore lui, découvre dans un chantier des galets travaillés par l’homme, preuve enfi n du feu domestiqué. Il semble qu’il y ait trois stades dans le rapport de l’homme avec le feu : le feu, élément hostile que l’homme évite ; le feu recueilli par l’homme et entre-tenu ; le feu jailli de la main de l’homme. L’art de produire du feu. Certains grou-pes d’hommes ont possédé cet art avant d’autres.

AURORES BORÉALES Rediffusion cf page 10

LES LUMIÈRES DE TA VILLE Rediffusion cf page 10

CHANTS ÉLECTRIQUESRediffusion cf page 12

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MARDI 21 AVRIL 9h00 >12h00 MARDI 21 AVRIL 9h00

>12h00

LES POISSONS ÉLECTRIQUES ONT LA PAROLEAu Mali, une équipe de scientifi ques étudie des petits poissons électriques de la famille des Mormyridés. Incorri-gibles bavards, ils émettent continuel-lement de faibles décharges électri-ques pour se repérer et communiquer.

RÉALISATION : V. BENECHPRODUCTION, DIFFUSION : IRD

ANNÉE : 1994 DURÉE : 4 MN

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ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉLe four solaire d’Odeillo (Pyrénées Orientales) est le plus puissant appareil de ce type construit à ce jour (1 000 kW) et sert de référence en la matière. Il dépend de l’Institut de science et de génie des matériaux et procédés (IMP) du CNRS. La lumière solaire est captée par un champ de 63 miroirs plans appelés héliostats, mobiles sur deux axes de façon à pouvoir suivre la course du soleil. Les rayons solaires sont réfl échis sur un grand miroir parabolique (hauteur : 40 m, largeur : 54 m) et sont concentrés dans la tour foyer de 20 m de hauteur. La température obtenue peut atteindre 3400°C. Les recherches menées par l’IMP concernent l’étude des propriétés des matériaux (composition chimique, structure cristalline, nature des

liaisons chimiques) et la mise au point de procédés de fabrication. Les applications de ces recherches sont nombreuses dans les domaines de l’espace, de l’énergie et de l’environnement : simulation de la rentrée d’un véhicule spatial dans l’atmosphère d’une planète, fabrication de silicium photovoltaïque en couche mince, verres enrobant les déchets radioactifs pour leur stockage, procédés.

RÉALISATION : MICHEL RAULET PRODUCTION, DIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 2002DURÉE : 11 MN

BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEIL Rediffusion cf page 13

LES TEMPS SONT MÛRS La voiture de demain, c’est déjà aujourd’hui. Face aux pollutions chimiques ou sonores, le véhicule électrique s’impose comme solution aux problèmes de transport dans les villes.A La Rochelle ou à Bordeaux, l’adminis-tration donne l’exemple. La Police muni-cipale ou la Poste utilisent des voitures électriques. Le concept se diversifi e : scoo-ters, bateaux de tourisme fl uvial, services de livraison. L’industrie et la recherche ne sont pas en reste : fabrication de véhicules électriques chez Heuliez et chez Peugeot-Citroën (voitures Partner et Berlingo aux usines de Vigo en Espagne). Des laboratoi-res du CNRS effectuent des recherches sur les composants des batteries. De toutes façons, l’usage se répand. Les bus élec-triques sillonnent Rome et Bordeaux. Les fl ottes en libre-service à Saint-Quentin-en-Yvelines, à La Rochelle, à Martigny en Suisse, inventent le véhicule collectif indi-viduel, chaînon manquant entre le trans-port public urbain et la voiture particulière réservée aux longues distances.

RÉALISATION : DARS JEAN-FRANÇOIS, PAPILLAUT ANNERÉALISATION, DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2008DURÉE : 27 MN

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LES CORBEAUXDU SOLEIL Jean-Pierre Luminet, astrophysicien de réputation mondiale, présente la légende chinoise sur la découverte de l’existence des taches solaires plusieurs siècles avant notre ère. « Le seigneur du ciel avait dix fi ls, dix soleils qui tournaient autour de la terre l’un après l’autre. Lorqu’ils décident de tous paraître en même temps dans le ciel, la terre se dessèche et l’empereur de Chine implore le seigneur d’en haut pour qu’il intervienne. Le seigneur du ciel envoie son meilleur archer sur la terre avec pour mission d’effrayer les soleils, mais l’archer rendu furieux par la misère qui règne sur terre tuera neuf des dix soleils. Neuf cor-beaux, les esprits des soleils morts, appa-raissent alors comme des taches noires sur le dernier soleil survivant. » Les taches solaires sont des centres d’activité magné-tique, les points d’entrée et de sortie des lignes de champ. Le nombre de taches va-rie en fonction de l’activité magnétique du soleil selon un cycle de onze ans. Les ta-ches sont à l’origine des éruptions solaires qui expulsent jusqu’à la terre des particu-les électrisées. Heureusement la terre est protégée de ce fl ux par son propre champ magnétique. Elle n’en subit pas moins l’in-fl uence des cycles solaires qui modifi ent le climat et la croissance des végétaux.

RÉALISATION : PIERRE PELLI AUTEUR SCIENTIFIQUE : JEAN-PIERRE LUMINET PRODUCTION : LA CINQUIÈME/ SYSTEM TV/ CNRS IMAGES MÉDIADIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2001DURÉE : 13 MN

BULLES DE SAVON Série décryptage images de science

MARDI 21 AVRIL 9h00 >12h00 MARDI 21 AVRIL 9h00

>12h00

RÉALISATION : COLOMBANI HERVÉ PRODUCTION DIFFUSION : CNRS IMAGES / CITÉ DES SCIENCES ET DE L’INDUSTRIE.ANNÉE : 2005DURÉE : 1M 30

LE CORPS EN TRANSPARENCE Au Laboratoire Ondes et acoustique, Ma-thias Fink et son équipe mettent au point de nouvelles techniques d’échographie ul-trasonore. L’imagerie d’élasticité du corps humain est une échographie ultra rapide (5000 images par seconde) qui permet de visualiser les variations de dureté d’un tis-su. La première application possible est la détection de cancers du sein.Une autre technique utilise un casque muni de 300 émetteurs ultrasonores per-mettant d’accéder de façon très précise à certaines zones du cerveau pour brûler des tumeurs. Au Laboratoire pour la mé-

RÉALISATION : JEAN-PIERRE MIROUZEPRODUCTION : FLIGHT MOVIE/ CNRS IMAGES

DIFFUSION : CNRS IMAGESPARTICIPATION : FRANCE 5, CNC

ANNÉE : 2003 DURÉE : 26 MN

canique et les sciences de l’ingénieur, Angel Osorio Sainz travaille sur une tech-nique qui permet de projeter une image en 3 D sur le corps d’un patient au cours d’une opération chirurgicale. L’image 3D provient d’une IRM ou d’un scanner du patient, ici un rein, et facilite le travail du chirurgien. Serge Charpak, neurophysio-logue, présente la microscopie biphoto-nique. Cette technique permet de visua-liser de toutes petites zones du cerveau.

RÉALISATION : JEAN CHRISTOPHE RIBOTPRODUCTION : MOSAÏQUE FILMS, THOMAS SCHMITT

ANNÉE : 2009DURÉE : 52 MN

SOUS LE FEU DES ONDES A l’aube du XXIe siècle, le corps humain baigne dans un brouillard électromagnéti-que de plus en plus dense bien qu’invisible. Des réseaux d’antennes maillent le terri-toire, trois milliards d’individus communi-quent au moyen de téléphones cellulaires, les technologies sans fi l se développent… Dès lors une question de santé publique se pose : ces rayonnements artifi ciels peu-vent-ils perturber l’activité métabolique de notre corps. Investigation scientifi que dans le monde du bio-électromagnétisme, le fi lm « Sous le feu des ondes » éclairera la dimension électromagnétique du corps humain, puis il évaluera les preuves scien-tifi ques de l’effet des rayonnements élec-tromagnétiques sur le vivant avant d’en pointer les risques sanitaires dans le cadre d’un électrosmog de plus en plus envahissant.

LES AILES DE LA NUIT Trop souvent associés au monde des ténèbres et à la sorcellerie, les chouet-tes et les hiboux ont payé un lourd tri-but. Aujourd’hui, leurs mœurs sont bien connues et leur rôle est indéniable dans l’équilibre de la nature. Les chouettes occupent bien souvent nos vergers, nos vieux bâtiments et même nos greniers sans que nous le sachions. C’est généra-lement au crépuscule que les ailes de la nuit prennent alors possession des lieux et s’expriment librement.PRODUCTION : ROBERT LUQUESPRODUCTION ET DIFFUSION : CALUNE PRODUCTIONSANNÉE : 2000DURÉE : 52 MN

LES PASSEURS DE LUMIÈRE La lutte contre la cécité des rivières, l’on-chocercose, a été engagée en 1974 dans 7 pays d’Afrique de l’Ouest. Aujourd’hui la bataille contre ce fl éau social et écono-mique couvre l’ensemble du continent africain. Des moucherons vecteurs de la maladie pullulent dans les rapides des ri-vières et leur larve a été la première cible de la lutte. Puis un médicament micro-fi laricide a été découvert et le fabricant a décidé de l’offrir à ceux qui en ont be-soin. Une armée de 260 000 bénévoles « passeurs de lumière » distribuent désor-mais dans tous les villages du «bout de la piste» le petit comprimé qui évite de devenir aveugle à cause de l’onchocer-cose sur l’ensemble du continent africain.Mention Spéciale du Jury, catégorie Film Médi-cal, au Festival du Film Entretiens de Bichat 2006 Prix du Jury Jeune, VIIe Festival International du Film sur l’Insecte FIFI 2007

LE COMPTEUR DE COULEURS Ce reportage, tourné au camp des Noura-gues dans la forêt tropicale de Guyane, pré-sente les travaux de Marc Théry, chercheur au laboratoire du Muséum National d’His-toire Naturelle. La spécialité de Marc Thé-ry est l’éco-éthologie et il s’intéresse tout particulièrement aux relations qui existent entre le comportement des oiseaux et leur environnement. Avec un collaborateur, il observe la parade amoureuse des coqs de roche pour comprendre l’infl uence de la lu-mière et des couleurs sur le comportement sexuel des oiseaux. Le mâle dominant se place toujours en plein soleil et la couleur orange vif de ses plumes attire les femelles.Marc Théry observe aussi le manakin à front blanc et utilise des fi lets pour cap-turer un individu. L’oiseau est ramené au campement et les couleurs de son plu-mage sont analysées par spectrométrie.

CHANTS ÉLECTRIQUESRediffusion cf page 12

LES POISSONS ÉLECTRIQUES ONT LA PAROLE Rediffusion cf page 18

LA NUIT TOUS LES CHATS SONT GRISRediffusion cf page 12

RÉALISATION : SYLVIE DELEULE PRODUCTION : CNRS IMAGES/ POINT DU JOUR/

LA CINQUIÈMEDIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 2000DURÉE : 13 MN

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FENÊTRE SUR L’ÂME Quel est le point commun entre l’écrivain portugais José Saramago (Prix Nobel de littérature 1998), l’actrice allemande Hanna Schygulla, les cinéastes Wim Wenders et Agnès Varda ? Affectés de troubles de la vue à des degrés différents, ainsi que quin-ze autres personnalités artistiques, ils dé-clinent devant la caméra de Joao Jardim et Walter Carvalho - tous deux myopes - la manière dont ils voient, dont ils se voient, dont ils voient les autres et perçoivent le monde. Reprenant la défi nition du philoso-phe et biologiste grec Aristote (384-322 Av. J.C.) qui décrivait la vue comme étant les fenêtres de l’âme… les réalisateurs nous invitent à comprendre des yeux que la lu-mière fragilisent mais que l’âme agrandit. « Fenêtre sur l’âme » fut le documentaire de l’année 2002 le plus vu au Brésil. Il reçut le Prix du public du Festival du cinéma bré-silien à Paris, et du Meilleur documentaire du Festival de Sao Paolo.Ce fi lm sensible nous a été recommandé par Auré-lien Francisco Barros, réalisateur de « Base Zéro, des pauvres et des pierres » mention spéciale du festival « 7ème art et Sciences » 2008

MARDI 21 AVRIL 14h00 >18h00 MARDI 21 AVRIL 14h00

>18h00

RÉALISATION : JOÄO JARDIM, WALTER CARVALHOPRODUCTION : RAVINA FILMS, DUETO FILMS

DIFFUSION : COPACABANA FILMES, BODEGA FILMSANNÉE : 2004 - DURÉE : 1H 13MN

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RÉALISATION : BERNARD SURUGUE PRODUCTION : DPM, IRD

DIFFUSION : IRDANNÉE : 2005

DURÉE : 20 MN

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LE FESTIVAL VIENT VERS VOUS.DANS LES COLLÈGESLES LUMIÈRES INVISIBLES par Richard-Emmanuel EATS CONFÉRENCE EXPÉRIMENTALE ET INTERACTIVELundi 20 avril à 14h - collège Les SorbetsDurée : 1 h

RÉALISATION : SERGE GUYON/ CHRISTINE AZEMARAUTEURS : PIERRE LAUGINE, ALAIN SARFATIPRODUCTION : SCAVO DIFFUSION : SCAVO-CNRS IMAGES-CERIMESANNÉE : 2008DURÉE : 52 MN

LA FACE OBSCURE DE LA LUMIÈRELes défenseurs de l’environnement s’inté-ressent à l’eau, à l’air et au sol. Mais une nouvelle forme de pollution, encore mal connue quoique tout aussi nocive, les pré-occupe également : la lumière artifi cielle. La lumière artifi cielle transforme la nuit en jour, elle permet de travailler ou de se di-vertir 24 heures sur 24. Ne serait-elle pas la matérialisation d’un rêve : une produc-tivité illimitée, un plaisir sans fi n ? Mais… pas de lumière sans ombre. La lumière artifi cielle cause l’hécatombe de certains animaux, elle appauvrit la fl ore et la faune. Ce fi lm nous conduit de la Floride en mer du Nord, des Canaries à la Suisse en pas-

RÉALISATION : ANJA FREYHOFF, THOMAS UHLMANNPRODUCTION DIFFUSION : ZDF, ARTE.ANNÉE : 2008 DURÉE : 45 MN

sant par les métropoles insomniaques de nos sociétés hyperactives. Tourné exclusi-vement de nuit, le fi lm propose des points de vue insoupçonnés sur la vie nocturne des oiseaux et des tortues, sur le destin des petits animaux qui nous permettent de survivre, et avant tout sur le risque mortel que la lumière artifi cielle fait courir aux êtres humains.

nouveau Directeur de l’Observatoire com-mande à Foucault une mesure d’une pré-cision jusque là inégalée. Avec l’aide des plus grands artisans de l’époque, Foucault relèvera ce défi en 1862. La vitesse de la lumière devient désormais un outil de choix pour la mesure des distances astro-nomiques. Ainsi, centré sur la célèbre me-sure de la vitesse de la lumière par Léon Foucault en 1862 à l’aide du « miroir tour-nant », le scénario remonte donc le cours des mesures historiques de la vitesse de la lumière, du XVIIe au XIXe siècle, mettant en scène sous forme de reconstitution histori-que, les principaux protagonistes de cette histoire, à commencer par Galilée.

LES MAGICIENS DE LA LUMIÈRE Paris, 1840 : Hippolyte Fizeau et Léon Fou-cault ont vingt ans et sont étudiants à la Faculté de médecine. Mais ils partagent ensemble une passion pour la physique. François Arago, Directeur de l’Observa-toire de Paris, va leur confi er un important travail : décider enfi n si la lumière est de nature corpusculaire ou ondulatoire ! Dans la lignée de Galilée, Römer, Bradley, Fizeau réalise en 1849 pour la première fois une mesure purement terrestre de la vitesse de la lumière. En 1861, Urbain Le Verrier

20h30 >23h30

INÉDIT

SOIRÉE D’OUVERTURE MARDI 21 AVRIL

du festivaloAut ur

DANS LES COMMUNESÀ L’Epine, lundi 20 avril de 14 à16h, à La Guérinière, jeudi 23 avril de 10 à 12h,à L’Herbaudière, vendredi 24 avril de 10 à 12h, à Barbâtre, vendredi 24 avril de 14 à16h, à Noirmoutier, mardi 21 avril (salles municipales et écoles)

LES OBJETS INVISIBLES par Hélène MONTFEUILLARD

Le Professeur Spatule explorera avec les collé-giens, les signifi cations et les implications phy-siques de la notion d’invisibilité. L’air, les taches solaires à l’oeil nu, la planète Neptune, le Kilimandjaro depuis la France, la cape d’Harry Potter... Autant d’objets invisibles pour des raisons pourtant très différentes. Alors fi nalement, quelles caractéristiques doit possé-der un objet pour être « invisible » ?Un objet invisible pour nous l’est-il aussi néces-sairement pour un chat ou pour un télescope spatial ? Et si non, cela signifi e-t-il que certaines lumières sont invisibles à nos yeux ? Voici les questions auxquelles les collègiens se-ront invités à réfl échir, au cours d’une traque aux lumières invisibles qui s’annonce passionnante !

Richard-Emmanuel EATS est agrégé de chimie, enseignant au Départe-ment d’Etudes Cognitives de l’Ecole normale supérieure, en charge du programme Education-Valorisation-Ethique et fondateur du groupe R&D TRACES. Il est fondateur de plu-sieurs associations de vulgarisation scientifi que, telles que Les Atomes Crochus dont il assure la présidence depuis 2001

ATELIER EXPÉRIMENTAL Cet atelier, offrira à votre curiosité expérimen-

tale toute une série d’objets invisibles dont le défi sera... de parvenir à les voir !Pour ce faire, il faudra commencer par étudier ce qui fait qu’un objet est visible ou non. Il faudra d’ailleurs probablement également essayer de comprendre certaines propriétés de la lumière, de l’œil et de la matière. Voir à l’intérieur d’un œuf, voir le fond de son propre œil, démasquer les illusions d’optiques... Nous ne vous en disons pas plus car c’est sur place qu’il vous faudra découvrir les diverses solutions qui permettent de débusquer les objets invisibles !Durée de chaque atelier : 45 minutes

Hélène MONTFEUILLARD est bio-chimiste. Elle est coordinatrice des actions de médiation de l’associa-tion Les Atomes Crochus où elle est notamment chargée de projet pour le « Concours Haïku-Jardins Chimiques ». Elle est membre du groupe R&D TRA-CES et participe depuis 2007 à l’orga-nisation du festival de science de l’as-sociation Paris-Montagne.

http://atomes-crochus.org

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PÊCHEURS D’ÉTOILES CHANTS ÉLECTRIQUES LE COMPTEUR DE COULEURS RÂ, LE DIEU SOLEIL ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉBON APPÉTIT MONSIEUR SOLEIL AURORES BORÉALES LE CYCLOPE DE LA MER LES ALGUES UNE FORÊT SOUS LA MER - EXTRAITLES TEMPS SONT MÛRS LA PHOTONIQUE LE TROP PETIT PRINCELA TÊTE DANS LES ÉTOILESTÔT OU TARD « VITE PLUS VITE QUE LA LUMIÈRE »BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEILODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉBOLIVIA INTIBAR DES SCIENCES« ÉNERGIE SOLAIRE : QU’EST-CE QU’ON ATTEND ? » LES TEMPS SONT MÛRSMAIS OÙ VONT LES NEIGES D’ANTAN ? MÉMOIRE D’UN ÉLÉPHANT DE MERLES TRAMES DU FUTUR

DE 9H00 À 12H00

DE 11H30 À 12H30

DE 14H30 À 16H00APRÈS-MIDI ENFANTS

15H15 SPECTABLEDE 16H00 À 17H00

DE 17H30 À 19H00

DE 20H30 À 22H30ACTUALITÉS DE LA RECHERCHE

MERCREDI!22!AVRIL 09

De 9h à 12h les projections sont réservées en priorité aux scolaires et accessibles au grand public en fonction des places disponibles.

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ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉ Rediffusion cf page 21

BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEIL Rediffusion cf page 13

AURORES BORÉALES Rediffusion cf page 10

LE CYCLOPE DE LA MER Lorsque vient s’échouer sur le rivage un pauvre petit poisson aux grands yeux innocents, la vie du cyclope s’en trouve soudainement modifi ée.Le personnage principal de ce très beau fi lm d’animation est un cyclope, gardien d’un phare, isolé au beau mi-lieu de la mer. Pour tromper son en-nui il peuple son monde de pantins de bois auxquels Philippe Jullien donne vie grâce à la magie de l’image par image.

RÉALISATION : PHILIPPE JULLIENPRODUCTION : J.P.L. FILMS / ARTEDIFFUSION : J.P.L. FILMSANNÉE : 1998 DURÉE : 13 MM

LES ALGUES, UNE FORÊT SOUS LA MER (EXTRAIT) Rediffusion cf page 19

PÊCHEURS D’ÉTOILES Rediffusion cf page 14

CHANTS ÉLECTRIQUES Rediffusion cf page 12

LES POISSONS ÉLECTRIQUES ONT LA PAROLE Rediffusion cf page 18

LE COMPTEUR DE COULEURS Rediffusion cf page 22

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RÂ, LE DIEU SOLEIL Jean-Pierre Luminet, astrophysicien au CNRS, raconte : « Le soleil, étoile de vie, est resté longtemps une source de mys-tère pour les anciens. Les Egyptiens ado-raient le soleil sous la forme du dieu Râ qui navigue sur l’océan céleste pendant le jour. Quand la nuit tombe Râ entre dans le domaine des morts, le royaume d’Osi-ris, situé sous terre. Après avoir traversé la cité infernale de Sokar, il livre combat au serpent Apopis, qui représente les for-ces du chaos et qui voudrait anéantir la lumière. Râ sort vainqueur du combat et réapparait au matin ». La véritable nature du soleil n’est connue que depuis le dé-but du 20e siècle. C’est une sphère de gaz,

essentiellement de l’hydrogène. La très haute température atteinte en son centre permet d’obtenir des réactions de fusion nucléaire : l’hydrogène se transforme en hélium. L’énergie dégagée par ces réac-tions est à l’origine de la lumière du soleil. Mais comme toutes les étoiles, le soleil vieillit en épuisant son « carburant » : l’hy-drogène. Dans cinq milliards d’années, le noyau se refroidira, les couches extérieu-res se dilateront et le soleil deviendra une géante rouge qui englobera la terre.

RÉALISATION : PIERRE PELLIPRODUCTION : CNRS IMAGES,

SYSTEM TV, LA CINQUIÈMEDIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 2001 DURÉE : 13 MN

LA PHOTONIQ UECe fi lm présente la photonique et ses prin-cipaux axes de recherche. La photonique utilise différents semi-conducteurs pour fabriquer des dispositifs qui émettent, détectent ou manipulent la lumière. Son objectif est d’obtenir des circuits compara-bles aux circuits électroniques mais dans lesquels les photons auraient le rôle des électrons, les calculs s’effectuant alors à la vitesse de la lumière.

RÉALISATION : PRODUCTION, DIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 1998 DURÉE : 11 MM

MERCREDI 22 AVRIL 9h00 >12h00 MERCREDI 22 AVRIL 9h00

>12h00

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LE TROP PETIT PRINCEDessin animé rehaussé à la craie Chaque jour, le soleil se lève à l’horizon. Chaque jour un petit homme s’évertue, avec la même ténacité et par tous les moyens possibles, à nettoyer les taches du bel astre lumineux.

RÉALISATION : ZOÏA TROFIMOVAPRODUCTION, DIFFUSION : FOLIMAGEANNÉE : 2002 DURÉE : 7MN30

LA TÊTE DANS LES ÉTOILESUn jeune homme cherche, de sa fenêtre, à voir les étoiles. Mais la ville est trop lumineuse ; il décide donc de la quitter. Son voyage en voiture aboutit à une colline qu’il juge idéale. Il y installe sa tente et savoure son bonheur...

TÔT OU TARDPapiers découpés Deux mondes entrent en collision. Un écu-reuil rencontre une chauve-souris solitaire. Ensemble, ils essaient de remettre de l’ordre dans les rouages sou-terrains qui orchestrent la danse du jour, de la nuit, et de bien plus encore.

RÉALISATION, PRODUCTION, DIFFUSION : JADWIGA KOWALSKA

ANNÉE : 2008 DURÉE : 5 MN

RÉALISATION : SYLVAIN VINCENDEAU PRODUCTION, DIFFUSION : FOLIMAGE

ANNÉE : 2005 DURÉE : 8MN35

APRÈS-MIDI ENFANTS

VITE, PLUS VITE QUE LA LUMIÈRE ! Le spectacle scientifi que Vite, plus vite que la lumière ! est un voyage au cœur de la science à la découverte des secrets de la lumière : comment naît-elle ? Quelle est sa nature et quelles sont ses particularités ?La nuit, l’ombre, le noir sont redoutés tant par les enfants que par les adultes, lieux de cauchemars, de peurs et de doutes. Mais il arrive que parfois ils représentent des moments heureux comme par exemple lorsque le noir se fait après avoir souffl é ses bougies d’anniversaire. C’est à partir de cette situation que le conte Vite plus vite… commence sa réfl exion sur la lumière. Pour nous guider, un seul personnage entre en scène : Céleritas, petite fi lle très sage et savante un peu fofolle, une sorte de petite fée en blouse blanche qui connaît les secrets de la fusion nucléaire et qui arrive à capturer les particules atomiques dans la paume de ses mains. Ainsi, tout au long de son récit, elle sera confrontée aux paradoxes et particularités de la lumière en puisant ses sources dans l’histoire de la physique.Le récit s’adresse aux enfants de 4 à 12 ans. Le spectacle a alors plusieurs niveaux de lecture : les jeunes de 7 à 12 ans suivront facilement la dialectique vive et naïve de Céleritas tandis que les plus petits pourront être guidés dans l’histoire grâce aux effets visuels où les atomes sont des boules géantes, le microscope atomique est remplacé par une immense loupe et les ondes représentées par un drap mis en mouvement par de l’air souffl é. L’histoire pourra également intéresser « les grandes personnes » par l’exactitude et l’accessibilité de l’analyse scientifi que de la lumière.

MERCREDI 22 AVRIL 14h30 >16h00 MERCREDI 22 AVRIL 14h30

>16h00

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INTERPRÈTE : ELISE TRUCHARD

Compagnie Petite Naturewww.petitenature.fr/

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BOLIVIA INTI En 1999, l’association Bolivia Inti Sud Soleil a offert plus de 10.000 fours solaires sur les plateaux Andins, pays pauvre et déboisé, où les femmes doivent faire des dizaines de km pour rapporter 20 à 30 kg de branchage. Dans les villes, les bidonvilles, 30 % du budget des ménages est consacré à la cuisson des aliments. L’introduction de ces cuiseurs nécessite information, proximité et explications. A la démarche humanitaire s’ajoute une démarche pratique et scientifi que.www.boliviainti-sudsoleil.org/

BON APPÉTIT MONSIEUR SOLEIL Rediffusion cf page 13

ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉ Rediffusion cf page 21

MERCREDI 22 AVRIL 16h00 >17h00 MERCREDI 22 AVRIL 17h30

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RÉALISATION, PRODUCTION, DIFFUSION : ONG BOLIVIA INTI SUD SOLEILMONTAGE : JEAN VILLIERASANNÉE : 1995DURÉE : 28 MN

du festivaloAut ur

BAR DES SCIENCES« ÉNERGIE SOLAIRE, QU’EST-CE QU’ON ATTEND ? »Mercredi à 18h au Café Noir (sur le port de Noirmoutier)

ANIMATEUR : Bernard KUBICA, Bar des Sciences de Nantes.

Le soleil est une source d’énergie inépuisable. Quelles sont les technologies basées sur le solaire ? Le choix du solaire thermique et photovoltaïque est devenu accessible aux collectivités comme aux particuliers. Après une très longue frilosité, la fi lière est en développement, soutenue par des incitations fi nancières et des garanties. Et nous, où en sommes-nous, en Europe, en France, en Vendée et à Noirmoutier ? Les usagers du solaire font encore fi gure de pionniers chez nous. Pourquoi ? Qu’est-ce qu’on attend ? Essayons de comprendre les résistances qui persistent. Prenons ensemble la température de nos sentiments et convic-tions, informons-nous et tentons d’aller un peu plus loin.

INTERVENANTS :• Jean VILLIERAS, membre de l’ONG Bolivia Inti• ÉNERGIE 85• Jean-Paul LOUINEAU, Alliance Soleil• Usagers d’énergie solaire.

Exposition et démonstrations de cuiseurs solaires pendant le festival.

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MÉMOIRES D’UN ÉLÉPHANT DE MERLes éléphants de mer ont une biologie sur-prenante: ils passent la plus grande par-tie de leur vie en pleine mer, au cœur de l’Océan Austral, et enchaînent sans cesse des plongées vertigineuses qui peuvent aller jusqu’à 2000 m de profondeur.En posant des balises sur la tête de ces pin-nipèdes, une équipe de biologiste menée par Christophe Guinet, ouvre une porte sur un monde qui été resté jusqu’à présent quasiment inaccessible, l’Océan Austral. Directement connecté aux trois autres grands océans - l’Atlantique, le Pacifi que et l’Indien - c’est une véritable clé de voûte dans la compréhension des climats.Plusieurs communautés scientifi ques se tournent alors vers ces phoques éton-nants, et unissent leurs efforts avec les biologistes pour optimiser les capteurs des balises. Les éléphants de mer se transfor-ment en agents spéciaux, émissaires des scientifi ques, et révèlent progressivement les secrets de leur environnement.

RÉALISATION : FRANÇOIS DE RIBEROLLES PRODUCTION : CNRS IMAGES, BONNE PIOCHE DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2008DURÉE : 26 MN

LES TRAMES DU FUTUR Dans la guerre industrielle et commerciale qui fait rage, l’Europe a perdu la bataille du coton, mais aussi celle de plusieurs autres tissus traditionnels. En revanche, des perspectives s’ouvrent du côté des « tissus intelligents ». En France, l’épicen-tre de ce nouveau monde se trouve dans la vallée du Rhône. Grâce aux progrès de la chimie, conjugués avec ceux des micro et nanotechnologies et au savoir-faire an-cien des « soyeux », on sait aujourd’hui qu’il est possible de doter les textiles de caractéristiques et de fonctions nouvelles. À travers des processus d’ennoblissement, les matières premières se font plus dou-ces, plus souples, plus résistantes. Elles deviennent respirantes, thermorégulées, communicantes, antibactériennes, secon-des peaux.

RÉALISATION : VÉRONIQUE KLEINER PRODUCTION : KS VISIONSDIFFUSION : ARTEANNÉE : 2008DURÉE : 26 MN

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LES TEMPS SONT MÛRS Rediffusion cf page 33

MAIS OÙ VONT LES NEIGES D’ANTAN ?Si tout le monde parle aujourd’hui du fameux réchauffement climatique - une question presque sur-médiatisée - peu de gens comprennent ce qui se passe réelle-ment et, surtout, comment on a pu l’établir.Or, il s’agit d’un bouleversement sans pré-cédent dans l’histoire de l’univers ; d’une série de réactions en chaîne, dont le début commence seulement à être entrevu, mais dont les nombreux mécanismes restent incalculables… Un homme fi gure au mi-lieu de ces questions. Cet homme, c’est Claude Lorius, le premier à avoir compris

RÉALISATION : KATARZYNA W. CHAMBENOIT PRODUCTION : CNRS IMAGES, POINT DU JOURDIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2009DURÉE : 33 MN

le phénomène du réchauffement et son importance planétaire. Il est Français et il a passé plusieurs années de sa vie en Antarctique. Aujourd’hui, il nous ouvre ses carnets de bord et raconte comment une aventure humaine, une suite d’expé-ditions extrêmes, ont conduit à un résultat scientifi que qui a changé notre perception de la planète… et de notre place dessus.

ACTUALITÉS DE LA RECHERCHE

INÉDIT

MERCREDI 22 AVRIL 20h30 >22h30 MERCREDI 22 AVRIL 20h30

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OASIS, L’ŒIL AUX MILLE REGARDS TÉLESCOPE SOLAIRE THÉMISVOL D’ÉCLIPSEDANS LE VENT DU SOLEILPHAÉTON ET LA VOIE LACTÉE MAGIE DE L’IMAGE, LA PHOTOGRAPHIE RÉVÉLÉE LES AUTOCHROMES LUMIÈRELES INCUNABLES DU CINÉMA SCIENTIFIQUE LE GRAND MÉLIÈSALEKAN, LE MAGNIFIQUELA PHOTONIQUE LE COURS D’HENRY ALEKAN, CHEF OPÉRATEUR LA BELLE ET LA BÊTE

DE 10H30 À 12H00

DE 14H00 À 16H00 MAGIE DU 7ÈME ART

DE 20H30 À 22H20SOIRÉE HOMMAGE

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VOL D’ÉCLIPSELe 11 août 1999, une éclipse totale de so-leil passe au nord de la France. Pour obte-nir des images malgré le mauvais temps prévu, le CNRS, l’INSU et l’IGN décident d’affréter un Mystère 20 et d’y embarquer des caméras pour fi lmer l’éclipse au des-sus des nuages. Deux caméras viseront le soleil à travers des hublots latéraux et une troisième fi xera le sol. Pour obtenir des images en gros plans de l’éclipse, la caméra principale est couplée à une tête de missile air-air, ce qui permet de corriger le roulis et le tangage de l’avion. Partant de Creil, l’avion passe par Dieppe et effectue plusieurs passages le long de la ligne de centralité, recueillant ainsi des images de toutes les phases de l’éclipse.

RÉALISATION : GOMBERT CHRISTOPHE PRODUCTION DIFFUSION: CNRS IMAGESANNÉE : 1999DURÉE : 9 MN

DANS LE VENT DU SOLEILLa température du soleil baisse graduel-lement depuis le coeur jusqu’à la photos-phère qui est la surface visible à l’oeil nu. Puis paradoxalement, elle remonte consi-dérablement dans la couronne qui entoure le soleil. Cette anomalie est actuellement étudiée par les astrophysiciens à l’aide d’une vaste gamme d’instruments d’ob-servation. Le satellite SOHO gravite autour du soleil et étudie la couronne. Le télesco-pe solaire Thémis installé aux Iles Canaries permet d’étudier l’activité magnétique de la surface du soleil. A Nançay, les radiohé-liographes et les antennes décamétriques surveillent les ondes électromagnétiques émises par le soleil. Par sa proximité le soleil permet d’étudier relativement facile-ment la physique des conditions extrêmes et de comprendre ainsi ce qui passe dans les autres étoiles.

RÉALISATION : ANNE PAPILLAULT/ JEAN-FRANÇOIS DARSPRODUCTION DIFFUSION: CNRS IMAGESANNÉE : 1997DURÉE : 25 MN

PHAÉTON ET LA VOIE LACTÉESérie « Les contes de l’univers » La légende grecque de Phaéton est l’une des plus connue. Phaéton est le fi ls d’Hé-lios, le dieu du soleil. Phaéton obtient de son père la permission de conduire son char pendant une journée mais le jeune imprudent est incapable de maîtriser l’at-telage. Le char du soleil s’approche dange-reusement de la terre qu’il met en danger et Zeus se voit contraint de le détruire avec sa foudre. Les cendres s’éparpillent dans le ciel et constituent la voie lactée. Grâce à la lunette astronomique, Galilée comprend que la voie lactée est formée d’étoiles in-visibles à l’oeil nu. Plus tard le télescope permet de découvrir des taches de lumière qui ressemblent à des nuages et que l’on baptise nébuleuses. Beaucoup de ces né-buleuses ont une forme en spirale et sont en fait d’autres galaxies semblables à la nôtre. Aujourd’hui l’homme sait qu’il exis-te des milliards de galaxies qui se regrou-pent en amas et qui constituent la trame de l’univers.

RÉALISATION : PIERRE PELLI PRODUCTION : CNRS IMAGES MÉDIA, SYSTEM TV, LA CINQUIÈMEDIFFUSION : CNRS IMAGES ANNÉE : 2001DURÉE : 13 MN

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RÉALISATION : FRANÇOIS TISSEYRE PRODUCTION DIFFUSION : CNRS IMAGES, POINT DU JOURANNÉE : 1999DURÉE : 42 MN

TÉLESCOPE SOLAIRE THÉMIS Installé aux Iles Canaries, dernier né des instruments consacrés à l’observation du soleil, le télescope Thémis, conçu par l’INSU et le CNRS, est un maillon essen-tiel d’une chaîne d’observatoires terrestres ou satellites permettant de répondre aux questions posées par l’activité magnétique du soleil, comme les aberrations de tem-pérature constatées entre sa surface et sa couronne.

RÉALISATION : DARS JEAN-FRANÇOIS, PAPILLAUT ANNEPRODUCTION, DIFFUSION : CNRS IMAGES

ANNÉE : 1997DURÉE : 5 MM

OASISL’OEIL AUX MILLE REGARDS

L’analyse spectrale de la lumière émise par un astre donne des raies qui sont ca-ractéristiques de la composition chimique et des mouvements de cet astre. Les spec-trographes classiques donnent un spectre sur une partie seulement de l’objet ob-servé. Un nouveau concept instrumental a été inventé : la spectrographie intégrale de champ, il permet d’obtenir simultané-ment les spectres de tous les points d’une image grâce à une trame de microlentilles, l’image correspondant par exemple à une galaxie entière. Une équipe de 4 inventeurs nous raconte l’origine et l’histoire de cette idée. Une animation en images de synthè-se leur permet ensuite de nous expliquer le principe optique de ce type d’instru-ment. Nous sommes invité à suivre les dif-férentes phases du projet OASIS (Optical Adaptative System for Imaging Spectros-copy). Ces premières observations nous permettent de détecter les mouvements de nuages de gaz au voisinage des trous noirs supermassifs dans les galaxies dites à noyau actifs.

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ANNÉE MONDIALE DE L’ASTRONOMIE JEUDI 23 AVRIL

LE GRAND MÉLIÈS Magicien, précurseur de l’art cinématogra-phique, Georges Méliès fut retrouvé en 1928, tenant une boutique de jouets, tout ce qu’il lui restait d’une exis-tence autrefois prestigieuse. Avant 1914, il réalisa plusieurs centaines de fi lms féeriques et poétiques dont la fraîcheur d’inspiration et l’ingéniosité sur-prennent encore le spectateur d’aujourd’hui. Sa femme, sa pe-tite fi lle, l’un de ses anciens col-laborateurs, son fi ls enfi n, qui joue le rôle de son propre père, évoquent la vie de celui auquel le spectacle cinématographique doit beaucoup.

LES INCUNABLES DU CINÉMA SCIENTIFIQUE Ce montage d’extraits des premiers fi lms du cinéma scientifi que, tournés entre 1872 et 1911, présente différentes inventions et techniques cinématographiques avec des images mises en mouvement par :• Eadweard Muybridge, inventeur du zoo-praxinoscope : personnes, enfants, cava-liers, chevaux et mules (1872-1890).• Étienne Jules Marey, inventeur du chro-nophotographe : animaux et personnes (1882-1890).• Louis Lumière, inventeur du cinémato-graphe : démolition d’un mur et arrivée des congressistes de la Société Photogra-phique (1895).• Lucien Bull, premières expériences de cinématographie ultra-rapide : insectes (1904-1911).

RÉALISATION : EADWEARD MUYBRIDGE/ ETIENNE JULES MAREY/ LOUIS LUMIERE/ CLÉMENT MAURICE/ LUCIEN BULL/ ROBERTO OMEGNA PRODUCTION DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 1984DURÉE : 17 MN

RÉALISATION : GEORGES FRANJU PRODUCTION, DIFFUSION : ARMOR FILMSANNÉE : 1952DURÉE : 37 MN

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MAGIE DE L’IMAGE, LA PHOTOGRAPHIE RÉVELÉE Histoire des procédés de la photographie, de ses débuts à nos jours, et présentation de la formation de l’image dans une émul-sion moderne. Le procédé de Nicéphore Niepce est reconstitué ici pour la première fois. Puis sont décrites les inventions du daguerréotype par Daguerre, du cliché papier par Hippolyte Bayard, du procédé négatif-positif par Fox Talbot et de la pho-tographie en couleurs... Le mécanisme in-time de l’impression de l’image sur la pel-licule est aussi présenté pour la première fois. Une animation sur des modèles de cristaux et d’atomes explique comment s’effectuent l’impression de la pellicule, puis la révélation de l’image latente.

RÉALISATION : JEAN-LOUIS MARIGNIER, GEORGES ROUSSI PRODUCTION : CNRS IMAGES, UNIV. PARIS XI-SCAVO, CNRS-DÉP. SCIENCES CHIMIQUESDIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 1989DURÉE : 26 MN

LES AUTOCHROMES LUMIÈRE Ce fi lm a été réalisé dans le cadre de l’ex-position « Lumière, Couleur : dialogues art et science » qui s’est tenue à Paris en 2005. Des intervenants du Musée du Louvre, du Muséum National d’Histoire Naturelle, et des centres de restauration, présentent des études et des analyses scientifi ques d’œuvres d’art et nous expliquent le prin-cipe des autochromes, fondé sur la synthè-se additive de la lumière et reconstitue le procédé de la fabrication d’une plaque. RÉALISATION : FRANÇOIS DE TISSEYRE PRODUCTION DIFFUSION: CNRS IMAGESANNÉE : 2005DURÉE : 19 MN

MAGIE DU 7ÈME ART JEUDI 23 AVRIL 14h00 >16h00 JEUDI 23 AVRIL 14h00

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RÉALISATION : JEAN COCTEAUDIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : HENRI ALEKANPRODUCTEUR : ANDRÉ PAULVÉDIFFUSION : LES FILMS DU PARADOXEANNÉE : 1945DURÉE : 1H 36 MIN

Il était une fois, une jeune fi lle, Belle, qui était bonne et affectueuse. Son père étant tombé au pouvoir de la « Bête », un mons-tre doté d’un pouvoir magique, elle s’offrit comme otage. Et, peu à peu, elle se prit de pitié, de compréhension, puis d’amour pour le monstre qui devint le Prince Char-mant. Voici pour l’histoire …Mais « La belle et la Bête » de Cocteau est avant tout un fi lm fantastique, un conte de fées sans fée, une histoire d’ombres et de lumières.Regardons encore une fois ce fi lm qui nous a tant marqués, éclairés par l’analyse d’Estelle Soler, professeur de Lettres.

Ces 26 minutes sont des extraits de la captation du cours d’Henri Alekan sur la lumière pour le SERDAV (service audio-visuel du CNRS) en 1984. Ces explications inédites d’Alekan nous préparent à voir dans La Belle et la Bête, la « lumière anti-solaire », les sources lumineuses du fan-tastique, les similitudes avec l’univers de Gustave Doré, voulues par Cocteau et ré-vélées par Alekan. De même qu’elles nous font découvrir le travail de collaboration, de connivence et de confi ance qui unit le réalisateur à son opérateur.Monté en exclusivité pour le festival « 7ème art et Sciences » 2009.

JOSETTE DAY : BELLEJEAN MARAIS : AVENANT, LA BÊTE ET LE PRINCEMARCEL ANDRÉ : LE PÈREMICHEL AUCLAIR : LUDOVICJEAN COCTEAU : LA VOIX

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ALEKAN, LE MAGNIFIQUE Henri ALEKAN, né le 10 février 1909 et mort le 15 juin 2001, est l’un des plus grands chefs opérateurs français. On lui doit la photographie de fi lms tels que : La Belle et la Bête (1945) et Orphée (1949), de Jean Cocteau (1946), La Bataille du rail de René Clément (1946), La Marie du port de Marcel Carné (1950), Austerlitz d’Abel Gance (1960) ou encore Les Ailes du désir de Wim Wenders (1987), ce qui constitue une carrière exceptionnelle. Il est l’auteur d’un livre renommé sur son approche de la lumière, Des lumières et des ombres, un des plus beaux livres sur le 7éme art.Voici le strict minimum que l’on doit savoir sur cet enchanteur, ce brillant éclaireur, ce magicien, ce maître de la lumière.Il est impossible de résumer un tel ar-tiste. Seuls les mots d’autres géants du 7ème art sont possibles : « A quoi ressem-ble le travail d’Alekan ? A une argenterie ancienne astiquée comme une argenterie neuve » Jean Cocteau. « Dans Les ailes de désir, l’ange c’était lui » Wim Wenders. « Henri considérait ce qu’il faisait comme un art aussi important que la peinture. » Peter Ustinov.Jean Louis Leconte laisse parler cet alchi-miste de la lumière, cet humble génie.

Un fi lm à ne pas manquer ! avant de voir La Belle et la Bête…

RÉALISATION : JEAN LOUIS LECONTE PRODUCTION : POUR VOIR TOTEM PRODUCTIONS, FRANCE 5DIFFUSION : POUR VOIR TOTEM PRODUCTIONSANNÉE : 1998DURÉE : 70 MN

HOMMAGE : HENRI ALEKAN

CHEF OPÉRATEUR

LA BELLE ET LA BÊTE

RÉALISATION : JÉRÔME BLUMBERG MONTAGE : JEAN-CHRISTIAN NICAISEPRODUCTION, DIFFUSION : CNRS IMAGESANNÉE : 2009DURÉE : 26 MN

« Le cinéma est l’écriture

moderne dont l’encre

est la lumière. »Jean COCTEAU

« Notre métier est davantage un métier

d’artiste qu’un simple artisanat. »Henri ALEKAN

LE COURSD’HENRI ALEKAN

EXCLUSIVITÉ

AU COEUR DE LA LUMIÈRE UN SOUFFLE POUR LA SCIENCE SIGNAC, LA RÉVÉLATION DE LA LUMIÈRE ENCRIER ROMAIN TURNER, MONET, WHISTLER, AU FIL DE L’EAU LA VISION DES COULEURS VERMEER, LE GRAIN DE LA LUMIÈREMONET, L’INSTANT ET LA LUMIÈREDE L’ART À LA RÉVÉLATION... LE VERRECONFÉRENCE LA SCIENCE ILLUSTRÉE « ART ET SCIENCES » & « CHIMIE ET BEAUTÉ » TABLE RONDE« SCIENTIFIQUES, ARTISTES : REGARDS CROISÉS SUR LA LUMIÈRE »LASCAUX, CIEL DES PREMIERS HOMMES NOS PLUS BEAUX RENDEZ-VOUSÉNIGMES DE SIRIUS DANS LE CHAMPS DES ÉTOILES

DE 10H30 À 12H00ART ET SCIENCES

DE 14H30 À 16H00

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ENCRIER ROMAIN Présentation d’études et d’analyses scien-tifi ques d’oeuvres d’art dans ce fi lm court réalisé dans le cadre de l’exposition « Lumière, Couleur : dialogues art et scien-ce » qui s’est tenue à Paris du 15 juin au 13 juillet 2005.L’encrier romain de Vaison la Romaine, 2ème moitié du 1er siècle après J.C. (Musée du Louvre) : étude de la réalisation du dé-cor de l’objet, de la palette des couleurs employées et en particulier du jeu de la lumière dans les incrustations par Marc Aucouturier.

RÉALISATION : FRANÇOIS TISSEYREPRODUCTION ET DIFFUSION : CNRS IMAGES ANNÉE : 2005DURÉE : 5 MN

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AU CŒUR DE LA LUMIÈRE La première diode laser française à semi-conducteur émettant dans le bleu a été réalisée par le CRHEA (Centre de recherche sur l’hétéroépitaxie et ses applications, à Sophia Antipolis). Ce résultat remarquable a été obtenu après sept mois de travail par l’équipe du professeur Jean-Pierre Fau-rie, qui présente ici l’avancement de ses recherches et l’équipement utilisé pour la fabrication de la diode laser (chambre d’épitaxie où règne un ultravide).

RÉALISATION : DANIEL CAVILLON PRODUCTION ET DIFFUSION: CNRS IMAGESANNÉE : 1995DURÉE : 4 MN

UN SOUFFLE POUR LA SCIENCE Rediffusion cf page 19

SIGNAC, LA RÉVÉLATION DE LA LUMIÈRE « C’est par des harmonies des lignes et des couleurs qu’il peut manier au gré de ses besoins et de sa volonté, et non par le su-jet, que le peintre doit s’émouvoir ».Paul Signac devient, après la mort de son ami Seurat en 1891, le principal représen-tant du mouvement néo-impressionniste. Il défi nira, à partir des recherches de son ami, une doctrine picturale qu’il défendra jusqu’à la fi n de sa vie : le divisionnisme.Ce fi lm nous entraine dans le sillage de Signac, sur les lieux qu’il a peints (La Seine, la Bretagne, Saint Tropez, Venise…) pour y retrouver la perception de la lumière révé-lée dans ses tableaux.

RÉALISATION : DOMINIK RIMBAULTDISTRIBUTION : ATELIER D.

ANNÉE : 2001DURÉE : 50 MN

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ART ET SCIENCES VENDREDI 24 AVRIL 10h30 >12h00

TURNER, MONET, WHISTLER, AU FIL DE L’EAU« Tout devient couleur, lumière, et il sem-ble que la couleur ne soit plus qu’un at-tribut de la lumière, tant un rayonnement immatériel illumine ses toiles » dit Marcel Brion au sujet de Turner.Turner, Monet, Whistler, ont chacun tenté toute leur vie de restituer la lumière, les refl ets, les brumes, l’éphémère.Ce fi lm saisit cet (impalpable) en juxtapo-sant leurs œuvres.

RÉALISATION : DOMINIK RIMBAULTDISTRIBUTION : ATELIER D.ANNÉE : 2004DURÉE : 50 MN

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MONET, L’INSTANT ET LA LUMIÈRE « J’aimerais peindre comme l’oiseau chante » disait Monet. Un voyage poétique et musical à travers toute l’œuvre de Claude Monet. La reconstitution des tableaux de Monet dans la nature : les berges de la Seine, les falaises d’Étretat, les trains de la gare Saint Lazare, les meules de foin, les cathédrales de Rouen, Venise, Giverny, le jardin de Monet, les nymphéas... Monet et sa tentative permanente de saisir l’instant et la lumière... « Voir n’est-ce pas compren-dre et pour voir, rien de tel que d’appren-dre à regarder. Regarder au-dehors, au-de-dans, regarder de toute part pour exalter les sensations de l’homme dans tous les frémissements de l’univers. » Georges Clémenceau. « Je ne forme pas d’autres vœux que de me mêler plus intimement à la nature... » Claude Monet.

RÉALISATION : DOMINIK RIMBAULT PRODUCTION : ATELIER D., CINQUIÈME (LA)DIFFUSION : ATELIER D.ADAVANNÉE : 2000DURÉE : 53 MN

DE L’ART À LA RÉVÉLATION... LE VERRE Le verre offre aux artistes des possibilités infi nies de jeux avec une matière tantôt sophistiquée tantôt primitive, souffl ée, la-minée, craquelée, traversée de lumières. Sous les doigts de René Lalique, un des principaux initiateurs en France de l’Art nouveau, le verre se fait soyeux et sensuel. Taillé comme la pierre, il devient sculpture puissante entre les mains de Stanislas Libensky. D’autres imitent le travail de la nature : Bernard Dejonghe joue avec les « accidents » de cuisson pour provoquer une sensation de vide-plein, entre cristal-lisation et liquidité. Le verre s’est introduit dans les édifi ces religieux, où l’on assiste pour la première fois, avec les vitraux, à une mise en scène de la lumière. Des ar-tistes tentent aujourd’hui de marier de ma-

RÉALISATION : CHEVALLAY ANNIE

PRODUCTION ET DIFFUSION : ON LINE

PRODUCTION ANNÉE : 2003

DURÉE : 28 MN

nière novatrice lumière et liturgie, utilisant toutes les propriétés optiques du verre. Car, selon Jean-François Lagier, directeur du Centre international du vitrail à Char-tres, « le vitrail sollicite un regard qui va au-delà du support. Le verre unit alors les univers révélés et secrets en s’accordant aux mystères de la lumière... ».

RÉALISATION : OLIVIER LASSU/ HUGH PIPER/ GREG COLGAN PRODUCTION ET DIFFUSION : GÉDÉON DURÉE : 52 MN

RÉALISATION : ALAIN JAUBERT PRODUCTION DIFFUSION : LA SEPT/ FR3-OCÉANIQUES/ MUSÉE DU LOUVRE/DELTA IMAGEDIFFUSION : ARTE FRANCE ANNÉE : 1989DURÉE : 27 MN

LA VISION DES COULEURSPourquoi le ciel est-il bleu ? D’où nous vient notre capacité à voir les couleurs ? Com-ment expliquer que les plantes ne permet-tent pas de teindre en vert ? En quoi les mo-nochromes bleus d’Yves Klein peuvent tant nous émouvoir, et être reconnus comme des oeuvres d’art majeures ? Et pourquoi, par exemple, la couleur rouge tient-elle un rôle si important dans de nombreuses cultures ? De l’iridescence de l’aile d’un papillon à la carrosserie d’une voiture, des peintures ru-pestres à un défi lé de Christian Lacroix, des

VERMEER, LE GRAIN DE LA LUMIÈRE L’étude détaillée du tableau de Vermeer, « L’Astronome » (1668), révèle que le for-mat presque carré, le traitement par plans - dont certains sont fl ous, - la rigueur de la perspective et le pointillisme des touches procèdent d’une vision photographique obtenue, probablement, par l’utilisation d’une « camera oscura ». La découverte, sur le tableau, d’un refl et de deux mil-limètres de large montrant le reste de la pièce, a permis de reconstituer en studio le décor de « L’Astronome ». Chaque toile de Vermeer entretient avec les autres une relation particulière. Pour mieux compren-dre « L’Astronome » et l’univers du pein-tre, Alain Jaubert interroge l’ensemble de son oeuvre et plus particulièrement « Le Géographe », frère presque jumeau de « L’Astronome ».

rituels Masaï aux couleurs du code de la route, Le Monde des Couleurs nous invite à un spectaculaire voyage qui conjugue sa-voir et plaisir, surprise et émerveillement.Un véritable décryptage de la nature et des mystères des couleurs, grâce à l’ana-lyse d’experts et de praticiens de discipli-nes diverses - physiciens, neurologues, artistes, ethnologues, consultants pour la couleur, historiens, artisans, responsables de marketing...

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TABLE RONDE« SCIENTIFIQUES, ARTISTES : REGARDS CROISÉS SUR LA LUMIÈRE »Vendredi 24 avril à 18HANIMATEUR : Jean-Louis CAFFIER, journaliste scientifi que à LCI.

INTERVENANTS :• Michel Saint Jean, physicien de la lumière.• Lorenzo Brutti - ethnologue (peintures rituelles du corps et maquillage en papouasie nouvelle guinée)• Stéphane Cabaret, photographe• Olivier Sauzereau, astrophotographe.• Michel Pottier, photographe.• Paul Cornet, cinéaste.• Jean Jacques Trichet, peintre

CONFÉRENCELA SCIENCE ILLUSTRÉE« ART ET SCIENCES » & « CHIMIE & BEAUTÉ » Dans le cadre des actions de promotion de la science et de sensibilisation à la recherche, le CNRS vous invite à découvrir plusieurs sites Web, au travers de sa collection « Sagascience ». Cette collection s’adresse à un large public et propose des dossiers thématiques sur des questions de société : Biodiversité ; Climat, une enquête aux pôles ; Nano-technologies et santé ; Le Big Bang ; La cellule animale ; Por-traits robots ; Sciences & Handicap ; Évolution ; Art et Sciences ; Chimie & Beauté ; GéoManips ; L’eau douce ; Le climat.

Le site « Art et Sciences » présente de nouvelles techniques d’investigation scientifi que pour l’analyse des œuvres d’art. Il est le fruit d’une collaboration entre le CNRS et le Ministère de la Culture. D’où vient l’intensité du regard du Scribe de Saqqarah ? Comment les Frères Lumière ont-ils industrialisé la photo-graphie en couleur ? Comment identifi er la nature des verres des vitraux du Moyen Âge ? Tout savoir sur l’accélérateur de particules AGLAE installé au Musée du Louvre ? Autant de questions auxquelles vous trouverez réponse sur le site. http://www.cnrs.fr/art

Le site « Chimie & Beauté » montre comment la chimie parti-cipe au bien-être de l’Homme et à son apparence.Couleurs chimiques ? Couleurs physiques ? Vision des cou-leurs ? Couleurs de la nature (ailes de papillon, arc-en-ciel…) ? Interaction lumière matière ? D’où provient l’aspect irisé de la nacre des coquillages ? Quel est l’usage des pigments na-crés en cosmétique ? Comment ont été utilisés les pigments et les colorants depuis l’Antiquité ? Découvrez la magie de la lumière et de la perception des cou-leurs en visitant ce site ! http://www.cnrs.fr/chimiebeautehttp://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doschim/decouv/couleurs/[email protected]

Dominique Ménillet et Laurence Mordenti, CNRS ImagesChristine Girard, Équipe Sagascience CNRS

FLASH QUIZZ Et la lumière fut !Venez jouer au quizz éclairA l’occasion du Festival, un quizz sur la lumière est proposé à tous les jeunes.Ce quizz vous permettra de tester vos connaissances sur la magie des arcs en ciel, sur les secrets de la lumière, et de dé-couvrir les pépites de la planète, tout en visitant les expositions.

Au programmejeuxrébustestsexpériencesQuizz organisé par l’association Cap aux Sciences en partenariat avec Nicole Poiraud, développeur culturel Jeunesse de l’île de Noirmoutier du Conseil Général de la Vendée, pour tout contact : 02 51 54 49 37.

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VENDREDI 24 AVRIL >20h30

ÉNIGMES DE SIRIUS Rediffusion cf page 14

DANS LE CHAMPS DES ÉTOILES La découverte de la photographie astrono-mique a fasciné, dès son apparition au mi-lieu du XIXe siècle, scientifi ques et artistes. Elle allait leur permettre de capter, d’enre-gistrer, de matérialiser des phénomènes, invisibles jusqu’alors. Qui dit « invisible » dit voie ouverte à l’imaginaire. Certains astronomes ont ainsi été confortés dans leur croyance en des mondes habités sur la Lune, Mars, Vénus. Ce fi lm donne la parole à Jean Pierre Lumi-net, astrophysicien, à Jean Clair, à Patrick Fuentes, biographe de Flammarion et à Denis Canguilhem, historien.

RÉALISATION : DANIELLE JAEGGI PRODUCTION : LES FILMS D’ICIANNÉE : 2000DURÉE : 52 MN

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LASCAUX LE CIEL DES PREMIERS HOMMES

Entre enquête policière et conte astronomique, ce fi lm nous plonge dans la nuit des temps et raconte l’émergence d’une nouvelle science, à la croisée de deux disciplines : l’astronomie et la préhistoire.Sur les parois obscures de leurs grottes, il y a 17 000 ans, ils ont tracé la première histoire du ciel et de ses astres. L’incroya-ble naissance de l’astronomie

préhistorique… Et si Lascaux, la chapelle Sixtine de la Préhistoire, était d’abord un temple dédié aux constellations célestes… Aberrant ? C’est pourtant la démonstration que tente, sous nos yeux, Chantal Jègues-Wolkiewiez, ethnologue et astronome indé-pendante, titulaire d’une thèse d’État sur les gravures de la Vallée des Merveilles.

RÉALISATION : STÉPHANE BEGOIN/ VINCENT TARDIEU PRODUCTION, DIFFUSION : BONNE PIOCHE PRODUCTIONSANNÉE : 2007DURÉE : 52 MN

NOS PLUS BEAUX RENDEZ-VOUS La passion d’Olivier Sauzereau pour l’as-trophotographie, qui associe l’art et la technique photographiques à la science de l’astronomie, l’entraîne dans de vérita-bles aventures. Pendant plus d’une année, le cinéaste a pu suivre l’astrophotographe dans ses périples habituellement solitai-res. D’aubes en crépuscules, il capture le fascinant spectacle des astres et du ciel, tout simplement vu depuis la terre dans de merveilleux paysages. Entre autres, sur les côtes nord de la Bretagne pour des rendez-vous avec de fi ns croissants lunai-res dans ces forts paysages maritimes. Au centre de l’Espagne, au-dessus d’un lac, pour une exceptionnelle éclipse annulaire de soleil. Au sud de la Turquie, pour une extraordinaire éclipse totale de soleil sur les contreforts des Monts Taurus dans une cité antique. Mais aussi dans les magnifi -ques solitudes du Mont Lozère et de ses grands menhirs isolés, à la rencontre de Vénus, de la Lune, de la Voie lactée ou de la comète Hale Bopp.

RÉALISATION : PIERRE CORNETPRODUCTION ET DIFFUSION :

ODYSSEUS PRODUCTION ANNÉE : 2007

DURÉE : 105 MN

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ANNÉE MONDIALE DE L’ASTRONOMIEL’année 2009 a été déclarée « Année Mondiale de l’Astronomie » par l’UNESCO sur demande du gouvernement italien. Elle coïncide avec le 400e anniversaire des premières observations faites avec une lunette astronomique, par Galilée. L’Astronomie, la plus ancienne science de l’histoire, a joué un rôle impor-tant dans pratiquement toutes les cultures. Le but de l’Année Mondiale de l’Astronomie est d’aider les citoyens du monde à redécouvrir leur place dans l’univers par l’observation du ciel, de jour et de nuit, et faire sentir à chacun et en particulier les jeunes l’émerveillement de la découverte. Tous les humains devraient réaliser l’impact de l’astronomie et des sciences de base dans nos vies quotidien-nes, et mieux comprendre comment la connaissance scientifi que peut contribuer à une société plus équitable et plus paisible.

NUIT D’ÉTOILES

En compagnie d’Olivier SAUZEREAU

ÉNIGMES DE SIRIUSLE FEU, LUMIÈRE DE L’HOMME LES PASSEURS DE LUMIÈRE FINIE OU INFINIE ? LASCAUX, CIEL DES PREMIERS HOMMESPÊCHEURS D’ÉTOILES LES MAGICIENS DE LA LUMIÈRE LES TEMPS SONT MÛRS ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉ CHANTS ÉLECTRIQUESRENDEZ-NOUS LA NUIT PRÉSENTATION EN IMAGES « LES AURORES BORÉALES » ANNONCE DU PALMARÈSEXTRAITS DES FILMS PRIMÉSLES LUMIÈRES DE LA VILLE

DE 10H00 À 12H00

DE 14H00 À 17H00

17H30DE 20H30 À 23H30SOIRÉE DE CLÔTURE

SAMEDI!25!AVRIL 09

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RENDEZ-NOUS LA NUIT ! L’éclairage de nuit, en particulier l’éclaira-ge public dont notre pays est si prodigue, est-il une pollution ? Oui disent les astro-nomes, qui n’ont plus vu la voie lactée depuis 107 ans. Oui pour les biologistes : l’impact sur les petites bêtes est considéra-ble. Une enseigne au néon tue des milliers d’insectes chaque nuit, déroute les mi-grateurs, perturbe la reproduction de tout un tas d’animaux. Et chez l’homme : cela bouscule nos rythmes, nous fait prendre nos nuits pour nos jours, est-ce sans consé-quences ?

RÉALISATION : SIMON MANU ET PHILIPPE GAUTIERPRODUCTION : RTBF - PIERRE PARENT, IMADOCDIFFUSION : PIERRE PARENT, IMADOCANNÉE : 2003DURÉE : 22 MN

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ÉNIGMES DE SIRIUS Rediffusion cf page 14

LE FEU, LUMIÈRE DE L’HOMME Rediffusion cf page 18

LES PASSEURS DE LUMIÈRERediffusion cf page 22

FINIE OU INFINIE De ce moment où l’on a commencé à met-tre en doute l’instantanéité de le lumière à celui où sa vitesse est devenue une constante scientifi que, il se sera écoulé… 10 siècles. C’est cette longue histoire, pleine de rebondissements qu’entreprend de raconter, ici, Jamy, l’animateur du ma-gazine « C’est pas sorcier ». Arrive le XXe siècle et avec lui la compréhension de la vraie nature corpusculo-ondulatoire de la lumière. Changement d’objet : mesurer la vitesse de la lumière se réduit tout sim-plement à mesurer une longueur d’onde et à la multiplier par sa fréquence. La fi n de l’histoire est inattendue avec l’arrivée d’un nouvel intrus : le mètre. En effet, nos savants avaient mesuré la vitesse de la lu-mière en utilisant comme unité « le mètre par seconde ». Conteur inspiré, drôle et volubile, Jamy apparaît entouré des per-sonnages historiques en dessin animé au trait. Ses démonstrations étant assurées par des modélisations 3D.

RÉALISATION : GEORGES LE PIOUFFLE PRODUCTION : MINISTÈRE DE L’EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE, RIFF INTERNATIONAL PRODUCTIONDIFFUSION : CERIMESANNÉE : 2006DURÉE : 11 MN

SAMEDI 25 AVRIL 14h00 >17h00

LASCAUX, CIEL DES PREMIERS HOMMES Rediffusion cf page 52

PÊCHEURS D’ÉTOILES Rediffusion cf page 14

LES MAGICIENS DE LA LUMIÈRE Rediffusion cf page 24

ODEILLO, LE SOLEIL APPRIVOISÉ Rediffusion cf page 21

CHANTS ÉLECTRIQUES Rediffusion cf page 12

SAMEDI 25 AVRIL 10h00 >12h00

PRÉSENTATION EN IMAGESLES AURORES BORÉALES - 17h30 aux SalorgesAvez-vous déjà eu la chance d’observer une aurore boréale ? Pourquoi parle-t-on d’aurores boréales ou australes ? Les aurores boréales constituent probablement un des plus beaux spectacles que nous offre la nature. Ces sortes de voiles très colorés dans le ciel ont fasciné les anciens et impressionnent toujours ceux qui ont la chance d’en observer. Peut-être en avez-vous déjà vu une en photo ou en vidéo ! Regardez attentivement l’affi che du festival : c’en est une ! A moins que ce soit une aurore australe…Mais comment se forment-elles ? Pourquoi en voit-on principalement aux pôles ? Pourquoi sont-elles parfois vertes, parfois rouges ? Dans le cadre de sa mission de diffusion de la culture scientifi que et technique, le Cnam (Conservatoire National des Arts et Métiers) de Vendée propose une animation sur ces phénomènes lumineux, illustrée de superbes images d’aurores boréales.

INTERVENANTE : VIRGINIE BAUBRIAUD,

CNAM VENDÉE PUBLIC :

TOUT PUBLIC À PARTIR DE 8 ANS.

du festivaloAut ur

14h00 >17h00>

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CITY LIGHTSLES LUMIÈRES DE LA VILLE

« Les lumières de la ville » a été l’entre-prise la plus longue et la plus dure de toute l’œuvre de Chaplin. Dès le départ, il avait décidé que la cécité serait au centre du sujet. En deux ou trois minutes, par l’action pure, Chaplin établit la rencontre des deux per-sonnages : Charlot rencontre une belle jeu-ne fi lle, découvre qu‘elle est aveugle, est fasciné et pris de pitié, tombe amoureux d’elle et réalise de grands sacrifi ces pour trouver l’argent nécessaire à sa guérison, tandis que la jeune fi lle prend ce pauvre hère pour un homme riche et s’en fabrique une image romancée.Chaplin avait une idée claire de la fi n du fi lm : le moment où la jeune aveugle, ayant recouvré la vue, découvre enfi n la triste réalité de son bienfaiteur. Avant même de la tourner, il sentait que si cette scène était réussie, ce serait une des plus grandes de son œuvre. Et il avait raison. Le critique James Agee a écrit que c’était là « la plus grande performance d’acteurs et le moment le plus fort de l’histoire du cinéma ».Avant même que Chaplin n’entreprenne « Les lumières de la ville », le cinéma so-nore s’était imposé. Cette fois il étonna la presse et le public en composant lui-même toute la partition musicale des Lumières de la ville. À Los Angeles, Chaplin eut pour invité Albert Einstein

DE CHARLIE CHAPLINFILM MUETANNÉE : 1931DURÉE : 82 MN

SAMEDI 25 AVRIL 20h30 >23h30 SAMEDI 25 AVRIL 20h30

>23h30

SOIRÉE DE CLÔTURE

COMPÉTITIONLe jury jeune remettra deux Prix aux réalisateurs samedi 25 avril à 20h30 en soirée de clôture.La Vague Azur, 1er prix La Vague Emeraude, 2ème prix

Films sélectionnés : Enigmes de Sirius Dans le vent du soleilLe compteur de couleurs Le corps en transparence Le feu, lumière de l’hommeLes ailes de la nuit Les magiciens de la lumière Les passeurs de lumière Magie de l’image, la photographie révélée Odeillo, le soleil apprivoisé Pêcheurs d’étoiles Que serions-nous sans nos miroirs ?Rendez-nous la nuit Sous le feu des ondes Un souffl e pour la science

Sont mis en compétition des fi lms faits avec ou par des chercheurs et dont les budgets sont de niveaux équivalents aux budgets des fi lms des organismes de recherche.

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EXPOSITIONS

du festivaloAut ur

L’ARC-EN-CIEL, UN MERVEILLEUX MÉTÉOREJeu subtil de l’eau, de la lumière et de l’œil ; l’arc-en-ciel émerveille par ses couleurs éclatantes et sa géométrie rigoureuse. Identique pour chacun. Même apparence immuable, même forme circulaire, même couleurs, Coiffé par les rouges, et soutenu par les violets ; une large bande plus som-bre au dessus et, parfois encore plus haut dans le ciel un second arc moins lumineux et aux couleurs inversées, Immatériel, chacun voit le sien, il semble nous accom-pagner dans nos déplacements mais dis-paraît à la vue de celui qui le regarde trop de travers.Comment l’arc-en-ciel a-t-il quitté les rives des mythes et des légendes pour devenir intelligible aux hommes ? Nous suivrons la route que les savants ont empruntée pour le dépouiller peu à peu de ses secrets

Noirmoutier baignée de lumière est la muse de nombreux peintres et photographes. Des œuvres réalisées à l’occasion du festival seront exposées au centre culturel Les Salorges. Parmi eux Colette et Claude Launeau, Marie-Laure David, Michel Pottier et Jean-Jacques Trichet.

LUMIÈRE D’UN JOUR de Stéphane CabaretPhotographeAprès avoir déjà illuminé le festival « 7ème art et Sciences » en 2007 avec les Galapa-gos, Stéphane Cabaret revient nous offrir son tour du monde en 24 images, cha-cune témoignant de la lumière d’un jour quelque part sur la terre« Iconographe de profession, Stéphane Cabaret a toujours eu la passion de la photographie. Sédentaire dans son mé-tier, humble serviteur des images, il bou-cle son sac dès que possible pour arpen-ter la planète et traquer, tel un orpailleur patient, têtu et orgueilleux, les fabuleuses pépites du quotidien, les fulgurances de la nature et la majesté de la faune et de la fl ore. C’est, au sens noble et un peu ana-chronique du terme, un idéaliste, car Sté-phane est persuadé que seule la beauté pourra sauver le monde dans sa marche effrayante. Mais la photographie est un art majeur, les mots ne rendent compte de rien et les instantanés de Stéphane Caba-ret, déjà signataire par le passé de nom-breuses expositions, parlent d’eux-mêmes en dépassant largement la personne de leur auteur par leur degré d’humanisme, leur pouvoir de questionnement et leur faculté à révéler les vraies richesses. »

Guy Benetière, journaliste

Site de Stéphane Cabaret : www.instanterrestre.com

DES ARTISTES DANS LA LUMIÈRE

Conçu et illuminé par Odile Lorber.

ESPACE LIVRES

Conçue et réalisée à l’occasion de l’année mondiale de la physique par :Michel Saint Jean (Pysicien)Michel Blay et Michel Saint Jean (Textes)Marc Edelmann (Direction artistique)CNRS Images (Réalisation)Vincent Ménillet (Suivi de réalisation)

Si vous voulez faire du cinéma, Henri Paul Pondard, projectionniste du festival, vous ouvrira son Car-Régie multicaméra et vous délivrera quelques explications sur son fonctionnement. Si en sortant vous voulez toujours « faire du cinéma » ce sera en connaissance de cause.

ALLO LES JEUNES ? À VOUS LA RÉGIE !

> ARMOR Films, 83 rue de Reuilly - 75012 Paris. Tél : 01 42 78 41 44 info@armor-fi lms.com> ARTE, 4 quai du Chanoine Winterer, BP20035 - 67080 Strasbourg> ARTE FRANCE, 8 rue Marceau - 92785 Issy les Moulineaux. Tél : 01 55 00 70 81> ATELIER D., Dominique Rimbault - 14 rue Saint Severin 75005 Paris . Tél :01 43 29 46 49> BONNE PIOCHE PRODUCTIONS, 188 rue de la Roquette - 75011 Paris. Tél : 01 49 29 46 00> CALUNE PRODUCTIONS, Beaugé - 86300 Bonnes. Tél : 05 49 01 33 87. [email protected]> CERIMES IMAGES, 6 avenue Pasteur - 92170 Vanves. Tél : 01 41 23 08 80. [email protected]> CHROMATIQUES PRODUCTIONS, 42 rue Malesherbes - 69006 Lyon. Tél 04 78 93 67 18> CNRS IMAGES, 1 place Aristide Briand - 92190 Meudon. Tél : 01 45 07 56 85> COPACABANA FILMES, Rio de Janeiro, Brésil. distribuicao@copacabanafi lmes.com.br > FOLIMAGES, 6 rue Jean Bertin - 26000 Valence. Tél : 04 75 78 48 68> GEDEON, 155 rue de Charonne - 75011 Paris. Tél : 01 55 25 59 46 > INA Atlantique, Rennes. Tél : 02 99 67 87 00> IRD Audiovisuel, 32 avenue Henri Varagnat - 93143 Bondy. Tél : 01 48 02 56 29> J.P.L. FILMS, 31 avenue Chardonnet - 35000 RENNES. Tél : 02 99 53 16 98> LES FILMS D’ICI, 62 bld Davout - 75020 Paris. Tél : 01 44 52 23 23> LES FILMS DE LA CASTAGNE - 19 rue Déodora - 31400 Toulouse> LES FILMS DU PARADOXE, 2 bis rue Mertens - 92270 Bois Colombes. Tél : 01 46 49 16 93.> MK2 DISTRIBUTION, 12 rue Traversière - 75012 Paris - Tél : 01 44 67 30 80> ODYSSEUS PRODUCTION, 8 rue de Bréa - 44000 Nantes. Tél : 02 40 73 21 89> ONLINE PRODUCTION, 33 avenue Mac-Mahon - 75017 Paris. Tél : 01 53 81 81 81> SCAVO Faculté des Sciences, Univ. Paris-Sud - Bât. 308 - 91405 ORSAY. Tél : 01 69 15 62 32

> UNE VAGUE D’ÉNERGIE de Marcel Dalaise, 2006, 10 mn, CNRS Images.Energie houlomotrice ; Mécanique des fl uides ; Invention technique

> SUR LES TRACES DE LOUIS DE BROGLIE de Alain Caron, 2002, 26mn, CNRS Images.Mécanique ondulatoire ; Dualité onde particule.

> SÉCURITÉ DES LASERS INTENSES DE TYPE CPA, de Vincent Rochebois, 2005, 23 mn, CNRS Images. Laser intense ; Optique ; Laboratoire de recherche ; Sécurité du travail.

> ASTRONOMICAL MULTIBEAM COMBINER, AMBER, de Claude Delhaye, Christophe Gombert,Didier Boclet, 2004, 10 mn, CNRS Images. Télescope ; Interféromètre ; VLT

> ÉCLIPSE ET LE BEURRE CÉLESTE (L’), de Pierre Pelli, 2001, 13 mn, CNRS Images. Légende ; Mythologie ; Eclipse solaire ; Jean-Pierre Luminet.

> LES CHIMISTES JOUENT AVEC LES COULEURS, de Christophe Dussert, 2004, 23 mn, CNRS Images, Composé chimique ; Elément chimique ; Phénomène chimique ; Couleur

> L’UNIVERS EST-IL CHIFFONNÉ ? de Laure Delesalle, 1998, 15 mn, CNRS Images. Topologie ; Univers > INFINIMENT COURBE, de Laure Delesalle, 1994, 50 mn, Espace-temps ; Gravitation ;

Théorie de la relativité> L’ATOME ET LA LUMIÈRE, de Eusébio Serrano ,1998, 38 mn, CNRS Images.

Interaction rayonnement-matière ; Refroidissement atomique ; Piégeage atomique.> LA VIE EN TRANSPARENCE, de Jean-Pierre Mirouze, 2001, 29 mn, Imagerie médicale,

création artistique ; imagerie informatique> LA RADIOACTIVITÉ, de François Tisseyre, 1996, 60 mn. Radioactivité ; Accélérateur de particules ;

Centrale nucléaire ; Déchet nucléaire ; Médecine nucléaire ; Industrie agro-alimentaire ; Énergie nucléaire> LES YEUX D’ANTARES, de Jean-François Dars et Anne Papillault, 2004, 52 mn, CNRS Images

Neutrino - Télescope - Océanographie.

Tél : 02.51.39.04.6223 avenue de la victoire85330 NOIRMOUTIER

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Créée en 2002, l’association Cap aux Sciences a pour objectif de participer à la promotion de la culture scientifi que à Noirmoutier, notamment auprès des jeunes.Se rencontrer et débattre autour de ce que nous dit la science est une action citoyenne nécessaire afi n que chacun use de son droit à la connaissance, et prenne position sans céder aux clichés et aux idées reçues.Le festival « 7éme Art et Sciences » propose de « voir » les avancées de la recherche par le biais du cinéma.L’association a besoin du soutien de tous, et de nombreux bénévoles pour l’organisation du festival. N’hésitez pas à nous rejoindre.Contact : [email protected] Tél.: 06 10 83 70 36 - www cap.sciences.free.fr

CAP

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BULLETIN D’ADHÉSION :

Mme ! Mlle ! M. !Nom : Prénom : Adresse : Téléphone : e-mail : Cotisation annuelle : ! Moins de 18 ans : 2 euros! Individuel : 15 euros

Chèque à l’ordre de : Association Cap aux Sciences.Envoi : 1 rue de la Chevalerie 85330 Noirmoutier.

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> Toute l’équipe du festival remercie :Pierre ALDEBERT, médiateur scientifi que, CNRSCatherine BALLADUR, Directrice adjointe de CNRS ImagesJean-Michel BARBEAU, Conseil Général de VendéeVirginie BAUDRIAUD, Chargée de projet, CNAM Vendée Paul BERNIER, géologue Université de LyonGeorges BESSIERE, le Café NoirPhilippe BOIDET, directeur Super U NoirmoutierCatherine BOUTET, IRD AudiovisuelMarie BRULEY, Chargée de la promotion du territoirePatricia CARRE, Conseil Régional des Pays-de-la-LoireLorenzo BRUTTI, ethnologue CNRSStéphane CABARET, photographeBrigitte CARIOU, INA AtlantiqueRobin CHIUZZI, Chargé de production, Productions chromatiques Franck DEPOUX, directeur du service animation, ville de NoirmoutierChristophe GHAMBIR, Daddy ProductionPeggy DIVERES, Région Pays-de-la-LoireBrigitte DUBOIS, graphisteNoël FAUCHER, Président de la Communauté de Communes de NoirmoutierAurélien FRANCISCO BARROS, réalisateurAnnyvonne GOUVARD, directrice de l’école publique RicherFrançois GENDRON, services techniques, NoirmoutierSandrine JEAN, Région Pays-de-la-LoireAudrey KAMGA, ARTE FranceJadwiga KOWALSKA, réalisatriceBernard KUBICA, Bar des SciencesJean-Michel LAURENCE, Communauté de CommunesJérôme LEDUC, centre culturel Les Salorges, NoirmoutierBernard LHOSTE pour la rédaction du lexique Lumière (cellule éditoriale du CNRS Images)Dominique MENILLET, CNRS ImagesMaris MOQUET, Communauté de CommunesLaurence MORDENTI, CNRS ImagesThierry PATURLE, RDF R&DMichel PERRIN, ethnologue CNRS, Collège de FranceRéjane PETIT, cinémathèque du CNRS ImagesNicole POIRAUD, développeur culturel, Conseil Général de VendéeJean QUESSADA, Conseil Régional des Pays-de-la-LoireJean-François RENAC, CERIMESJean-Philippe SERRANO, Oneline ProductionsMathieu SIMIAN, Déclic Bernard SURUGUE, IRD AudiovisuelBrigitte SURUGUE-POHER, IRD AudiovisuelJournal du CNRS (Fabrice IMPERIALI, Matthieu RAVAUD, Laurence WINTER)Dominik RIMBAULT, réalisatricePhotothèque du CNRS Images, Adèle Vanot, Christèle Pineau, Marie MabroukL’association BOLIVIA Inti

> Un immense mercià tous les enseignants, chefs d’établissements et enfants des écoles primaires et des Collèges de l’île de Noirmoutier

> Nous remercions nos partenaires publiques et privés Groupe ADRIENConseil Régional des Pays de la LoireConseil Général de VendéeCommunauté de Communes de l’île de NoirmoutierMunicipalité de Noirmoutier en l’îleCNRS ImagesIRDEDFCNAM VendéeNavigation-PassionSuper U de NoirmoutierBar des SciencesDaddy ProductionsChromatique ProductionsOnline Productions CERIMES

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