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BRGM
ALIMENTATION EN EAU POTABLEDU SYNDICAT DE LA NIVELLE
FOEIAGE A L'ALBIEN A MONTBOUY (LOIEIET)
DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES
Par
G. BEIETTE, Ph. MAGET et P. H. MONDAIN
89 SGN 115 CEN FEVRIER 1989
BURF.AU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL-CENTRE
Avenue de Concyr^ BP 6009
45Û60 ORLEANS CEDEX
Tel: 38.64.37.37
BRGM
ALIMENTATION EN EAU POTABLEDU SYNDICAT DE LA NIVELLE
FOEIAGE A L'ALBIEN A MONTBOUY (LOIEIET)
DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES
Par
G. BEIETTE, Ph. MAGET et P. H. MONDAIN
89 SGN 115 CEN FEVRIER 1989
BURF.AU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL-CENTRE
Avenue de Concyr^ BP 6009
45Û60 ORLEANS CEDEX
Tel: 38.64.37.37
ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU SYNDICAT DE LA NIVELLE
FORAGE A L'ALBIEN A MONTBOUY (LOIEIET)
DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES
EtESUME
Syndicat de La Nivelle Auteurs : G. BE(Mr FREMY) Ph. MAGET89 SGN 115 CEN P.H. MONDAIN
OBJECTIF
Réalisation d'un captage pour l'alimentation en eau potable descommunes de MONTBOUY et de LA CHAPELLE-SUR-AVEYRON (45) à partir del'aquifère de l'Albien, en raison de la dégradation de la qualitéchimique de l'eau actuellement captée à la source de La Nivelle (ni¬trates, turbidité), dans la nappe de la craie.
TRAVAUX
Réalisés par l'Entreprise FOEIACO, du 02-11-1988 au 24-01-1989.Indice national de classement : 400-4-132Profondeur totale : 481 m
Captage des sables de l'Albien : de 332 à 471 m
RESULTATS
- Nappe artésienne ; pression de 0,3 kg/cm* en tête, avec débitartésien de 4 m3/h
- Débit maximal de l'essai : 100 m3/h pour 55 m de rabattement
- Transmissivité : 1,1 x 10"^ m^/s ± 0,5
- Bonne qualité chimique et bactériologique de l'eau dont teneur enfer = 14 mg/1
- Température : 23*
CONCLUSION
- Débit maximal d'exploitation recommandé : 80 m3/h
- Mise en route et arrêt progressifs de la pompe d'exploitationprescrits, afin de ne pas détériorer l'aquifère aux abords du trou
- Déferrisation nécessaire.
Outre ce résumé, ce rapport contient 31 pages, 11 figures, 5 annexes et3 planches hors texte.
ALIMENTATION EN EAU POTABLE DU SYNDICAT DE LA NIVELLE
FORAGE A L'ALBIEN A MONTBOUY (LOIEIET)
DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES
EtESUME
Syndicat de La Nivelle Auteurs : G. BE(Mr FREMY) Ph. MAGET89 SGN 115 CEN P.H. MONDAIN
OBJECTIF
Réalisation d'un captage pour l'alimentation en eau potable descommunes de MONTBOUY et de LA CHAPELLE-SUR-AVEYRON (45) à partir del'aquifère de l'Albien, en raison de la dégradation de la qualitéchimique de l'eau actuellement captée à la source de La Nivelle (ni¬trates, turbidité), dans la nappe de la craie.
TRAVAUX
Réalisés par l'Entreprise FOEIACO, du 02-11-1988 au 24-01-1989.Indice national de classement : 400-4-132Profondeur totale : 481 m
Captage des sables de l'Albien : de 332 à 471 m
RESULTATS
- Nappe artésienne ; pression de 0,3 kg/cm* en tête, avec débitartésien de 4 m3/h
- Débit maximal de l'essai : 100 m3/h pour 55 m de rabattement
- Transmissivité : 1,1 x 10"^ m^/s ± 0,5
- Bonne qualité chimique et bactériologique de l'eau dont teneur enfer = 14 mg/1
- Température : 23*
CONCLUSION
- Débit maximal d'exploitation recommandé : 80 m3/h
- Mise en route et arrêt progressifs de la pompe d'exploitationprescrits, afin de ne pas détériorer l'aquifère aux abords du trou
- Déferrisation nécessaire.
Outre ce résumé, ce rapport contient 31 pages, 11 figures, 5 annexes et3 planches hors texte.
TABLE DES MATIERES
1 . INTRODUCTION 1
2. LOCALISATION 1
3. RENSEIGNEMENTS GENEEIAUX 3
4. COUPE TECHNIQUE DU FORAGE 4
5. DEROULEMENT DU CHANTIER 6
5.1. PRESENTATION 65.2. DEROULEMENT DETAILLE 65.3. CONCLUSION SUR LES TRAVAUX DE FORAGE 10
6. GEOLOGIE 11
6.1. DOCUMENTS 11
6.2. COMMENTAIRES 11
7. DEVELOPPEMENT 14
7.1. POMPAGE A L'AIR LIFT 147.2. DEVELOPPEMENT A LA POMPE 15
8. POMPAGES D'ESSAI 16
8.1. CONDITIONS 168.2. POMPAGES PAR PALIERS DE DEBIT 168.3. POMPAGE CONTINU 218.4. REMONTEE 218.5. INTERPRETATION 21
9. ANALYSES CHIMIQUES 26
10. EXAMEN PAR CAMERA-VIDEO 27
11 . CONCLUSION 28
11.1. SYNTHESE 2811.2. PRESCRIPTIONS D'EXPLOITATION 28
12. ENVIRONNEMENT ET PROTECTION 29
12.1. SOUTERRAIN 2912.2. SURFACE 2912.3. CONCLUSIONS 30
13. CONTROLE DU CAPTAGE 31
TABLE DES MATIERES
1 . INTRODUCTION 1
2. LOCALISATION 1
3. RENSEIGNEMENTS GENEEIAUX 3
4. COUPE TECHNIQUE DU FORAGE 4
5. DEROULEMENT DU CHANTIER 6
5.1. PRESENTATION 65.2. DEROULEMENT DETAILLE 65.3. CONCLUSION SUR LES TRAVAUX DE FORAGE 10
6. GEOLOGIE 11
6.1. DOCUMENTS 11
6.2. COMMENTAIRES 11
7. DEVELOPPEMENT 14
7.1. POMPAGE A L'AIR LIFT 147.2. DEVELOPPEMENT A LA POMPE 15
8. POMPAGES D'ESSAI 16
8.1. CONDITIONS 168.2. POMPAGES PAR PALIERS DE DEBIT 168.3. POMPAGE CONTINU 218.4. REMONTEE 218.5. INTERPRETATION 21
9. ANALYSES CHIMIQUES 26
10. EXAMEN PAR CAMERA-VIDEO 27
11 . CONCLUSION 28
11.1. SYNTHESE 2811.2. PRESCRIPTIONS D'EXPLOITATION 28
12. ENVIRONNEMENT ET PROTECTION 29
12.1. SOUTERRAIN 2912.2. SURFACE 2912.3. CONCLUSIONS 30
13. CONTROLE DU CAPTAGE 31
LISTE DES FIGURES
FIGUREFIGUREFIGURE
FIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGURE
1
2
3
45
6
7
89
1011
PLAN DE SITUATIONCOUPE TECHNIQUE DU FORAGE
COMPARAISON DES EPAISSEURS DES DIFFERENTS NIVEAUX SABLEUX ETARGILEUX DE L'ALBIEN OBSERVEES A MONTBOUY AVEC CELLES REN¬CONTREES SUR LES FORAGES PETROLIERS VOISINSFORAGE DE MONTBOUYPIEZOMETREESSAI DE POMPAGE
ESSAI DE POMPAGE
COURBE CARACTERISTIQUE DU PUITS (400-4-132)ESSAI DE POMPAGEESSAI DE POMPAGEINTERPRETATION DES POMPAGES
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 : COMPTES-RENDUS JOURNALIERSANNEXE 2 : DESCRIPTION DES CAROTTESANNEXE 3 : ANALYSES CHIMIQUESANNEXE 4 : EXAMEN PAR CAMERA-VIDEOANNEXE 5 : CONTROLE DU CAPTAGE EN COURS D'EXPLOITATION - PROGRAMME
LISTE DES PLANCHES HORS TEXTE
PLANCHE 1 : LOG DE FIN DE FORAGEPLANCHE 2 : DIAGRAPHIES 1/500PLANCHE 3 : DIAGRAPHIES DU RESERVOIR 1/200
LISTE DES FIGURES
FIGUREFIGUREFIGURE
FIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGUREFIGURE
1
2
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45
6
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1011
PLAN DE SITUATIONCOUPE TECHNIQUE DU FORAGE
COMPARAISON DES EPAISSEURS DES DIFFERENTS NIVEAUX SABLEUX ETARGILEUX DE L'ALBIEN OBSERVEES A MONTBOUY AVEC CELLES REN¬CONTREES SUR LES FORAGES PETROLIERS VOISINSFORAGE DE MONTBOUYPIEZOMETREESSAI DE POMPAGE
ESSAI DE POMPAGE
COURBE CARACTERISTIQUE DU PUITS (400-4-132)ESSAI DE POMPAGEESSAI DE POMPAGEINTERPRETATION DES POMPAGES
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 : COMPTES-RENDUS JOURNALIERSANNEXE 2 : DESCRIPTION DES CAROTTESANNEXE 3 : ANALYSES CHIMIQUESANNEXE 4 : EXAMEN PAR CAMERA-VIDEOANNEXE 5 : CONTROLE DU CAPTAGE EN COURS D'EXPLOITATION - PROGRAMME
LISTE DES PLANCHES HORS TEXTE
PLANCHE 1 : LOG DE FIN DE FORAGEPLANCHE 2 : DIAGRAPHIES 1/500PLANCHE 3 : DIAGRAPHIES DU RESERVOIR 1/200
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1. INTRODUCTION
L'alimentation en eau potable des communes du Syndicat de LaNivelle (MONTBOUY et LA CHAPELLE-SUR-AVEYRON) se fait actuellement àpartir d'un forage d'eau captant une nappe superficielle (craie duConiacien) .
Ce captage a vu, ces dernières années, son taux de nitrates aug¬menter.
Aussi, le Syndicat de la Nivelle s'est orienté, après étude écono¬mique, vers le captage des sables de l'Albien.
2. LOCALISATION
Commune : MONTBOUY (45)Lieu-dit : "Bel-Air" (château d'eau)
Coordonnées kilométriques : X = 637,00Y = 2 319,06
altitude du sol Z = 132 m NGF
Indice National de Classement : 400-4-132
Carte IGN 1/25.000 : CHATILLON-COLIGNY 24-20
La localisation précise du forage est portée sur la figure n' 1.
- 1 -
1. INTRODUCTION
L'alimentation en eau potable des communes du Syndicat de LaNivelle (MONTBOUY et LA CHAPELLE-SUR-AVEYRON) se fait actuellement àpartir d'un forage d'eau captant une nappe superficielle (craie duConiacien) .
Ce captage a vu, ces dernières années, son taux de nitrates aug¬menter.
Aussi, le Syndicat de la Nivelle s'est orienté, après étude écono¬mique, vers le captage des sables de l'Albien.
2. LOCALISATION
Commune : MONTBOUY (45)Lieu-dit : "Bel-Air" (château d'eau)
Coordonnées kilométriques : X = 637,00Y = 2 319,06
altitude du sol Z = 132 m NGF
Indice National de Classement : 400-4-132
Carte IGN 1/25.000 : CHATILLON-COLIGNY 24-20
La localisation précise du forage est portée sur la figure n' 1.
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FIGURE N* 1
Extrait plan cadastraléchelle 1/200
Carte IGN (échelle 1/250.000)
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3. RENSEIGNEMENTS GENERAUX
Maître d'ouvrage Syndicat de la NivelleMairie de MONTBOUY45230 CHATILLON-COLIGNYPrésident : Mr FREMY
Maître d'oeuvre B.R.G.M. - SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL CENTREAvenue de Concyr - B.P. 600945060, ORLEANS CEDEX 2
Correspondants : Mr G. BRETTE, Mr P. H. MONDAIN
Entrepreneur FORACO FRANCE1, Rue de l'Industrie - B.P. 9541300 SALBRISCorrespondant : Mr B. LAFARGUE
Autres intervenants
Matériel :
Fabricant tricones : HUGHES
Fournisseur aléseur hydraulique : RIG-SERVICEFournisseur tube acier 28" : TUBAFORFournisseur tube API 18*''», 13 = ^^, 9^^» : FINETFournisseur accessoires de tubages (centreurs,sabots) : RIG-SERVICEFournisseur tubes et crépines Inox 6^^^ : JOHNSONFournisseur boue aux polymères : AQUALON (Hollande)Fournisseur gravier calibré : JOHNSONSociété de service cimentation : PATERNA (S. A. P. S.)Société de service gravillonnage : JOHNSONSociété de service diagraphies : B.R.G.M.Société de service caméra-vidéo-couleur : B.R.G.M.
Sondeuse : SILZGITTER RB 80, avec charge au crochet de 55tonnes en utilisation normale et de 80 tonnes enutilisation exceptionnelle. Tête de rotation hydrau¬lique. Couple de 1 500 m. kg
Circuit boue 1 pompe EMS-CO triplex de 2 000 1/mn à 72 bars ; 2
pompes de mixage ; 2 bacs à boue de 8 m3 ; tamisvibrant CHAUVIN ; 1 dessableur MILCHEM ; 1 bassin deréserve boue de 30 m3.
Garniture de forage : classique (tiges 3*''^, masse-tiges 4^^* à
L'atelier mis à disposition présentait les caractéristiques méca¬niques suffisantes pour atteindre les profondeurs contractuelles dansles diamètres prévus.
La puissance au crochet maximale (80 tonnes) a été atteinte lorsd'une manoeuvre de tubages 18*''».
- 3 -
3. RENSEIGNEMENTS GENERAUX
Maître d'ouvrage Syndicat de la NivelleMairie de MONTBOUY45230 CHATILLON-COLIGNYPrésident : Mr FREMY
Maître d'oeuvre B.R.G.M. - SERVICE GEOLOGIQUE REGIONAL CENTREAvenue de Concyr - B.P. 600945060, ORLEANS CEDEX 2
Correspondants : Mr G. BRETTE, Mr P. H. MONDAIN
Entrepreneur FORACO FRANCE1, Rue de l'Industrie - B.P. 9541300 SALBRISCorrespondant : Mr B. LAFARGUE
Autres intervenants
Matériel :
Fabricant tricones : HUGHES
Fournisseur aléseur hydraulique : RIG-SERVICEFournisseur tube acier 28" : TUBAFORFournisseur tube API 18*''», 13 = ^^, 9^^» : FINETFournisseur accessoires de tubages (centreurs,sabots) : RIG-SERVICEFournisseur tubes et crépines Inox 6^^^ : JOHNSONFournisseur boue aux polymères : AQUALON (Hollande)Fournisseur gravier calibré : JOHNSONSociété de service cimentation : PATERNA (S. A. P. S.)Société de service gravillonnage : JOHNSONSociété de service diagraphies : B.R.G.M.Société de service caméra-vidéo-couleur : B.R.G.M.
Sondeuse : SILZGITTER RB 80, avec charge au crochet de 55tonnes en utilisation normale et de 80 tonnes enutilisation exceptionnelle. Tête de rotation hydrau¬lique. Couple de 1 500 m. kg
Circuit boue 1 pompe EMS-CO triplex de 2 000 1/mn à 72 bars ; 2
pompes de mixage ; 2 bacs à boue de 8 m3 ; tamisvibrant CHAUVIN ; 1 dessableur MILCHEM ; 1 bassin deréserve boue de 30 m3.
Garniture de forage : classique (tiges 3*''^, masse-tiges 4^^* à
L'atelier mis à disposition présentait les caractéristiques méca¬niques suffisantes pour atteindre les profondeurs contractuelles dansles diamètres prévus.
La puissance au crochet maximale (80 tonnes) a été atteinte lorsd'une manoeuvre de tubages 18*''».
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Seul le poids au crochet était enregistré en continu ( MARTIN-DECKER) .
RECAPITULATIF DES TEIAVAUX DE FORAGE :
- Début du forage : 02 Novembre 1988- Fin de l'installation : 14-11-1988- Fin de la phase foration - pose des équipements : 06 janvier 1989- Durée de la phase foration - pose des équipements : 39 j effectifs- Fin de la phase développement - essais de débit : 21-01-1989- Durée de la phase développement - essais de débit : 15 j effectifs- Durée totale du chantier : 84 j dont 65 j effectifs de travail
(hors démontage et repli)- Profondeur maximale atteinte : 481,8 m
- Profondeur de la chambre de pompage : 100,2 m
- Profondeur de la colonne de captage : 471 m
Nota :
- du 02 au 22-11 le chantier travaillait à 1 poste de 10 h par jourcalendaire
- à partir du 22-11, les travaux ont été menés en continu, 24 h/24 h,avec une interruption entre Noël et le Nouvel An
4. COUPE TECHNIQUE DU FORAGE
Note préliminaire : toutes les profondeurs mentionnées dans lerapport et les documents annexés sont prises par rapport au sol.
Hauteur table de travail : 2,4 m
La coupe technique du forage - avec le résumé géologique - estreportée sur la figure n* 2.
- 4 -
Seul le poids au crochet était enregistré en continu ( MARTIN-DECKER) .
RECAPITULATIF DES TEIAVAUX DE FORAGE :
- Début du forage : 02 Novembre 1988- Fin de l'installation : 14-11-1988- Fin de la phase foration - pose des équipements : 06 janvier 1989- Durée de la phase foration - pose des équipements : 39 j effectifs- Fin de la phase développement - essais de débit : 21-01-1989- Durée de la phase développement - essais de débit : 15 j effectifs- Durée totale du chantier : 84 j dont 65 j effectifs de travail
(hors démontage et repli)- Profondeur maximale atteinte : 481,8 m
- Profondeur de la chambre de pompage : 100,2 m
- Profondeur de la colonne de captage : 471 m
Nota :
- du 02 au 22-11 le chantier travaillait à 1 poste de 10 h par jourcalendaire
- à partir du 22-11, les travaux ont été menés en continu, 24 h/24 h,avec une interruption entre Noël et le Nouvel An
4. COUPE TECHNIQUE DU FORAGE
Note préliminaire : toutes les profondeurs mentionnées dans lerapport et les documents annexés sont prises par rapport au sol.
Hauteur table de travail : 2,4 m
La coupe technique du forage - avec le résumé géologique - estreportée sur la figure n* 2.
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LITHOLOGIE
argile et silex
calcaire et silex
FIGURE 2 : COUPE TECHNIQUE DU FORAGE
FORATION TUBAGE
7.5
17,5
craie à silex
106
craie et marnes associées
208
calcaire marneux et grès
m£tme
argile (Gault)
.292
.320327
argile sableuse avecgraviers 349
sable argileux
aurgile avec gravierset grès
sable argileux
-390
^13¿*12
argile avec graviers etgrès
32" Wi10,20 ^
///
24" ////
17 '1/2111
y/./a
115
\'2!'ml
/
\/
i/
332-1^
U'
¿75-
VS//////
//
81^0 /
100,27 X^
P//////
8,8028"
sol I-
18"5/B
915913"3/8
/
////
////////
110,K
9"5/8
320,6
¿81,60-v^ Zi--fi'<'
3 31,24
5"5/fi
471
fond
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LITHOLOGIE
argile et silex
calcaire et silex
FIGURE 2 : COUPE TECHNIQUE DU FORAGE
FORATION TUBAGE
7.5
17,5
craie à silex
106
craie et marnes associées
208
calcaire marneux et grès
m£tme
argile (Gault)
.292
.320327
argile sableuse avecgraviers 349
sable argileux
aurgile avec gravierset grès
sable argileux
-390
^13¿*12
argile avec graviers etgrès
32" Wi10,20 ^
///
24" ////
17 '1/2111
y/./a
115
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/
\/
i/
332-1^
U'
¿75-
VS//////
//
81^0 /
100,27 X^
P//////
8,8028"
sol I-
18"5/B
915913"3/8
/
////
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110,K
9"5/8
320,6
¿81,60-v^ Zi--fi'<'
3 31,24
5"5/fi
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fond
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5. DEROULEMENT DU CHANTIER
5.1. PEIESENTATION
Les principales phases de réalisation sont décrites et commentéesci-dessous.
Les comptes-rendus journaliers sont résumés en Annexe 1.
Les principales phases de travaux sont :
- amenée de l'atelier, installation,
- mise en place d'un tube-guide en tête
- exécution de la chambre de pompage
- foration jusqu'au toit de l'aquifère et pose du tubage 9*^°
- reconnaissance de l'aquifère - Pose de l'équipement de captage
- développement, essais de débit
- contrôle des équipements par caméra, fermeture du puits
- démontage et repli de l'atelier de forage.
On se reportera également à la coupe technique du forage (figure2).
5.2. DEROULEMENT DETAILLE
5.2.1. AMENEE DE L'ATELIER, INSTALLATION
L'atelier a été mis en place sur une plate-forme préalablementempierrée.
Le montage a duré près de 2 semaines, ce qui est supérieur auxdurées habituelles, mais s'explique par la présence d'une seule équipe.
5.2.2. MISE EN PLACE D'UN TUBE-GUIDE EN TETE
Ce tube-guide est destiné, notamment, à isoler les circulationsd'eau pouvant exister en tête, est à permettre une bonne verticalité.
L'avant-trou a été foré en 17*^^ et alésé en 32", jusqu'à 10,2 m.
Le tubage 28" n'a pu descendre au-delà de 8,8 m (gêné par unsilex ?). Il a été cimenté au terrain.
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5. DEROULEMENT DU CHANTIER
5.1. PEIESENTATION
Les principales phases de réalisation sont décrites et commentéesci-dessous.
Les comptes-rendus journaliers sont résumés en Annexe 1.
Les principales phases de travaux sont :
- amenée de l'atelier, installation,
- mise en place d'un tube-guide en tête
- exécution de la chambre de pompage
- foration jusqu'au toit de l'aquifère et pose du tubage 9*^°
- reconnaissance de l'aquifère - Pose de l'équipement de captage
- développement, essais de débit
- contrôle des équipements par caméra, fermeture du puits
- démontage et repli de l'atelier de forage.
On se reportera également à la coupe technique du forage (figure2).
5.2. DEROULEMENT DETAILLE
5.2.1. AMENEE DE L'ATELIER, INSTALLATION
L'atelier a été mis en place sur une plate-forme préalablementempierrée.
Le montage a duré près de 2 semaines, ce qui est supérieur auxdurées habituelles, mais s'explique par la présence d'une seule équipe.
5.2.2. MISE EN PLACE D'UN TUBE-GUIDE EN TETE
Ce tube-guide est destiné, notamment, à isoler les circulationsd'eau pouvant exister en tête, est à permettre une bonne verticalité.
L'avant-trou a été foré en 17*^^ et alésé en 32", jusqu'à 10,2 m.
Le tubage 28" n'a pu descendre au-delà de 8,8 m (gêné par unsilex ?). Il a été cimenté au terrain.
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5.2.3. EXECUTION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE
Le Maître d'ouvrage souhaitant mettre en place 2 pompes dans leforage, il était nécessaire de prévoir une chambre de pompage en grosdiamètre (18=/«).
La foration de la craie s'est faite en 2 passes : descente d'untricône 17*^=* à 110 m puis alésage en 24" (le maître d'oeuvre ayantprévu 26"). La forage se faisait à la boue bentonitique.
Des pertes de circulation ont été observées (partielles à 17 m,totales à 19,5 m).
Les pertes ont été colmatées avec un bouchon de mortier (ciment +
sable), de façon à ne pas injecter de ciment loin dans les fissuresnaturelles du terrain.
Des pertes ont été notées à nouveau lors de l'alésage et ont étécolmatées par du ciment contenant des bandes de papier.
La difficulté était, ici, de ne pas cimenter des chenaux pouvantcommuniquer avec la source alimentant le village.
La turbidité de la source a été suivie pendant la foration et lescimentations. Aucune anomalie n'a été constatée.
Le tubage 18^^^ ayant été coincé à la cote 91,6 m, il a été néces¬saire de placer un tubage intermédiaire 13^^° pour permettre la descented'au moins une pompe à la profondeur contractuelle prévue.
Cette variante a nécessité une reprise de foration en 17^''^ surquelques mètres, de façon à assurer un recouvrement suffisant (au moins5 m) des divers tubages.
Les tubages ont été cimentés par refoulement de laitier de densité1,8, de bas en haut, jusqu'au jour pour le tubage 18*^®, jusqu'à unetête spéciale de cimentation (système PATEEINA) pour le 13^^®.
Sous la pression du ciment, le tubage 13^''° a légèrement remonté(5 m).
5.2.4. FORATION JUSQU'AU TOIT DE L'AQUIFERE
Foration en 8*^^, à la boue bentonitique, des séries crayeuses duSecondaire.
Avant la base présumée de la craie cénomanienne, la surveillancegéologique a été renforcée : temps de circulation de boue plus long(environ 1/2 h), pour permettre aux cuttings observés en surface d'êtrereprésentatifs de la passe forée ; surveillance de la boue en sortie dedessableur.
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5.2.3. EXECUTION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE
Le Maître d'ouvrage souhaitant mettre en place 2 pompes dans leforage, il était nécessaire de prévoir une chambre de pompage en grosdiamètre (18=/«).
La foration de la craie s'est faite en 2 passes : descente d'untricône 17*^=* à 110 m puis alésage en 24" (le maître d'oeuvre ayantprévu 26"). La forage se faisait à la boue bentonitique.
Des pertes de circulation ont été observées (partielles à 17 m,totales à 19,5 m).
Les pertes ont été colmatées avec un bouchon de mortier (ciment +
sable), de façon à ne pas injecter de ciment loin dans les fissuresnaturelles du terrain.
Des pertes ont été notées à nouveau lors de l'alésage et ont étécolmatées par du ciment contenant des bandes de papier.
La difficulté était, ici, de ne pas cimenter des chenaux pouvantcommuniquer avec la source alimentant le village.
La turbidité de la source a été suivie pendant la foration et lescimentations. Aucune anomalie n'a été constatée.
Le tubage 18^^^ ayant été coincé à la cote 91,6 m, il a été néces¬saire de placer un tubage intermédiaire 13^^° pour permettre la descented'au moins une pompe à la profondeur contractuelle prévue.
Cette variante a nécessité une reprise de foration en 17^''^ surquelques mètres, de façon à assurer un recouvrement suffisant (au moins5 m) des divers tubages.
Les tubages ont été cimentés par refoulement de laitier de densité1,8, de bas en haut, jusqu'au jour pour le tubage 18*^®, jusqu'à unetête spéciale de cimentation (système PATEEINA) pour le 13^^®.
Sous la pression du ciment, le tubage 13^''° a légèrement remonté(5 m).
5.2.4. FORATION JUSQU'AU TOIT DE L'AQUIFERE
Foration en 8*^^, à la boue bentonitique, des séries crayeuses duSecondaire.
Avant la base présumée de la craie cénomanienne, la surveillancegéologique a été renforcée : temps de circulation de boue plus long(environ 1/2 h), pour permettre aux cuttings observés en surface d'êtrereprésentatifs de la passe forée ; surveillance de la boue en sortie dedessableur.
- 8 -
On s'attendait, en effet, à une transition Cénomanien - Argilenoire du Gault, peu visible en foration.
La reconnaissance a été arrêtée à 335 m, après constat de quelquesmètres d'argile contenant quelques éléments sableux.
Un bouchon de ciment de 3 m a été posé, sur boue, à 332 m, de façonà éviter une intirusion de la future colonne de ciment du tubage 9=/»dans le sommet de l'Albien.
Le forage a ensuite été alésé en 12*''"*.
La pose du tubage 9^^° s'est effectuée comme prévue (cimentationavec DV à 100 m).
Les tubages ont été testés par mise en pression. Aucune anomalien'a alors été observée.
5.2.5. RECONNAISSANCE DE L'AQUIFERE - POSE DE L'EQUIPEMENT DECAPTAGE
La foration se faisait ici avec une boue aux polymères(hydroxyethilcellulose Natrosol) .
Il s'agissait ici de différencier les horizons argileux des hori¬zons sableux.
Une surveillance géologique intensive a été maintenue durant toutecette phase.
Les cuttings se sont avérés beaucoup plus argileux que prévus, etplusieurs passées sableuses se sont avérées difficiles à différencierd'après les observations faites en surface.
Des passées carottées, de 349 à 354,6 m et de 376 à 379 m, ontmontré la présence de sables argileux et d'argile.
Vue la présence importante d'argile, il a été jugé préférable dechercher à capter le 3ème niveau de sables de l'Albien.
Le captage de ce troisième niveau n'était pas prévu dans le projetinitial.
La foration a été poursuivie jusqu'à 481 m, sans rencontrer deniveaux sableux aussi importants et bien dif férenciables. Par contre,les diagraphies nucléaires (gamma-ray, neutron) et électriques(polarisation spontanée, résistivités) ont permis de mieiuc localiser lesniveaux sableux et de programmer la position des crépines.
Le forage a été alésé en 14" (aléseur hydraulique) de 332 à 475 m.
- 8 -
On s'attendait, en effet, à une transition Cénomanien - Argilenoire du Gault, peu visible en foration.
La reconnaissance a été arrêtée à 335 m, après constat de quelquesmètres d'argile contenant quelques éléments sableux.
Un bouchon de ciment de 3 m a été posé, sur boue, à 332 m, de façonà éviter une intirusion de la future colonne de ciment du tubage 9=/»dans le sommet de l'Albien.
Le forage a ensuite été alésé en 12*''"*.
La pose du tubage 9^^° s'est effectuée comme prévue (cimentationavec DV à 100 m).
Les tubages ont été testés par mise en pression. Aucune anomalien'a alors été observée.
5.2.5. RECONNAISSANCE DE L'AQUIFERE - POSE DE L'EQUIPEMENT DECAPTAGE
La foration se faisait ici avec une boue aux polymères(hydroxyethilcellulose Natrosol) .
Il s'agissait ici de différencier les horizons argileux des hori¬zons sableux.
Une surveillance géologique intensive a été maintenue durant toutecette phase.
Les cuttings se sont avérés beaucoup plus argileux que prévus, etplusieurs passées sableuses se sont avérées difficiles à différencierd'après les observations faites en surface.
Des passées carottées, de 349 à 354,6 m et de 376 à 379 m, ontmontré la présence de sables argileux et d'argile.
Vue la présence importante d'argile, il a été jugé préférable dechercher à capter le 3ème niveau de sables de l'Albien.
Le captage de ce troisième niveau n'était pas prévu dans le projetinitial.
La foration a été poursuivie jusqu'à 481 m, sans rencontrer deniveaux sableux aussi importants et bien dif férenciables. Par contre,les diagraphies nucléaires (gamma-ray, neutron) et électriques(polarisation spontanée, résistivités) ont permis de mieiuc localiser lesniveaux sableux et de programmer la position des crépines.
Le forage a été alésé en 14" (aléseur hydraulique) de 332 à 475 m.
- 9 -
Les analyses granulométriques des sables recueillis (carottage etcuttings), réalisées par Johnson, ont montré la présence d'une fractiontrès fine, nécessitant une ouverture de crépine de 0,4 mm, et un graviercalibré de 0,8 - 1,4 mm.
Les crépines sont à fil enroulé, renforcées (44 bars). La mise enplace de la colonne de captage a été supervisée par Johnson.
Le gravillonnage a été réalisé par Johnson, sous pression, à débitlent (environ 2 m3 de gravier/heure), le gravier étant introduit par uncross-over tool.
Un centreur isolant a été placé dans le recouvrement 9*''® x 6*^^,de façon à éviter une corrosion galvanique entre l'inox de la colonne decaptage et l'acier ordinaire (K 55) des tubes API.
Nota : les travaux ont été interrompus entre Noël et le Jour de l'An, cequi a imposé un contrôle du forage à la reprise des travaux.
5.2.6. DEVELOPPEMENT ET ESSAIS DE DEBIT
Après la pose de la colonne de captage et le gravillonnage, la boueaux polymères a été éclaircie à l'eau claire, jusqu'à obtention d'unartésianisme.
On a alors laissé débiter le puits (2 à 4 m3/h) pendant une journée(poursuite de l'élimination de la boue et des fines).
Le développement a été mené de façon très progressive, de façon àéviter une déstabilisation des abords de la colonne de captage.
Il a consisté en :
- un pompage à l'air-lift, à un débit progressif variant de 10 à20 m3/h, pendant 37 h. Parallèlement, l'oxygénation de l'eaucomplétait la dégradation de la boue organique.
- un pompage, à l'aide d'une pompe électrique 8" immergée à desdébits progressifs variant de 20 à 105 m3/h, pendant 2 jours. Lespaliers étaient maintenus jusqu'à obtention d'une eau claire etétaient entrecoupés de phases de repos (remise en suspension).
Les terrains étant plus argileux que prévus, il n'a pas été tentéde lavage avec des déf loculants.
- 9 -
Les analyses granulométriques des sables recueillis (carottage etcuttings), réalisées par Johnson, ont montré la présence d'une fractiontrès fine, nécessitant une ouverture de crépine de 0,4 mm, et un graviercalibré de 0,8 - 1,4 mm.
Les crépines sont à fil enroulé, renforcées (44 bars). La mise enplace de la colonne de captage a été supervisée par Johnson.
Le gravillonnage a été réalisé par Johnson, sous pression, à débitlent (environ 2 m3 de gravier/heure), le gravier étant introduit par uncross-over tool.
Un centreur isolant a été placé dans le recouvrement 9*''® x 6*^^,de façon à éviter une corrosion galvanique entre l'inox de la colonne decaptage et l'acier ordinaire (K 55) des tubes API.
Nota : les travaux ont été interrompus entre Noël et le Jour de l'An, cequi a imposé un contrôle du forage à la reprise des travaux.
5.2.6. DEVELOPPEMENT ET ESSAIS DE DEBIT
Après la pose de la colonne de captage et le gravillonnage, la boueaux polymères a été éclaircie à l'eau claire, jusqu'à obtention d'unartésianisme.
On a alors laissé débiter le puits (2 à 4 m3/h) pendant une journée(poursuite de l'élimination de la boue et des fines).
Le développement a été mené de façon très progressive, de façon àéviter une déstabilisation des abords de la colonne de captage.
Il a consisté en :
- un pompage à l'air-lift, à un débit progressif variant de 10 à20 m3/h, pendant 37 h. Parallèlement, l'oxygénation de l'eaucomplétait la dégradation de la boue organique.
- un pompage, à l'aide d'une pompe électrique 8" immergée à desdébits progressifs variant de 20 à 105 m3/h, pendant 2 jours. Lespaliers étaient maintenus jusqu'à obtention d'une eau claire etétaient entrecoupés de phases de repos (remise en suspension).
Les terrains étant plus argileux que prévus, il n'a pas été tentéde lavage avec des déf loculants.
- 10 -
Les essais de débit ont été menés avec la même pompe. Les disposi¬tifs de mesure étaient :
- bac jaugeur Neyrpic étalonné, pour la mesure des débits. Descontrôles préalables avaient été effectués avec le temps de rem¬plissage des bacs de 8 m3.
- un capteur de pression Transamerica, avec nodule Mado d'acquisitionde données, pour le suivi permanent des niveaux d'eau.
- une sonde électrique classique pour contrôle des niveaux d'eau.
5 paliers de 3 h ont été réalisés, entrecoupés de phases de re¬montée des niveaux de même durée et suivis d'un essai longue durée de 72heures, (cf. chapitre essais de débit).
5.2.7. CONTROLE DES EQUIPEMENTS, FERMETURE DU PUITS
L'état des casings et de la colonne de captage a été vérifié parexamen vidéo-couleur.
Le puits a été désinfecté par envoi de bouchon d 'hypochlorite à 50*de chlore.
Le puits a été fermé par une tête étanche, équipée d'une vanne etd'un manomètre, et coiffée par un couvercle cadenassé.
5.3. CONCLUSION SUR LES TRAVAUX DE FORAGE
L'entreprise a, dans son ensemble, réalisé le programme demandé,dans un délai normal pour ce type d'ouvrage.
On note seulement une installation de l'atelier un peu longue (2semaines), mais explicable, et une interruption non prévue initialementpendant les fêtes de fin d'année.
Seule la chambre de pompage n'est pas tout à fait conforme auprogramme.
L'atelier s'est révélé capable de dépasser les profondeurs prévi¬sionnelles.
Les phases délicates (cimentation, pose de l'équipement de captage)ont été assurées sans problème par des sociétés de service spécialisées.
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Les essais de débit ont été menés avec la même pompe. Les disposi¬tifs de mesure étaient :
- bac jaugeur Neyrpic étalonné, pour la mesure des débits. Descontrôles préalables avaient été effectués avec le temps de rem¬plissage des bacs de 8 m3.
- un capteur de pression Transamerica, avec nodule Mado d'acquisitionde données, pour le suivi permanent des niveaux d'eau.
- une sonde électrique classique pour contrôle des niveaux d'eau.
5 paliers de 3 h ont été réalisés, entrecoupés de phases de re¬montée des niveaux de même durée et suivis d'un essai longue durée de 72heures, (cf. chapitre essais de débit).
5.2.7. CONTROLE DES EQUIPEMENTS, FERMETURE DU PUITS
L'état des casings et de la colonne de captage a été vérifié parexamen vidéo-couleur.
Le puits a été désinfecté par envoi de bouchon d 'hypochlorite à 50*de chlore.
Le puits a été fermé par une tête étanche, équipée d'une vanne etd'un manomètre, et coiffée par un couvercle cadenassé.
5.3. CONCLUSION SUR LES TRAVAUX DE FORAGE
L'entreprise a, dans son ensemble, réalisé le programme demandé,dans un délai normal pour ce type d'ouvrage.
On note seulement une installation de l'atelier un peu longue (2semaines), mais explicable, et une interruption non prévue initialementpendant les fêtes de fin d'année.
Seule la chambre de pompage n'est pas tout à fait conforme auprogramme.
L'atelier s'est révélé capable de dépasser les profondeurs prévi¬sionnelles.
Les phases délicates (cimentation, pose de l'équipement de captage)ont été assurées sans problème par des sociétés de service spécialisées.
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6 - GEOLOGIE
6.1. DOCUMENTS
Ils figurent en planches hors texte et se composent de :
a) un log de fin de forage à 1/500 sur lequel sont reportés :
- les vitesses d'avancement en cours de foration,- l'emplacement des carottages effectués,- la colonne technique du forage,- la lithostratigraphie des terrains rencontrés.
b) les logs à 1/500 des diagraphies réalisées :
- diagraphies nucléaires : gamma-ray, neutron,- diagraphies électriques : P. S., Résistance, Résisitivité (16"
et 64"),
c) un agrandissement à 1/200 de ces diagraphies au droit de la forma¬tion aquifère, soit entre 330 et 377 m de profondeur.
6.2. COMMENTAIEtES
1 - Le niveau supérieur des sables (du Gault à 369 m) s'est révélé trèsargileux à MONTBOUY. De ce fait on se rapprochait, sur le planfaciès, du forage de SAINTE GENEVIEVE-DES-BOIS. Cette constatation,qui laissait présager une productivité moindre, nous a incité àforer plus profondément afin d'attraper davantage de bancs desable.
2 - Les niveaux sableux se sont révélés, en général, plus argileux queprévus, d'après les déblais et les carottes, ce qui a été confirmépar la diagraphie de rayonnement gamma. Nous avions donc uneambiguïté :
- soit le réservoir de l'Albien était moins favorable que surles forages de référence de MONTCRESSON et CHATILLON-COLIGNY,
- soit les analyses diagraphies de ces forages de référenceétaient trop grossières, comparativement aux résultats deMONTBOUY.
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6 - GEOLOGIE
6.1. DOCUMENTS
Ils figurent en planches hors texte et se composent de :
a) un log de fin de forage à 1/500 sur lequel sont reportés :
- les vitesses d'avancement en cours de foration,- l'emplacement des carottages effectués,- la colonne technique du forage,- la lithostratigraphie des terrains rencontrés.
b) les logs à 1/500 des diagraphies réalisées :
- diagraphies nucléaires : gamma-ray, neutron,- diagraphies électriques : P. S., Résistance, Résisitivité (16"
et 64"),
c) un agrandissement à 1/200 de ces diagraphies au droit de la forma¬tion aquifère, soit entre 330 et 377 m de profondeur.
6.2. COMMENTAIEtES
1 - Le niveau supérieur des sables (du Gault à 369 m) s'est révélé trèsargileux à MONTBOUY. De ce fait on se rapprochait, sur le planfaciès, du forage de SAINTE GENEVIEVE-DES-BOIS. Cette constatation,qui laissait présager une productivité moindre, nous a incité àforer plus profondément afin d'attraper davantage de bancs desable.
2 - Les niveaux sableux se sont révélés, en général, plus argileux queprévus, d'après les déblais et les carottes, ce qui a été confirmépar la diagraphie de rayonnement gamma. Nous avions donc uneambiguïté :
- soit le réservoir de l'Albien était moins favorable que surles forages de référence de MONTCRESSON et CHATILLON-COLIGNY,
- soit les analyses diagraphies de ces forages de référenceétaient trop grossières, comparativement aux résultats deMONTBOUY.
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L'ambiguïté a été levée par une diagraphie complémentaire (P. S. -Résistivité), semblable à celles des forages de référence et qui n'avaitpas été prévue initialement en raison de son caractère qualitatifimprécis. Le résultat est le suivant :
- la partie supérieure se révèle en effet plus argileuse ;
- pour les autres niveaux sableux, on retrouve bien les corres¬pondances avec les forages voisins pour lesquels les analyseslithologiques étaient trop succinctes.
3 - Les argiles Tégulines et les sables des Drillons sont ici très peudéveloppés ; c'est ce qui, en l'absence de diagraphie électrique nenous avait pas permis de les dissocier des sables de Frécambault.Le secteur de MONTBOUY se situe dans une zone de transition où lesargiles tégulines, bien représentées dans l'Yonne, tendent ici àdisparaître. Leur absence plus au Sud entraine la fusion des deuxniveaux sableux supérieurs de l'Albien en un seul, celui des sablesde la Puisaye.
4 - Sur la figure 3 est présentée une corrélation entre les épaisseursdes différents ensembles lithologiques constituant l'aquifère del'Albien. Celle-ci a été établie à partir des diagraphies électri¬ques du forage de MONTBOUY et celles des forages pétroliers voisinsde CHATILLON-COLIGNY au Sud et MONTCEIESSON au Nord, le niveau deréférence étant pris à la base des argiles noires du Gault. Onconstate que les épaisseurs des deux premiers niveaux sableux et dupremier horizon argileux restent sensiblement constantes. Parcontre, les niveaux inférieurs (Argiles de 1 'Amanee et SablesVerts) ont tendance à augmenter d'épaisseur lorsque l'on se déplacevers le Nord puisque c'est à MONTCRESSON que ces horizons ont leurpuissance maximale. On remarquera également que les niveaux inter¬médiaires (argiles tégulines et sables des Drillons) sont toujourspeu développés, leur épaisseur totale n'excédant pas une douzainede mètres.
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L'ambiguïté a été levée par une diagraphie complémentaire (P. S. -Résistivité), semblable à celles des forages de référence et qui n'avaitpas été prévue initialement en raison de son caractère qualitatifimprécis. Le résultat est le suivant :
- la partie supérieure se révèle en effet plus argileuse ;
- pour les autres niveaux sableux, on retrouve bien les corres¬pondances avec les forages voisins pour lesquels les analyseslithologiques étaient trop succinctes.
3 - Les argiles Tégulines et les sables des Drillons sont ici très peudéveloppés ; c'est ce qui, en l'absence de diagraphie électrique nenous avait pas permis de les dissocier des sables de Frécambault.Le secteur de MONTBOUY se situe dans une zone de transition où lesargiles tégulines, bien représentées dans l'Yonne, tendent ici àdisparaître. Leur absence plus au Sud entraine la fusion des deuxniveaux sableux supérieurs de l'Albien en un seul, celui des sablesde la Puisaye.
4 - Sur la figure 3 est présentée une corrélation entre les épaisseursdes différents ensembles lithologiques constituant l'aquifère del'Albien. Celle-ci a été établie à partir des diagraphies électri¬ques du forage de MONTBOUY et celles des forages pétroliers voisinsde CHATILLON-COLIGNY au Sud et MONTCEIESSON au Nord, le niveau deréférence étant pris à la base des argiles noires du Gault. Onconstate que les épaisseurs des deux premiers niveaux sableux et dupremier horizon argileux restent sensiblement constantes. Parcontre, les niveaux inférieurs (Argiles de 1 'Amanee et SablesVerts) ont tendance à augmenter d'épaisseur lorsque l'on se déplacevers le Nord puisque c'est à MONTCRESSON que ces horizons ont leurpuissance maximale. On remarquera également que les niveaux inter¬médiaires (argiles tégulines et sables des Drillons) sont toujourspeu développés, leur épaisseur totale n'excédant pas une douzainede mètres.
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FIGURE 3 : COMPARAISON DES EPAISSEURS DES DIFFERENTS NIVEAUX SABLEUXET ARGILEUX DE L'ALBIEN OBSERVEES A MONTBOUY AVEC CELLES ilENCONTREES
SUR LES FORAGES PETROLIERS VOISINS
Sud CHATILLON-COLIGNY400-4-10
Ofti _
10
20
30
iO
50
60
70
80
90
100m
A7
Zi,
13
MONTBOUY
400-4-132
A8
26
10
MONTCRESSON 1
365-8-1Nord
¿6
31
15
Gault
Graviers à Opiset Sables deFrécambault
Argiles TégulinesSables des Drillon
Argiles de1 ' Amanee
Sctbles Verts
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FIGURE 3 : COMPARAISON DES EPAISSEURS DES DIFFERENTS NIVEAUX SABLEUXET ARGILEUX DE L'ALBIEN OBSERVEES A MONTBOUY AVEC CELLES ilENCONTREES
SUR LES FORAGES PETROLIERS VOISINS
Sud CHATILLON-COLIGNY400-4-10
Ofti _
10
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90
100m
A7
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MONTBOUY
400-4-132
A8
26
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MONTCRESSON 1
365-8-1Nord
¿6
31
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Gault
Graviers à Opiset Sables deFrécambault
Argiles TégulinesSables des Drillon
Argiles de1 ' Amanee
Sctbles Verts
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7. DEVELOPPEMENT
7.1. POMPAGE A L'AIR LIFT
Matériel :
Compresseur INGEISOL 750 : 17 bars - Débit d'air maximal : 21 m3/mnCompresseur de secours : 6 bars
Dispositif de pompage :
- colonne d'exhaure en 4" (tube HW) descendue à 320 m juste au-dessusde la colonne de captage
- colonne d'air (tube BQ) descendue à l'intérieur de la colonned'exhaure d'abord à 90 m puis remontée ensuite à 65,6 m
Déroulement du pompage : (09 et 10-01-1989)
Total : 34 h 55 de pompage sur une durée totale de 38 h 05
Evolution du débit et du rabattement
- le 09-01-1989 à 3 h le débit est stabilisé à 6 m3/h et entraine unrabattement de 1,30 m
- le 09-01-1989 à 13 h le débit est stabilisé à 15 m3/h et entraine unrabattement de 9,50 m
- le 09-01-1989 à 15 h le débit est stabilisé à 20 m3/h et entraine unrabattement de 9,20 m
- le 09-01-1989 à 21 h le débit est stabilisé à 26,5 m3/h et entraine unrabattement de 11,30 m
- le 10-01-1989 à 1 h le débit est stabilisé à 25,7 m3/h et entraine unrabattement de 11,25 m
- le 10-01-1989 à 13 h le débit est stabilisé à 27,5 m3/h et entraine unrabattement de 12,07 m.
N.B. : le niveau sejrvant de référence se situe à 2,52 m au-dessusdu sol. En l'absence de pompage, le niveau d'eau dans leforage se situe à 0,62 m par rapport à cette référence. Ilcorrespond au niveau de débordement par la goulotted'évacuation.
La section assez modeste de la colonne d'exhaure n'a pas permisd'augmenter le débit d'air lift au-delà de 27,5 m3/h.
A l'issue du pompage air lift, l'eau est claire mais contientencore un peu de sable. La disparition des polymères et des particulesargileuses provoquée par ce pompage évite ainsi le traitement du forageau pyrophosphate acide de sodium et à l'eau oxygénée.
Les débits artésiens mesurés après ce pompage sur l'exhaure duforage placée à 1,80 m au-dessus du sol, restent inférieurs aux débitsartésiens initiaux ; 4 h et 27 h après l'arrêt de l'air lift, le débitartésien est respectivement de 2,05 et 3,6 m3/h. L'air lift a provoquéune légère décompression de la nappe.
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7. DEVELOPPEMENT
7.1. POMPAGE A L'AIR LIFT
Matériel :
Compresseur INGEISOL 750 : 17 bars - Débit d'air maximal : 21 m3/mnCompresseur de secours : 6 bars
Dispositif de pompage :
- colonne d'exhaure en 4" (tube HW) descendue à 320 m juste au-dessusde la colonne de captage
- colonne d'air (tube BQ) descendue à l'intérieur de la colonned'exhaure d'abord à 90 m puis remontée ensuite à 65,6 m
Déroulement du pompage : (09 et 10-01-1989)
Total : 34 h 55 de pompage sur une durée totale de 38 h 05
Evolution du débit et du rabattement
- le 09-01-1989 à 3 h le débit est stabilisé à 6 m3/h et entraine unrabattement de 1,30 m
- le 09-01-1989 à 13 h le débit est stabilisé à 15 m3/h et entraine unrabattement de 9,50 m
- le 09-01-1989 à 15 h le débit est stabilisé à 20 m3/h et entraine unrabattement de 9,20 m
- le 09-01-1989 à 21 h le débit est stabilisé à 26,5 m3/h et entraine unrabattement de 11,30 m
- le 10-01-1989 à 1 h le débit est stabilisé à 25,7 m3/h et entraine unrabattement de 11,25 m
- le 10-01-1989 à 13 h le débit est stabilisé à 27,5 m3/h et entraine unrabattement de 12,07 m.
N.B. : le niveau sejrvant de référence se situe à 2,52 m au-dessusdu sol. En l'absence de pompage, le niveau d'eau dans leforage se situe à 0,62 m par rapport à cette référence. Ilcorrespond au niveau de débordement par la goulotted'évacuation.
La section assez modeste de la colonne d'exhaure n'a pas permisd'augmenter le débit d'air lift au-delà de 27,5 m3/h.
A l'issue du pompage air lift, l'eau est claire mais contientencore un peu de sable. La disparition des polymères et des particulesargileuses provoquée par ce pompage évite ainsi le traitement du forageau pyrophosphate acide de sodium et à l'eau oxygénée.
Les débits artésiens mesurés après ce pompage sur l'exhaure duforage placée à 1,80 m au-dessus du sol, restent inférieurs aux débitsartésiens initiaux ; 4 h et 27 h après l'arrêt de l'air lift, le débitartésien est respectivement de 2,05 et 3,6 m3/h. L'air lift a provoquéune légère décompression de la nappe.
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7.2. DEVELOPPEMENT A LA POMPE
Matériel : pompe PLUGER 8" pouvant refouler 150 m3/h à uneprofondeur de 80 m
Dispositif de pompage :
- la pompe de 8" est descendue à 90 m de profondeur- colonne d'exhaure en 4" (tubes HW)
- une vanne de 0 100 mm pour ajuster le débit.
Déroulement du pompage : (12 et 13-01-1989)
Total : 29 h de pompage sur une durée totale de 37 h 45 mn.
Evolution et du rabattement :
Le rabattement mesuré à la fin de chaque palier est de :
- 9,28 m pour un débit de 20 m3/h- 13,47 m pour un débit de 30 m3/h- 18,00 m pour un débit de 40 m3/h- 23,71 m pour un débit de 60 m3/h- 31,55 m pour un débit de 80 m3/h- 48,00 m pour un débit de 90 m3/h- 54,60 m pour un débit de 100 m3/h
N.B. : Le niveau de référence pour les mesures de rabattement sesitue à 2,40 m du sol. En l'absence de pompage, le niveaud'eau dans le forage se situé à 0,50 m par rapport à cetteréférence. Il correspond au niveau de débordement par lagoulotte d'évacuation.
Les pertes de charge situées sur la colonne d'exhaure n'ont paspermis d'atteindre des débits supérieurs à 100 m3/h. L'eau est restéeclaire durant les paliers à 20,30 et 40 m3/h. Elle est devenue troubledès que le débit est passé à 60 m3/h. Celle-ci s'est peu à peu éclairciepar la suite. L'eau s'est à nouveau troublée lorsque le débit est passéà 90 m3/h puis à 100 m3/h.
Lors de chaque arrêt, le forage est redevenu artésien. A plusieursreprises nous avons observé un siphonnage par la colonne d'exhaure de lapompe. Celui-ci s'amorçait pour un rabattement de 1,22 m alors qu'ilfaut atteindre une cote de 0,50 m pour observer un débordement par lagoulotte.
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7.2. DEVELOPPEMENT A LA POMPE
Matériel : pompe PLUGER 8" pouvant refouler 150 m3/h à uneprofondeur de 80 m
Dispositif de pompage :
- la pompe de 8" est descendue à 90 m de profondeur- colonne d'exhaure en 4" (tubes HW)
- une vanne de 0 100 mm pour ajuster le débit.
Déroulement du pompage : (12 et 13-01-1989)
Total : 29 h de pompage sur une durée totale de 37 h 45 mn.
Evolution et du rabattement :
Le rabattement mesuré à la fin de chaque palier est de :
- 9,28 m pour un débit de 20 m3/h- 13,47 m pour un débit de 30 m3/h- 18,00 m pour un débit de 40 m3/h- 23,71 m pour un débit de 60 m3/h- 31,55 m pour un débit de 80 m3/h- 48,00 m pour un débit de 90 m3/h- 54,60 m pour un débit de 100 m3/h
N.B. : Le niveau de référence pour les mesures de rabattement sesitue à 2,40 m du sol. En l'absence de pompage, le niveaud'eau dans le forage se situé à 0,50 m par rapport à cetteréférence. Il correspond au niveau de débordement par lagoulotte d'évacuation.
Les pertes de charge situées sur la colonne d'exhaure n'ont paspermis d'atteindre des débits supérieurs à 100 m3/h. L'eau est restéeclaire durant les paliers à 20,30 et 40 m3/h. Elle est devenue troubledès que le débit est passé à 60 m3/h. Celle-ci s'est peu à peu éclairciepar la suite. L'eau s'est à nouveau troublée lorsque le débit est passéà 90 m3/h puis à 100 m3/h.
Lors de chaque arrêt, le forage est redevenu artésien. A plusieursreprises nous avons observé un siphonnage par la colonne d'exhaure de lapompe. Celui-ci s'amorçait pour un rabattement de 1,22 m alors qu'ilfaut atteindre une cote de 0,50 m pour observer un débordement par lagoulotte.
- 16 -
8. POMPAGES D'ESSAI
8.1. CONDITIONS
Le dispositif de pompage est identique à celui mis en place pourassurer le développement du forage.
La référence pour les mesures de rabattement faites à la sondeélectrique se situe à 2,40 m du sol.
Un module d'acquisition de donnée (MADO) relié à un capteur depression (0-6 bars) immergé à 60 m stocke toutes les 10 mn la valeurdu niveau dynamique.
Un second MADO, muni d'un capteur 0-1 bar, a été installé surl'ancien forage de Salleneuve qui sert de piézomètre à une distance de1 750 m. Le pas de temps de mesure est de 2 h.
Les débits sont mesurés en permanence dans un bac Neyrpic à déver¬soir triangulaire (cf. figures 4 et 5).
8.2. POMPAGE PAR PALIERS DE DEBIT (cf. figures 6 et 7)
Les paliers de pompage sont de 3 h, séparés chacun par un arrêt de3 h. Les paliers ont été réalisés à 20, 35, 50, 74 et 100 m3/h.
Descente : au bout de 3 h de pompage les rabattements sont de :
11,52 m pour un débit de 20 m3/h18,24 m pour un débit de 35 m3/h24,43 m pour un débit de 50 m3/h37,95 m pour un débit de 74 m3/h54,95 m pour un débit de 100 m3/h
Les rabattements étaient stabilisés en fin de palier uniquementpour les débits de 20 et 35 m3/h.
L'eau est toujours sortie claire et exempte de sable au cours des 4premiers paliers. Par contre à 100 m3/h l'eau est devenue trouble. Enfin de pompage l'eau était plus claire mais conservait une certaineopalescence.
Remontée :
- pour les 3 premiers paliers, la remontée du niveau dynamiquepermettait le siphonnage par la colonne d'exhaure de la pompe(lorsque le siphon restait amorcé, ce qui ne fut pas le caspour le paliers à 20 m3/h).
- après le pompage à 75 m3/h, la remontée du niveau dynamiquen'a pas été suffisante pour que l'eau jaillisse par la colonned'exhaure (le niveau dynamique était cependant à 0,90 m
au-dessus du sol).
- après le pompage à 100 m3/h, la remontée a été suivie durant8 h 50 mn, le niveau dynamique n'était remonté qu'à 2,19 m
soit 0,21 m au-dessus du sol.
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8. POMPAGES D'ESSAI
8.1. CONDITIONS
Le dispositif de pompage est identique à celui mis en place pourassurer le développement du forage.
La référence pour les mesures de rabattement faites à la sondeélectrique se situe à 2,40 m du sol.
Un module d'acquisition de donnée (MADO) relié à un capteur depression (0-6 bars) immergé à 60 m stocke toutes les 10 mn la valeurdu niveau dynamique.
Un second MADO, muni d'un capteur 0-1 bar, a été installé surl'ancien forage de Salleneuve qui sert de piézomètre à une distance de1 750 m. Le pas de temps de mesure est de 2 h.
Les débits sont mesurés en permanence dans un bac Neyrpic à déver¬soir triangulaire (cf. figures 4 et 5).
8.2. POMPAGE PAR PALIERS DE DEBIT (cf. figures 6 et 7)
Les paliers de pompage sont de 3 h, séparés chacun par un arrêt de3 h. Les paliers ont été réalisés à 20, 35, 50, 74 et 100 m3/h.
Descente : au bout de 3 h de pompage les rabattements sont de :
11,52 m pour un débit de 20 m3/h18,24 m pour un débit de 35 m3/h24,43 m pour un débit de 50 m3/h37,95 m pour un débit de 74 m3/h54,95 m pour un débit de 100 m3/h
Les rabattements étaient stabilisés en fin de palier uniquementpour les débits de 20 et 35 m3/h.
L'eau est toujours sortie claire et exempte de sable au cours des 4premiers paliers. Par contre à 100 m3/h l'eau est devenue trouble. Enfin de pompage l'eau était plus claire mais conservait une certaineopalescence.
Remontée :
- pour les 3 premiers paliers, la remontée du niveau dynamiquepermettait le siphonnage par la colonne d'exhaure de la pompe(lorsque le siphon restait amorcé, ce qui ne fut pas le caspour le paliers à 20 m3/h).
- après le pompage à 75 m3/h, la remontée du niveau dynamiquen'a pas été suffisante pour que l'eau jaillisse par la colonned'exhaure (le niveau dynamique était cependant à 0,90 m
au-dessus du sol).
- après le pompage à 100 m3/h, la remontée a été suivie durant8 h 50 mn, le niveau dynamique n'était remonté qu'à 2,19 m
soit 0,21 m au-dessus du sol.
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- U 11
12 13Jan 1969
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MONTBOUY REP Rlbien
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Conclusions
La courbe caractéristique du puits est reportée sur la figure 8. Sarégularité montre que le débit critique n'a pas été atteint. Le captagepeut donc fournir - instantanément - un débit d'au moins 100 m3/h.
8.3. POMPAGE CONTINU
L'essai a été réalisé pour un débit constant de 72 m3/h et a duré72 H. Au terme du pompage le rabattement paraissait stabilisé auxenvirons de 39,37 m ± 0,03 (cf. figure 9).
8.4. REMONTEE
Elle a été suivie, avec enregistrement continu, sur 72 h sansqu'aucune manoeuvre de forage ne vienne perturber les mesures, ainsi quesur le piézomètre de Salleneuve (cf. figure 10).
8.5. INTEtlPRETATION
L'interprétation a été faite à l'aide de logiciels ISAPE du BRGM,sur les 2 enregistrements (puits et piézomètres) .
- Puits de pompage (cf. figure 11 A)
Transmissivité : 6,6 x lO"* m^/sCoefficient d'emmagasinement : 1 x 10~^
L'interprétation indique une drainance sur la base des hypothèsessuivantes :
. épaisseur du semi-perméable : 60 m
. perméabilité : 10"^ m/s
- Piézomètre (cf. figure 11 B)
Distant de 1 750 m du puits de pompage.
Transmissivité : 1,6.10"^ m^/sCoefficient d'emmagasinement : 1,3 x 10""*
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Conclusions
La courbe caractéristique du puits est reportée sur la figure 8. Sarégularité montre que le débit critique n'a pas été atteint. Le captagepeut donc fournir - instantanément - un débit d'au moins 100 m3/h.
8.3. POMPAGE CONTINU
L'essai a été réalisé pour un débit constant de 72 m3/h et a duré72 H. Au terme du pompage le rabattement paraissait stabilisé auxenvirons de 39,37 m ± 0,03 (cf. figure 9).
8.4. REMONTEE
Elle a été suivie, avec enregistrement continu, sur 72 h sansqu'aucune manoeuvre de forage ne vienne perturber les mesures, ainsi quesur le piézomètre de Salleneuve (cf. figure 10).
8.5. INTEtlPRETATION
L'interprétation a été faite à l'aide de logiciels ISAPE du BRGM,sur les 2 enregistrements (puits et piézomètres) .
- Puits de pompage (cf. figure 11 A)
Transmissivité : 6,6 x lO"* m^/sCoefficient d'emmagasinement : 1 x 10~^
L'interprétation indique une drainance sur la base des hypothèsessuivantes :
. épaisseur du semi-perméable : 60 m
. perméabilité : 10"^ m/s
- Piézomètre (cf. figure 11 B)
Distant de 1 750 m du puits de pompage.
Transmissivité : 1,6.10"^ m^/sCoefficient d'emmagasinement : 1,3 x 10""*
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FIGURE 8 : COURBE CARACTERISTIQUE DU PUITS (400-4-132)Pompage d'essai du 13 au 14 janvier 1989
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FIGURE 8 : COURBE CARACTERISTIQUE DU PUITS (400-4-132)Pompage d'essai du 13 au 14 janvier 1989
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FIGURE 11 : INTEEIPRETATION DES POMPAGES
rOHPRGE D'ESSni DE HONTBOUT dlS) - JflNVIEfl 1989. PUITS DE POMPAGE
-53.
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ProgrammeI S fl P E
Numero du pompage
PUITSflEP
Méthode utiliséeAQUIFERE SEMI-CnPTIF
T- 6.6eE-eil *2/eS- 1.88E-e3
B.8^
-2.8,
POHPRCE O'ESSRI DE HONTBOUT (US)PIEZOHETRE DE SRLLENEUVE
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- JRNVIER 1989
Taap* (an)
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21880
ProgrammeI S fl P E
Numero du pompageJRNV. 89
PIEZOMETRESRL
Méthode utiliséeTHEIS
T- 1.68E-B3 »Z/mS- i.seE-eu
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FIGURE 11 : INTEEIPRETATION DES POMPAGES
rOHPRGE D'ESSni DE HONTBOUT dlS) - JflNVIEfl 1989. PUITS DE POMPAGE
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Numero du pompageJRNV. 89
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Méthode utiliséeTHEIS
T- 1.68E-B3 »Z/mS- i.seE-eu
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9. ANALYSES CHIMIQUES
Les prélèvements ont été effectués le 18 janvier 1989 par leLaboratoire Départemental de Bactériologie et d'Hygiène (Orléans), auterme du pompage de longue durée.
Les résultats sont présentés en Annexe 3.
Commentaires :
- Température : 23* à l'exhaure, ce qui devrait correspondre à 24*environ au niveau de la formation captée ; cela correspond à ungradient géothermique de 3''/100 m. En exploitation, un équilibresera atteint au bout de plusieurs jours et la température serad'autant plus proche de celle du fond que le débit sera grand.
- pH : 6,6L'eau est plus agressive que ne le laissaient paraître les donnéesenvironnantes.
- Fer : la très forte valeur obtenue est à relier :
. au captage des bancs sableux inférieurs pour partie (rappelonsque ces bancs ont été traversés en raison de la forte argi-losité des sables supérieurs qui laissaient craindre uneproductivité inférieure à celle prévue).
. à la turbidité mesurée qui peut être due au lessivage desargiles rouges inférieures. Dans ce cas, on peut espérer unediminution ultérieure de la teneur en fer, en cours d'exploi¬tation. Cela reste, pour l'instant, hypothétique.
- Coliformes :
La désinfection du puits a été faite après toutes interventionsdans le trou, et après les prélèvements.
Ce type de pollution par les matériaux de forage et équipement estrelativement fréquent ; il disparaît habituellement dès le début de1 'exploitation.
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9. ANALYSES CHIMIQUES
Les prélèvements ont été effectués le 18 janvier 1989 par leLaboratoire Départemental de Bactériologie et d'Hygiène (Orléans), auterme du pompage de longue durée.
Les résultats sont présentés en Annexe 3.
Commentaires :
- Température : 23* à l'exhaure, ce qui devrait correspondre à 24*environ au niveau de la formation captée ; cela correspond à ungradient géothermique de 3''/100 m. En exploitation, un équilibresera atteint au bout de plusieurs jours et la température serad'autant plus proche de celle du fond que le débit sera grand.
- pH : 6,6L'eau est plus agressive que ne le laissaient paraître les donnéesenvironnantes.
- Fer : la très forte valeur obtenue est à relier :
. au captage des bancs sableux inférieurs pour partie (rappelonsque ces bancs ont été traversés en raison de la forte argi-losité des sables supérieurs qui laissaient craindre uneproductivité inférieure à celle prévue).
. à la turbidité mesurée qui peut être due au lessivage desargiles rouges inférieures. Dans ce cas, on peut espérer unediminution ultérieure de la teneur en fer, en cours d'exploi¬tation. Cela reste, pour l'instant, hypothétique.
- Coliformes :
La désinfection du puits a été faite après toutes interventionsdans le trou, et après les prélèvements.
Ce type de pollution par les matériaux de forage et équipement estrelativement fréquent ; il disparaît habituellement dès le début de1 'exploitation.
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10. EXAMEN PAR CAMEEIA-VIDEO
L'inspection de réception du forage par caméra-vidéo a été réaliséele 24-01-1989.
Ce dossier comprend :
- le rapport présenté en annexe 4 avec les photos,- la cassette vidéo, remise au Maître d'ouvrage.
Commentaires :
- Les cotes de réductions en 13" ^'^ et 9"^^° sont pratiquementconformes à celles du foreur.
- Il y a eu affaissement de 1,5 m de la colonne de captage en 6"*^® ;le phénomène est fréquent (tassement du massif filtrant lors dudéveloppement et du premier pompage) et cette valeur est inférieureaux marges de sécurité prises (2m).
- L'équipement inspecté est en bon état.
- L'inspection comprend tous les niveaux sableux supérieurs dont lecaptage était prévu initialement, ce qui a dicté les limitesd'investigation de la caméra. ,
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10. EXAMEN PAR CAMEEIA-VIDEO
L'inspection de réception du forage par caméra-vidéo a été réaliséele 24-01-1989.
Ce dossier comprend :
- le rapport présenté en annexe 4 avec les photos,- la cassette vidéo, remise au Maître d'ouvrage.
Commentaires :
- Les cotes de réductions en 13" ^'^ et 9"^^° sont pratiquementconformes à celles du foreur.
- Il y a eu affaissement de 1,5 m de la colonne de captage en 6"*^® ;le phénomène est fréquent (tassement du massif filtrant lors dudéveloppement et du premier pompage) et cette valeur est inférieureaux marges de sécurité prises (2m).
- L'équipement inspecté est en bon état.
- L'inspection comprend tous les niveaux sableux supérieurs dont lecaptage était prévu initialement, ce qui a dicté les limitesd'investigation de la caméra. ,
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11. CONCLUSION
11.1. SYNTHESE
Les travaux de forage se sont déroulés, dans l'ensemble, conformé¬ment au programme initial. Les deux écarts majeurs sont :
- le double télescopage de la colonne supérieure nécessité par lecoincement de la colonne de 18"*^® et qui peut être imputé à unedifficulté géologique particulièrement sensible en si grand diamè¬tre.
- Le captage de bancs sableiDc plus bas que prévu en raison du risqued'une productivité plus faible des niveaux supérieurs qui se sontrévélés plus argileux que l'on ne pensait.
La productivité de l'ouvrage est supérieure à la moyenne attendue :
2 m3/h/m de rabattement. Cette valeur, due bien sur à des conditionsgéologiques, est à mettre également au compte d'un captage bien adaptéet réalisé avec compétence.
Les analyses chimiques révèlent des teneurs en fer et manganèsesupérieures à celles que l'on pouvait prévoir. Cela est à relier, engrande partie, aux captages des bancs sableux inférieurs pour lesraisons citées ci-avant. Le rebouchage des couches inférieures, s'ilatténuait ces teneurs, risque de réduire en contre-partie le débitd'exploitation.
11.2. PEIESCRIPTIONS D'EXPLOITATION
Les pompages d'essais montrent que le débit d'exploitation del'ouvrage peut atteindre 100 m3/h. Cependant, des précautions élémen¬taires sont à respecter si l'on veut que l'ouvrage garde ses perfor¬mances (stabilité du massif filtrant et, de ce fait, de la colonne decaptage) et que la formation aquifère ne s'endommage pas (désorganisa¬tion du réseau sableux entrainant une diminution pariétale de la per¬méabilité, c'est-à-dire la création de pertes de charge) :
- Mises en route et arrêts progressifs des pompes ; il faut éviterles chocs hydrauliques.
- Ne pas dépasser le débit de 100 m3/h, valeur maximale de l'essai,sans certaines précautions : nouveau développement de l'ouvrageconduit dans les règles de l'Art.
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11. CONCLUSION
11.1. SYNTHESE
Les travaux de forage se sont déroulés, dans l'ensemble, conformé¬ment au programme initial. Les deux écarts majeurs sont :
- le double télescopage de la colonne supérieure nécessité par lecoincement de la colonne de 18"*^® et qui peut être imputé à unedifficulté géologique particulièrement sensible en si grand diamè¬tre.
- Le captage de bancs sableiDc plus bas que prévu en raison du risqued'une productivité plus faible des niveaux supérieurs qui se sontrévélés plus argileux que l'on ne pensait.
La productivité de l'ouvrage est supérieure à la moyenne attendue :
2 m3/h/m de rabattement. Cette valeur, due bien sur à des conditionsgéologiques, est à mettre également au compte d'un captage bien adaptéet réalisé avec compétence.
Les analyses chimiques révèlent des teneurs en fer et manganèsesupérieures à celles que l'on pouvait prévoir. Cela est à relier, engrande partie, aux captages des bancs sableux inférieurs pour lesraisons citées ci-avant. Le rebouchage des couches inférieures, s'ilatténuait ces teneurs, risque de réduire en contre-partie le débitd'exploitation.
11.2. PEIESCRIPTIONS D'EXPLOITATION
Les pompages d'essais montrent que le débit d'exploitation del'ouvrage peut atteindre 100 m3/h. Cependant, des précautions élémen¬taires sont à respecter si l'on veut que l'ouvrage garde ses perfor¬mances (stabilité du massif filtrant et, de ce fait, de la colonne decaptage) et que la formation aquifère ne s'endommage pas (désorganisa¬tion du réseau sableux entrainant une diminution pariétale de la per¬méabilité, c'est-à-dire la création de pertes de charge) :
- Mises en route et arrêts progressifs des pompes ; il faut éviterles chocs hydrauliques.
- Ne pas dépasser le débit de 100 m3/h, valeur maximale de l'essai,sans certaines précautions : nouveau développement de l'ouvrageconduit dans les règles de l'Art.
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12. ENVIRONNEMENT ET PROTECTION
12.1. SOUTERRAIN
- CAPTAGE :
La nappe de l'Albien est captive, bien isolée des aquifères supé¬rieurs par les marnes du Cénomanien et les Argiles du Gault. En outre,la pression hydrostatique plus forte que celle dans la craie empêchetoute drainance naturelle vers le bas.
Le captage présente une bonne étanchéité grâce à ses cimentationssous pression :
- simple à la base de la craie
- double à la partie supérieure de la craie où il a eu despertes.
- ENVIRONNEMENT :
L'ouvrage captant l'Albien le plus proche est celui de Salleneuve,datant de 1925, et distant de 1 750 m ; les essais ont montré qu'il y ainterférence (décompression).
Les autres captages à l'Albien sont très éloignés (BRIARE, ...)
Les forages pétroliers les plus proches (MONTCRESSON 2,CHATILLON-COLIGNY 1, SAINTE GENEVIEVE-DES-BOIS) ont été obstrués par desbouchons de ciment (cf. déclarations au Service des Mines)
12.2. SURFACE
Le captage est situé en limite de l'enclos autour du château d'eaude MONTBOUY (cf. plan de situation) soit en un point topographiquementhaut. Le milieu est le suivant :
- champs sur le Nord,
- voies de circulation côté Sud-Ouest et Nord-Est, avec pentevers le carrefour et fossé vers la vallée du Loing.
- maisons individuelles côté Sud-Ouest ; les terrains sont enforte pente vers le Loing.
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12. ENVIRONNEMENT ET PROTECTION
12.1. SOUTERRAIN
- CAPTAGE :
La nappe de l'Albien est captive, bien isolée des aquifères supé¬rieurs par les marnes du Cénomanien et les Argiles du Gault. En outre,la pression hydrostatique plus forte que celle dans la craie empêchetoute drainance naturelle vers le bas.
Le captage présente une bonne étanchéité grâce à ses cimentationssous pression :
- simple à la base de la craie
- double à la partie supérieure de la craie où il a eu despertes.
- ENVIRONNEMENT :
L'ouvrage captant l'Albien le plus proche est celui de Salleneuve,datant de 1925, et distant de 1 750 m ; les essais ont montré qu'il y ainterférence (décompression).
Les autres captages à l'Albien sont très éloignés (BRIARE, ...)
Les forages pétroliers les plus proches (MONTCRESSON 2,CHATILLON-COLIGNY 1, SAINTE GENEVIEVE-DES-BOIS) ont été obstrués par desbouchons de ciment (cf. déclarations au Service des Mines)
12.2. SURFACE
Le captage est situé en limite de l'enclos autour du château d'eaude MONTBOUY (cf. plan de situation) soit en un point topographiquementhaut. Le milieu est le suivant :
- champs sur le Nord,
- voies de circulation côté Sud-Ouest et Nord-Est, avec pentevers le carrefour et fossé vers la vallée du Loing.
- maisons individuelles côté Sud-Ouest ; les terrains sont enforte pente vers le Loing.
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12.3. CONCLUSIONS
Les périmètres de protection devrait être définis par 1 'hydro¬géologue agréé désigné par le coordinateur départemental, sur la basedes données de ce rapport.
Sans toutefois déborder sur les compétences de 1 'hydrogéologueagréé, on peut relever les tendances suivantes :
- périmètre immédiat : il sera l'extension de l'enclos du châteaud'eau sur le champ.
- périmètre rapproché :
Il sera sans doute réduit, pour les interdictions ne touchant quela surface du sol et les excavations peu profondes, sachant labonne protection de l'aquifère capté.
- périmètre éloigné :
Il ne se distinguerait pas du précédent pour les activités desurface et de sub-surface, mais ne concernerait que l'emprise ducaptage, au niveau de l'Albien, sur la base des paramètres hydro¬dynamiques de dif fusibilité.
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12.3. CONCLUSIONS
Les périmètres de protection devrait être définis par 1 'hydro¬géologue agréé désigné par le coordinateur départemental, sur la basedes données de ce rapport.
Sans toutefois déborder sur les compétences de 1 'hydrogéologueagréé, on peut relever les tendances suivantes :
- périmètre immédiat : il sera l'extension de l'enclos du châteaud'eau sur le champ.
- périmètre rapproché :
Il sera sans doute réduit, pour les interdictions ne touchant quela surface du sol et les excavations peu profondes, sachant labonne protection de l'aquifère capté.
- périmètre éloigné :
Il ne se distinguerait pas du précédent pour les activités desurface et de sub-surface, mais ne concernerait que l'emprise ducaptage, au niveau de l'Albien, sur la base des paramètres hydro¬dynamiques de dif fusibilité.
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13. CONTROLE DU CAPTAGE
Le captage de MONTBOUY, permettant l'alimentation en eau potable àpartir de la nappe de l'Albien, est le premier ouvrage public de grandecimpleur dans le Loiret - et même dans la Région Centre.
L'importance que revêt cet ouvrage pour le Syndicat - ainsi quepour la région - nécessite un contrôle régulier ayant un double ob¬jectif :
- une meilleure connaissance de la ressource afin de mieuxmaîtriser l'exploitation,
- une connaissance de l'état des équipements afin de remédier àtemps toute défaillance éventuelle et augmenter la longévitéde l'ouvrage.
Un programme détaillé est proposé en Annexe 5. Il comporte :
1 - Contrôle de la nappe aquifère :
- Evolution de la pression statique, par un enregistrementcontinu,
- Evolution de la productivité de la nappe, par des tests parpaliers de débit.
2 - Contrôle du puits et des équipements :
- Etat de la pompe, par mesures conjointes débit/rabattement,
- Etat de la colonne, par examen à l'aide de la caméra-vidéo.
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13. CONTROLE DU CAPTAGE
Le captage de MONTBOUY, permettant l'alimentation en eau potable àpartir de la nappe de l'Albien, est le premier ouvrage public de grandecimpleur dans le Loiret - et même dans la Région Centre.
L'importance que revêt cet ouvrage pour le Syndicat - ainsi quepour la région - nécessite un contrôle régulier ayant un double ob¬jectif :
- une meilleure connaissance de la ressource afin de mieuxmaîtriser l'exploitation,
- une connaissance de l'état des équipements afin de remédier àtemps toute défaillance éventuelle et augmenter la longévitéde l'ouvrage.
Un programme détaillé est proposé en Annexe 5. Il comporte :
1 - Contrôle de la nappe aquifère :
- Evolution de la pression statique, par un enregistrementcontinu,
- Evolution de la productivité de la nappe, par des tests parpaliers de débit.
2 - Contrôle du puits et des équipements :
- Etat de la pompe, par mesures conjointes débit/rabattement,
- Etat de la colonne, par examen à l'aide de la caméra-vidéo.
ANNEXE 1
COMPTES-RENDUS JOURNALIERS
ANNEXE 1
COMPTES-RENDUS JOURNALIERS
02-11-1988 au04-11-1988 - Déchargement
07-11-1988 - Montage
14-11-1988 - Montage, fabrication boue bentonitique
15-11-1988 - Fin du montage des installations ; descente outil 17^-^^- Forage de 0 à 13 m
16-11-1988 - Remontée outil 17*/^, descente aléseur 33" - Alésage de 0 à10,20 m, remontée aléseur
17-11-1988 - Contrôle de trou avec aléseur 33" ; descente tubage 28" à8,80 m - Cimentation - Remontée du laitier au jour
21-11-1988 - Descente outil 17*^=* à 8,6 m. Reforage ciment - Poursuiteforation jusqu'à 19,5 m. Perte totale à 17,5 m (injectionde boue bentonitique puis forage à l'eau claire). Remontéeoutil. Vidange des tuyauteries de surface, en raison du gel
22-11-1988 - Remontage des tuyauteries - Fabrication d'un béton visqueuxpour colmater les pertes. Injection entre 19,5 et 14 m
Attente de prise
23-11-1988 - Démontage et remontage des pompes à boue et pompe désableurFabrication boue - Descente outil 17*^=* - Reforage bétonPoursuite foration jusqu'à 31 m - Panne du moteur du tamisPoursuite foration jusqu'à 42 m
24-11-1988 - Foration jusqu'à 110 m - Circulation sans foration pendantle poste de nuit
25-11-1988 - Remontée outil - Frottements à la remontée - Dégerbagetiges - Descente aléseur - Alésage de 8,7 à 13,2 m. Pertespartielles à 10 m
26-11-1988 - Installation d'un piquage sur conduite d'eau du châteaud'eau - Remontée train de tiges. Envoi de colmatant(déchets de papier + tissus) - Descente outil - Alésagejusqu'à 60,3 m
27-11-1988 - Alésage de 60,3 m à 110,95 m. Difficultés avec treuilprincipal. Remontée garniture
28-11-1988 - Suite remontée garniture constaté perte d'une molette de1 'aléseur. Descente appareil mesure, déviation dans tube de3 m suspendu au câble. Collage au terrain - Mesuredifficile - Attente élévateur pour tubes 18^^^. Début dedescente des tubes 18*''®. Centreurs non conformes. Attentenouveaux centreurs
29-11-1989 - Arrivée centreurs. Descente tubages 18=^°. Coincement à91,6 m. Essai de traction à 80 T sans résultat. Essai debattage avec masse-tiges - Sans résultat - Circulation
02-11-1988 au04-11-1988 - Déchargement
07-11-1988 - Montage
14-11-1988 - Montage, fabrication boue bentonitique
15-11-1988 - Fin du montage des installations ; descente outil 17^-^^- Forage de 0 à 13 m
16-11-1988 - Remontée outil 17*/^, descente aléseur 33" - Alésage de 0 à10,20 m, remontée aléseur
17-11-1988 - Contrôle de trou avec aléseur 33" ; descente tubage 28" à8,80 m - Cimentation - Remontée du laitier au jour
21-11-1988 - Descente outil 17*^=* à 8,6 m. Reforage ciment - Poursuiteforation jusqu'à 19,5 m. Perte totale à 17,5 m (injectionde boue bentonitique puis forage à l'eau claire). Remontéeoutil. Vidange des tuyauteries de surface, en raison du gel
22-11-1988 - Remontage des tuyauteries - Fabrication d'un béton visqueuxpour colmater les pertes. Injection entre 19,5 et 14 m
Attente de prise
23-11-1988 - Démontage et remontage des pompes à boue et pompe désableurFabrication boue - Descente outil 17*^=* - Reforage bétonPoursuite foration jusqu'à 31 m - Panne du moteur du tamisPoursuite foration jusqu'à 42 m
24-11-1988 - Foration jusqu'à 110 m - Circulation sans foration pendantle poste de nuit
25-11-1988 - Remontée outil - Frottements à la remontée - Dégerbagetiges - Descente aléseur - Alésage de 8,7 à 13,2 m. Pertespartielles à 10 m
26-11-1988 - Installation d'un piquage sur conduite d'eau du châteaud'eau - Remontée train de tiges. Envoi de colmatant(déchets de papier + tissus) - Descente outil - Alésagejusqu'à 60,3 m
27-11-1988 - Alésage de 60,3 m à 110,95 m. Difficultés avec treuilprincipal. Remontée garniture
28-11-1988 - Suite remontée garniture constaté perte d'une molette de1 'aléseur. Descente appareil mesure, déviation dans tube de3 m suspendu au câble. Collage au terrain - Mesuredifficile - Attente élévateur pour tubes 18^^^. Début dedescente des tubes 18*''®. Centreurs non conformes. Attentenouveaux centreurs
29-11-1989 - Arrivée centreurs. Descente tubages 18=^°. Coincement à91,6 m. Essai de traction à 80 T sans résultat. Essai debattage avec masse-tiges - Sans résultat - Circulation
30-11-1988 - Cimentation du tubage 18*^® - Attente de prise de cimentDémontage pompe à boue. Changement chemises et piston
01-12-1988 - Attente de prise (fin) - Descente outil 17^/=* - Reforagebouchon de ciment jusqu'à 85,2 m. Couple important.Remontée de l'outil
02-12-1988 - Descente outil 12^^* - Reforage ciment jusqu'à 110 m -Foration jusqu'à 115 m - Remontée outil au jour - Descenteoutil n*''* - Alésage 12*^* x 17*^= de 86 à 92 m
03-12-1988 - Alésage 17*-'^ jusqu'à 115 m - Fabrication boue neuve -Descente tubage 13^^® ; sabot à 114,50 m, tête à 85,62 m
Cimentation - Attente de prise
04-12-1988 - Attente prise de ciment
05-12-1988 - Reforage bouchon de ciment ; fabrication boue neuveRemontée de l'outil 12^^"^
06-12-1988 - Descente outil 8^^^ ; foration de 115 à 208 m
07-12-1988 - Foration de 208 à 315 m
08-12-1988 - Foration de 315 à 344 m - Circulation - Pose d'un bouchonde ciment à 335 m ; remontée outil 8^^^ ; Descente outil
09-12-1988 - Alésage 8*^= x 12*-"* jusqu'à 275 m. Coincements dans lesgrès
10-12-1988 - Alésage jusqu'à 332 m - Mesure déviation - Contrôle de trouCoincements à la remontée des tiges - Nouveau contrôle detrou
11-12-1988 - Descente du tubage 9*^® à 331 m - Cimentation
12-12-1988 - Remontée des tubes 9*''® situés au-dessus de la DV
(libération de la chambre de pompage)
13-12-1988 - Foration du bouchon de ciment, anneau et sabot. Forationjusqu'à 349 m. Remontée outil. Descente carottier.Carottage de 349 à 351,6 m - Remontée et descente ducarottier
14-12-1988 - Carottage jusqu'à 354,65 m puis foration jusqu'à 376 m
15-12-1988 - Carottage jusqu'à 379 m - Vidange bourbier et bacs à boueForation jusqu'à 429 m
16-12-1988 - Foration jusqu'à 481,8 m - Contrôle de trou - Diagraphies
17-12-1988 - Diagraphies (suite) - Vidange des bourbiers - Nettoyage desbacs à boue - Nettoyage chantier
30-11-1988 - Cimentation du tubage 18*^® - Attente de prise de cimentDémontage pompe à boue. Changement chemises et piston
01-12-1988 - Attente de prise (fin) - Descente outil 17^/=* - Reforagebouchon de ciment jusqu'à 85,2 m. Couple important.Remontée de l'outil
02-12-1988 - Descente outil 12^^* - Reforage ciment jusqu'à 110 m -Foration jusqu'à 115 m - Remontée outil au jour - Descenteoutil n*''* - Alésage 12*^* x 17*^= de 86 à 92 m
03-12-1988 - Alésage 17*-'^ jusqu'à 115 m - Fabrication boue neuve -Descente tubage 13^^® ; sabot à 114,50 m, tête à 85,62 m
Cimentation - Attente de prise
04-12-1988 - Attente prise de ciment
05-12-1988 - Reforage bouchon de ciment ; fabrication boue neuveRemontée de l'outil 12^^"^
06-12-1988 - Descente outil 8^^^ ; foration de 115 à 208 m
07-12-1988 - Foration de 208 à 315 m
08-12-1988 - Foration de 315 à 344 m - Circulation - Pose d'un bouchonde ciment à 335 m ; remontée outil 8^^^ ; Descente outil
09-12-1988 - Alésage 8*^= x 12*-"* jusqu'à 275 m. Coincements dans lesgrès
10-12-1988 - Alésage jusqu'à 332 m - Mesure déviation - Contrôle de trouCoincements à la remontée des tiges - Nouveau contrôle detrou
11-12-1988 - Descente du tubage 9*^® à 331 m - Cimentation
12-12-1988 - Remontée des tubes 9*''® situés au-dessus de la DV
(libération de la chambre de pompage)
13-12-1988 - Foration du bouchon de ciment, anneau et sabot. Forationjusqu'à 349 m. Remontée outil. Descente carottier.Carottage de 349 à 351,6 m - Remontée et descente ducarottier
14-12-1988 - Carottage jusqu'à 354,65 m puis foration jusqu'à 376 m
15-12-1988 - Carottage jusqu'à 379 m - Vidange bourbier et bacs à boueForation jusqu'à 429 m
16-12-1988 - Foration jusqu'à 481,8 m - Contrôle de trou - Diagraphies
17-12-1988 - Diagraphies (suite) - Vidange des bourbiers - Nettoyage desbacs à boue - Nettoyage chantier
18-12-1988 - Entretien chantier - Attente crépine
19-12-1988 - Idem
20-12-1988 - Idem
21-12 au02-01-1989 - Congés
03-01-1989 - Contrôle de trou avec outil 8*''=* - Posé à 376 m puis 441 m
Reforage de 441 à 474,8 m
04-01-1989 - Descente élargisseur - Fabrication boue - Elargissage en14" de 331 à 456,8 m
05-01-1989 - Poursuite elargissage jusqu'à 475 m - Circulation, remontéealéseur - Descente colonne de captage
06-01-1989 - Descente colonne de captage (fin) - Gravillonnage
07-01-1989 - Eclaircissement boue, mise en artésianisme
08-01-1989 - Suite. Préparation air-lift
09-01-1989 - Développement air-lift
10-01-1989 - Suite ; dégerbage
11-01-1989 - Mise en place pompe
12-01-1989 - Développement à la pompe (20 à 60 m3/h)
13-01-1989 - Développement à la pompe (60 à 100 m3/h)
14-01-1989 - Essais de débit par paliers
15-01-1989 - Essais de débit par paliers
16-01-1989 - Fin des essais par paliers. Remontée de niveau - Essai depompage longue durée
17-01-1989 - Essai de pompage longue durée
18-01-1989 - Idem
19-01-1989 - Observation remontée
20-01-1989 - Idem
21-01-1989 - Idem
23-01-1989 - Début démontage chantier
24-01-1989 - Caméra-vidéoFermeture du puits
18-12-1988 - Entretien chantier - Attente crépine
19-12-1988 - Idem
20-12-1988 - Idem
21-12 au02-01-1989 - Congés
03-01-1989 - Contrôle de trou avec outil 8*''=* - Posé à 376 m puis 441 m
Reforage de 441 à 474,8 m
04-01-1989 - Descente élargisseur - Fabrication boue - Elargissage en14" de 331 à 456,8 m
05-01-1989 - Poursuite elargissage jusqu'à 475 m - Circulation, remontéealéseur - Descente colonne de captage
06-01-1989 - Descente colonne de captage (fin) - Gravillonnage
07-01-1989 - Eclaircissement boue, mise en artésianisme
08-01-1989 - Suite. Préparation air-lift
09-01-1989 - Développement air-lift
10-01-1989 - Suite ; dégerbage
11-01-1989 - Mise en place pompe
12-01-1989 - Développement à la pompe (20 à 60 m3/h)
13-01-1989 - Développement à la pompe (60 à 100 m3/h)
14-01-1989 - Essais de débit par paliers
15-01-1989 - Essais de débit par paliers
16-01-1989 - Fin des essais par paliers. Remontée de niveau - Essai depompage longue durée
17-01-1989 - Essai de pompage longue durée
18-01-1989 - Idem
19-01-1989 - Observation remontée
20-01-1989 - Idem
21-01-1989 - Idem
23-01-1989 - Début démontage chantier
24-01-1989 - Caméra-vidéoFermeture du puits
ANNEXE 2
DESCRIPTION DES CAROTTES
ANNEXE 2
DESCRIPTION DES CAROTTES
Passe carottée n* 1 : 2,65 m carottés (entre 349 et 251,65 m)2,15 m recueillis
- Matériel brut :
Sables micacés intimement mélangés à des argiles noires couleurgris-noir avec des passées verdâtres (sables colorés en vert)
- Après lavage :
Sables fins à moyens, grains de quartz translucides de couleurblanc-grisâtre mais aussi parfois jaune. Les grains sont le plus souventémoussés luisants mais il y a aussi des grains très arrondis de petitetaille. Le micas est abondant.
La base de la carotte est beaucoup plus argileuse : argile plasti¬que noire très micacée et légèrement sableuse, présence de petitsgraviers inclus dans l'argile ; dragées de quartz blanc ou jaune maisaussi parfois rouge.
A 20 cm de la base de la carotte, présence d'une passée gréseusegris-clair. Ces grès sont très fins et poreux. Ils sont légers etrappellent le spongolite. Dans ce niveau, présence d'un élément conso¬lidé jaunâtre. Après cassure, l'intérieur est brun et constitué d'unciment siliceux dans lequel se trouvent incorporés des petits grains dequartz.
Passe Carottée n" 2 : 3 m carottés2,80 m recueillis
Assez comparable à la carotte précédente, les sables argileuxpossèdent une couleur plus claire (gris-verdâtre) et la fraction argi¬leuse qu'ils renferment est dans l'ensemble moins abondante.
A 25 cm de la base de la carotte, passée nettement plus argileusesur 10 cm
On trouve quelques galets de grès blancs (spongolite) à diversniveaux de la carotte.
Passe Carottée n* 3 : 3 m carottés0,95 m recueillis (entre 1,30 et 2,50 m)
Au sommet quelques galets de grès fins grisâtres et très léger cartrès poreux (spongolite). Ces grès sont mouchetés de petits points noirsde glauconie.
Ces galets ont empêché le carottage au début et sont responsablesdu faible taux de récupération car ils étaient probablement tombés aufond du forage avant le début du carottage.
0,92 m d'argiles noires plastiques très micacées renfermant parendroit des agrégats de sables fins micacés de teinte gris clair.
N.B. : On remarquera que les sables argileux carottés donnent uneréponse minimale en diagraphie gamma-ray. Ces sables sont doncreprésentatifs des niveaux les moins argileux de l'Albien
Passe carottée n* 1 : 2,65 m carottés (entre 349 et 251,65 m)2,15 m recueillis
- Matériel brut :
Sables micacés intimement mélangés à des argiles noires couleurgris-noir avec des passées verdâtres (sables colorés en vert)
- Après lavage :
Sables fins à moyens, grains de quartz translucides de couleurblanc-grisâtre mais aussi parfois jaune. Les grains sont le plus souventémoussés luisants mais il y a aussi des grains très arrondis de petitetaille. Le micas est abondant.
La base de la carotte est beaucoup plus argileuse : argile plasti¬que noire très micacée et légèrement sableuse, présence de petitsgraviers inclus dans l'argile ; dragées de quartz blanc ou jaune maisaussi parfois rouge.
A 20 cm de la base de la carotte, présence d'une passée gréseusegris-clair. Ces grès sont très fins et poreux. Ils sont légers etrappellent le spongolite. Dans ce niveau, présence d'un élément conso¬lidé jaunâtre. Après cassure, l'intérieur est brun et constitué d'unciment siliceux dans lequel se trouvent incorporés des petits grains dequartz.
Passe Carottée n" 2 : 3 m carottés2,80 m recueillis
Assez comparable à la carotte précédente, les sables argileuxpossèdent une couleur plus claire (gris-verdâtre) et la fraction argi¬leuse qu'ils renferment est dans l'ensemble moins abondante.
A 25 cm de la base de la carotte, passée nettement plus argileusesur 10 cm
On trouve quelques galets de grès blancs (spongolite) à diversniveaux de la carotte.
Passe Carottée n* 3 : 3 m carottés0,95 m recueillis (entre 1,30 et 2,50 m)
Au sommet quelques galets de grès fins grisâtres et très léger cartrès poreux (spongolite). Ces grès sont mouchetés de petits points noirsde glauconie.
Ces galets ont empêché le carottage au début et sont responsablesdu faible taux de récupération car ils étaient probablement tombés aufond du forage avant le début du carottage.
0,92 m d'argiles noires plastiques très micacées renfermant parendroit des agrégats de sables fins micacés de teinte gris clair.
N.B. : On remarquera que les sables argileux carottés donnent uneréponse minimale en diagraphie gamma-ray. Ces sables sont doncreprésentatifs des niveaux les moins argileux de l'Albien
ANNEXE 3
ANALYSES CHIMIQUES
ANNEXE 3
ANALYSES CHIMIQUES
CEPAi^TEMENT D\J LOIRET
DIRcCTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABJRATÜIRE CEP ARTtMENTAL OE BACTERIOLOGIE & O'HVGIENE
33, RUE STANiaAS JULIEN A5CCC CRLEANSTELEPHONE BS-S^-'ta-CC PÜSTE331
LA3CH0323
EULLETIN 0« ANALYSE
A^^EE iy89
COPhJ.Nt NCMECUY
LIEU DE PPELEVEMENI: FORAGE EEL AIR
ÜATE PRELEVEMENT 1*:-Q1-EÇ A 11 hEUiES 30
ORIGINE CU PRELEVEMENT EMERGENCE
D' E A L
^U^EPCD'IKSCRIFTICN
AL REGISTREOU LA8CBATCIPE
ID H33252H
EXAMEN PHYSIQUE
T£NP£RATURE DE L* AIR
TEKPiRATURE CE L« cAU
AiPBCT 0£ L'EAU
TURôIJITE
PH AU LAECPATOIRE
PH APRtS M/SRERE
RESISTIV ITE ELECTRIQUE
EXAMEN ChIMIQUE
DiJi^cTE TCTALE (TH)
T ITrfE ALCALIMETRIûùE COMPLET ITAC)
TITRE ALCALIMETRIÍüE COMPL AP MARBRE
U'¿ CEJc FAR KilNOA ¿HAUC, ALCALIN ICM
6, S DEGRES CELSIUS
23, C DEGRES CELSIUS
IRCUBLE
2 50 G0ÜT3ES IE MASTIC
6,6C LNITES DE PH
7,3C LNITES DE FH
5815 CH^S X C« A 20 C
9,5 DEGRES FRANÇAIS
Ê,l DEGRES FRANÇAIS
18,2 DEGRES FRANÇAIS
C,2 ^G/L D'CXYGENE
FLUOR 0,22 MG/L DE FLUORURE
CEPAi^TEMENT D\J LOIRET
DIRcCTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABJRATÜIRE CEP ARTtMENTAL OE BACTERIOLOGIE & O'HVGIENE
33, RUE STANiaAS JULIEN A5CCC CRLEANSTELEPHONE BS-S^-'ta-CC PÜSTE331
LA3CH0323
EULLETIN 0« ANALYSE
A^^EE iy89
COPhJ.Nt NCMECUY
LIEU DE PPELEVEMENI: FORAGE EEL AIR
ÜATE PRELEVEMENT 1*:-Q1-EÇ A 11 hEUiES 30
ORIGINE CU PRELEVEMENT EMERGENCE
D' E A L
^U^EPCD'IKSCRIFTICN
AL REGISTREOU LA8CBATCIPE
ID H33252H
EXAMEN PHYSIQUE
T£NP£RATURE DE L* AIR
TEKPiRATURE CE L« cAU
AiPBCT 0£ L'EAU
TURôIJITE
PH AU LAECPATOIRE
PH APRtS M/SRERE
RESISTIV ITE ELECTRIQUE
EXAMEN ChIMIQUE
DiJi^cTE TCTALE (TH)
T ITrfE ALCALIMETRIûùE COMPLET ITAC)
TITRE ALCALIMETRIÍüE COMPL AP MARBRE
U'¿ CEJc FAR KilNOA ¿HAUC, ALCALIN ICM
6, S DEGRES CELSIUS
23, C DEGRES CELSIUS
IRCUBLE
2 50 G0ÜT3ES IE MASTIC
6,6C LNITES DE PH
7,3C LNITES DE FH
5815 CH^S X C« A 20 C
9,5 DEGRES FRANÇAIS
Ê,l DEGRES FRANÇAIS
18,2 DEGRES FRANÇAIS
C,2 ^G/L D'CXYGENE
FLUOR 0,22 MG/L DE FLUORURE
CXyjENE CISSCÜS MhEClAT
CICXYJE CE CARBONE LIBRE
SILICE
FER FEARCUX
PhCSPriATE TCTAL MIUERAL
ALUMINIUV
INF A C,5 ^G/l O'CXYGENE
61 i'G/L DE CC2
11,1 fG/L DE SIC2
eeCC MCRCGRAM«ES/L CE FER
INF A Cl fGyL DE PHCSPHATE
C,C17 ^G/L ALUKIMU^»
CüJ-JPOSITION CHIMIQUE
1 CAlCIJH
1 f AiNûS lUK
j SCaiJM
1 PCTAjSJUN
i A^HùNlu^'
1 fek total
J TANJAN ESE
_ :
1 CARdÜNATES
CATIONS 1 UNITE
1 MG/L i)E CALCILK
1 MG/L OE MAGNESIUM
1 WG SOUIIJM/L
1 MG/L OE PCTASSIUN
j MG/L D'AMí'OML^
1 WICR05KAMKES/L JE
TOTíL 1 HICRÛGRAMHES/L OE
TOTAL 1
ANIONS 1 LNITE
) MG/L DE CARBONATE
1 HYORUüENCCflREONATtS J MG/L DE H2C03
1 CFLCKJPES
i SULFATES
1 NITRITES
1 MTRAT£S
1 MG/L OE CHLCRLRE
1 MG/L DE SULFATE
1 MG/L NITRITE
1 MG/L NITRATE
TOTAL 1
EXAMEN BACTERIOLCGIQLE
RESULTAT
23,5
3,3
3,7
2,5
0,02
10250
155
FESULTAT
0
99
9
13
0 ,03
1
^EC/L I
1,175 1
1 0,271 I
0,160 1
0,0ó4 1
0,00 1 1
0,3d6 ]
0,005 J
2,042 1
fEZ/L 1
0,000 1
1*622 ]
1 0,253 1
1 0,270 J
0,000 ]
0,0 ló 1
2,161 1
£ACT¿nldS CCLIFCR.^lS TOTALES /ICCHL
SACrERIES CCLIfuPi'lLS I CEÍJT If ICAT lOU
ESCh¿.{ICHA CCLI DANS ICC f'.L
CITRCBACTES
C
CXyjENE CISSCÜS MhEClAT
CICXYJE CE CARBONE LIBRE
SILICE
FER FEARCUX
PhCSPriATE TCTAL MIUERAL
ALUMINIUV
INF A C,5 ^G/l O'CXYGENE
61 i'G/L DE CC2
11,1 fG/L DE SIC2
eeCC MCRCGRAM«ES/L CE FER
INF A Cl fGyL DE PHCSPHATE
C,C17 ^G/L ALUKIMU^»
CüJ-JPOSITION CHIMIQUE
1 CAlCIJH
1 f AiNûS lUK
j SCaiJM
1 PCTAjSJUN
i A^HùNlu^'
1 fek total
J TANJAN ESE
_ :
1 CARdÜNATES
CATIONS 1 UNITE
1 MG/L i)E CALCILK
1 MG/L OE MAGNESIUM
1 WG SOUIIJM/L
1 MG/L OE PCTASSIUN
j MG/L D'AMí'OML^
1 WICR05KAMKES/L JE
TOTíL 1 HICRÛGRAMHES/L OE
TOTAL 1
ANIONS 1 LNITE
) MG/L DE CARBONATE
1 HYORUüENCCflREONATtS J MG/L DE H2C03
1 CFLCKJPES
i SULFATES
1 NITRITES
1 MTRAT£S
1 MG/L OE CHLCRLRE
1 MG/L DE SULFATE
1 MG/L NITRITE
1 MG/L NITRATE
TOTAL 1
EXAMEN BACTERIOLCGIQLE
RESULTAT
23,5
3,3
3,7
2,5
0,02
10250
155
FESULTAT
0
99
9
13
0 ,03
1
^EC/L I
1,175 1
1 0,271 I
0,160 1
0,0ó4 1
0,00 1 1
0,3d6 ]
0,005 J
2,042 1
fEZ/L 1
0,000 1
1*622 ]
1 0,253 1
1 0,270 J
0,000 ]
0,0 ló 1
2,161 1
£ACT¿nldS CCLIFCR.^lS TOTALES /ICCHL
SACrERIES CCLIfuPi'lLS I CEÍJT If ICAT lOU
ESCh¿.{ICHA CCLI DANS ICC f'.L
CITRCBACTES
C
SPCKL-J í:« ¿NAERCeicj SULflIÜ REU/2CML
STKLVfuCCCUES FECAJX CANS ICCML
NJMcKAT E/CT AEROiilES /ML 24F A 27C
NüfERAT E/CT AEROdlES /ML îiF A 2CC
C
C
2
INF A 1
CCNCLU5ICNS
Eau de faible mineralls atic», da type bicarbonatú caldque - Très forte turbiditéet teneur excessive en fer, non conforme à In législation.
Ilau agressive -Forte tenetir en manganèseZLau oxeoçte de germes dangereiix malgré la présence de quelques coliformes.
ORLEANS, LE 13 FEVRIER 1989
LE DIRECTEUR DU LABCRATCIRE
SPCKL-J í:« ¿NAERCeicj SULflIÜ REU/2CML
STKLVfuCCCUES FECAJX CANS ICCML
NJMcKAT E/CT AEROiilES /ML 24F A 27C
NüfERAT E/CT AEROdlES /ML îiF A 2CC
C
C
2
INF A 1
CCNCLU5ICNS
Eau de faible mineralls atic», da type bicarbonatú caldque - Très forte turbiditéet teneur excessive en fer, non conforme à In législation.
Ilau agressive -Forte tenetir en manganèseZLau oxeoçte de germes dangereiix malgré la présence de quelques coliformes.
ORLEANS, LE 13 FEVRIER 1989
LE DIRECTEUR DU LABCRATCIRE
CEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABORATOaRE DEPARTEMENTAL OE BACTERIOLOGIE ¿ D'HYGIENE
LABCH0323
33, RUE STANISLAS JULIEN 45GC0 ORLEANSTELEPHONE 3»-54-^3-0C P0STE331
BULLETIN D'ANALYSE D'EAU
ANNEii i<> a<i
ZCf-f^Hc MCNT BÛUY
I.IEU DE PRELEVEMENT^: FORAGE EEL AIR
ÛATE PRELEVEMENT Ib-Gl-ES A 11 HEURES 30
JRlGiNc DU PRELEVEHLNT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD » I NS CR I PT I C N
AU REGISTREDU LABORATOIRE
LD H83253S
RESIDJ SEC A laOC
CÜ IV Rc
ZINC
AZCTE TCTAL (KJELuAHL)
PHCSPHUPE TCTAL
CYAi*jaES TOTAUX
AüEííTS CE SURFACE AN IONIQUES
INDICE PHENOL
0,14Ç G/L
I NF A 5 HICPCGRAMMES/L DE CU
INF A 10 fICRCGRAMMES/L DE ZN
INF A 0,5 ^G/AZCTE ÍNI/L
INF A Cl Kî PHGSPHGRE/L
INF A 5 MICRCGRAMMES/L
INF A 0,02 fG/L
INF A 0,02 MG/L C6H50H
".¿NCLUSICNSLes teneurs des paramètres chimiques étudiés sont conformes è la législation.
ORLEANS, LE 31 JANVIER 1989
LE DIRECTEUR "OU LABORATOIRE
Fboprco .
DQprPass ks
CEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABORATOaRE DEPARTEMENTAL OE BACTERIOLOGIE ¿ D'HYGIENE
LABCH0323
33, RUE STANISLAS JULIEN 45GC0 ORLEANSTELEPHONE 3»-54-^3-0C P0STE331
BULLETIN D'ANALYSE D'EAU
ANNEii i<> a<i
ZCf-f^Hc MCNT BÛUY
I.IEU DE PRELEVEMENT^: FORAGE EEL AIR
ÛATE PRELEVEMENT Ib-Gl-ES A 11 HEURES 30
JRlGiNc DU PRELEVEHLNT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD » I NS CR I PT I C N
AU REGISTREDU LABORATOIRE
LD H83253S
RESIDJ SEC A laOC
CÜ IV Rc
ZINC
AZCTE TCTAL (KJELuAHL)
PHCSPHUPE TCTAL
CYAi*jaES TOTAUX
AüEííTS CE SURFACE AN IONIQUES
INDICE PHENOL
0,14Ç G/L
I NF A 5 HICPCGRAMMES/L DE CU
INF A 10 fICRCGRAMMES/L DE ZN
INF A 0,5 ^G/AZCTE ÍNI/L
INF A Cl Kî PHGSPHGRE/L
INF A 5 MICRCGRAMMES/L
INF A 0,02 fG/L
INF A 0,02 MG/L C6H50H
".¿NCLUSICNSLes teneurs des paramètres chimiques étudiés sont conformes è la législation.
ORLEANS, LE 31 JANVIER 1989
LE DIRECTEUR "OU LABORATOIRE
Fboprco .
DQprPass ks
CEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LAEORATUiRE CEPARTEMENTAL DE BACTERIOLOGIE i D'HYGIENE
LABCH0323
33, RUE STANISLAS JULIEN 45C00 ORLEANSTELEPHONE 3Ô-54-43-0C P0STE331
BULLETIN D' ANALYSE D'EAU
ANNEE 1V89
COMKJNt MCNT BOU Y
LlcU ܣ PRELEVEMENT: FORAGE Ca AIR
¿ATE PRELEVEMENT Ib-Ol-E? A 11 HEURES 30
ORIGINE ÍXJ PRELEVEMLNT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD'INSCRIPTION
AU REGISTREDU LABORATOIRE
LD H83255J
ARStNiL
ANTlMuINE
MERCURE
SELcNlJ M
INF A 5 MICPCGRAMMES/L DE AS
INF A 1 MICRCGRAMMES/L CE SB
INF A 0,2 MICRCGRAMMES/L CE HG
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE SE
CONCLUS ICNSLes teneurs des paramètres chimiqnes étudiés sont conformes à la législation
ORLEANS, LE 31 JANVIER 1989
LE DIRECTE,Là DU LABORATOIRE
CEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LAEORATUiRE CEPARTEMENTAL DE BACTERIOLOGIE i D'HYGIENE
LABCH0323
33, RUE STANISLAS JULIEN 45C00 ORLEANSTELEPHONE 3Ô-54-43-0C P0STE331
BULLETIN D' ANALYSE D'EAU
ANNEE 1V89
COMKJNt MCNT BOU Y
LlcU ܣ PRELEVEMENT: FORAGE Ca AIR
¿ATE PRELEVEMENT Ib-Ol-E? A 11 HEURES 30
ORIGINE ÍXJ PRELEVEMLNT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD'INSCRIPTION
AU REGISTREDU LABORATOIRE
LD H83255J
ARStNiL
ANTlMuINE
MERCURE
SELcNlJ M
INF A 5 MICPCGRAMMES/L DE AS
INF A 1 MICRCGRAMMES/L CE SB
INF A 0,2 MICRCGRAMMES/L CE HG
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE SE
CONCLUS ICNSLes teneurs des paramètres chimiqnes étudiés sont conformes à la législation
ORLEANS, LE 31 JANVIER 1989
LE DIRECTE,Là DU LABORATOIRE
DEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABORATOIRE DEPARTEMENTAL DE BACTERIOLOGIE 4 D'HYGIENE
33, RUE STANISLAS JULIEN 45000 ORLEANSTELEPHONE 38-54-43-00 P0STE331
LAB0H03
BULLETIN D» ANALYSE D'EAU
ANNEE 19 89
COMMUNE MCNTBOUY
LIEU ut PRELEVEMENT: FORAGE BEL AIR
JATE PRELEVEMENT ia-Ol-89 A II HEURES 30
JRIGINE OU PRELEVEMENT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD'INSCRIPTICN
AU REGISTREOU LABORATOIRE
LD H33254A
ARGENT
CAÜMIJM
CHROME TCTAL
NICKEL
PL 0,4 B
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE AG
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE CD
I NF A 5 MICRCGRAMMES/L DE CR
INF A 5 MICRCGRAMMES/L DE NI
INF A 5 MICRCGRAMMES/L OE P8
INCLUSIONS
Les teneurs des paramètres chimiques étudiés sont conformes a. la législation.
ORLEANS, LE 27 JANVIER 1989
LE 01 RECTEUR» DU LABCRATOIRE
ir)
DEPARTEMENT DU LOIRET
DIRECTION ACTION SOCIALE DEPARTEMENTALE
LABORATOIRE DEPARTEMENTAL DE BACTERIOLOGIE 4 D'HYGIENE
33, RUE STANISLAS JULIEN 45000 ORLEANSTELEPHONE 38-54-43-00 P0STE331
LAB0H03
BULLETIN D» ANALYSE D'EAU
ANNEE 19 89
COMMUNE MCNTBOUY
LIEU ut PRELEVEMENT: FORAGE BEL AIR
JATE PRELEVEMENT ia-Ol-89 A II HEURES 30
JRIGINE OU PRELEVEMENT EMERGENCE
EXAMEN CHIMIQUE
NUMEROD'INSCRIPTICN
AU REGISTREOU LABORATOIRE
LD H33254A
ARGENT
CAÜMIJM
CHROME TCTAL
NICKEL
PL 0,4 B
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE AG
INF A 1 MICRCGRAMMES/L DE CD
I NF A 5 MICRCGRAMMES/L DE CR
INF A 5 MICRCGRAMMES/L DE NI
INF A 5 MICRCGRAMMES/L OE P8
INCLUSIONS
Les teneurs des paramètres chimiques étudiés sont conformes a. la législation.
ORLEANS, LE 27 JANVIER 1989
LE 01 RECTEUR» DU LABCRATOIRE
ir)
I'L
Mairie de Paris
DIRECTION DE LEAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LASANTERESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Monsieur le Président du S.I.A.E.P. de la NivelleMairie.de MONTBOUY - MONTBOUY 45230 CHATILLON COLIGNY .
ANALYSE N» C 89 S 0427 fictif pour lequel a été demandée l'analyse :
Echantillons reçus le 20 Janvier 1989
CO
co
cnx:(J
LU
n» 1 Forage Bel Air à MONTBOUY H Y D 83252 K
n° 2
n" 3
n° 4
PARAMETRES GLOBAUX
Indice Phénol pg/l
Cyanures Totaux ug'l
LiDres -Q'I
Détergents aniopiques ugil
non ioniques ug/l
Carbone organique total mg :
Hydrocarbures indice CH2 en I.R.
- avant florisil mg/l
- après flonsii nig/i
PESTICIDES ORGANO-AZOTES
Simazine
Atrazme
Propazine
Prométhrine
nanogrammes/l
N= 1 N" ?
<-0,l
^ 0.01
ng/l
ng/l
ng/i
ng/l
ng/l
ng/l
nqyi
ngd
ng/l
C 50
^ 50
< 50
^50
U" 3 N- 4
144 " 156 AVFMJr l'-i.!L-V":l.l.'^N"^ CCi TLipit; i
PoflíKjo
-^"if. TEl 4v, 5r î':'-: r(-
I'L
Mairie de Paris
DIRECTION DE LEAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LASANTERESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Monsieur le Président du S.I.A.E.P. de la NivelleMairie.de MONTBOUY - MONTBOUY 45230 CHATILLON COLIGNY .
ANALYSE N» C 89 S 0427 fictif pour lequel a été demandée l'analyse :
Echantillons reçus le 20 Janvier 1989
CO
co
cnx:(J
LU
n» 1 Forage Bel Air à MONTBOUY H Y D 83252 K
n° 2
n" 3
n° 4
PARAMETRES GLOBAUX
Indice Phénol pg/l
Cyanures Totaux ug'l
LiDres -Q'I
Détergents aniopiques ugil
non ioniques ug/l
Carbone organique total mg :
Hydrocarbures indice CH2 en I.R.
- avant florisil mg/l
- après flonsii nig/i
PESTICIDES ORGANO-AZOTES
Simazine
Atrazme
Propazine
Prométhrine
nanogrammes/l
N= 1 N" ?
<-0,l
^ 0.01
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144 " 156 AVFMJr l'-i.!L-V":l.l.'^N"^ CCi TLipit; i
PoflíKjo
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PESTICIDES ORGANO-CHLORÉS
'ï HCH nanogrammes/l : ng/l
-1 HCH (lindane) ng/l
Heptachlore ng/l
Aldrine ng/l
Heptachlore époxyde ng/l
Dieidrine ng/l
DDE pp' ng/l
TDE ou DDD pp' t ng/l
DDT pp ng/l
ng/l
! ng/l!
ng/l
PLASTIFIANTS
PCB lo; lux ipoivcniorobip'^enyie*;)
»r'-i PCB T ng/l
Phtalates
- DOP ng/l
- DBP ng/l
ng/l
ng/l
ng/l
PFSTICIDFS ORGANO-PHOSPHORES
c.THî'- :- ng/l
f.'.Vii'f ("-, ng/l
ng/l
ng/l
N» 1
Cl
C 2
<4
< 2 .
< 4
< 5
<; 5
<5
N» 2
cio !
1 415 1
j 101
!
i
1
1
< 50 ¡
C 50 i
N» 3
.
'< 1 ',
1
N» 4
.
- -
KN
PARIS, le 14 Février 1989
LlNCiÊNlEUR EN CHE)'
OE LABORATOIRE CENTRAL
DÉPARTEMENT
EAlJx DE SURFACE POLLUTIOK
PESTICIDES ORGANO-CHLORÉS
'ï HCH nanogrammes/l : ng/l
-1 HCH (lindane) ng/l
Heptachlore ng/l
Aldrine ng/l
Heptachlore époxyde ng/l
Dieidrine ng/l
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DDT pp ng/l
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PLASTIFIANTS
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Phtalates
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PFSTICIDFS ORGANO-PHOSPHORES
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N» 3
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N» 4
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KN
PARIS, le 14 Février 1989
LlNCiÊNlEUR EN CHE)'
OE LABORATOIRE CENTRAL
DÉPARTEMENT
EAlJx DE SURFACE POLLUTIOK
PC'
Mairie de ParisDIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LASANTERESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de MonsieurJLe. Président du S^I.A.E.P. _de.JLa...Nivelle.
Mairie.-de.J4ÛNIBDUY -.MONTBOUY. 45230. CHATILLON. COLIGNY. ..
ANALYSE N».J:_B8 S .0427
¤0Co
ctaJZo
LU
l^otif pour lequel a été demandée l'analyse :
Echantillons reçus.. . . le. 20 .Janvier 1989
n" 1 .forage Bel Airn" 2 _
n" 3 .
n" 4 .
HYDROCARBURES POLYCYCLIQUES AROMATIQUES
COItAPOSÉS
Naphtalène
Fluorène
Phénanthréne
.Ë Anthracene
m FluoranthèneQ.
« Pyrène
i Benzo (1.2) Fluorène
5, Chryséneoc Benzanthracène(0
g Benzo (j) Fluoranthène
« Benzo (b) FluoranthèneAt
J Benzo (k) Fluoranthène
S" * Benzo (a) PyrèneQ>
W Benzo (b) ChryséneCO
^ * Benzo (ghi) Pérylène
2 * Indénopyréne
KN
N° 1
<40C 150
C20
^ 0,1
C 1
C 10
C 2
c 20
< 5
N" 2
<1<. 2
^ 4
C 1 'C 5
< 10
PARIS,
L'MÓE
N" 3 N' 4
'
.
.e 14 Févrie
NlbUB EN -OH»
_
i
r 1989
t'WOfcNltun cil "
OE LWORATOIRE CENTRA*.DÉPARTEMENT
..UX DE SURFACE -POaUTtON
144 ET 156, AVENUE PAUL-VAiLLANT COinURIER - 75014 PARIS TÉL. 46 55 85 00
PC'
Mairie de ParisDIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LASANTERESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de MonsieurJLe. Président du S^I.A.E.P. _de.JLa...Nivelle.
Mairie.-de.J4ÛNIBDUY -.MONTBOUY. 45230. CHATILLON. COLIGNY. ..
ANALYSE N».J:_B8 S .0427
¤0Co
ctaJZo
LU
l^otif pour lequel a été demandée l'analyse :
Echantillons reçus.. . . le. 20 .Janvier 1989
n" 1 .forage Bel Airn" 2 _
n" 3 .
n" 4 .
HYDROCARBURES POLYCYCLIQUES AROMATIQUES
COItAPOSÉS
Naphtalène
Fluorène
Phénanthréne
.Ë Anthracene
m FluoranthèneQ.
« Pyrène
i Benzo (1.2) Fluorène
5, Chryséneoc Benzanthracène(0
g Benzo (j) Fluoranthène
« Benzo (b) FluoranthèneAt
J Benzo (k) Fluoranthène
S" * Benzo (a) PyrèneQ>
W Benzo (b) ChryséneCO
^ * Benzo (ghi) Pérylène
2 * Indénopyréne
KN
N° 1
<40C 150
C20
^ 0,1
C 1
C 10
C 2
c 20
< 5
N" 2
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C 1 'C 5
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PARIS,
L'MÓE
N" 3 N' 4
'
.
.e 14 Févrie
NlbUB EN -OH»
_
i
r 1989
t'WOfcNltun cil "
OE LWORATOIRE CENTRA*.DÉPARTEMENT
..UX DE SURFACE -POaUTtON
144 ET 156, AVENUE PAUL-VAiLLANT COinURIER - 75014 PARIS TÉL. 46 55 85 00
PC 5
MAIRIE DE ParisDIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ
1i
RÉSULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Mnngipnr 1p PriSgJripnt. rin ?^ TA.F P rlp la MivpIIp
Mai ri p riP MONTROIIY - MONTROIIY 4F;P:^n PHATTII ON TOI THNY
ANALYSE N» C 89 S 0427
co
cCO
oUl
Motif pour lequel a été demandée l'analyse :
Fnhantillnn.c! rprii^ Ifi 70 .lanvipr lARQ
n* 1 Fnragp Bel Air
n" 2
n» 3
n» 4
COMPOSES ORGANO-HALOGENES VOLATILS
~ -«_____^ Identification du point deNoms ~"~ -.____^ prélèvementdes composés " ~--~______^
Dichlorométhane CH2 CI2
1-1 Dichloroéthane CI2CH-CH3
1-2 Dichloroéthyléne ClCH = CHCI
Chloroforme CHCI3
1-2 Dichloroéthane CICH2-CH2CI
1-1-1 Trichloroéthane CI3 C-CH3
Tétrachlorure de carbone CCI4
Dichloromonobromométhane CHCI2 Br
Trichloréthylène CI2 C = CH Cl
Dibromomonochlorométhane CHBr2CI
Dichloroéthyléne Cl2C=CH2
Bromoforme CHBrs
Tétrachloroéthane C2HC-CHCI2
Tétrachloéthylène CI2 C»CCl2
Limite de
détection
100
1000
100
1
1000
1
0.1
1
1 .
4
5
4
150
5
N" 1 N" 2 N» 3 N» 4
* ( / ) compoté non déMctéRésultats exprimés en microgrammes par litre
144 ET 156. AVENUE PAUL-VAILLANT COUTURIER - 75014 PARIS - TÉL. 46 55 85 00
PC 5
MAIRIE DE ParisDIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ
1i
RÉSULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Mnngipnr 1p PriSgJripnt. rin ?^ TA.F P rlp la MivpIIp
Mai ri p riP MONTROIIY - MONTROIIY 4F;P:^n PHATTII ON TOI THNY
ANALYSE N» C 89 S 0427
co
cCO
oUl
Motif pour lequel a été demandée l'analyse :
Fnhantillnn.c! rprii^ Ifi 70 .lanvipr lARQ
n* 1 Fnragp Bel Air
n" 2
n» 3
n» 4
COMPOSES ORGANO-HALOGENES VOLATILS
~ -«_____^ Identification du point deNoms ~"~ -.____^ prélèvementdes composés " ~--~______^
Dichlorométhane CH2 CI2
1-1 Dichloroéthane CI2CH-CH3
1-2 Dichloroéthyléne ClCH = CHCI
Chloroforme CHCI3
1-2 Dichloroéthane CICH2-CH2CI
1-1-1 Trichloroéthane CI3 C-CH3
Tétrachlorure de carbone CCI4
Dichloromonobromométhane CHCI2 Br
Trichloréthylène CI2 C = CH Cl
Dibromomonochlorométhane CHBr2CI
Dichloroéthyléne Cl2C=CH2
Bromoforme CHBrs
Tétrachloroéthane C2HC-CHCI2
Tétrachloéthylène CI2 C»CCl2
Limite de
détection
100
1000
100
1
1000
1
0.1
1
1 .
4
5
4
150
5
N" 1 N" 2 N» 3 N» 4
* ( / ) compoté non déMctéRésultats exprimés en microgrammes par litre
144 ET 156. AVENUE PAUL-VAILLANT COUTURIER - 75014 PARIS - TÉL. 46 55 85 00
COMPOSÉS ORGANIQUES VOLATILS ET SEMI-VOLATILS
Identification du point deNoms prélèvementdes composés
Ethanol
Acétone
Butanone
Acétate d'Ethyl
Benzène
Methyl isobutyl cétone
Toluène
Metaxylène
Ortho et para xylenes
Limite de
détection
<100
<5
<5
<5
<5
<5
<5
<5
<5
N? 1
N" 2 N" 3 N» 4
( / ) compoté non détecté
KN
Résultats exprimés en microgrammes par litre
PARIS, le 14 Février 1989UlNÜtNltUH tt* V-
DE LABORATOIRE CÊNTh^-DÉPARTEMENT
PAOX OE SUHFACE - POaUTION.^lonêtJ.P'ERSON
COMPOSÉS ORGANIQUES VOLATILS ET SEMI-VOLATILS
Identification du point deNoms prélèvementdes composés
Ethanol
Acétone
Butanone
Acétate d'Ethyl
Benzène
Methyl isobutyl cétone
Toluène
Metaxylène
Ortho et para xylenes
Limite de
détection
<100
<5
<5
<5
<5
<5
<5
<5
<5
N? 1
N" 2 N" 3 N» 4
( / ) compoté non détecté
KN
Résultats exprimés en microgrammes par litre
PARIS, le 14 Février 1989UlNÜtNltUH tt* V-
DE LABORATOIRE CÊNTh^-DÉPARTEMENT
PAOX OE SUHFACE - POaUTION.^lonêtJ.P'ERSON
PC -J
MAIRIE DE PARIS\rj.
DIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ
V
RESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Monsieur.le Préside nt_du_.S.I. A »E-.P^_de_la-_NiVfil2e.
..Mairifi..dB-ilÛN.TBÛUY - M0NTaD!JY...45230_. CHATILLON COLIGNY
ANALYSE N»_C_Ba.SJ)427
o
c
uUJ
n" 1
n° 2
n° 3
n» 4
Motif pour lequel a été demandée l'analyse
Echantillons ... . . ... le
ÉLÉMENTS TRACES
litre par Icrogrammesc
rlmés eQ.K
Ult{in
KN
Arsenic
Cadmium
Chrome hexavalent
total
Cuivre
Mercure
Nickel
Plomb
Sélénium
Zinc
Aluminium
Cobalt
Fer
Manganèse
Anti:moine
Baryum
Beryllium
Bore
Argent
Molybdène
Etain
VANADIUM
As
Cd
Cr
Cr
Cu
Hg
Ni
Pb
Se
Zn
Al
Co
Fe
Mn
Sb
Ba
Be
B
Ag
Mo
Sn
N» 1
. 20 '
¿Jl. 30 . _.
C 5
N" 2
.
....
- . .
PARIS, .
L'
N» 3
-1-.
.
.e 14 Févri
MGENIEUH EN c
N° 4
.- ,.
..
..... _..
er 1989.- .
HEh
DÉPARTEMENTEAUX DE SURFACE - POLLlfnO
144 ET 156. AVENUE PAUL-VAILLANT COUTURIER 75014 PARIS TEL. 46 5585 00
PC -J
MAIRIE DE PARIS\rj.
DIRECTION DE L'EAU ET DE LA PROPRETÉ
CENTRE DE RECHERCHE ET DE CONTRÔLE DES EAUX
LABORATOIRE RÉGIONAL AGRÉÉ PAR LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ
V
RESULTATS DES ANALYSES
effectuées pour le compte de Monsieur.le Préside nt_du_.S.I. A »E-.P^_de_la-_NiVfil2e.
..Mairifi..dB-ilÛN.TBÛUY - M0NTaD!JY...45230_. CHATILLON COLIGNY
ANALYSE N»_C_Ba.SJ)427
o
c
uUJ
n" 1
n° 2
n° 3
n» 4
Motif pour lequel a été demandée l'analyse
Echantillons ... . . ... le
ÉLÉMENTS TRACES
litre par Icrogrammesc
rlmés eQ.K
Ult{in
KN
Arsenic
Cadmium
Chrome hexavalent
total
Cuivre
Mercure
Nickel
Plomb
Sélénium
Zinc
Aluminium
Cobalt
Fer
Manganèse
Anti:moine
Baryum
Beryllium
Bore
Argent
Molybdène
Etain
VANADIUM
As
Cd
Cr
Cr
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Ni
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N» 1
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¿Jl. 30 . _.
C 5
N" 2
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PARIS, .
L'
N» 3
-1-.
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.e 14 Févri
MGENIEUH EN c
N° 4
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er 1989.- .
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DÉPARTEMENTEAUX DE SURFACE - POLLlfnO
144 ET 156. AVENUE PAUL-VAILLANT COUTURIER 75014 PARIS TEL. 46 5585 00
ANNEXE 4
EXAMEN PAR CAMERA-VIDEO
ANNEXE 4
EXAMEN PAR CAMERA-VIDEO
Inspection de réception du forage MBl - MONTBOUY (45)
Date : 24-01-1989
Matériel : Atelier d'inspection de forage du B.R.G.M. avec caméra-vidéocouleur à tête orientable télécommandée
N.B. : Origine des profondeurs : table, soit sol + 2,40 m
Précision ± 0,1 m
Travaux réalisés : inspection de 0 à 427,3 m
- en statique de 0 à 258 m
- avec pompage de 258 m à 427,3 m (pompe de surface Q ~ 4 m3/h)
Documents visuels : 1 cassette VHS-SECAM de l'enregistrement del'inspection
Photos d'écran
- INSPECTION RESUMEE
. Chambre de pompage 0 18"*^®
Le tubage est composé d'éléments vissés. Le filetage est visible etparfois recouvert d'un placage d'argile. L'intérieur du tube montre desmarques longitudinales sans doute causées par le passage des outils deforage.
A 81,4 m est télescopé un tube plein 13"^''°, l'annulaire estcimenté.
A 100,6 m est télescopé un tube plein 9"*^»^ l'espace annulaire estcimenté. On distingue la D.V., double anneau de cimentation avec 6orifices pleins.
Ces tubes sont composés d'éléments vissés. Le filetage est visible.
Entre 310,1 et 310,6 m on observe un anneau de cimentation.
. Colonne de captage
A 322,1 m : sommet du tubage 6"*^®, bouchon d* étanchéitétourne-à-gauche visible, puis tube inox plein
Crépine signal entre 327,1 et 328,8 m
Inspection de réception du forage MBl - MONTBOUY (45)
Date : 24-01-1989
Matériel : Atelier d'inspection de forage du B.R.G.M. avec caméra-vidéocouleur à tête orientable télécommandée
N.B. : Origine des profondeurs : table, soit sol + 2,40 m
Précision ± 0,1 m
Travaux réalisés : inspection de 0 à 427,3 m
- en statique de 0 à 258 m
- avec pompage de 258 m à 427,3 m (pompe de surface Q ~ 4 m3/h)
Documents visuels : 1 cassette VHS-SECAM de l'enregistrement del'inspection
Photos d'écran
- INSPECTION RESUMEE
. Chambre de pompage 0 18"*^®
Le tubage est composé d'éléments vissés. Le filetage est visible etparfois recouvert d'un placage d'argile. L'intérieur du tube montre desmarques longitudinales sans doute causées par le passage des outils deforage.
A 81,4 m est télescopé un tube plein 13"^''°, l'annulaire estcimenté.
A 100,6 m est télescopé un tube plein 9"*^»^ l'espace annulaire estcimenté. On distingue la D.V., double anneau de cimentation avec 6orifices pleins.
Ces tubes sont composés d'éléments vissés. Le filetage est visible.
Entre 310,1 et 310,6 m on observe un anneau de cimentation.
. Colonne de captage
A 322,1 m : sommet du tubage 6"*^®, bouchon d* étanchéitétourne-à-gauche visible, puis tube inox plein
Crépine signal entre 327,1 et 328,8 m
La colonne de captage se compose comme suit :
340,7 - 376,6 m : 1ère crépine inox à fil enroulé376,6 - 379,6 m : tube plein379,6 - 388,5 m : 2ème crépine388,5 - 412,4 m : tube plein412,4 - 427,3 m : 3ème crépine427,3 - : tube plein (arrêt de l'inspection à 427,3 m)
Quelques dépôts ferrugineux apparaissent sur la partie supérieurede l'enroulement du fil des crépines. Ils sont mis en mouvement etdisparaissent lors de la mise en production.
Conclusion : l'ensemble de la partie du forage inspecté est cor¬rectement réalisé.
La colonne de captage se compose comme suit :
340,7 - 376,6 m : 1ère crépine inox à fil enroulé376,6 - 379,6 m : tube plein379,6 - 388,5 m : 2ème crépine388,5 - 412,4 m : tube plein412,4 - 427,3 m : 3ème crépine427,3 - : tube plein (arrêt de l'inspection à 427,3 m)
Quelques dépôts ferrugineux apparaissent sur la partie supérieurede l'enroulement du fil des crépines. Ils sont mis en mouvement etdisparaissent lors de la mise en production.
Conclusion : l'ensemble de la partie du forage inspecté est cor¬rectement réalisé.
6R6>K - A.QOtTftlNg Atel r tr Vicifco-TiS2£23«^ op^rcL ^eur Y.D
©afc : 24/01/1989 ¿./«w .- MONTBOUY (45)nar^ du /ora^A- ! MB 1
Xm*a^lmK ;
erigirte, etc* proffin<l<.\jr¿ i haut de la table soitPo..f,.^c-. sol + 2,40 m
(400-4-132) "''^'^ ^:S^"'°" d'ouvrage
Q pot-pi : ni 4 m3/h pre
n.î>. =. artésien n. cr . =.
pompe desurface
po^f><- Flighteptf¤t.tcur't
CuLa,aa.
heure. profondtoc O^ie.f'rJah'anS n^f-ure. ¿tat
501,63,8
16,327,439,949,981 ,4
81 ,591 ,1
100,1100,6101 ,1
101 ,2101 ,4107,8114,4120,9127,4133,9140,4147,0153,2159,9166,4173,0179,5186,1192,7199,3206,0212,5219,2225,5232,1238,7245,3251 ,8
GénériqueDépartRaccord vissé
0 185/8
" " , placage blanc argileuxIl II II II II
" " , filetage visible" " + placage d'argile
Télescopage 13" , annulaire(cimenté) pleinRaccord vissé
Il II
Il II
5/8Tube 9 espace annulaire plein(D.V.) double anneau de cimentation,6 orifices pleinsRaccord D.V.Morceau de D.V.Raccord vissé .
0 135/8
Oxydébaguelongitudinaletrépan
chert (argile)
" , + placage
Raccord vissé + placageRaccord vissé
Eau trouble
6R6>K - A.QOtTftlNg Atel r tr Vicifco-TiS2£23«^ op^rcL ^eur Y.D
©afc : 24/01/1989 ¿./«w .- MONTBOUY (45)nar^ du /ora^A- ! MB 1
Xm*a^lmK ;
erigirte, etc* proffin<l<.\jr¿ i haut de la table soitPo..f,.^c-. sol + 2,40 m
(400-4-132) "''^'^ ^:S^"'°" d'ouvrage
Q pot-pi : ni 4 m3/h pre
n.î>. =. artésien n. cr . =.
pompe desurface
po^f><- Flighteptf¤t.tcur't
CuLa,aa.
heure. profondtoc O^ie.f'rJah'anS n^f-ure. ¿tat
501,63,8
16,327,439,949,981 ,4
81 ,591 ,1
100,1100,6101 ,1
101 ,2101 ,4107,8114,4120,9127,4133,9140,4147,0153,2159,9166,4173,0179,5186,1192,7199,3206,0212,5219,2225,5232,1238,7245,3251 ,8
GénériqueDépartRaccord vissé
0 185/8
" " , placage blanc argileuxIl II II II II
" " , filetage visible" " + placage d'argile
Télescopage 13" , annulaire(cimenté) pleinRaccord vissé
Il II
Il II
5/8Tube 9 espace annulaire plein(D.V.) double anneau de cimentation,6 orifices pleinsRaccord D.V.Morceau de D.V.Raccord vissé .
0 135/8
Oxydébaguelongitudinaletrépan
chert (argile)
" , + placage
Raccord vissé + placageRaccord vissé
Eau trouble
6RC»M. - AQOtTAlNg ^^ sj opifaStur Y.D
t>«fc ; 24/01/1989 Litu : MONTBOUY (45)nor^ du Arí»5«- MB 1
l-^.~: (400-4-132) ^^ori<t%*. Je> t>fafond<.\jri : haut de la table soit ç^ '"^ '^^J*- Wi/i/*-
of^/t^ff- ! réception d'ouvrag
Po~fi^t i
n.î>. "=. artésien
sol + 2,40 m
n. c/. î=.
Q poMp¿ : 'V 4 m3/h ^coT»^*.*"" J*. 1». poi-pc. : Ttantrtr^ ¿\o po~p4.fo~f « ' pompe de po~^<- . Flightsurface opera.Uurt
Cuiaqe.
hujre. pfo fondeur «h>!>t.r\Jetf;orM rxtf^rc ¿tat
258,4264,5271 ,0277,4284,1290,6297,2303,7310,1310,4310,6317,1322,1
322,5322,8327,1328,8334,7340,7346,5346,7350,8351 ,9352,5352,5352,7358,5358,7364,5364,7370,5370,7376,5376,7379,6382,4382,6388,4388,6394,4400,4406,5412,4
Raccord vissé Pompe Flight
Pompe flight
Anneau de cimentation
Anneau de cimentationRaccord vissé _ ,Sommet tube 6" - Bouchon-d 'étanchéitéTourne-à-gaucheRaccord - tube inoxCrépine-signal
" "
RaccordCrépine à fil enrouléRaccord
II
Dépôts ferrugineuxQuelques dépôts ferrugineux
Il II II
RaccordII
Raccord
Raccord- Eau plus trouble
floculeux blancsRaccord
II
RaccordTube pleinRaccordRaccord
II
Raccordil
RaccordII
II
Dépôts ferrugineux
CrépineTube inox
Crépine
CrépineTube plein
Crépine
Crépine
Tube plein
Crépine
6RC»M. - AQOtTAlNg ^^ sj opifaStur Y.D
t>«fc ; 24/01/1989 Litu : MONTBOUY (45)nor^ du Arí»5«- MB 1
l-^.~: (400-4-132) ^^ori<t%*. Je> t>fafond<.\jri : haut de la table soit ç^ '"^ '^^J*- Wi/i/*-
of^/t^ff- ! réception d'ouvrag
Po~fi^t i
n.î>. "=. artésien
sol + 2,40 m
n. c/. î=.
Q poMp¿ : 'V 4 m3/h ^coT»^*.*"" J*. 1». poi-pc. : Ttantrtr^ ¿\o po~p4.fo~f « ' pompe de po~^<- . Flightsurface opera.Uurt
Cuiaqe.
hujre. pfo fondeur «h>!>t.r\Jetf;orM rxtf^rc ¿tat
258,4264,5271 ,0277,4284,1290,6297,2303,7310,1310,4310,6317,1322,1
322,5322,8327,1328,8334,7340,7346,5346,7350,8351 ,9352,5352,5352,7358,5358,7364,5364,7370,5370,7376,5376,7379,6382,4382,6388,4388,6394,4400,4406,5412,4
Raccord vissé Pompe Flight
Pompe flight
Anneau de cimentation
Anneau de cimentationRaccord vissé _ ,Sommet tube 6" - Bouchon-d 'étanchéitéTourne-à-gaucheRaccord - tube inoxCrépine-signal
" "
RaccordCrépine à fil enrouléRaccord
II
Dépôts ferrugineuxQuelques dépôts ferrugineux
Il II II
RaccordII
Raccord
Raccord- Eau plus trouble
floculeux blancsRaccord
II
RaccordTube pleinRaccordRaccord
II
Raccordil
RaccordII
II
Dépôts ferrugineux
CrépineTube inox
Crépine
CrépineTube plein
Crépine
Crépine
Tube plein
Crépine
6R.C»M. - AQOtTAiNg Afcdigr viJ^o-^eX-ei^e. ¤ap¿ra.íujr : Y.D
D^f*.: 24/01/1989 i-t^ ' MONTBOUY (45)nof^ du /¡»raj«-.- MB 1
X»<p««.yf«.» ; (400-4-132)¿/«.c//-^ .' réception d ' ouvrag
neuf
ft,-or; -,.><. de> pr,r*«c/*ura : haut de la table soit <Z^ '"'' «^^J» "í'*y<-
fi3ísol + 2,40 m
q po,-p¿ : fyJ 4 m3/h
n.î>. =. artésien
peaP»^tnr J« ¿a. isempc. : pompe desurface
d. ^
po ^<- FlightooiVo.ftur'î
h turc 'ifofondcor &^i,e.r\jaht orM, oaAjz-c ¿tat
415,4415,6419,0421 ,4421,5424,2427,3
RaccordII
Crépines plus propresRaccord
II
Dépôts ferrugineuxTube plein
FIN
6R.C»M. - AQOtTAiNg Afcdigr viJ^o-^eX-ei^e. ¤ap¿ra.íujr : Y.D
D^f*.: 24/01/1989 i-t^ ' MONTBOUY (45)nof^ du /¡»raj«-.- MB 1
X»<p««.yf«.» ; (400-4-132)¿/«.c//-^ .' réception d ' ouvrag
neuf
ft,-or; -,.><. de> pr,r*«c/*ura : haut de la table soit <Z^ '"'' «^^J» "í'*y<-
fi3ísol + 2,40 m
q po,-p¿ : fyJ 4 m3/h
n.î>. =. artésien
peaP»^tnr J« ¿a. isempc. : pompe desurface
d. ^
po ^<- FlightooiVo.ftur'î
h turc 'ifofondcor &^i,e.r\jaht orM, oaAjz-c ¿tat
415,4415,6419,0421 ,4421,5424,2427,3
RaccordII
Crépines plus propresRaccord
II
Dépôts ferrugineuxTube plein
FIN
INSPECTION PAH CAMERA VIDRO
5/8O - 27,4 : Placage argileux sur racconâ vissé 18"
0 - 62,3 : Raccord dann lo 18"
O - 81,1 : Tube 13*3/8
O - 81 ,3
0-81,4 : Sommet 13"Annulaire cimenté et dépôts
2 - 97,2 : Raccord vissé dans le 9„S/8
3 - 10,1 : Anneau de cimentâtion
3 - 21 ,9 : Sommet tube G"Bouchon d'étanchéité
3 -?.?.,? : Sonmwt tube 6" et bouchon
3 - 2 7 , 0 ; Crépine Signal
3 - 2 7 , 0 : Crépine .Signal
3 ~ 40,4 : Sommet de la première partie crépinée
3 - 40,7 : .Sommet des crépines
3 - 46,7 : Manchon de raccord, vissé, entre 7. crépines
3 - SO »8 : Prtfmuèrfc passée cropïnon
3 - 59,7 : Premier élément ôa crépine
3 - 61,9 : Vue; axiale des crépines
3 - 78,2 : Tube d'extension inox
4 - \7 »4 : Sommet. 3ëm*ï crépine
4 - 12,7 : Dépôt ferrugineux sur crépines
4 - 27,3
ANNEXE 5
*************
CONTROLE Dû CAPTAGE EN COURS D'EXPLOITATION
PROGRAMME
ANNEXE 5
*************
CONTROLE Dû CAPTAGE EN COURS D'EXPLOITATION
PROGRAMME
1. CONTROLE DE LA NAPPE AQUIFERE
1.1. EVOLUTION DU NIVEAU STATIQUE DE L'EAU
Location d'un enregistreur à mémoire "BRGM - INSTRUMENTS".
Comprenant : pose-dépose, relevés, maintenance, traitement.Périodicité : en continu.
1.2. EVOLUTION DE LA PRODUCTIVITE DE LA NAPPE
Contrôle par pompage par paliers de débit avec l'équipement enplace.
Nécessite :
- vanne de réglage du débit- possibilité d'évacuation
Comprend :
- conduite de l'essai avec l'agent du Syndicat chargé de lasurveillance,
- mesures et interprétation- contrôle au puits de Salleneuve- note de synthèse
Fréquence :
- tous les 2 ans, en moyenne
1.3. EVOLUTION DE LA QUALITE CHIMIQUE DE L'EAU
Le minimum demandé, indépendamment des prescriptions de la DDASS,est le dosage du fer, manganèse
Fréquence :
- la première année : 1 fois par mois- les années suivantes : 2 fois par an.
1. CONTROLE DE LA NAPPE AQUIFERE
1.1. EVOLUTION DU NIVEAU STATIQUE DE L'EAU
Location d'un enregistreur à mémoire "BRGM - INSTRUMENTS".
Comprenant : pose-dépose, relevés, maintenance, traitement.Périodicité : en continu.
1.2. EVOLUTION DE LA PRODUCTIVITE DE LA NAPPE
Contrôle par pompage par paliers de débit avec l'équipement enplace.
Nécessite :
- vanne de réglage du débit- possibilité d'évacuation
Comprend :
- conduite de l'essai avec l'agent du Syndicat chargé de lasurveillance,
- mesures et interprétation- contrôle au puits de Salleneuve- note de synthèse
Fréquence :
- tous les 2 ans, en moyenne
1.3. EVOLUTION DE LA QUALITE CHIMIQUE DE L'EAU
Le minimum demandé, indépendamment des prescriptions de la DDASS,est le dosage du fer, manganèse
Fréquence :
- la première année : 1 fois par mois- les années suivantes : 2 fois par an.
2. CONTROLE DU PUITS ET DES EQUIPEMENTS
2.1. ETAT DE LA POMPE
- Par mesures débit-rabattement durant l'exploitation.
- Par analyse des consommations liées aux débits, à partir desvolumes prélevés et des durées de fonctionnement.
Fréquence : 1 fois par an.
2.2. ETAT DE LA COLONNE
Par caméra-vidéo orientable, couleur.
Remise de la cassette et d'une note de synthèse.
Fréquence : tous les 6 ans, en moyenne.
2. CONTROLE DU PUITS ET DES EQUIPEMENTS
2.1. ETAT DE LA POMPE
- Par mesures débit-rabattement durant l'exploitation.
- Par analyse des consommations liées aux débits, à partir desvolumes prélevés et des durées de fonctionnement.
Fréquence : 1 fois par an.
2.2. ETAT DE LA COLONNE
Par caméra-vidéo orientable, couleur.
Remise de la cassette et d'une note de synthèse.
Fréquence : tous les 6 ans, en moyenne.