Post on 18-May-2015
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SYNTHÈSE ATELIERS
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- Envisager les besoins de chaque acteur de la pépinière
- Penser les parcours de chacun au sein de l’espace
- Envisager les interactions nécessaires pour créer des zones de
collaborations fertiles
- Développer les rôles, fonctions et temps, de l’équipe
d’animation
- Identifier des thèmes et indicateurs pour la pépinière
- Mieux cerner les profils des acteurs
- Analyser la gouvernance
- Trouver des pistes pour le modèle économique
Objectif des groupes de travail
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Projet
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2 ETAGES:
350 MQ EN HAUT,ESPACE PRIVE:- 30 mq par ent.- 1 poste art.- 250 euros par ent.€
400 MQ EN BAS,ESPACE ACCUEILCOLLABORATIF,INFORMATION
+
1 ATELIER EXPODANS LE 104 AU DEHORS DE LA PEPINIERE
POOL D’ANIMATIONPEP + EXPERTS
POOL D’ANIMATIONPEP + EXPERTS
POOL D’ANIMATIONPEP + EXPERTSPOOL D’ANIMATION
PEP + EXPERTS
COMMUNES à tous les acteurs
:
COMMUNES aux 3 acteurs
:
COMMUNES aux 2 acteurs:
ETAT D’AVANCEMENT DES GROUPES DE TRAVAIL SUR LA PEPINIERE DU 104
PHASE DE PREPARATION PHASE DE TRAVAIL ET DEVELOPPEMENT PHASE DE RECOLTE ET VALORISATION
ORGANE DE DETECTIONthèmes, acteurs
10 ENTREPRISES:start-up, petites, pme
10 ARTISTES:numériques, designer, plasticien
PARTENAIRES FINANCIERSPROJETS
PARTENAIRES FINANCIERS PEPINIERE
EQUIPE pépinière
GRAND PUBLIC
EXPERTS DOMAINES:finance, comm…
10 ENTREPRISES:start-up, petites, pme
10 ARTISTES:numériques, designer,plasticien
10 ENTREPRISES:start-up, petites, pme
10 ARTISTES:numériques, designer,plasticien
10 ENTREPRISES:start-up, petites, pme
10 ARTISTES:numériques, designer,plasticien
PARTENAIRES FINANCIERSPROJETS
CONFERENCES, RENCONTRES, KNOWLEDGE...
EQUIPE pépinière
CO-WORKING
EXPOSITIONS / EVEARTISTES SUR LE THEMEDU PROJET
ENTREPRISES:
ARTISTES:
PARTENAIRES FINANCIERS PROJETS :
PEPINIERE
PARTENAIRES FINANCIERS PEPINIERE
EXPOSITION FINALEGRAND PUBLIC
contrat
Phase de feedbacks
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Le principe du projet
La pépinière apparaît comme un lieu : • de création de valeur• qui doit faciliter le croisement et l'interaction• de soutien à la création• de suggestions et de complémentarités• où la coproduction est au cœur d’un maximum de projets• D’externalités multiples:
• prototypes• projets artistiques • projets de recherche • éditions• festivals (de diffusion ou autre…)
• où l’on permet de FAIRE, de PRODUIRE, de TESTER, d’EXPERIMENTER• où les processus d’innovation et de création sont transférés et partagés• qui abouti à des activités de « biens communs » en plus des intérêts individuels• qui fait une place à la recherche(comme lien entre les projets…)• où la mutualisation est un axe fort,tant des savoirs que du matériel• où l’on donne les moyens• où de nouveaux produits sont pensés et testés • où la diffusion et la valorisation des travaux, des oeuvres, des interactions créées
et de leurs évolutions font l’objet d’une implication forte du grand public et de l’écosystème environnant de la pépinière.
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Défis auxquels répondre
Le type de projet et les fondamentaux sur lesquels s’appuyerl’interaction: A bien penser, comment la rendre concrète entre entreprises et artistes, pour
que chacun y ait son rôle?
Trouver la place de l’artiste dans les modalités d’interactions
Assurer la valorisation et la visibilité des différents outputsVisibilité des processus de travail et des processus de création utilisés (pratiques, projets, transferts, ouverture, œuvre, petite production, formation…
Permettre une culture du processus et pas forcément de résultat
Identité : Ancrage local / global / définir l’identité par rapport au territoire
Accompagnement - formation : Créer un terreau d’émancipation, d’apprentissage, une culture nouvelle de l’innovation et des processus de création
GOUVERANCE : Trouver une gouvernance souple, agile, mais offrant une lisibilité
MEDIATION : nécessaire alignement des actions et des enjeux de chacun des acteurs requiert des opérations constantes de traduction pour encadrer la migration des concepts, des méthodes et des résultats produitsEn fonction des attentes des acteurs, il faudra adapter les parcours et les besoins
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Positionnement
Positionnement de la pépinière à clarifier :
Ce que l’on sait : - la notion de pépinière est questionnée (trop rigide) - accompagner des projets / mettre des ressources à disposition / laisser le hasard
créer de la valeur / en faire un réel espace de rencontre- faciliter la rencontre entre des publics et pratiques différentes- Aller dans un endroit où il y a un manque et un besoin- Positionnement sur « le mou », mais il n'empêche qu'il faut un dispositif lisible
pour l’extérieur pour s’intégrer à la démarche
Questions auxquelles répondre : • Quel est l’objet exact de cette pépinière? L’interaction, ses résultats, un lieu d’accueil, de recherche• Qui sont les publics cibles?• Quels types de projet?• Quels contrats et modes de relation avec les artistes?• Quel niveau de coproduction de la pépinière?• Comment trouver les bons indicateurs?
–Pour la pépinière? –Pour chaque projet?
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Premières pistes pour le positionnement…
Ce qui existe déjà : • Pépinières d’entreprise (accueil + accompagnement structuration…)• Résidences d’artistes• Action croisées recherche et art• Actions croisées de R&D• Initiatives Art et entreprise (collaboration axées sur l’art contemporain)
Ce qui devrait exister : – Un lieu qui permet la rencontre entre des publics, des pratiques et des objectifs différents– Un lieu de complémentarité– Un lieu d’expérimentation – Un lieu tourné vers les nouveaux usages– Un lieu qui aboutit à des activités de « biens communs » en plus des intérêts individuels.… quoi d’autre?…
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Enjeux de l’interaction
L’interaction est un des enjeux clé : capacité à se parler et se comprendreComment créer une zone commune de collaboration, où doit-elle se situer?Chaque acteur a des modes d’interactions différents (pratiques, histoires, culture, valeurs…. L’enjeu va être de créer le lien entre tous.
Ce lien doit-il se créer : •Entre l’entreprise et l’artiste?•Entre tous les acteurs?•Entre un groupe d’acteurs?•Autour d’un projet restreint?•Autour d’un projet commun à tous?
Se pose aussi la question de : •La mutualisation des acquis de tous•l’itération permanente•La maturité des « couples » constitués, et la manière dont on les créer est prédominante : sont ils crées lors de l’appel à projet, existent ils en amont?
La notion d’intention, sur les premières années, est importante, peut être même structurante (l’intention de collaboration).Il faut donc mieux définir si on recrute une entreprise, une personne, 1 projet… Pour faire ressortir la notion d’intention et la manière dont cela s’intègre et s’identifie.Est ce que l’on parle d’acteur ou d’acteurs? D’un regroupement d’individus ou d’un collectif dès le départ? Comment se font les interactions?=> quel est le dénominateur commun et où est ce qu’il se fait? Il s’agit de trouver une question commune (innovation comme acte de création)
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Les acteurs
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Acteurs - vue d’ensemble
Entrepreneurs Industriels
Artistes numériquesArtistes spectacle vivant
Grandes entreprises(H)activistes
Amateurs plasticiens, …« Auto entrepreneurs »
IndustrielsDesigners
étudiants-enseignants«Geeks»
Chercheurs
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Les acteurs principaux
Principes fondamentaux : LA MIXITÉ •Des publics•Des thèmes•Des pratiques et des disciplines•Des méthodologies•Des niveaux (entreprises+/_ grandes, artistes +/_ connus, publics +/_ au fait de l’innovation…)
Les publics principaux à analyser et impactant fortement les parcours individuels au sein de l’espace :
•Les entreprises (Petites, moyennes, grandes)•Les artistes•Les Coworkers•L’équipe d’animation •les experts•Le Grand Public
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Entreprises
Attentes des entreprises détectées : • besoin d’aide à la conception• penser de nouveaux usages• travailler avec un réseau de designers• changer les processus de création, innover plus vite : démarcheds de prototypage rapide, start&iterate,
Types d’équipes : restreintes, pluridisciplinaires, avec une intention formalisée R&D / entreprises déjà familières de la création (vidéo, multimédia,…)
3 catégories d’entreprises- GRANDES alliées à des petites :
– pour s’imprégner / faire de la veille, détecter des talents (PARTENAIRES POTENTIELS)?– Stat up : isolées ou en collectif- Entreprises intermédiaires (ind ou consortium) : délocaliser un projet
Questions à résoudre:- De quelles entreprises on parle? Quel traitement pour quelle entreprise? ==> nécessité de retraiter une ligne principale
- Comment mesurer l’ambition d’interaction de l’entreprise avec les pratiques artistiques?
-Les forcer à formaliser leurs intentions de collaboration
- prêt à payer pour un artiste?
- prêt à mettre en license libre?
- Comment éviter les opportunistes et les effets réseau?
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Artistes
Attentes artistes : •Intervenir sur des projets collectifs qui bénéficient d’un rayonnement en termes de diffusion•Trouver un espace de réalisation propre•Détourner et créer autour d’un cadre donné (technologique, thématique, …)•Ne pas avoir à exécuter, mais créer et faire le chemin dune démarche créative•Accroître sa connaissance
Typologie•Artistes numériques + artistes pluridisciplinaires•Artistes ayant un projet intégrant une innovation (en sujet, en technologie induite,…) •Artistes connus ET moins connus•National/International?
QUESTIONS•Artiste ou créateur?•Hébergé ou pas? L’artiste est il un des résidents?•Y a t il un contrat entre l’artiste et l’entreprise?•L’artiste, est-il rémunéré ?•Limité au numérique ou plus large? •L’artiste, paie-t-il son poste?
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Coworkers
Statut à clarifier
•Poste d’une demi journée à 1 semaine•Personne venant ponctuellement travailler ou réaliser un projet dédié au sein de l’espace•Il bénéficie de matériel (projet en l’état) ==> le coworking est alors tourné vers le faire (population plus hackers/artistes numériques/ artistes)
L’espace du coworking pourrait entre autre assurer la présélection de thèmes et projets, pas encore assez matures, de ceux qui seront les résidents suivants
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La structure d’animation & les experts
L’Equipe pépinière, 2 postes, qui s’occupe : - Du lieu et de son fonctionnement
- De la coordination des événements qui s’y passent
- De la diffusion de contenus particuliers (valorisation outputs, exposition et festivals, compte rendus écrit, papiers de recherches, livre blanc, diffusion internet…)
- Des relations partenaires (repoting, suivi des indicateurs, …)
- De la relation entreprises/artistes (sélection thème, appel à projet, binômes, parcours, sortie, contrats, …)
- Des entreprises et des artistes présent- De l’animation de la communauté d’experts pour l’animation
Experts : •En travail collaboratif•En design•Sur des sujets pointus•Des associations d’artistes (technique, méthode, ou sujet particulier)•Des chercheurs et des étudiants•Sur le développement commercial et autres partie d’accès au marché …??
Principe d’animation : Créer un terreau d’ émancipation, d’apprentissage, une culture nouvelle de l’innovation et des processus de création.Mettre en place les bonnes conditions pour l’accélération des projets.Créer la rencontre(formelle et informelle).
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Le grand public
Il doit :
• Voir ce qui sort• Comprendre l’expérience de collaboration induite dan cette pépinière• Comprendre les grands enjeux technologiques et sociaux induits dans les thématique choisies• Tester et faire des retours
Options :
• Atelier ouvert au sein du 104• Mise en place d’expérimentation et d’installations de prototype in situ au sein du 104 pour tests et retours d’usages
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Les temps de la pépinière. Avant
. Pendant. Après
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Les temps de la pépinière
3 phases ressortent clairement, répondant au rôle de la pépinière de faciliter le croisement et l’interaction entre artistes et enjeux de l’entreprises et de la recherche :
•Phase 1 = Créer la rencontre
•Phase 2 = Enrichissement individuel et collectif
•Phase 3 = Valorisation et mise en commun des outputs et outcomes
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Phase 1 : Créer la rencontreObjectif : au lieu de passer par un appel à projet/candidature trop fermé ==> trouver les volontés de collaboration et d’interaction, définir ensemble le projet commun et analyser les bons dispositifs à mettre en place
Principes : • Il faut une sélection naturelle et ouverte• Créer une phase de collaboration en amont de la rentre des résidences dans la pépinière• Intégrer la volonté de collaboration le plus en amont possible
La durée du processus amont est donc à allonger et une attention toute particulière doit lui être donnée, car c’est dès le départ qu’il faut mettre en place les bonnes conditions pour l’interaction
Processus en deux temps de sélection : •1. appel a projet sur une thématique large pour détecter les projets et profils les plus pertinents ou commencer à activer l’écosystème existant chercher des deux côtés personnalités qui ont envie de traiter ses questions•2. rencontres et travail du projet avec artistes intéressés, en amont, pour créer les premiers liens, faire en sorte que les acteurs se plaisent et construisent ensemble leur collaboration
Des animations sous des formats divers permettent d’animer régulièrement, au sein de la pépinière mais aussi en dehors, une communauté d’artistes, d’entreprises, de chercheurs et d’amateurs autours d’intentions de travail et de volonté de collaboration.
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Phase 1 : Les projets travaillés
Les projets hébergés doivent favoriser le besoin et l’envie d’interaction avec le monde artistique et des experts de la créationLa dimension R&D des projets doit être existantes (surtout si optique LABEL R&D)
Statuts : Projets d’entreprises existants devant être améliorés (ex : TEMIS)Prototypes spécifiques Projets de consortium ? / projets labellisés par des pôles?
Maturité des projets: Elle variera forcément, ça ne ressort pas comme un critère déterminant.
Coproduction et interactions ==> Mots clés. Il ressort la piste que tout projet, à moyen termes, soit coproduit entre un artiste, une entreprise, ET la pépinière
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Phase 1 : Sélection des projetsProcessus de sélection :
•1. appel a projet sur thématique = détecter projets et profils plus pertinents chercher des deux côtés personnalités qui ont envie de traiter ses questionsAppel à projet : 1 artiste / 1 entreprise / 1 chercheur •2. rencontre et travail du projet avec plusieurs artistes, en amont (Logique de GREFFE) ==> trouver les collaborations naturelles•3. Les dossiers non retenus sont accompagnés autant que faire se peut, voire, peuvent être retravaillés dans le coworking pour prochaine session
Les intentions de travail sortent de l'appel à projet / sélection ouverte, qui est émis en amont. Il faut adopter une approche de venture capitaliste pour permettre à des projets de ne pas totalement correspondre à la “meilleure évaluation possible” (Accueillir les 8/20)
Critères pour l’appel à projet : La candidature doit être motivée par un projet précis autour d’un cadre donné,mais il faut:• Formaliser le projet dans ses outputs le plus possible• Formaliser l'intention de collaboration• Formaliser un projet commun• Définir des deadlines concrètes (intermédiaires mais balises à respecter pour donner un cadre au process de création)• La capacité du projet à générer un bénéfice
Ce qui prime et aide à la décision, ce sont : => l'intention du projet => sa nécessité pour l’ensemble
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Questions
Ces animations se font-elles autour d’une thématique particulière? D’un appel à projet avec une thématique « large »?
Appel à projet : Diffusé auprès de qui? (artistes, entreprises, séparément, via quels réseaux…)• Comment régler la question de la participation de l’artiste (motivation plus individuelle, centrée sur travail créatif personnel, • Comment éviter l'opportunisme sans autant nier les logiques économiques de la pépinière?• Comment éviter les risques de concurrence entre les acteurs qui peut freiner la collaboration?
Sélection : • Quelle sélection pour les artistes?• Appel à création? A projet? Tourner l’AAP autour des technologies ou non?• Le coworking peut il servir d’incubateur et de zone d’hybridation?• Quels sont les propres critères de succès et d’évaluation des artistes et des entreprises?
Animation et rencontre en amontQuelles peuvent être les formes ces premiers temps de rencontre :
• Barcamp• Entretiens individuels pour cerner la volonté de collaboration• Autre???(plateforme?…)
Comment créer du collectif autour de plusieurs projets et plusieurs acteurs dès le départ?
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Phase 2 : Enrichir (son projet, ses savoirs-faire…)
Objectifs
• Chaque acteur accélère dans la construction de son projet• Les entreprises ont recours aux bons experts / animation planifiée en amont• Les artistes développent leur propre projet/œuvre/dispositif en collaborant notamment avec les acteurs en présence
•Des temps de partage réguliers ont lieu : • Entre les acteurs de la pépinière• Auprès des partenaires de la pépinière• Auprès d’un public d’amateur sur les thématiques et technologies
• Des temps de feedbacks réguliers ont lieu sur la première ou les deux premières années du projet, pour faire évoluer le parcours, les animations, l’objet du lieu…
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Phase 2 : Questions
• Comment l’artiste ne se retrouve pas prestataire?
• Comment créer et maintenir la création d’un collectif et d’un objet commun? Cela passe-t-il par l’hébergement d’une association? D’un projet en bien commun?
• Quels liens crées entre le bas et le haut?
• Comment garder un premier cercle « d’animateurs » au sein de l’espace collaboratif?
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Phase 3 : Valorisation et mise en commun
Pour les entreprises • Projets R&D• Prototypes• Nouveaux Processus de création et de
créativité (RH)• Expérimentation• Pistes d’usages• Amélioration de la qualité de la communication
autour de la techno• Pouvoir itérer sur ses projets dans des
équipes transverses reflétant la complexité des enjeux et de la chaîne de valeur
Pour les artistes• Visibilité et notoriété• Technologie / centre de ressources• Atelier• Experts pour compléter les projets• Capacité à être porté sur des dossiers de
subventions, des festivals…
Pour les partenaires•Silicon: expérimentation pour les entrepreneurs, zone de destination de projets R&D, …•104 : décloisonner la création, sortir des murs, +nouvelles technos, s’associer à d’autres initiatives, et d’être perçu comme le lieu du « mou » qui créer du dur•FAM : monter des collaborations, des alliances
Pour le grand publicPour la pépinière
•Coproduire•Créer des collaborations multiples•Résoudre des gaps culturels•Des livrables et de l’éditorial
C’est la valorisation du travail et des productions qui est clef, car elle va assurer : •La visibilité de la pépinière•La visibilité de chacun•Le respect des objectifs de tous (par diversité de formats finaux)•Les enjeux de collaboration• La reconnaissance de l’intérêt de la collaboration artistes/entreprises
Récoltes attendues
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Critères et indicateurs
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Indicateurs et critères
Les indicateurs doivent se donner la possibilité d’être revus et corrigés au fur et à mesure que le projet prend place. Il faut donc les questionner régulièrement
2 niveaux d’indicateurs à mettre en place :- Quantitatif: rendu + financier, nombre d’emplois créés, nombre d’entreprises accueillies, nombre de coproduction- Qualitatif: influence/impact sur entreprises, oeuvres d’artistes produites, visiteurs, communication, expo, conférences, participants etc., existence du projet et de l’œuvre en dehors de la pépinière (historique)
Il faut en définir pour la pépinière et pour chaque projet
Critères et indicateurs au niveau de la PEP:
- Rayonnement global / international
- Rayonnement Local
- Disciplines croisées, nombre de conference, origine des équipes d’entreprise résidentes
- Multitude des collaborations (formes et chiffres)
- Inertie long terme (3 - 5 ans) : suivre les porjets
- Reinterroger regulierement les indicateurs de la PEP et mettre en place un processus iteratif
- Essaimage du modèle de la PEP
- Temps nécessaire à l’aboutissement du projet
- Nombre de renouvellements du projets/entreprise.
Indicateurs projets
- Capacité de visualiser “le projet commun” ensemble
- Formaliser l’intention de collaboration
- Définir une “photo” du projet (état des lieux)
- Définir deadlines et roadmap par projet, en amont, avec l’entreprise
- Se regrouper autour d’indicateurs de gestion du projet
- Ouverture à l’international
- Prévoir les temps réguliers de feedback
- Fixer les “milestones”: assurer la courbe montante
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Gouvernance
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Gouvernance : vocabulaire
Liberté : La gouvernance doit accompagner le projet et l’imagination, sans trop cadrer
Bienveillance : L’état d’esprit doit intégrer la bienveillance, : ne pas aller vers la défiance, accompagner, permettre et générer de la fluidité. Créer une sphère de confiance.
Interactivité : Créer un moyen et les outils d’avoir un mouvement permettant pour relever concrètement ce qu’il se passe en position basse, dans l’émergence, et le remonter.A intgrer à toutes les étapes de la gouvernance (instances financières, animation, acteurs, …)
Désinstitutionnalier : ne pas brider ni casser ce qui existe par soi même. On retrouve ça dans le principe de soutien et de promotion des initiatives des uns et des autres (accompagnement, partage de savoirs faire)
La notion d’espace collectif : L’espace doit intégrer, dans ses fonctions et son fonctionnement effectif, les besoins individuels de chacun pour les emmener vers du collectif ou bien être pensé, dans le contenu traité, comme collectif dès le départ
FEEDBACK : positif, bienveillant, permettant au projet d’évoluer en permanence pour trouveer sa définition exacte
AGILITE
Remonter Partager : la remontée des acteurs pour mieux progresser, ne pas perdre la mémoire, détecter les zones d’innovation, …
DONNANT DONNANT : La gouvernance ne doit JAMAIS rendre de service. La logique de la pépinière est que les bénéficiaires de l’action sont parties prenante de l’action et de la gouvernance. Il ne faut pas se fossiliser dans des process ou des modalités par obligation
GARANTIR : L’organisation doit être structurée parce que la structure est le garant de la préservation des intérêts du collectif, et non pour préserver les intérêts individuels.
INTERAGIR : s’éloigner de la hiérarchie, trouver des formes d’interactions sociales qui maintiennent les raisons d’être de chacun tout en assurant la porosité et l’ouverture.
CROISER : dans les organes de décision, les espaces, les projets, les types de projets, les indicateurs d’entrée, de suivi, de sortie, la nature et les temps d’animation. Public/privé, artistes/entreprise, Technos/non Technos, Grand Public/PME, espace individuel/espace collectif, penser et réaliser, …
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Premières pistes de gouvernance
Principe fondamental : commencer par mettre en place une gouvernance un peu cadrée mais faite pour évoluer, se réinterroger sur les deux premières années du projet, tant dans :
•Les organes de décisions (constitution, acteurs, …)
•Les indicateurs de sélection des projets
•Les indicateurs autour des artistes
•Les critères de succès de la pépinière en général
Organes détectés à ce jour :
•Structure des partenaires (Silicon, 104, FAM) permettant l’animation de l’espace, son fonctionnement, …
•Partenaires financiers (pépinière / projet) privés et publics ==> nécessite des comités de partenaires réguliers, …)
•Communauté art/techno (Copil?Comité expert?) consultative, pour remonter les sujets, détecter les acteurs, décoder l’écosystème, les sujets pertinents: experts de l’innovation, entrepreneurs, grands comptes, chercheurs, partenaires projets, coworkers, têtes de réseau, des institutionnels, des pôles de compétitivité.
• Pool d’expert sollicité par la pépinière selon les besoins d’animation
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Modèles économiques
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Modèle économique
Place : 300e/poste de travail/mois - 30 postes Budget à couvrir environ 300 000 e
Sources de revenus : • Loyers résidents• Animations hors accompagnement résident (conférences, séminaires, formations, WS, location espace bas…)• Festivals (lors de restitutions)• Coworking• Partenariats publics et privés
Partenariats envisagés :
• Sur la pépinière : Par an, sur plusieurs années (publics + privés)
• Par thème / bénéfices et outputs : étude ciblée thématique, article, rencontres dédiées avec artistes et entrepreneurs, …
• Par “projet” / bénéfices et outputs : parrainer, bénéficier d’un feedback sur l’évolution techno ou l’innovation induite, …
Principes directeurs
Privilégier les logiques des VC pour ne pas vouloir arriver à une logique de 100% de projets aboutis/rentrant dans leurs indicateurs mais privilégier la culture du process plutôt que du résultat.La coproduction semble inscrite dans la mission de la pépinière. Objectif de faire participer tout le monde, la pépinière incluse, à un objet commun.
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Moyens : • Création d’un label (R&D ou autre…)• Projet commun à tous?• Utilisation de la ‘mémoire’ constituée par les différents acteurs dans la pépinière• Création d’un centre de ressources partagé?
Tenter de coproduire au maximum et d’obtenir un label R&D (Europe ou France)
Impacts sur les subventions : européenne, française, … + élevées
Impacts sur la nature des projets : plus ouvert, moins d’opportunisme, dimension forte de “Recherche et Création”
Impacts sur le rapport à l’entreprise et à l’artiste :– Les subventions pourraient être l’équivalent d’un contrat de service pour espace + accompagnement?
– Un partenaire de projet pourrait bénéficier d’un credit d’impôt recherche
- Cela permettrait-il aux résidents d’obtenir des crédits d’impôts recherche?
Modèle économique
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L’espace
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L’espace
1 espace, 2 niveaux, plusieurs fonctions
Espace du Haut / Zone de travail projet / Silence, temps de travail par projet, orientation + forte sur le travail individuel :
•10 projets - 35 à 30 places•Prix par place : 300 euros/poste de travail•Objectif de cet étage :
• Offrir les conditions matérielles et d’animation pour qu’un projet soit travailler dans une optique de collaboration et d’interaction avec des population transverses, en interaction avec de artistes.• Les artistes associés autour de ce projet le sont soit autour : • Du projet en lui même• De la technologie associée autour du projet• D’une actions de mécénat?
Accompagnement : Aborder un projet d’entreprise pour le travailler au contact d’experts, de créatifs et d’artistes, dans une démarche de « Recherche et Création » : Concevoir, tester, expérimenter, itérer, développer, et diffuser.
Durée : Entre 3 et 9 mois, voire +, selon le renouvellement des contrats
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Espace du bas-Zone d’interaction: Espace de coworking et de collaborationsRéunions petits groupesRéunions grands groupesConférencesLieu d’exposition de projetEspace de visualisation des résidents, de leurs projetsCentre de ressources de la pépinière (informations, ressources pour servir les différents temps de projet…)Durée variable
104 : Lieu de diffusion pour - Des festivals- Des expositions au sein des ateliers
QUESTIONS :• Quelle est le fonctionnement de cet espace en termes de rythmes? • Co-construire avec l’architecte pour le rendre fonctionnel dans chacune de ses utilisations
L’espace
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Thématiques
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Thématiques?
Points clés / projet / Critères clés :
Si sujets, les sujets, qu’ils soient traités par la question de l’interrogation sociétale ou de la technologie, doivent visiblement :
• Répondre aux thématiques de travail des entreprises
• Répondre aux technologies utilisées ou interrogées par les artistes
• Sont souvent dans le domaine de l’interaction
Chaque profil et chaque acteur traite le thème différemment et c’est ce traitement qui va donner la multitude d’outputs envisagée
Il ne ressort pas clairement qu’une thématique de départ doive être définie. Peut être que l’intention de rentrer dans un espace de ce type, au début, suffirait, pour ensuite progressivement aboutir à un thème dans les années à suivre.
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Robots Relief 3D
API/ MashUpDéplacement mobilité
HaptiqueCapteurs
Texture Lumière
Interactions
Interface
Médiateurs intelligents / Intelligence artificielle
Réalité Mixte
Réalité Augmentée
Lunettes informatives
Pervasif
Vêtements intelligents
Outils de création
participatifs
Objets communicants
Contenus géolocalisés
RFID
Arduino
Fablab
Affective Computing
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Binômes TEST
Proposition : Dans un premier temps (avant la fin de l’année): Constituer 3 binômes(artiste/entreprise)engagé sur des projets qui tentent d’accéder à un marché, et tester le fonctionnement des process.
Tester :
•L’écriture d’un appel à projet
•Définir avec eux les zones de collaborations possible
•Tenter la formalisation d’un »contrat » entre rtistes et entreprise
•Définir avec eux des indicateurs
•Visualiser et tester les temps de travail collaboratif et leurs outputs
•Organiser un feedback de l’ensemble du processus
Binômes possible :
•Mâa Berrriet / TEMIS
•Orange?