Post on 14-Feb-2018
la revue de la mutuelle mGC
des cadeaux prévention pour toute la famille
Zoom sur les nouveautés mGC 2014
N° 513� #�"$,!1$������ȃ�/1(7��������ŵ�ȃ� !.--$,$-3��������ŵ
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8 Au masculin
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9 Alimentation
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14 En bref
15 Prévention
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16 Infos pratiques
RRDLAK¤DR�F¤M¤Q@KDR�CD�K@�,&"���UNTR�@TRRH��O@QSHBHODY
18 Au quotidien
(C¤D�QDBDSSD���A¶BGD�K¤F£QD��@TW�EQTHSR�CD�K@�O@RRHNM
19 A vous de jouer
Sommaire Mn�����décembre 2013
Dossier
Page 10
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DR
par Patrice Guichaoua,
président du conseil d’administrationEdito �KŗGDTQD�N´�MNTR�ANTBKNMR�BD�MTL¤QN��KD�OQNIDS�CD�KNH�CD�ƥM@MBDLDMS� CD�K@�2¤BTQHS¤�RNBH@KD�E@HS�C¤A@S�@T�2¤M@S �"QHRD�¤BNMNLHPTD�NAKHFD��BŗDRS�K@�KNFHPTD�ATCF¤S@HQD�PTH�OQHLD �-NTUDKKDR�S@WDR��DMB@CQDLDMS�CDR�C¤O@RRDLDMSR�CŗGNMNQ@HQDR�CDR�L¤CDBHMR�NT�DMBNQD�Q¤ENQLD�CDR�BNLOK¤LDMS@HQDR�R@MS¤�RNMS�@TS@MS� CD�RTIDSR�C¤KHB@SR��OTHRPTŗHKR�HLO@BSDMS���K@�ENHR�KDR�ENMCR�OTAKHBR��MNSQD�NQF@MHR@SHNM�LTST@KHRSD��UNSQD�ATCFDS�DS�RTQSNTSş�UNSQD�R@MS¤ �
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Actu
Les kinés ont le vent en poupeLe remboursement des soins de kinésithérapie a bondi de 7,9 % sur les neuf premiers mois de l’année, après une hausse de 5,5 % enregistrée en 2012. Si cette tendance est en partie liée aux augmentations de tarifs consenties à la profession par la Sécu à l’été 2012, ce n’est pas la seule explication. D’après le Conseil de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes, le phénomène serait aussi dû à la volonté des patients de se tourner davantage vers les thérapies manuelles et non médicamenteuses pour soulager leurs douleurs. De leur côté, les médecins généralistes participeraient également à cette évolution en élargissant leur culture de prescription : depuis quelques années, LOV�DXUDLHQW�SOXV�OH�U¨ƪH[H�GśDGUHVVHU�OHXUV�SDWLHQWV� DX[�NLQ¨V�SRXU�WUDLWHU�FHUWDLQHV�DƨHFWLRQV��QRWDPPHQW�lombaires ou articulaires.
Contrat d’accès aux soins : entrée en vigueur imminente
Le contrat d’accès aux soins (CAS), un dispositif destiné à maîtriser les dépassements d’honoraires des médecins du secteur 2, devrait entrer DM�UHFTDTQ�@U@MS�K@�ƥM� de l’année. En adhérant au CAS, les médecins éligibles, c’est-à-dire ceux qui pratiquent des dépassements inférieurs à deux fois le tarif de la Sécurité sociale, s’engagent à ne pas augmenter leurs honoraires pendant trois ans. En échange, HKR�A¤M¤ƥBHDQNMS�CŗTM�allègement de leurs cotisations sociales et leurs patients seront mieux pris en charge. Concrètement, ces derniers seront remboursés sur une base de 28 euros, contre 23 actuellement. Ils percevront alors 18,60 euros de la part de l’Assurance maladie, et non plus 15,10 euros.
/G@QL@BHDMR���AHDMS¯S�CDR�GNMNQ@HQDR� ONTQ�KD�RTHUH�CDR�O@SHDMSREn 2014, les pharmaciens percevront des honoraires rémunérant le suivi de certains patients. 'HSXLV�MXLOOHW�GHUQLHU��HQ�HƨHW��LOV�RQW�OD�SRVVLELOLW¨�GH�PHQHU�DX�PRLQV�GHX[�HQWUHWLHQV�SDU�DQ��facturés 20 euros chacun, avec des malades chroniques traités par anticoagulants oraux AVK (anti-vitaminiques K). Plus de 30 000 entretiens ont déjà été réalisés et plus de 50 000 patients
ont rempli des bulletins d’adhésion au dispositif. L’objectif de ce suivi est d’informer le malade sur les risques d’interactions médicamenteuses et sur OHV�HƨHWV�VHFRQGDLUHV�GH�VRQ�WUDLWHPHQW��DƩQ�GH�OLPLWHU�OHV�KRVSLWDOLVDWLRQV�OL¨HV�au mauvais usage des anticoagulants. Ce système devrait être élargi à tous les anticoagulants. Des négociations sont par ailleurs en cours entre les pharma-ciens et l’Assurance maladie pour le suivi des patients asthmatiques.
!TCFDS�CD�K@�2¤BT��� CT�BG@MFDLDMS� pour les mutuellesParmi les mesures du projet de loi CD�ƥM@MBDLDMS�CD�K@�2¤BTQHS¤�sociale (PLFSS) 2014 adopté le 29 octobre par les députés, deux concernent particulièrement les mutuelles. La première plafonne KDR�QDLANTQRDLDMSR�DƤDBST¤R�dans le cadre des contrats solidaires et responsables. Objectif : inciter les Français à consulter les professionnels de santé qui ne font pas de gros dépassements et pousser les praticiens à diminuer leurs tarifs. Seconde mesure : la mise en place d’une clause de désignation dans le dispositif de la complémentaire pour tous, qui prévoit la généralisation, en 2016, des contrats collectifs fournis par les entreprises à leurs salariés. Selon la clause de désignation, chaque branche professionnelle fera une recommandation à ses entreprises quant au choix de l’organisme fournisseur du contrat collectif. Si l’employeur décide de faire appel à un autre organisme, il sera alors pénalisé par une augmentation importante de ses prélèvements sociaux. Une mesure décriée par le monde mutualiste puisqu’elle favorise de fait les instituts de prévoyance, spécialistes des contrats collectifs.
Le chiffre������LHKKHNMR��B
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Avec 57,5 millions d’euros de fraudes et de sommes
indues, les plus mauvais élèves sont les établissements
de santé, bien qu’il ne s’agisse la plupart du temps
que d’erreurs de gestion et de facturation.
Parmi les plus gros fraudeurs viennent ensuite
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GH������PLOOLRQV�GśHXURV��SUHVWD
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facturations frauduleuses…), les assurés,
avec 16,5 millions d’euros de préjudice (fraudes
aux indemnités journalières…), et les transporteurs
sanitaires, avec 12,7 millions d’euros de fraude.
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24h/24 7j/7Questions ou Devis immédiat :
Ils prennent le large pour la bonne cause
Mission HP, c’est le nom de l’action hygiène et prévention menée par Antoine, chirurgien-dentiste au centre dentaire mutualiste Paris XIII (Groupe MGC), et Chloé, conceptrice de sites Web. Mordus de voile, ils ont décidé de mettre leur passion au service de la bonne cause : l’hygiène bucco- dentaire à la portée de tous. Au programme de FHWWH�DYHQWXUH��TXL�SUHQGUD�ƩQ�HQ�PDUV�2014, sensibilisation à la prévention et distribution de kits humanitaires.3NTSDR�KDR�HMENR�RTQ�,HRRHNM�GO BNL 5H@LTS�ONTQ�K@�R@MS¤�
CDR�MNTUD@TW�DLA@TBG¤R���K@�2-"%Depuis le mois d’octobre, Viamut propose une nouvelle RƨUH�VDQW¨���GHVWLQDWLRQ� des jeunes embauchés par la SNCF, à partir de 11,70 euros par mois. Composée de deux garanties, Viamut 1 et Viamut 2, elle s’adresse plus particulièrement aux cheminots de moins GH����DQV��DƫOL¨V���OD�&35��embauchés depuis moins GśXQ�DQ��&HWWH�RƨUH�HVW�J¨U¨H�conjointement par la MGC et la Mutuelle Entrain, réunies sous l’union mutualiste de groupe Viamut (lire 5DLO�HW�3URJU§V�n° 512, p. 5)./NTQ�OKTR�CŗHMENR���5H@LTS EQ
Prélèvements bancaires
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La MGC au Salon des maires 2013La MGC était présente pour la première fois au Salon des maires et des collectivités locales, les 19, 20 et 21 novembre. Cet événement annuel incontournable du secteur des collectivités locales réunit tous les grands fournisseurs des marchés publics, tant pour l’aménagement urbain, le SNTQHRLD�PTD�ONTQ�K@�BNTUDQSTQD�R@MS¤ �$M�DƤDS��KDR�BNKKDB�tivités locales peuvent désormais participer à la protec-tion complémentaire de leurs agents, soit dans le cadre d’un contrat groupe, soit par le biais d’une participation ƥM@MBH£QD�UDQR¤D���Kŗ@FDMS�RNTRBQHU@MS�TM�BNMSQ@S�R@MS¤�individuel labellisé. La MGC fait partie des mutuelles autorisées à proposer des contrats santé aux collecti vités SDQQHSNQH@KDR �$KKD�@�@HMRH�OT�OQ¤RDMSDQ�R@�MNTUDKKD�NƤQD�santé et prévoyance spé cialement dédiée aux agents terri toriaux et à leur famille, éligible à la participation de l’employeur et à la convention de par ticipation pour une mutuelle d’entreprise./NTQ�OKTR�CŗHMENR���,TSTDKKDLFB EQ�@FDMS�CT�OTAKHB
Nouveau logo MGC
La MGC est membre de l’union mutualiste de groupe Viamut, et son identité visuelle OśDƫFKH�G¨VRUPDLV�clairement. Voici le nouveau logo de votre mutuelle, qui apparaîtra progressivement sur l’ensemble de vos documents (Rail et Progrès, carte de tiers payant, décomptes…).
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Programmes MGC Prévention : nouvelles sessions
$�SDUWLU�GH�ƩQ�MDQYLHU������� de nouveaux programmes de prévention MGC seront ouverts dans les villes suivantes :)�5¨�$FWLI��VHQLRU�(remise en forme),
Bordeaux, Lille, Limoges, Metz, Paris, 5HLPV��6WUDVERXUJ�HW�7RXORXVH��
) Mémoires Actives (ateliers mémoire), Bordeaux, Clermont-Ferrand, Lyon, Marseille, Metz, Paris et Strasbourg.Si vous souhaitez vous inscrire ou obtenir plus d’informations sur ces programmes, contactez-nous au 01 40 78 06 52 �SURJUDPPH�5¨�$FWLI�VHQLRU��� ou 01 40 78 06 57 (programme Mémoires Actives ) ou par
e-mail en écrivant à contact.prevention@m-g-c.com.
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Echos
Disparition,HBGDK�2@TU@FDS�MNTR�@�PTHSS¤R�DM�NBSNAQD�CDQMHDQ����K��FD�CD����@MR �+@�MGC adresse ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches.
Clermont-FerrandLa section Auvergne Sud propose aux adhérents MGC de tester leur capacité respiratoire lors d’une rencontre prévention organisée le mercredi 19 février 2014, de 10 à 12 heures, au centre social Michel-Ricou, 5, rue Guynemer, à Clermont-Ferrand. Pour s’inscrire au déjeuner à prix « cheminot », appelez le 04 73 91 42 11 ou envoyez un e-mail à sec63000@m-g-c.com. L’assemblée générale de la section suivra à 14 heures.
HendayeLe 8 mai dernier, le Tennis-Club hendayais organisait son tournoi de Pâques, en partenariat avec la MGC. Etaient présents 150 joueurs et plus de 200 spectateurs.
ParisL a sec t ion MGC de Paris Sud-Ouest et le comité ré-gional d’Ile-d e - F r a n c e ont sponso-risé Claudie Bizard pour l’épreuve fé-minine de marche athlétique Paris- Colmar. Un parcours de 308 km qu’elle a terminé en ��G�����RD�OK@¢@MS�DM�RDO-tième position sur quatorze participantes.
BlainvilleDepuis début septembre, la section de Blainville assure les permanences MGC dans son nouveau local, situé à côté de la bibliothèque SNCF et du service social (près de la caserne des pompiers). Elles ont lieu les premier et troisième jeudis de chaque mois (sauf en juillet et en août), de 17 h 15 à 18 h 30.
Saint-BrieucLes permanences MGC de la section de Saint-Brieuc reprennent à compter du 7 janvier 2014, tous les mardis, de 10 à 12 heures, dans le nouveau local situé au 50, boulevard Charner, à Saint-Brieuc. Tél. : 02 96 94 70 38 ou 06 82 67 23 94.
VesoulNotez les nouvelles coor-données du président de la section MGC de Vesoul : Patrick Baudot, 40 bis, rue du Breuil, 70000 Vesoul.
DoleLe 9 août dernier, Simone Brelot fêtait ses 100 ans à la maison de retraite Saint-Joseph, à Dole, en présence de sa famille et de René Verpeaux, administrateur MGC, qui lui a remis la traditionnelle récompense.
ThionvilleHuit randonneurs de la section de marche de Retonfey, Nathalie, Fran-çoise, Gilbert, Claude, Benoît, Jean-Claude, André et Alain, ont entamé le 9 septembre dernier la première étape de leur périple, au départ du Puy-en-Velay, pour rejoindre Saint-Jacques-de-Compostelle. Au total, 118 km répartis sur cinq
jours de marche. La MGC, partenaire, a permis aux mar-cheurs de s'équi-per en sacs à dos, en gourdes et en pèlerines.
LavalLe 14 septembre, Solange L’Huissier a reçu la médaille du centenaire de la MGC pour ses 100 a ns. Adhé rente depuis 1936, elle est mère de trois enfants et réside à présent dans la maison de retraite Jeanne-Jugan. Etaient présents pour la MGC Alain Le Joly, secré-taire général adjoint, et Jean Guillet, président de la section de Laval.
Seine-Saint-DenisLe 2 novembre, Annie Loubert, présidente de la section 93, et Gérard Gaudat, trésorier, ont honoré Jean Morin, né le 2 novembre 1913. Adhé-rent de la MGC depuis 1974,
�BDKTH�BH�@�QD¢T�K@��L¤C@HKKD�CT�BDMSDM@HQD�DS�KD�BG£PTD�de la MGC, en présence de sa famille – trois géné-rations étaient repré sentées – et de ses amis.
Tarascon-sur-AriègeLe 17 septembre, la section Midi-Pyrénées était aux côtés de Victor Monlong, qui fêtait sa centième année, à la maison de retraite de Tarascon-sur-Ariège. L’occasion pour Michel Rouquet, président du comité régional, et Georges Dalens, président de la section Ariège, de lui remettre la récompense MGC.
VillevaudéLe 28 août dernier, les membres de la section MGC de Seine-et-Marne étaient invités à la maison de retraite de Ville-vaudé à l’occasion des 100 ans de Germaine Bruneaux, qui a reçu la récompense MGC ainsi PTD�CDR�BNLONRHSHNMR�ƦNQ@KDR
DaxLe 14 août, pour la septième année consécu-tive, la section MGC des Landes était partenaire de la célèbre course de 10 km comptant pour le championnat de France et en ouverture de la feria de Dax. La course a réuni 3 720 cou-reurs, battant ainsi le record de participation.
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DR
/śLQƩUPL§UH�VFRODLUH�� entre bobos et gros maux
Veille des vacances, récréation de 10 heures. La salle d’attente de l’infirmerie du collège �5NKS@HQD����"NKNLHDQ������DRS�bondée : trois maux de tête, un
mal de ventre, deux genoux douloureux et une allergie éventuelle. « Le dernier jour d’éBNKD��KŗHMƥQLDQHD�DRS�RNTUDMS�OQHRD�d’assaut par les élèves, c’est classique », commente, très calme, Joëlle Guandalino, HMƥQLH£QD�RBNK@HQD �« Madame, j’ai mal au crâne, c’est sérieux », lui assure un grand de 3e. Après examen, elle renvoie avec diplomatie le collégien en cours : i�#¤O¥BGD�SNH��K@�ƥM�CD�K@�Q¤BQ¤�UHDMS�CD�sonner… »�/NTQ�DKKD��KŗHL@FD�CD�KŗHMƥQ-merie, antichambre du mot d’excuse pour sécher un contrôle, est infondée. Joëlle Guandalino s’attache plutôt à la prévention des conduites à risque de la violence, des discriminations… et au dialogue. « Je prends toujours le temps de discuter avec les élèves. Cet échange est important, car nous sommes aussi là pour déceler le mal-être, voire des situations de détresse », poursuit-elle.Sonnerie de 11 h 30, pause méridienne. La cour de récré revit entre les bousculades et les cris. Une surveillante interpelle
KŗHMƥQLH£QD��B@Q�TMD�¤K£UD�UHDMS�CD�BGTSDQ �)N¦KKD�&T@MC@KHMN�DW@LHMD�K@�IDTMD�ƥKKD�et lui conseille de prendre rendez-vous l’après-midi même avec son médecin traitant. Pas d’urgence, mais le suivi médical est primordial.A 13 heures, c’est tout un groupe de col-K¤FHDMMDR�PTH�RD�QDSQNTUDMS���KŗHMƥQLDQHD �Ni virus ni blessure, elles participent au Club santé créé et piloté par Joëlle &T@MC@KHMN �2H�KŗNAIDBSHE�ƥM@K�CT�BKTA�DRS�la présentation d’un projet autour de la nutrition, ces rencontres ont surtout ONTQ�ATS�CŗNƤQHQ�TM�KHDT�Cŗ¤BNTSD�DS�CD�partage.
Quelqu’un à qui on peut « tout dire »+@�R@MS¤�DRS�KD�ONHMS�Cŗ@MBQ@FD�CD�KŗHMƥQ-merie, avec une vigilance particulière DMUDQR�KDR�DME@MSR�A¤M¤ƥBH@MS�CŗTM�OK@M�d’accompagnement individualisé pour une allergie, un asthme, un diabète ou TM�G@MCHB@O �0T@MS���KŗDW@LDM�HMƥQLHDQ�en 6e, passage obligé, c’est l’occasion pour Joëlle Guandalino de s’entretenir individuellement avec chacun des BNKK¤FHDMR �$KKD�OQNƥSD�CD�BDR�QDMCDY�vous pour évoquer l’environnement scolaire, familial ou amical de l’élève,
ses habitudes, ses rêves, ses angoisses et ses difficultés. « Tout ce qui est dit à l’infirmerie est confidentiel », tient-elle à souligner. A partir de ces données – anonymes – elle dresse une photographie générale des dif-ƥBTKS¤R��U¤BTDR�NT�QDRRDMSHDR��DS�CDR�besoins exprimés, qu’ils concernent la santé, l’alimentation ou l’hygiène CD�UHD��L@HR�@TRRH�K@�UHD�@ƤDBSHUD�NT�les troubles du comportement, et bien sûr la scolarité. Cela lui permettra de OK@MHƥDQ�CDR�@BSHNMR�S@MS�HMCHUHCTDKKDR�que collectives.Mais le sujet qui cristallise toutes les interrogations des collégiens et collé-giennes, c’est la sexualité. « Quand on pose des questions sur “ça” à nos parents, ils ne veulent même pas nous répondre, car ils nous disent qu’on est trop jeunes, BNMƥD�$LHKHD�����@MR � T�LNHMR��NM�ODTS�DM�O@QKDQ���KŗHMƥQ-mière. » « On sait qu’elle, elle ne va pas nous juger »��@INTSD� ONKKHMD�����@MR +ŗ¤CTB@SHNM�RDWTDKKD�DS�@ƤDBSHUD�DRS�@T�cœur des interventions menées dans les classes de 4e et 3e�O@Q�KŗHMƥQLH£QD�DS�TM�professeur, Magali Sapy, qui entendent invariablement les mêmes lieux com-muns : « Face à l’image du garçon aux conquêtes multiples, les jeunes vous décrivent un Don Juan, une star. La L¥LD�RHST@SHNM�@OOKHPT¤D���TMD�ƥKKD��et les commentaires sont sans équi-voque : c’est une “p…”. » Ce sont alors des heures qu’il faut passer à parler du respect de l’autre, de l’image de soi, de K@�CHƤ¤QDMBD�NT�CD�K@�BNMƥ@MBD �« J’ai conscience que c’est très ambitieux de demander à des jeunes de 14 ans de savoir découvrir l’autre dans le respect, mais c’est maintenant qu’il faut poser les jalons. »On toque. Cette fois, c’est un professeur PTH�RNKKHBHSD�KŗHMƥQLH£QD��DS�HK�MD�RDQ@�pas renvoyé en cours, mais chez lui. �
Vanessa Pageot-Françoise
�+D�OQDLHDQ�DW@LDM�HMƥQLHDQ�RBNK@HQD�@�KHDT�DM�CDQMH£QD�@MM¤D�CD�L@SDQMDKKD��DƤDBST¤�O@Q�KŗHMƥQ�LH£QD�RBNK@HQD�CT�RDBNMC@HQD��BNKK£FD�NT�KXB¤D� �+DR�OQ¤MNLR�NMS�¤S¤�BG@MF¤R
-RÆOOH�*XDQGDOLQR�HVW�LQƣUPLÃUH�GHSXLV�FLQT�DQV�DX�FROOÃJH�9ROWDLUH�GH�&RORPLHUV��GDQV�OH�0LGL�
Pyrénées. Son quotidien est partagé entre la « bobologie », le dépistage et la prévention.
Vingt-quatre heures avec...
8QH�IRLV�SDU�VHPDLQH��SHQGDQW�OD�SDXVH�GH�PLGL��OśLQƲUPL©UH��¡�JDXFKH�� DFFXHLOOH�GHV�FROOªJLHQQHV�DXWRXU�GśXQ�FOXE�VDQWª��$�GURLWH��0DJDOL�6DS\��SURIHVVHXU�
8 - 513
Au masculin
Chez l’homme, plus de 95 % des chutes de cheveux ont une origine génétique, liée plus précisément à la combinaison de facteurs hormonaux, les
androgènes, et de facteurs héréditaires. D’autres éléments peuvent aggraver le phénomène et même en être la cause : KD�RSQDRR��@ƤDBSHE�NT�OGXRHPTD��PTH�@TF-mente la production d’androgènes, mais @TRRH�KDR�DƤDSR�RDBNMC@HQDR�CD�BDQS@HMR�médicaments, les infections suivies de ENQSD�ƥ£UQD�NT�DMBNQD�TMD�@KHLDMS@SHNM�déséquilibrée, notamment après un régime amaigrissant.Cette calvitie, dite alopécie andro-génétique, se manifeste le plus sou-vent par un dégarnissement progressif des tempes et du sommet du crâne. La consultation est primordiale pour établir précisément le diagnostic et trouver, O@QLH�KDR�CHƤ¤QDMSDR�RNKTSHNMR��BDKKD�qui conviendra le mieux.
Les applications localesŢ�/H�PLQR[LGLO���ce vasodilatateur est utilisé sous forme de lotion concentrée à 2 ou 5 %, à raison de deux applications O@Q�INTQ �"ŗDRS�KD�SQ@HSDLDMS�KD�OKTR�DƧ-cace, dans les deux tiers des cas, pour freiner l’alopécie androgénogénétique et stimuler la repousse (comptez environ six mois avant d’observer ces résultats). « Le minoxidil est davantage indiqué pour le dessus du crâne », précise le docteur Catherine Arro, dermatologue. Le traitement doit être poursuivi à vie, car en cas d’arrêt la chute reprend pro-gressivement.Ţ�/H�ƩQDVW¨ULGH�� administré sous forme de comprimés dosés à 1 mg, il empêche
Quelles solutions contre la calvitie ?
K@�ƥW@SHNM�CŢTM�C¤QHU¤�CD�KŢGNQLNMD�mâle sur les cheveux. « Les résultats apparaissent après un an, souligne le docteur Arro : la chute est stoppée, avec en outre une augmentation du volume des cheveux dans 86 % des cas. Mais là encore, dès l’arrêt du traitement, la chute reprend. »Ces deux médicaments – qui ne per-mettent pas de retrouver sa cheve-lure d’origine – peuvent présenter des DƤDSR�HMC¤RHQ@AKDR���« Le premier risque d’entraîner des maux de tête et des irritations, explique le dermatologue. Quant au second, on lui impute des troubles de la libido, mais si l’on respecte la dose ils ne doivent pas exister. »
/HV�JUHƢHVLes patients sont de plus en plus nom-breux à abandonner les traitements médicamenteux pour une solution plus Q@CHB@KD���K@�FQDƤD �« Les techniques chirurgicales d’implantation de cheveux donnent des résultats très satisfaisants,
assure le docteur Arro. Elles ont sur-tout changé sur le plan esthétique et, aujourd’hui, on ne peut plus distinguer les GNLLDR�FQDƤ¤R�CDR�@TSQDR �y�+@�FQDƤD�se pratique sous anesthésie locale, en OKTRHDTQR�R¤@MBDR�DS�RDKNM�CHƤ¤QDMSDR�techniques (prélèvement à l’arrière du crâne, soit par « bandelettes » de cheveux, soit follicule par follicule) : tout C¤ODMC�CT�MNLAQD�CD�BGDUDTW���FQDƤDQ
La dermofusionCette technique récente consiste, dans KD�B@R�CŗTMD�B@KUHSHD�HMRS@KK¤D����ƥWDQ�CDR�cheveux sur une membrane transparente, de l’épaisseur d’une lentille de contact, qui est elle-même collée sur le cuir chevelu à l’aide d’une résine renouve-lable tous les mois. Cette seconde peau, ƦDWHAKD�DS�BNMENQS@AKD��NƤQD�TM�Q¤RTKS@S�naturel, mais il peut être préférable de reconstruire la chevelure progressive-ment, mois après mois, pour éviter une transformation trop brutale. �
Patricia Riveccio
Un homme sur trois est confronté à la chute
des cheveux avant 30 ans, et un sur deux
vers 50 ans. Or même si la calvitie est un
SKÄQRPÃQH�QDWXUHO��HOOH�SHXW�ÅWUH�GLƥFLOH�
à assumer, tant elle semble signer un
vieillissement anticipé. La mode permet
certes, depuis une dizaine d’années,
de se raser la tête, mais quelles solutions
reste-t-il pour ceux qui ne se sentent
pas prêts à cette démarche radicale ? © T
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Pour les femmes, l’additif capillaire$M�%Q@MBD��OQ£R�CD���LHKKHNMR�CD�EDLLDR�OQ¤RDMSDMS�TMD�BGTSD�CD�BGDUDTW�LNC¤Q¤D �$M�B@TRD��KD�RSQDRR��K@�FQNRRDRRD��K@�L¤MNO@TRDş�l�&KH]�HOOHV� OQ¤BHRD�KD�CNBSDTQ�"@SGDQHMD� QQN��CDQL@SNKNFTD��OD�FKXWH�HVW�SOXV�GLƱXVH�� OH�FKHYHX�VśDƴQH��VH�UDUªƲH�HW�ODLVVH�DSSDUD¯WUH�OH�FXLU�FKHYHOX��| +D�LHMNWHCHK�MD�ODTS�KDTQ�¥SQD�OQDRBQHS�PTŗ��TMD�BNMBDMSQ@SHNM�CD������ RNTR�ODHMD�CD�UNHQ�TMD�OHKNRHS¤�CHRFQ@BHDTRD�@OO@Q@©SQD�RTQ�KD�UHR@FD � 0T@MS�@T�ƥM@RS¤QHCD��HK�DRS�BNMSQD�HMCHPT¤�BGDY�K@�EDLLD�DMBDHMSD�� DM�Q@HRNM�CDR�QHRPTDR�Cŗ@MNL@KHD�ONTQ�KD�EĎSTR��DS�Mŗ@�O@R�LNMSQ¤�CŗDƧB@BHS¤�BGDY�K@�EDLLD�L¤MNO@TR¤D �.TSQD�K@�FQDƤD��KDR�EDLLDR�ODTUDMS�@TINTQCŗGTH�QDBNTQHQ���Kŗ@CCHSHE�B@OHKK@HQD��PTH�ODQLDS�CD�QDSQNTUDQ�����������CD�BGDUDTW�DM�OKTR��DM�CDMRHS¤��DM�UNKTLD�DS�DM�KNMFTDTQ � #DR�BGDUDTW�RNMS�MNT¤R�TM���TM�RTQ�KDR�L@HKKDR�CŗTM�ƥKDS��PTH�UHDMCQ@� RD�ƥWDQ�RTQ�K@�BGDUDKTQD�M@STQDKKD��@T�FQ¤�CDR�DMUHDR�CD�K@�O@SHDMSD
- 513 9
Alimentation
2ƨUH]�YRXV� des petits plaisirs sainsIls ont leurs amateurs, leurs « accros » et parfois même leurs clubs :
certains aliments sont garantis « 100 % plaisir », et par chance ils sont
bons pour la santé. On aurait tort de s’en priver.
Le thé, volutes et volupt(h)ésBoisson la plus consommée au monde après l’eau (15 000 tasses chaque seconde), le thé a fait la preuve de ses propriétés médicinales. Riche en
polyphénols, il lutte contre le vieillisse-ment et prévient l’ostéoporose ainsi que certains can-cers, notamment de la prostate et des ovaires. Sa théine réveille les
facultés physiques et intellectuelles, stimule la mémoire et protège le cer-veau de la dégénérescence (parkinson, @KYGDHLDQ� �+D�BĎTQ�KTH�@TRRH�DM�OQNƥSD��car le thé rééquilibre le cholestérol, diminue la tension artérielle et le taux de triglycérides et semble protéger des accidents vasculaires cérébraux (AVC). Et n’oublions pas ses vertus « minceur » : il est diurétique, il accroît la dépense en calories et tendrait à réguler la glycémie et à réduire le stockage des graisses sur l’abdomen.La bonne dose : de trois à cinq tasses par jour, en privilégiant le thé vert ou noir.
Le café, baume du cœur et de l’esprit*« Booster » de vigilance, le café est A¤M¤ƥPTD�ONTQ�K@�L¤LNHQD�DS�KTSSD�BNMSQD�la maladie d’Alzheimer, le déclin cognitif ou encore la dépression. Ses propriétés digestives expliquent qu’on le boive après
le repas : il augmente la sécrétion d’acide gastrique et d’enzymes
pancréatiques, accroît la motri-cité du côlon et favorise le
développement de « bonnes »
bactéries
C@MR�K@�ƦNQD�HMSDRSHM@KD �"ŗDRS�@TRRH�K@�première source d’antioxydants (qui combattent le vieillissement), avec près de 37 % de nos apports alimentaires (contre 10 % pour le chocolat et 7,5 % pour les fruits et légumes). Il est par-ENHR�C¤BQH¤�ONTQ�RDR�DƤDSR�RDBNMC@HQDR�(palpitations, tremblements, anxiété, accroissement du risque de glaucome chez les plus de 50 ans), mais ceux-ci ne surviennent qu’en cas d’abus.La bonne dose : entre une et quatre tasses par jour (100 à 400 mg de caféine).
Le chocolat, c’est la santéOutre son action « anti-déprime » (deux carrés par jour amé-lioreraient l’humeur des dépressifs), le chocolat a quasi-ment tout bon ! Il facilite l’oxygéna-tion du cerveau et favorise la capacité de L¤LNQHR@SHNM�DS�K@�Q@OHCHS¤�CD�Q¤ƦDWHNM �Bien sûr, il est gras, mais les graisses qu’il contient ne sont pas néfastes : l’un de ses acides gras se transforme même, lors de la digestion, en acide NK¤HPTD��A¤M¤ƥPTD�ONTQ�KDR�@QS£QDR �Mieux, sa forte teneur en antioxydants permet de réduire le taux de « mauvais cholestérol » (LDL) et d’augmenter celui du « bon » (HDL), tout en luttant contre le vieillissement. Selon des chercheurs américains, les amateurs de chocolat vivraient en moyenne un an de plus que les autres.La bonne dose : environ 20 g par jour, le plus noir possible (contenant au moins 70 % de cacao).
La banane, tout sourireFruit idéal du petit déjeuner ou du goûter à tout âge, la banane est en outre aussi DƧB@BD�PTŗTMD�ANHRRNM�¤MDQF¤SHPTD�ONTQ�éviter le coup de pompe du sportif. En Australie, elle a été surnommée « l’ali-ment de la bonne humeur », sans doute à cause de ses vertus anti-fatigue et
anti-déprime. Elle QDMEDQLD�DM�DƤDS�CD�la dopamine et de la sérotonine, deux neurotransmetteurs impliqués dans la forme et le moral. Riche en potassium, un nutriment qui lutte contre l’hyper-tension et réduit l’acidité de l’organisme, DKKD�@OONQSD�DMƥM�CDR�ƥAQDR�CNTBDR��A¤M¤ƥPTDR�DM�B@R�Cŗ@HFQDTQR�CHFDRSHUDR�ou de diarrhée.La bonne dose : une par jour.
Le miel, de l’or liquideCe délice doré est connu pour favoriser la cicatrisation des plaies. Le secret ? Outre de l’eau (20 %) et des sucres (plus de 75 %, essentiellement du glu-BNRD���KD�LHDK�BNMSHDMS�CDR�Ʀ@UNMNªCDR�(anti oxydants), des sels minéraux, des vitamines, des oligoéléments et, surtout, des substances anti microbiennes très DƧB@BDR �/KTR�CHFDRSD�PTD�KD�RTBQD��il lutte contre l’acidité gastrique et @L¤KHNQD�K@�ƦNQD�HMSDRSHM@KD��SNTS�DM�limitant les fermentations. Il est par @HKKDTQR�DƧB@BD�ONTQ�KTSSDQ�BNMSQD�K@�toux. Très sucré, il doit donc être consommé avec modération. Cela dit, l’index glycémique (IG) du miel d’acacia reste modéré (32), ce qui en fait un aliment moins nocif que le sucre pour les diabétiques.La bonne dose : contre la toux, une cuillère à café le soir pour les enfants de moins de 12 ans (ne pas utiliser avant 1 an), deux pour les plus grands. Au quotidien, le miel ODTS�QDLOK@BDQ�KD�RTBQD�NT�K@�BNMƥSTQD �
Isabelle Delaleu
�2DKNM�TMD�ENQLTKD�CD�&HTRDOOD�5DQCH
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Dossier
Quels sont vos droits à l’hôpital ? Faites-vous partie des 70 % de Français PTH�C¤BK@QDMS�MD�O@R�KDR�BNMM@©SQD���2@UDY�UNTR��O@Q�DWDLOKD��PTD�UNTR�ONTUDY�BGNHRHQ votre établissement de santé, accéder à votre dossier médical ou refuser des soins ? "ŗDRS�K@�KNH�*NTBGMDQ�CT���L@QR������PTH�@�@ƧQL¤�BDR�CQNHSR��KDR�¤SDMC@MS���KŗHMENQL@SHNM� et au consentement du patient. Ils sont résumés dans la « Charte de la personne hospitalisée », remise lors de l’admission. Suivez le guide... Dossier réalisé par Vanessa Pageot-Françoise
�2NMC@FD�!5 ��/H�4XRWLGLHQ�GHV�PªGHFLQV��RDOSDLAQD�����
A l’hopital, faites valoir vos droits
Choisir son établissement
C’est le premier article de la « Charte de la
personne hospitalisée » : « Toute personne est
libre de choisir l’établissement de santé dans
lequel elle souhaite être prise en charge. »
Toutefois, deux exceptions demeurent :
Ş Un établissement peut s’opposer à votre choix
s’il n’a pas les moyens d’assurer une prise en
charge appropriée ou s’il ne dispose pas de
place disponible.
Ş En cas d’urgence, lors d’une prise en charge
par le Samu ou les pompiers, ces derniers vous
conduisent à l’hôpital le plus proche.
Choisir son professionnel de santéUne fois l’établissement de santé choisi, vous pouvez faire la i�ƥMD�ANTBGD�y�DS�OQ¤E¤QDQ�TM�L¤CDBHM���TM�@TSQD��« sous réserve que les modalités d’organisation de l’établissement ne s’y opposent pas », précise la charte. Soyez vigilant, les conditions de remboursement peuvent varier selon le praticien choisi. Certains médecins, même hospitaliers, ont aussi des consultations en tant que libéral à l’hôpital, ce qui induit parfois des dépassements d’honoraires. Pensez à demander un devis avant de vous engager.
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faites valoir vos droits
Choisir une personne de confianceSans même parler du dédale des couloirs et des services, l’hôpital est pour de nombreux patients un labyrinthe à la fois médical et administratif. Pour vous épauler, vous pouvez désigner une personne CD�BNMƥ@MBD���BNMINHMS��E@LHKKD��@LH��L¤CDBHM�SQ@HS@MS��etc. Cette personne pourra assister aux entretiens médicaux, vous accompagner tout au long des soins et être consultée sur votre volonté si vous n’êtes pas en état de le faire. Cette désignation se fait par écrit et est révocable à tout moment.
La liberté de refuser les soins« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peuvent être pratiqués sans votre consentement libre et éclairé et ce consentement peut être retiré à tout moment, explique la charte. En revanche, si vos décisions mettent votre vie en danger, il est du devoir du médecin de tout faire pour vous convaincre d’accepter les soins qui s’imposent. » Dans les cas extrêmes, où le pronostic vital est engagé, « c’est le devoir d’assistance du médecin qui doit l’emporter sur le refus de soins ».
Si vous n’êtes pas en état d’exprimer votre volonté et sauf urgence ou impossibilité, le médecin a l’obligation CD�BNMRTKSDQ�K@�ODQRNMMD�CD�BNMƥ@MBD�NT����C¤E@TS��UNSQD�famille et vos proches avant tout acte médical et traite-ment. A noter : dans les cas de recherche biomédicale et de chirurgie plastique, votre consentement doit être écrit.
Le secret médical« Toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au secret des informations la concernant », selon le Code de la santé. Le secret médical concerne les informations d’ordre purement médical (résultats d’examens, diagnostics, traitements, etc.) comme celles relatives à la vie privée (situation familiale, revenus, etc.). Ainsi, aucune information ne sera donnée à votre entourage par téléphone ou par écrit sans votre accord. Vous pouvez aussi demander que votre hospitalisa-tion ne soit pas divulguée, et ce dès votre admission. L’hôpital ne communiquera ni votre présence ni votre numéro de chambre à des tiers – exception faite pour les patients mineurs, soumis à l’autorité parentale.
Etre informé sur son état de santé
Le Code de la santé publique est clair : « Toute personne a
le droit d’être informée sur son état de santé »��@ƥM�PTŗDKKD�
puisse prendre, avec le professionnel de santé et compte tenu
de ces informations, les décisions concernant sa santé. Les
informations portent sur : les conditions d’accueil et de prise
en charge ; les traitements et les actes médicaux ; leur utilité,
leur urgence éventuelle, leurs conséquences ; leurs risques
fréquents ou graves normalement prévisibles, ainsi que les
autres solutions possibles. Dans le cas d’un dommage associé
aux soins, la Haute Autorité de santé (HAS) recommande aux
professionnels de santé d’informer le patient dans les vingt-
quatre heures suivant leur observation de ce dommage.
+DR�HMENQL@SHNMR�ƥM@MB
H£QDR��MNS@LLDMS�KD�QDR
SD���BG@QFD��
ne sont communiquées que sur demande (Code de la santé
publique). Pensez, lors de votre admission, à réclamer le
détail des remboursements auxquels vous pouvez prétendre
selon votre régime de Sécurité sociale et votre couverture
complémentaire santé.
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NTUDY�QDETRDQ�Cŗ¥SQD�HME
NQL¤�CT�CH@-
gnostic ou du pronostic pour des raisons qui vous appartiennent.
Cette décision doit alors être respectée par les professionnels
de santé sauf si votre « état de santé présente des risques de
contamination à des tiers ».
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Dossier
Les réclamations peuvent concerner :Ş la qualité du séjour (accès à l’hôpital, organisation interne d’un service, délais d’attente, conditions d’hygiène, etc.) ;Ş�KDR�CHƧBTKS¤R�QDK@SHNMMDKKDR�@UDB�TM�ODQRNMMDK�CD�KŗG¯OHS@K��Ş la qualité des soins, quand le patient s’estime être victime d’un défaut d’information ou d’une faute médicale (dia-FMNRSHB�DQQNM¤��PT@KHS¤�DS�DƧB@BHS¤�CDR�RNHMR�L¤CHB@TWş� Le patient a plusieurs personnes vers qui se tourner, selon la nature de ses réclamations.) Le chef du service. Si durant votre séjour vous avez des remarques ou des critiques à formuler, le cadre de santé ou le chef de service est votre premier interlocuteur.) La direction de l’hôpital. Vous pouvez également prendre contact avec la direction de l’établissement chargée du droit des patients, des usagers ou de la clientèle. Celle-ci a notamment pour mission de recueillir et d’instruire les réclamations des usagers et des familles. Elle travaille en étroite collaboration avec les médiateurs médicaux et non médicaux de l’établissement, à qui elle transmet toute réclamation qui entre dans leur champ de compétence.) Le médiateur médical. En cas de préjudice lié à l’activité médicale, sollicitez l’assistance et les conseils du médiateur médical. Ses missions consistent à : prendre contact avec le plaignant ; consulter le dossier médical, avec l’accord du patient ; compléter l’information, expliquer et essayer de résoudre les malentendus éventuels ; informer, si besoin, sur les modalités du recours gracieux – qui fera intervenir l’assurance de l’hôpital – et rédiger systématiquement
un compte rendu de la rencontre avant de faire part de ses recommandations au directeur de l’établissement ainsi qu’aux services concernés ; indiquer au plaignant les voies de recours judiciaire possibles, si les démarches amiables ont échoué.) Le médiateur non médical. Il est appelé à connaître toutes les plaintes qui ne sont pas liées à l’organisation des soins et au fonctionnement médical des services. Ses missions sont similaires à celles du médiateur médical.) La commission régionale de conciliation et d’indem-QLVDWLRQ��&5&,�� Elle est chargée de faciliter le règlement amiable des litiges relatifs aux accidents médicaux, aux @ƤDBSHNMR�H@SQNF£MDR��SQNTAKD�NT�L@K@CHD�OQNUNPT¤R�O@Q�un acte médical ou par les médicaments) et aux infections nosocomiales. Ces dernières touchent un patient sur vingt, selon l’Institut de veille sanitaire (INVS). Concrètement, si cette commission décide qu’il y a eu faute dans la prise en charge médicale, il revient au professionnel de santé, et plus précisément à son assureur, de faire une proposition d’indemnisation au patient. Les coordonnées de la com-mission sont mentionnées dans le livret d’accueil remis lors de l’admission.) Les représentants des malades. Les associations de défense des patients, comme le Collectif interassociatif sur la santé (Ciss) ou Le Lien, défendent les victimes d’accidents médicaux (lire « En savoir plus », en page suivante).) La justice. 5NTR�ONTUDY�DMƥM�ONQSDQ�OK@HMSD�@T�SQHATM@K�administratif.
Le dossier médicalPas besoin de demander l’autorisation à son médecin pour avoir accès directe-
LDMS���RNM�CNRRHDQ�L¤CHB@K��BNLLD�KD�BQNHDMS�DMBNQD������CDR�%Q@M¢@HR �/NTQ�
une hospitalisation, sont conservés tous les documents créés au moment de
Kŗ@CLHRRHNM�DS�ODMC@MS�KD�R¤INTQ���K@�ƥBGD�CŗHCDMSHƥB@SHNM�CT�L@K@CD���KD�CNBT-
ment médical indiquant le ou les motifs de l’hospitalisation ; les conclusions de
l’examen clinique initial et des examens cliniques successifs ; le compte rendu
des explorations paracliniques et des examens complémentaires ; le dossier
d’anesthésie ; le compte rendu opératoire ou d’accouchement ; les prescriptions
d’ordre thérapeutique ; le compte rendu d’hospitalisation, avec notamment le
CH@FMNRSHB�CD�RNQSHD���DMƥM��KDR�OQDRBQHOSHNMR�¤S@AKHDR���K@�RNQSHD�CT�O@SHDMS Le dossier médical est conservé vingt ans par l’hôpital. Toute demande
doit être formulée auprès du directeur de l’établissement. Vous pouvez en obtenir une copie ou donner un mandat par écrit à une personne qui, munie d’une pièce d’identité, le demandera pour vous. Les informations sollicitées seront mises à disposition au plus tôt après KŗNARDQU@SHNM�CŗTM�C¤K@H�CD�Q¤ƦDWHNM�CD�PT@Q@MSD�GTHS�GDTQDR�DS�@T�plus tard sous huit jours pour les informations de moins de cinq ans et sous deux mois pour celles plus anciennes.Les ayants droit (conjoint, enfants…) ont accès au dossier médical en cas de décès du patient, sauf volonté contraire exprimée par le défunt. Dans ce cas, les ayants droit ne peuvent y accéder que pour faire connaître les causes de la mort, défendre la mémoire du défunt et faire valoir ses droits.�2NMC@FD�!5 ��/H�4XRWLGLHQ�GHV�PªGHFLQV��RDOSDLAQD�����
© Thinkstock
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Le droit à être scolarisé« Dans la mesure où leurs conditions d’hospitalisation le
permettent, souligne la loi du 4 mars 2002, les enfants en
âge scolaire ont droit à un suivi scolaire adapté au sein
des établissements de santé. »�$MUHQNM��������^¤K£UDR�
par an sont scolarisés dans les établissements sani-
S@HQDR �/QHNQHS¤�DRS�CNMM¤D�@TW�OKTR�KNMFR�R¤INTQR�DS�@TW�
pathologies qui auront le plus de retentissement sur la
scolarité. Les enseignements portent en premier lieu
sur le français et les mathématiques, puis, en fonction
de la fatigue de l’enfant, ils s’élargissent aux sciences et
à l’histoire-géographie, voire aux activités éducatives et
culturelles. Le travail réalisé à l’hôpital est pris en compte
dans le cursus scolaire : les notes peuvent être validées,
et certains examens nationaux comme le baccalauréat,
être passés à l’hôpital.�2NTQBD���'NOHS@K EQ
En savoir plusŢ�m�&KDUWH�GH�OD�SHUVRQQH�KRVSLWDOLV¨H�},
téléchargeable gratuitement sur
Sante.gouv.fr/la-charte-de-la-personne-
hospitalisee-des-droits-pour-tous.html.
Ţ�Loi du 4 mars 2002, texte intégral sur
Sante.gouv.fr/cdrom_lpsp/pdf/loi_du_4_
mars_2002.pdf.
�m�9RV�GURLWV�}, dossier grand public sur les
droits des patients hospitalisés, à consulter
sur Hopital.fr/Hopitaux/Vos-droits.
Ţ�Collectif interassociatif sur la santé (Ciss) :
Leciss.org.
�Association Le Lien : Lelien-association.fr.
Ţ�Santé info droits, un service mis en œuvre
par le Ciss : 0 810 004 333 (coût d’une
FRPPXQLFDWLRQ�ORFDOH�GHSXLV�XQ�SRVWH�Ʃ[H��
Le respect de l’intimitéLa chambre du malade étant associée à un lieu privé, « l’intimité du patient doit être préservée lors des soins, des toilettes, des consultations et des visites médicales », précise la charte. Vous pouvez donc refuser des visites privées. Toujours dans le cadre du respect de la vie privée, K@�BNMƥCDMSH@KHS¤�CT�BNTQQHDQ�DMUNX¤�NT�QD¢T��CDR�BNLLTMHB@SHNMR�S¤K¤-phoniques et des entretiens avec des visiteurs ou des professionnels de santé doit être garantie. Vous pouvez faire appel au représentant du BTKSD�CD�UNSQD�BGNHW���KŗG¯OHS@K�¤S@MS�TM�DRO@BD�OTAKHB�DS�K@ªB��BG@BTM�DRS�libre d’exprimer ses convictions religieuses à condition de respecter le bon fonctionnement du service, la sécurité des soins et la tranquillité de ses voisins. Les journalistes, les photographes, les démarcheurs et les représentants n’ont quant à eux pas accès aux chambres, sauf accord des patients et du directeur de l’éta-blissement.2@BGDY�DMƥM�PTD��RH�UNSQD�BG@LAQD�est considérée comme un lieu privé, cela ne vous dispense pas de respecter le règlement inté-rieur de l’hôpital : interdiction de fumer, de consommer des bois-sons alcoolisées ou d’utiliser son téléphone portable dans certains services, de faire venir des animaux sauf chiens d’aveugle, etc.
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En bref
7RXW�VDYRLU� sur les médicamentsLe ministère de la Santé a lancé, au début du mois d’octobre, un site Internet qui passe en revue tous les médicaments disponibles en France. Cette nouvelle base, constituée de données fournies par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Assurance maladie, se veut exhaustive DS�CD�PT@KHS¤ �.AIDBSHE��CDUDMHQ�K@�Q¤E¤QDMBD�en matière d’information du grand public et des professionnels de santé. Concrètement, pour chacun des médicaments en circulation dans notre pays, le site présente les indications, les précautions d’emploi, les contre-indications, l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la composition, la posologie, le service médical rendu (SMR) ou encore le prix et le taux de remboursement par l’Assurance maladie. Complet et très simple d’utilisation, Medicaments.gouv.fr constitue lʙOD�SUHPL©UH�ªWDSH�GX�SURMHW��GX�JRXYHUQHPHQW�GH�PHWWUH�HQ�SODFH��XQ�VHUYLFH�SXEOLF�GśLQIRUPDWLRQ�HQ�VDQWªʙ|, précise le ministère dans un communiqué.
&QHOOD���KDR�%Q@M¢@HR�RD�L¤ƥDMS�CD�K@�U@BBHM@SHNM6HORQ�XQ�VRQGDJH�,IRS�U¨DOLV¨�U¨FHPPHQW�SRXU�OH�JURXSHPHQW�GH�SKDUPDFLHQV�3+5��seuls 28 % des Français comptent se faire vacciner contre la grippe cet hiver, soit 6 % de moins que l’an passé. Un faible pourcentage, qui s’explique notamment par la peur GHV�HƨHWV�VHFRQGDLUHV�HW�SDU�XQ�FHUWDLQ�VFHSWLFLVPH�FRQFHUQDQW�OśXWLOLW¨�GX�YDFFLQ��Nombreux sont ceux qui pensent par exemple que le vaccin peut être mal toléré et donc dangereux pour la santé, alors qu’il est bien plus risqué d’attraper la grippe. /ś$VVXUDQFH�PDODGLH�UDSSHOOH�TXH�OD�SOXSDUW�GHV�HƨHWV�VHFRQGDLUHV��GRXOHXU��LQƪDP-mation au point d’injection, fièvre, malaise) sont transitoires et bénins. Autre FUR\DQFH�LQMXVWLƩ¨H���SRXU�FHUWDLQV��OD�grippe s’apparente à un simple rhume, alors qu’elle est responsable d’un nombre YDULDEOH�GH�G¨F§V�FKDTXH�DQQ¨H�����b�victimes l’an passé). Pour inciter les Français les plus fragiles (femmes enceintes, personnes âgées de plus de 65 ans, malades touchés par certaines DƨHFWLRQV�GH�ORQJXH�GXU¨H����VH�IDLUH�vacciner, des spots de prévention sont GLƨXV¨V�MXVTXś��ƩQ�MDQYLHU���OD�UDGLR����la télévision et sur le Web.
Bronchiolite : les bons gestes de préventionChaque hiver, la bronchiolite touche 500 000 enfants GH�PRLQV�GH���DQV��7U§V�FRQWDJLHX[��FH�YLUXV� DƨHFWH�OHV�EURQFKHV�GX�E¨E¨�HW�SHXW�©WUH�UHVSRQVDEOH�
de complications nécessitant l’hospitalisation. A l’approche des grands froids, l’Institut national
de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) rappelle les gestes à adopter pour éviter la contamination : se laver U¨JXOL§UHPHQW�OHV�PDLQV��VXUWRXW�DYDQW�GH�VśRFFXSHU�GśXQ�E¨E¨���en cas de rhume ou de grippe, porter un masque chirurgical HW�QH�SDV�HPEUDVVHU�OH�WRXW�SHWLW�VXU�OH�YLVDJH�RX�VXU�OHV�PDLQV���HQƩQ��WRXVVHU�HQ�VH�FRXYUDQW�OD�ERXFKH�DYHF�OH�FRXGH��
le bras ou un mouchoir jetable. Pensez aussi à aérer quotidiennement votre logement ainsi que la chambre de votre enfant, maintenez une température à 19 °C et ne fumez pas en sa présence.
+ŗDLL@HKKNS@FD��� TM�C@MFDQ�ONTQ�K@�R@MS¤� des bébésL’emmaillotage des bébés, cette ancienne pratique tombée DM�C¤RT¤STCD�CDOTHR�K@�ƥM� des années 70, revient en force, en particulier en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Selon un spécialiste, près de neuf bébés américains sur dix sont ainsi régulièrement serrés dans des langes pendant les six premiers mois de leur vie. Or, si selon certaines mamans l’emmaillotage facilite le sommeil et l’apaisement de l’enfant, pour les médecins cette technique peut avoir de graves conséquences parmi lesquelles la luxation des hanches. Les jambes d’un bébé ne CNHUDMS�DM�DƤDS�O@R�¥SQD�DMSQ@U¤DR��� leurs mouvements participent au bon développement des hanches et à l’emboîtement de la tête du fémur dans la cavité du bassin.
Le chiffre4M�%Q@M¢@HR�RTQ�PT@SQD�
@�C¤I��BNMRTKS¤�TM�ORXBGH@SQD��
TM�ORXBG@M@KXRSD�
NT�TM�ORXBGNSG¤Q@ODTSD
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paru dans la revue Psychologie magazine du mois
de septembre. Un tiers des personnes ayant vu
un psy l’auraient fait pour cause de dépression.
Parmi les autres motifs, le stress et les problèmes
IDPLOLDX[�ƩJXUHQW�HQ�ERQQH�SODFH��ORLQ�GHYDQW�
l’envie de mieux se connaître (6 % seulement).
Et dans l’ensemble, les Français semblent satisfaits
de ces consultations, puisque 86 % estiment
que cela les a aidés.
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Pour le papa gourmet, mais soucieux de sa ligne : un atelier de cuisine équilibréeEn petit groupe, il préparera un menu gourmand à base de produits de sai-son, tout en apprenant à respecter l’équilibre alimentaire. Certains ateliers
mettent l’accent sur les légumes, le pois-
son ou encore les épices : choisissez selon ses goûts. $M�ƥM�CD�R¤@MBD��il pourra savou-rer sa propre
production.
Pour la mamie qui a toujours envie d’apprendre : un cycle d’ateliers mémoirePour prolonger le plus longtemps pos-sible ses facultés intellectuelles, il est
recommandé d’entraîner son cerveau avec des exercices variés et de connaître des stra-tégies de mémorisation utiles au quotidien. La MGC propose le programme « Mémoires Actives », accessible à tous (adhérents et non-adhérents), partout en France. Rensei-gnez-vous au 01 40 78 06 57.
Pour la belle-sœur qui veut se remettre au sport : des palmesLa natation fait partie des sports recom-mandés lorsque l’on reprend une acti-vité physique après une période plus ou moins longue de sédentarité. Les palmes sont un petit cadeau sympa-thique qui va notamment permettre de
SNMHƥDQ�KDR�@ACNR�DS�KDR�EDRRHDQR�et de travailler le fuselage
des jambes. Pour les débutants, choisissez des palmes
souples et courtes : elles
Des cadeaux bien-être et santé pour toute la famille/HV�IÅWHV�DSSURFKHQW�HW�OH�SÃUH�1RÆO�QoD�SDV�HQFRUH�ƣQL�GH�UHPSOLU�VD�KRWWH�"�
Pas de panique : la MGC vous propose une liste de cadeaux prévention santé.
Du petit neveu à la mamie, voici des idées pour chaque membre de la famille.
3RXU�OD�VĒXU�m�IDVKLRQ�}��� des lunettes de soleilEtre à la mode, d’accord, mais il est surtout important de bien protéger ses yeux des rayons UV qui peuvent causer ophtalmie, cataracte ou dégénérescence CD�K@�Q¤SHMD��#,+ � �.ƤQDY���UNSQD�RĎTQ�des lunettes bien enveloppantes, avec un indice de protection 4, en vous assu-rant qu’elles portent bien le sigle CE.
Pour l’oncle gastronome : une poêle à revêtement céramique ou en pierreVotre oncle est d’accord pour manger plus sainement, mais sans faire de conces-sion sur le goût ? Ce type de poêle est l’ustensile qu’il lui faut : le revêtement anti-adhésif permet de conserver le goût authentique de la viande cuite sur la pierre naturelle et de préparer tous les aliments sans ajouter de matière grasse. La cuisson est rapide et homogène, et le revêtement, extrê-mement solide.
Pour le petit neveu casse-cou : des rollersPour que votre neveu se dépense avec RDR�BNO@HMR�NT�DM�E@LHKKD��NƤQDY�KTH�des rollers, accompagnés de l’indis-pensable kit de protection : casque, protège-poignets, genouillères et coudières. Décorés de ses idoles ou de ses couleurs préférées, il ne les quittera plus ! �/KTR�CŗHMENR�RTQ���,FB�OQDUDMSHNM EQ
Prévention
sont plus faciles à manier et ont une résistance à l’eau plus faible que les grandes, qui nécessitent davantage CŗDƤNQSR
Pour le papi sédentaire : un podomètreIl est recommandé de faire plus de 10 000 pas par jour. Avec ce petit appa-QDHK�CHRBQDS�ƥW¤���R@�BDHMSTQD��KD�B@CD@T�idéal pour l’encourager à augmenter sa pratique d’une activité physique, votre papi pourra mesu-rer le nombre de pas qu’il DƤDBSTD�DS�l’augmenter progressi-vement. Une augmentation même modeste de l’activité physique limite la survenue de pathologies comme l’hyper tension artérielle, les maladies coronariennes, le diabète de type 2, l’obésité, le cancer du côlon…
Pour la maman débordée : un DVD d’entraînement sportifDifficile pour une maman de s’absenter du travail ou de la maison pour partir courir ou aller à la salle d e s p o r t ! .ƤQDY�KTH�TM�DVD d’entraî-nement sportif pour entretenir sa forme depuis son domicile. Step, pilates, aérobic, yoga : il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux. Ces DVD expliquent généralement les consignes de sécurité pour faire du sport chez soi sans risquer de se blesser. Ils per-mettent d’acquérir les gestes de base, avec accessoires (altères, élastiques…) ou sans, et de progresser à son rythme.
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Infos pratiques
En tant que vraie mutuelle, appar-tenant au Code de la mutualité, la MGC repose avant tout sur ses adhérents membres par-ticipants qui disposent d’un
droit de vote lors des assemblées générales de sections. Comme eux, n’hésitez pas à faire entendre votre voix
Qui sont les membres SDUWLFLSDQWV�"C’est vous, les adhérents. Repartis en sections locales, vous disposez d’un droit de vote pour élire les délégués mutualistes chargés de vous représen-ter lors de l’assemblée générale (AG) nationale de la MGC. Une élection à laquelle vous pouvez également vous porter candidat.
Qu’est-ce qu’une assemblée JÄQÄUDOH�GH�VHFWLRQ�"C’est une réunion annuelle, organisée généralement au cours du premier trimestre, durant laquelle adhérents et délégués locaux prennent des déci-sions importantes pour l’avenir de la mutuelle. C’est à ce moment qu’ont lieu les élections de délégués mutualistes. C’est aussi l’occasion pour vous de mieux connaître la MGC, de faire le bilan de l’année écoulée, de parler des projets…
&RPPHQW�SDUWLFLSHU�"Une convocation à l’AG de section est jointe à l’échéancier et à la carte de LTSTDKKD�PTD�UNTR�QDBDUDY�DM�ƥM�Cŗ@MM¤D �2H�UNTR�RNTG@HSDY�O@QSHBHODQ��HK�RTƧS�CD�compléter le coupon-réponse et de le retourner à l’adresse indiquée.
4XL�SHXW�SDUWLFLSHU�"Tous les membres participants peuvent assister à l’assemblée générale de leur section, qu’ils soient cheminots ou non. En cas d’empêchement, le conjoint ou tout autre adhérent de la même section peut vous représenter grâce au pouvoir présent dans la convocation.
'H�TXHOOH�VHFWLRQ�MH�GÄSHQGV�"Lors de votre adhésion, vous êtes rattaché à la section locale dont dépend votre commune d’habitation, et ce durant toute la durée de vie de votre contrat, même en cas de déména-gement. Pour des raisons pratiques, vous avez toutefois la possibilité de
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Assemblées générales de la MGC : vous aussi, participezDès votre adhésion à la MGC vous avez acquis un statut de membre participant,
qui prend tout son sens lors des assemblées générales de section. C’est un moment privilégié
d’échange et de dialogue indispensable pour la vie de la mutuelle.
��PTDRSHNMR���/@SQHBD�&THBG@NT@��OQ¤RHCDMS�CD�K@�LTST
DKKD�,&"��
¤F@KDLDMS�OQ¤RHCDMS�CD�K@�RDBSHNM�CD�0THLODr
) 5DǸǻ�Hȃ�3URǶȁ¥V��Řb�4XHOOH�HVW�OśLPSRUWDQFH�GHV�DVVHP
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de section pour la mutuelle et ses adhérents ?
Patrice Guichaoua. Ŕ�-NSQD�NQF@MHR@SHNM�ODQLDS���BG@BTM�CD�RŗDWOQHLDQ�
et de piloter sa mutuelle. Un adhérent égale une voix, c’est le mouvement
mutualiste même. L’assemblée générale de section est une obligation
statutaire, tout le monde devrait y participer, mais c’est malheureusement
loin d’être le cas. Cela nous permettrait pourtant d’avoir une vision globale
et représentative des attentes des adhérents et de faire évoluer nos prestations
en conséquence.
) Comment se déroule une assemblée générale type ?
Le président de section et l’administrateur du secteur font un état des lieux
de l’année écoulée, au sein de la section, puis de la MGC. Par souci d’impartialité
et d’homogénéisation de l’information donnée, un ordre du jour commun
à toute la mutuelle est établi. Après ces obligations, la parole est donnée
à nos adhérents présents pour un moment d’échange, de partage et surtout
de convivialité.
) Que diriez-vous aux adhérents MGC pour les encourager à participer ?
En mutualité comme ailleurs, nous encourageons les adhérents à utiliser
le pouvoir qui leur est donné pour faire entendre leur voix et ne pas laisser
les autres agir à leur place. C’est tout simplement le principe de la démocratie.
Il faut juste avoir la volonté de s’investir, car il n’y a pas de moment aussi important
dans la vie de notre mutuelle.
faire une demande de rattachement à la section correspondant à votre nouvelle adresse auprès du service adhérent MGC. �
1DSQNTUDQ�KDR�C@SDR�DS�KDR�KHDTW�CDR�SNTSDR�KDR�@RRDLAK¤DR�F¤M¤Q@KDR�CD�RDBSHNM�,&"�ONTQ������RTQ�,TSTDKKDLFB EQ�@RRDLAKDDR��FDMDQ@KDR�CD�RDBSHNMR
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Zoom sur les nouveautés MGC 2014
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Du côté des remboursementsChambre particulière en hospitalisation4XRL�GH�QHXI�"�Une hausse du rembour-sement de la chambre particulière en cas d’hospitalisation, hors psychiatrie.
3RXU�TXL�" Le remboursement passe de 37 à 50 euros par jour pour les adhé-rents aux formules Ritmavie 200 et 300 et de 40 à 55 euros par jour pour les adhérents à la formule Ritmavie 400.4XDQG�"�A partir du 1er janvier 2014. Opération chirurgicale de la myopie4XRL�GH�QHXI�"�Le forfait annuel en cas d’opération chirurgicale de la myopie est versé pour chaque œil, et non plus au global.3RXU�TXL�" Les adhérents aux formules Ritmavie, les adhérents à Essentiel, à Confort ou à Sérénité ayant déjà droit à cette prestation.4XDQG�" A partir du 1er janvier 2014.Exemple : pour un adhérent à la formule Ritmavie 400 subissant une opération de la myopie sur les deux yeux, le rem-boursement MGC avant le 1er janvier 2014 était de 153 euros par an ; il sera après le 1er janvier 2014 de 153 euros pour l’œil droit et 153 euros pour l’œil gauche, soit 306 euros par an.
Restructuration de la gamme « Essentiel-Confort-Sérénité » (ECS)4XRL�GH�QHXI�"�+@�EDQLDSTQD�C¤ƥMHSHUD�des contrats ECS « Essentiel Optique » et « Sérénité Extra ».3RXU�TXL�" Les adhérents concernés ont reçu une proposition personnalisée de changement de formule adaptée à leur situation.4XDQG�" A partir du 1er janvier 2014.
&UÄDWLRQ�GoXQH�RƢUH� de surcomplémentaire MGC4XRL�GH�QHXI�" Une surcomplémentaire santé, souvent recherchée lorsque l’on est couvert par un contrat d’entreprise obligatoire peu adapté à ses besoins personnels.3RXU�TXL�" Les adhérents contraints de démissionner pour une mutuelle d’entreprise obligatoire et qui souhaitent BNMSHMTDQ���A¤M¤ƥBHDQ�CDR�@U@MS@FDR�et des services de la MGC.4XDQG�"�Au premier trimestre 2014.
Chez MGC-Santéclair, un réseau d’implantologie dentaire à tarifs négociés4XRL�GH�QHXI�" Des tarifs jusqu’à 50 % inférieurs aux prix moyens du marché sur les implants dentaires dans le réseau MGC-Santéclair.3RXU�TXL�" Tous les adhérents MGC souhaitant associer qualité de soins et économie.4XDQG�"�Le réseau va progressivement s’étendre en 2014.Pour trouver un implantologue proche de chez vous, rendez-vous dans votre espace adhérent, rubrique « Mes ser-vices », puis « Optique, dentaire, audio-prothèse », et renseignez dans l’outil de recherche les champs « Domaine : CDMS@HQD�y��i�^0T@KHƥB@SHNM���HLOK@MSN-logues spécialistes ».
Mutuellemgc.fr dans votre poche4XRL�GH�QHXI�"�Le lancement de la version mobile du site Mutuellemgc.fr et de votre espace adhérent. De nombreux services à portée de main, comme demander un devis, trouver l’agence MGC la plus proche, consulter vos remboursements…3RXU�TXL�" Les mobinautes.4XDQG�" Au premier trimestre 2014. Les adhérents dits connectés seront avertis par e-mail.
Une nouvelle application « Automédication »
4XRL�GH�QHXI�" Une interface plus inte-ractive et plus simple d’utilisation, aussi bien sur ordinateur que sur tablette ou smartphone, pour pratiquer l’automé-dication en toute sécurité et connaître les prix des médicaments.3RXU�TXL�" Les adhérents MGC.4XDQG�" Dès maintenant, depuis votre espace adhérent. �
Le chiffre2,8 %, c’est le taux
d’augmentation de la cotisation
santé MGC* pour les gammes
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6¨U¨QLW¨��&H�FKLƨUH�WLHQW�FRPSWH�
de l’évolution des dépenses
de santé et des nouvelles taxes
imposées connues à ce jour.
�'NQR�@TFLDMS@SHNM�KH¤D���Kŗ�FD
Dans un souci constant
GoDPÄOLRUDWLRQ�GH�VRQ�RƢUH��
la MGC vous a concocté
quelques nouveautés
pour 2014 : prestations,
services, améliorations…,
on vous dit tout.
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PréparationPour le biscuit : OQ¤BG@TƤDY�UNSQD�ENTQ�������n"��SGDQLNRS@S��� �Couvrez de papier cuisson une plaque du four. Cassez les œufs en séparant les blancs des jaunes. Dans un saladier, versez les jaunes d’œufs et le sucre, puis mélangez à l’aide d’un fouet jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Incorporez la farine, le beurre fondu et la pincée de sel. Battez les blancs en neige et incorporez-les à la préparation précédente à l’aide d’une spatule. Versez la pâte sur l’ensemble de la plaque du four, enfournez et laissez cuire douze à quinze minutes (la pâte doit rester souple). Ensuite, sur un plan de travail propre, étalez un torchon et retournez la plaque côté biscuit. Retirez le papier sulfurisé. Enroulez le biscuit sur le torchon. Laissez refroidir.Pour le sirop : dans une casserole, faites bouillir pendant cinq minutes le jus de fruits de la passion et le sucre. Laissez refroidir.Pour la crème : faites ramollir les feuilles de gélatine pendant dix minutes dans un bol d’eau froide. Coupez les fruits de la passion en deux, et videz-les à l’aide d’une petite cuillère. Versez le tout dans un tamis ou une petite passoire placée sur un bol, et écrasez la pulpe avec le dos de la cuillère, pour que le jus passe dans le récipient.
Il faut récupérer 25 cl de jus (soit environ huit fruits de la O@RRHNM� �#@MR�TMD�B@RRDQNKD��E@HSDR�BG@TƤDQ�BD�ITR�@UDB�KD�sucre, en mélangeant régulièrement. Ajoutez la gélatine à cette préparation en remuant bien. Enlevez ensuite du feu. Dans un saladier, mélangez le fromage blanc et le jus tiédi, puis laissez refroidir jusqu’à ce que le mélange commence à prendre.
MontageDéroulez délicatement le biscuit sur votre plan de travail. A l’aide d’un pinceau, imbibez-le de sirop sur toute sa surface. Etalez-y la crème en une couche régulière, puis enroulez le biscuit en serrant légèrement. Placez la bûche au frais pendant au minimum huit heures avant de la consommer. Pour la décoration, taillez les extrémités de la bûche et nappez légèrement de sucre glace.
1 Bon à savoir+D�EQTHS�CD�K@�O@RRHNM�DRS�TM�BNMBDMSQ¤�CD�UHS@LHMD�"�DS�CD�B@QNS£MDR��CDR�@MSHNWXC@MSR�PTH�KTSSDMS�BNMSQD�KDR�Q@CHB@TW�KHAQDR��QDRONMR@AKDR�CT�UHDHKKHRRDLDMS�CDR��BDKKTKDR� �/NTQ�AHDM�KD�BGNHRHQ��HK�E@TS�R@UNHQ�PTŗTM�EQTHS�L¶Q�@�TMD�OD@T�OKHRR¤D �+DR�EQTHSR���K@�OD@T�KHRRD�DS�AQHKK@MSD�MD�RNMS�O@R�L@STQDR�DS�RD�Q¤U£KDMS�SQ£R�@BHCDR 1DSQNTUDY�SNTSDR�MNR�QDBDSSDR�RTQ�LFB�OQDUDMSHNM EQ��QTAQHPTD� i�+DR�CNRRHDQR�y��OTHR�i�"THRHMDY�L@KHM�ʖ�y
Au quotidien
Bûche légère aux fruits de la passionIngrédients (pour huit personnes)
Ţ�3RXU�OH�ELVFXLW������J�GH�IDULQH�ƪXLGH����ĒXIV�����J�GH�VXFUH�HQ�SRXGUH������J�GH�EHXUUH�IRQGX����SLQF¨H�GH�VHO��Ţ�3RXU�OH�VLURS������FO�GH�MXV�GH�IUXLWV�GH�OD�SDVVLRQ�����J�GH�VXFUH�HQ�SRXGUH��Ţ�3RXU�OD�FU§PH�����IUXLWV�GH�OD�SDVVLRQ������J�GH�VXFUH�HQ�SRXGUH�����IHXLOOHV�GH�J¨ODWLQH������J�GH�IURPDJH�EODQF�
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Le + prévention
Cette recette de bûche aux fruits de la passion a été allégée à l’aide du fromage blanc et de la gélatine, qui permettent de diminuer les calories de ce dessert, tout en lui assurant un beau maintien.La gélatine est un ingrédient très pratique en cuisine. (OOH�DSSRUWH�WU§V�SHX�GH�FDORULHV���bNFDO�SDU�IHXLOOH��HW�SDV�GH�QXWULPHQWV��(OOH�SHUPHW�GH�J¨OLƩHU��Gś SDLVVLU�et de stabiliser facilement des préparations culinaires. &H�J¨OLƩDQW�GśRULJLQH�DQLPDOH�SHXW�©WUH�UHPSODF¨�SDU�XQ�J¨OLƩDQW�GśRULJLQH�Y¨J¨WDOH�FRPPH�OśDJDU�DJDU��TXL�est extrait d’une algue et a les mêmes propriétés que la gélatine.
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A vous de jouer
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La règle est celle du sudoku, PDLV�OHV�FKLƱUHV�VRQW�UHPSODFªV�SDU� GHV�OHWWUHV��8QH�GLƴFXOWª�VXSSOªPHQWDLUH�KHXUHXVHPHQW�FRPSHQVªH�SDU�XQ�LQGLFH�Indice. /H�WHUPH�TXL�VLQVFULW�GDQV� OD�GLDJRQDOH�GªVLJQH�OH�SHUVRQQDJH�GśXQH�FªO©EUH�IDEOH�IDLVDQW�GX�WUDYDLO�XQ�WUªVRU�
� 1� �� � 5� �� $� (� L U G E B G L A U B � 5� � �� /� � 1� �� � ( E O G U L E B � � 5� � 1� 2� � � � B A G L
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© Nono – Fotolia
Trouvez les vingt mots de six lettres et inscrivez-les dans les cercles HQWRXUDQW�OHV�GªƲQLWLRQV��&KDTXH�PRW�Vªcrit dans le sens des aiguilles GXQH�PRQWUH�HW�OD�OHWWUH�GH�GªSDUW�HVW�LQGLTXªH�SDU�XQH�Ƴ©FKH�
MENTHETISANETRANSINECTARCETACEDOIGTE
TEMPLEALARMENARVALTRIERAAGADIRGOULAG
PERSILREITREVERNIEENIVRERDECLINLUTECE
SLALOMTERGALNEUTREVERRUELEVUREESTIVE
Mots fléchés
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c c c c c cTECHNIQUE
DE SkI
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