Post on 21-Sep-2020
DÉPARTEMENT DE MÉDECINEDE FAMILLE ET DE MÉDECINE D’URGENCE
UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
JOURNÉE ANNUELLE
L’ÉVALUATION
DE LA
DE LAET DE
QUALITÉ DE L’EXERCICEPROFESSIONNEL
CLINIQUERECHERCHE
VEND
REDI
27 M
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CAMPUS DE LA SANTÉ
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ENTRÉEDE L’HÔPITAL (1)
ENTRÉE DU CAMPUS (2)
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I
Rue James Quintin
P2
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Vers Sherbrooke et autoroute 610
Route 216
610
410
A
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A Campus principal
B Campus de la santé
C Parc Innovation
Serv
ice
des
com
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2013
08
CAMPUS DE LA SANTÉAnimalerie Z4
Bibliothèque X1 et X2
Centre Étienne-Le Bel (recherche clinique)
Centre hospitalier
Centre sportif Y1
CPE La Jardinière Faculté de médecine et des sciences de la santé X1 à X4, Z4 et Z6 - Pavillon Gérald-La Salle
X12
X5 à X15
X8 et X9
Z7
Hôtellerie de l’Estrie - Fondation québécoise du cancer X11
Institut de pharmacologie de Sherbrooke (IPS) Z5
Pavillon de recherche appliquée sur le cancer Z8
Résidences Z1 à Z3
C
X7
Z8
FACULTÉ, CHUS, CENTRES ET INSTITUTS
UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
MAISON AUBE-LUMIÈRE
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SHERBROOKE (CHUS)
PERMIS GÉNÉRAL ET PERMIS D’HORODATEUR
P PARC DE STATIONNEMENT
PERMIS SP (semi-privé) ou CP (covoiturage)
STATIONNEMENT POUR L’HÔPITAL
PERMIS VERT UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
PERMIS JAUNEUNIVERSITÉ DE SHERBROOKE
HORODATEURS
PLACES RÉSERVÉES AUX PERSONNES HANDICAPÉES
SENS UNIQUE
DOUBLE SENS
DÉFENSE D’ENTRER
ARRÊT AUTOBUS
STATIONNEMENT INVITÉS SPÉCIAUX DE LA FACULTÉ (Vignette obligatoire)
I
BORNE DE RECHARGE ÉLECTRIQUE
X8
X9
P6
Z7 - porte 28
X1 - porte 35Entrée de la Faculté
Z7 - porte 26
Résidences
PAYEZ 6,00 $POUR LA JOURNÉE
PAYEZ 6,00 $POUR LA JOURNÉE
Le Campus de la santé est situé au 3001, 12e avenue Nord, à Sherbrooke. Il est accolé au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS-Hôpital Fleurimont).
Pour vous y rendre :
• De l’autoroute 10/55, empruntez la sortie 143 pour accéder à l’autoroute 610
• De l’autoroute 610, empruntez la sortie 7
• Au feu de circulation, tournez à gauche sur la 12e avenue
• À environ 2 km, au 3e feu de circulation, tournez à gauche et gardez la voie de gauche, vers le stationnement des employés
Pour stationner :
• Payez à l’horodateur un montant de 6,00 $ (monnaie exacte/carte de crédit)
• Dirigez-vous vers les stationnements des employés (près de la porte 35, soit l’entrée de la Faculté)
• Notez que vous ne pouvez stationner dans les zones SP (semi-privé)
REMERCIEMENTS
Le Département de médecine de familleet de médecine d’urgence tient à remercier
les membres du jury pour leur participation :
Merci !
Alain Vanasse,Groupe de recherche PRIMUS
Simranjit Ghumman,UMF Horizon Rouyn-Noranda
Isabelle Gaboury,Groupe de recherche PRIMUS
Marie-Suzanne Mathieu,UMF Alma
JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS
PROJET DE RECHERCHE PRÉSENTATION NO :
TITRE :
Faib
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ltats
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cour
agé)
1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5 2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5
3. Justification pertinente pour la médecine familiale
1 … 3 … 5 /5
4.
Méthodologie appropriée
4.1 Dispositif de recherche approprié 4.2 Échantillon adéquat (taille de l’échantillon, recrutement, représentativité, saturation…) 4.3 Collecte des données appropriée (qualité des mesures, source d’information, complet…) 4.4 Plan d’analyses adéquat
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6.
Présentation des résultats
Éthiques (approbation s’il y a lieu, respects des principes d’éthique de la recherche)
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7. Discussion 2 … 6 … 10 /10
8. Conclusion qui répond à la question et qui est congruente avec la méthode
1 … 3 … 5 /5
9. Qualité de la présentation (compréhensibilité, utilité du support visuel, respect du temps)
1 … 3 … 5 /5
10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5
11. Originalité 1 … 3 … 5 /5
12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)
2 … 6 … 10 /10
TOTAL :
/85
Commentaires :
Initiales :
JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS
ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL PRÉSENTATION NO : TITRE :
Faib
le
Dans
la
moy
enne
Exce
ptio
nnel
Résu
ltats
(u
sage
dé
cim
ales
en
cour
agé)
1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5 2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5
3.
4.
Méthodologie appropriée
Échantillon adéquat (recrutement, taille de
l’échantillon, représentativité, etc.)
1
1
…
…
3
3
…
…
5
5
/5
/5
5. Pertinence des critères
(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)
1 … 3 … 5 /5
6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5
7. Discussion 1 … 3 … 5 /5
8. Retombées du projet : (recommandations vs
évaluation des changements de pratique)
2 … 6 … 10 /10
9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,
utilité du support visuel, respect du temps)
1 … 3 … 5 /5
10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5
11. Originalité 1 … 3 … 5 /5
12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)
2 … 6 … 10 /10
TOTAL :
/70
Commentaires :
Initiales :
TABLE DES MATIÈRESRÉSUMÉS DE PRÉSENTATION
• Présentation 1 - Initiation d'un traitement par ISRS ou ISRN pour des symptômes dépressifs en première ligne: une étude observationnelle sur l'évolution de la pharmacothérapie et la réponse au traitement
• Présentation 2 - L’impact de la détermination de l’âge gestationnel par échographie sur le taux d’induction menée en raison d’une grossesse prolongée
• Présentation 3 - Niveau de connaissances et de con�iance des patients de l’unité de médecine familiale du Grand Moncton par rapport au rôle des résidents en médecine familiale
• Présentation 4 - La survie des arrêts cardiorespiratoires extra-hospitaliers en Estrie est-elle améliorée avec l’utilisation en communauté du dé�ibrillateur externe automatisé (DEA) ?
• Présentation 5 - Traitement des dépendances aux opiacés : Deux modèles de prise en charge en Montérégie
• Présentation 6 - La maladie de Lyme à Cowansville dans les 5 dernières années
• Présentation 7 - L’échographie au bureau pour les résidents
• Présentation 8 - Une comparaison de résultats esthétiques et de complications des biopsies cutanées avec poinçon en refermant avec du �il résorbable versus non résorbable
• Présentation 9 - Évaluation des besoins des patients et des professionnels de l’UMF Estrie en contexte d’implantation de l’accès adapté
• Présentation 10 - La �in de vie en soins palliatifs à l’Hôpital Charles-Lemoyne : une étude descriptive exploratrice
• Présentation 11 - L’échographie ciblée au département d’urgence pour le diagnostic de thrombophlébite profonde du membre inférieur
• Présentation 12 - Les syndromes gériatriques : Comment bien utiliser les ressources pour un suivi optimal de la personne âgée en externe?
• Présentation 13 - Rôle du médecine de famille dans la plani�ication préalable des soins de �in de vie
• Présentation 14 - Un podcast pour les gardes : développer et évaluer une innovation pédagogique
• Présentation 15 - Projet pilote pour l’évaluation d’une règle de décision clinique visant à éviter une imagerie thoracique inutile à des patients hémodynamiquement stables victimes de traumas contondants avec mécanisme de haute vélocité
• Présentation 16 - Documentation de la lisibilité des documents d’information portant sur le diabète remis aux patients des CISSS af�iliés à l’Université de Sherbrooke.
• Présentation 17 - Spirométrie pour le diagnostic de la MPOC
• Présentation 18 - Évaluation de la qualité de l’acte médical concernant la sinusite chronique au GMF des Deux-Rives
• Présentation 19 - Évaluation de qualité de l’acte sur le bilan d’hypertension artérielle de novo
• Présentation 20 - Prescription médicale appropriée des opioïdes en douleur chronique non cancéreuse
• Présentation 21 - L’utilisation des immunoglobulines anti-D au département d’urgence de l’Hôpital Ste-Croix de Drummondville
• Présentation 22 - Le dépistage des complications microvasculaires du diabète de type II
• Présentation 23 - Prise en charge d’une infection à Chlamydia
• Présentation 24 - Documentation de la lisibilité des documents d’information portant sur la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) remis aux patients des CISSS af�iliés à l’Université de Sherbrooke
• Présentation 25 - La bronchopneumopathie obstructive chronique : Nos MPOC le sont-ils vraiment?
• Présentation 26 - Discussion du niveau d’intervention thérapeutique (NIT) au bureau
• Présentation 27 - Départ contre avis, sommes-nous sécuritaires?
• Présentation 28 - « Mado, avez-vous quelque chose à déclarer? »
• Présentation 29 - Prise en charge de la tension artérielle et de la saturation chez les neurotraumas sévères – Projet d’évaluation de la qualité de l’acte
• Présentation 30 - L’imagerie des lombalgies à l’urgence : « T’as mal au dos, il n’y a pas de photo »
Cliquez sur la présentation pour aller sur la page correspondante
TITRE 1 Initiation d'un traitement par ISRS ou ISRN pour des symptômes dépressifs en première ligne: une étude observationnelle sur l'évolution de la pharmacothérapie et la réponse au traitement
PRÉSENTATEURS Maxime Bergeron, Geneviève Brassard, Sabrina Paquin, Antoine Séguin et Mélissa Thibault
AUTEURS Pasquale Roberge
SUPERVISEURS Pasquale Roberge, Mélissa Labonté
Objectifs Préciser le profil initial lors de la prescription d’antidépresseurs de type ISRS ou ISRN de première intention pour les troubles dépressifs en première ligne Identifier les stratégies pharmacologiques et non-pharmacologiques utilisées par les médecins suite à une réponse insuffisante au traitement initial. Estimer le taux de réponse au traitement (≥ 20%) et de rémission (score dans les limites de la normale) des dépressions en première ligne durant la phase d’attaque (12 semaines).
Méthode Il s’agit d’une étude observationnelle prospective de patients de première ligne avec symptômes dépressifs débutant un traitement par antidépresseur ISRS ou ISRN. Recrutés par des médecins de novembre 2015 à avril 2016, ils devaient chaque mois remplir via la plateforme en ligne Lyme Survey le formulaire PHQ-9 afin d’évaluer la sévérité de la maladie et son évolution. Les données des patients furent extraites de leur dossier médical.
Résultats 27 patients furent recrutés avec un score PHQ-9 moyen de 15/27, avec 51.8% ayant une dépression d’une sévérité modérée ou plus. Au moment de compiler des données, 65.0% avaient répondu au traitement à 4 semaines. 66.7% avaient atteint la rémission tandis que 17.0% n’avaient pas répondu au traitement à 12 semaines. Les stratégies pharmacologiques et d’optimisation ainsi que l’évolution des patients par rapport à celles-ci seront abordées dans la présentation.
Conclusion L’étude a permis de mieux connaître les habitudes de prescription d’ISRS et d’ISRN en première intention des médecins de famille des UMF de l’Estrie et Jacques-Cartier ainsi que d’estimer l’efficacité des stratégies d’optimisation de ceux-ci dans la phase d’attaque du traitement du trouble dépressif en première ligne afin de proposer des pistes pour la pratique clinique.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 2 L’impact de la détermination de l’âge gestationnel par échographie sur le taux d’induction menée en raison d’une grossesse prolongée
PRÉSENTATEURS Dre Laurence Brossard Dre Isabelle Lefebvre
AUTEURS Dre Laurence Brossard, Dre Isabelle Lefebvre, Dre Caroline Delisle,Djamal Berbiche
SUPERVISEURS Dre Caroline Delisle
Objectifs
Établir si le taux d’induction menée en raison d’une grossesse prolongée a diminué suite à la nouvelle recommandation de la SOGC (publiée en février 2014) qui préconise de déterminer systématiquement l’âge gestationnel par échographie au cours du premier ou du deuxième trimestre plutôt que par la date des dernières menstruations.
Méthode Étude de cohorte rétrospective ayant analysée 391 dossiers archivés de femmes enceintes ayant été suivies par des médecins omnipraticiens au GMF La Cigogne et ayant accouchées à l’Hôpital Charles Lemoyne. Le groupe A (n = 200) regroupe un échantillon de femmes ayant accouchées avant l’application de la nouvelle recommandation de la SOGC, soit de la période de octobre 2013 à janvier 2014. Le groupe B (n = 191) regroupe un échantillon de femmes ayant accouchées après l’application de la nouvelle recommandation de la SOGC, soit de la période de octobre 2014 à janvier 2015. La taille des groupes permet d’atteindre une puissance de 80% pour détecter une différence statistiquement significative entre l’hypothèse nulle et l’hypothèse alternative.
Résultats
Le taux d’induction menée en raison d’une grossesse prolongée fut de 11,86% dans le groupe A et le 20,00% dans le groupe B. Cette différence n’est pas statistiquement significative (valeurp de 0,2339).
Conclusion La détermination de l’âge gestationnel par échographie ne semble pas avoir entraîné une diminution statistiquement significative du taux d’induction menée en raison d’une grossesse prolongée.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 3 Niveau de connaissances et de confiance des patients de l’unité de médecine familiale du Grand Moncton par rapport au rôle des résidents en médecine familiale
PRÉSENTATEURS Sylvie Champagne, Jason Macintosh, Dany Saucier et Isabelle Cormier
AUTEURS Sylvie Champagne, Jason Macintosh, Dany Saucier et Isabelle Cormier
SUPERVISEURS Dr Mathieu Bélanger et Dr André Barrieau
Objectifs Les objectifs étaient de mesurer le niveau de connaissances des patients de l’UMF de Dieppe face aux rôles des résidents en médecine familiale et de mesurer leur niveau de confiance envers ces mêmes résidents. Nous avions comme hypothèse qu’il existe un lien entre les connaissances et la confiance des patients. Démontrer un tel lien suggèrerait l’importance d’éduquer les patients face aux rôles des résidents, pour améliorer la relation de soins entre patients et résidents.
Méthode
L’étude fut menée auprès des patients de plus de 18 ans à l’UMF de Dieppe, à l’aide d’un questionnaire à choix de réponses issu de la littérature. Il s’agit d’une étude quantitative de type transversale. L’analyse est descriptive avec des analyses de fréquence. Des tests de chi carré furent utilisés pour la comparaison de sous-groupes.
Résultats 471 patients ont rempli le questionnaire. Seulement 28% des patients sont connaissants du rôle des résidents en médecine familiale. De 54 à 83% des patients ont rapporté avoir un haut niveau de confiance dans la capacité des résidents d’exécuter cinq différentes tâches cliniques. 69% des patients acceptent de voir un résident au prochain rendez-vous. Les patients confiants ont plus tendance à accepter de voir un résident au prochain rendez-vous (p<0.0001). Aucun lien ne semblait exister entre les connaissances et la confiance.
Conclusion La majorité des patients ont une mauvaise connaissance du rôle des résidents. Néanmoins, le manque de connaissances des patients ne semble pas affecter leur confiance envers les résidents. Mieux informer les patients sur le rôle des résidents pourrait tout de même favoriser leur compréhension des intervenants qui participent à leurs soins de santé.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 4 La survie des arrêts cardiorespiratoires extra-hospitaliers en Estrie est-elle améliorée avec l’utilisation en communauté du défibrillateur externe automatisé (DEA) ?
PRÉSENTATEURS Jean-Gabriel Billette, Charles Néron, David Venneman
AUTEURS Jean-Gabriel Billette, Charles Néron, David Venneman
SUPERVISEURS Dr Nicholas Elazhary
Objectifs
Évaluer l’impact des DEA accessibles au grand public sur la survie des patients en arrêt cardiorespiratoires en communauté depuis le développement du projet DEA Estrie.
Méthode
Étude descriptive de type série de cas évaluant les caractéristiques et les issues des 6 patients qui ont bénéficié d’une réanimation ainsi qu’un DEA avant l’arrivée des ambulanciers en Estrie.
Utilisation de la banque de données du préhospitalier ainsi que de Ariane pour compiler les données.
Résultats Intervenants ont été professionnels de la santé dans 5 cas/6
DEA a défibrillé dans tous les cas rapportés
5 patients /6 ont survécu
4 patients/6 ont statut neurologique normal au congé
Conclusion Encourager la formation du public en réanimation cardiorespiratoire
Favoriser le déploiement de DEAs dans les lieux publics
Faire étude de cohortes multicentrique permettrait de tirer de meilleures conclusions
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 5 Traitement des dépendances aux opiacés : Deux modèles de prise en charge en Montérégie
PRÉSENTATEURS Nicolas Demers, Catherine Richer, Myriam Savaria
AUTEURS Nicolas Demers, Catherine Richer, Myriam Savaria
SUPERVISEURS
Julie Loslier (MD, MSc)1,2, Robert Williams (MD)2,3, Andréanne Paré-Plante (MD, MSc) 2,3 1 Direction de santé publique, CISSS de la Montérégie-Centre, Québec, Canada 2 Faculté de médecine, Université de Sherbrooke, Québec, Canada 3 Unité de médecine familiale Champlain-Charles-Lemoyne, CISSS de la Montérégie-Centre, Québec, Canada
Objectifs
1- Décrire l’expérience de soins et la prise en charge des comorbidités chez les patients suivis en traitement des dépendances aux opiacés (TDO) dans les deux modèles de traitement en Montérégie. 2- Explorer les liens entre les caractéristiques des patients et les modèles de traitement.
Méthode
Un devis mixte séquentiel descriptif a été utilisé. Les participants étaient issus d’un groupe de médecine familiale (GMF) offrant du TDO et d’un centre de réadaptation en dépendance (CRD) et devaient être sous TDO depuis au moins 6 mois. Pour la partie quantitative, un questionnaire téléphonique standardisé a été utilisé. Pour la section qualitative, des entrevues semi-structurées de groupe et individuelles ont été menées
Résultats Quarante-sept participants (27 vs 20) ont été sélectionnés pour la partie quantitative et 11 patients (7 vs 4) pour la partie qualitative. Aucune association significative n’a été trouvée entre le modèle de traitement (GMF vs CRD), la satisfaction (96% vs 95% p=0,4952), le traitement des comorbidités (94% vs 86% p=0,2077) et l’exacerbation des comorbidités (19% vs 14% p=0,5217). L’analyse des données qualitatives a montré un haut taux de satisfaction dans les deux modèles de soins et que l’accès rapide au TDO est la priorité pour les participants. Toutefois, une offre de services de TDO en première ligne (GMF) a montré des avantages en termes d’intégration et de sécurité des soins.
Conclusion
En Montérégie, l’expérience de soins et la prise en charge des comorbidités sont aussi favorables dans les deux modèles de TDO. Néanmoins, l’offre du TDO en première ligne comporte certains avantages, notamment en ce qui a trait à l’intégration des soins.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 6 La maladie de Lyme à Cowansville dans les 5 dernières années
PRÉSENTATEURS Dr Louis-Philippe Charette, Dr Geneviève Rouleau, Dr Alexandra Wilson
AUTEURS Dr Audrey Charbonneau, Dr Louis-Philippe Charette, Dr Geneviève Rouleau, Dr Mélissa Savary, Dr Alexandra Wilson, Dr Alexandra de Pokomandy,
SUPERVISEURS Dr Alexandra de Pokomandy
Objectifs
Devant la conscientisation grandissante des professionnels et de la population face à la maladie de Lyme, ce projet vise à décrire l’utilisation de la sérologie de Lyme à l’Hôpital BMP de 2011 à 2015 et identifier les prédicteurs d’une sérologie positive.
Méthode
Étude observationnelle analytique rétrospective effectuée par la revue de dossiers des patients pour lesquels une sérologie de Lyme a été demandée au laboratoire de l’hôpital Brome-Missisquoi-Perkins de 2011 à 2015. L’identification des prédicteurs a été faite par régression logistique.
Résultats Sur 847 sérologies répertoriées, 135 étaient positives . Au total 294 dossiers ont été révisés pour l’étude. La majorité des sérologies ont été demandées via l’urgence. Le nombre de sérologies demandées a presque quintuplé de 2012 à 2015. Les analyses des prédicteurs sont en cours et seront présentées. Les patients des municipalités de Cowansville et Bromont semblaient plus touchés. Peu de cas de prophylaxie ont été répertoriés.
Conclusion On note une augmentation de la suspicion pour la maladie de Lyme dans la région de Cowansville dans les 5 dernières années. Aussi, les sérologies positives sont associées à des tableaux cliniques souvent non spécifiques.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 7 L’échographie au bureau pour les résidents
PRÉSENTATEURS Andréane Lussier
AUTEURS Andréane Lussier
SUPERVISEURS Dr Serge Goulet et Dre Emmanuelle Baron
Objectifs
Développer un curriculum de huit cours d’échographie en français pour les résidents en médecine de famille, selon leurs besoins et axé sur la pratique en bureau. L’enseignement de la génération d’images pour différentes indications médicales et l’intégration de leurs trouvailles dans leur prise en charge globale de leurs patients.
Méthode
Après avoir établi les besoins éducatifs des apprenants (normatifs, démontrés et ressentis), huit sessions de deux heures de cours ont été bâties et données aux résidents 1 et 2. L’accent a été mis sur le sentiment de confiance à générer une image et à intégrer l’interprétation de l’image dans la prise en charge du patient suite à la formation. Un sondage ainsi qu’un pré- test/post-test étaient remis au résident chaque session.
Résultats Les résultats montrent une intégration rapide et facile de ces compétences pour la plupart des résidents, malgré le peu d’expositions. Deux mois après les cours; plus de 50% l’ont intégré à leur pratique en bureau et plus de 75% à l’urgence. 100% croient que l’échographie devrait être intégrée à la formation médicale et 100% estiment que cet outil aura un impact positif sur la qualité des soins aux patients en première ligne. Les critiques majeures de ce projet-pilote sont les horaires, le ratio machine d’échographie/instructeur/étudiant, l’enseignement et les ressources disponibles et l’absence de trouvailles positives.
Conclusion
Il est possible par quelques cours et démonstrations d’intégrer cet outil à notre pratique. Plusieurs défis restent actifs; soit d’uniformiser, d’exporter et d’intégrer le projet dans les différents niveaux de formation.
Catégorie : PROJET D’INNOVATION PÉDAGOGIQUE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 8 Une comparaison de résultats esthétiques et de complications des biopsies cutanées avec poinçon en refermant avec du fil résorbable versus non résorbable
PRESENTATEURS Shayna Basque, Karine Bouchard, Justin Shean
AUTEURS Shayna Basque, Karine Bouchard, Justin Shean
SUPERVISEURS Mathieu Bélanger, André Barrieau
Objectifs L’objectif principal du projet de recherche est d’identifier le type de fil associé à de meilleurs résultats esthétiques de la plaie et à moins de complications. L’étude permettra ainsi d’évaluer la déhiscence de plaie et la survenu indirecte d’infection.
Méthode Le projet a consisté à prendre des clientèles de deux dermatologues qui ont déjà leur pratique établie, une avec les fils résorbables et une autre avec les fils non résorbables. Nous avons alors présenté des photographies des plaies à deux mois post-biopsie à trois personnes différentes afin qu’elles évaluent l'esthétisme de la plaie. À cette période, nous avons aussi recherché la survenue de complications et la satisfaction du participant quant à sa plaie à l’aide d’une échelle visuelle analogue.
Résultats Des contraintes de temps, des difficultés entourant le recrutement de patients et des pertes au suivi ont ralenti la progression de ce projet. Néanmoins, les résultats préliminaires suggèrent que les fermetures de plaies avec le fils résorbables par points simples démontrent une non-infériorité au fils non résorbable en terme d’infection, de déhiscence, de résultat esthétique et de satisfaction du patient.
Conclusion Si confirmé lors des analyses finales, l’équivalence clinique entre les deux types de fils pourrait suggérer une diminution des coûts du système de santé si on utilisait plus de fils résorbables. Spécifiquement, l’utilisation de ce type de fils élimine la nécessité d’un suivi pour enlever les points non résorbables, ainsi que les coûts associés à la stérilisation du matériel, le temps de l’infirmière ou du médecin et l’absentéisme au travail ou école du patient.
Catégorie : PROJET DE RECHERCHE
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DES MATIÈRES
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
TITRE 9 Évaluation des besoins des patients et des professionnels de l’UMF Estrie en contexte d’implantation de l’accès adapté
PRÉSENTATEURS Benoit Heppell
AUTEURS Vanessa Kustec, Vincent Lebeau-Lamoureux, Emmy Lescault T. Gottin, Benoit Heppelle et
SUPERVISEURS Mylaine Breton et Éric Lachance
Objectifs
Dans le contexte du problème d’accessibilité aux soins de première ligne, l’accès adapté (AA) se présente comme une solution. Une analyse des besoins d’accessibilité aux ressources de premières lignes exprimés par les médecins, les professionnels et les patients permettra de développer un modèle d’accès adapté à l’UMF-Estrie.
Méthode
Analyse de type qualitative basée sur la réalisation d’entrevues individuelles semi-dirigées avec les professionnels de l’UMF-Estrie ainsi qu’un focus groupe avec les patients de l’UMF-Estrie.
Résultats
L’étude démontre l’importance du travail de collaboration entre les professionnels afin de rendre possible l’AA, ainsi que le rôle central de la secrétaire médicale. L’élimination des listes/délais d’attente est aussi importante pour les professionnels que pour les patients. De plus, la continuité relationnelle et la satisfaction des patients et des soignants semblent être favorisées en AA.
Conclusion
En conclusion, la problématique de l’accessibilité des soins de première ligne est une préoccupation partagée autant par les soignants que par les patients de l’UMF-Estrie. Une période de transition est envisagée par les patients et des ajustements seront effectués par les médecins pour pouvoir adapter leurs pratiques en AA. La majorité est positive face à ce changement.
Catégorie : RECHERCHE
ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL
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DES MATIÈRES
TITRE 10 La fin de vie en soins palliatifs à l’Hôpital Charles-Lemoyne : une étude descriptive exploratrice
PRÉSENTATEURS Andréanne Massé et Nicolas Wang Vuong Legentil
AUTEURS Gabrielle Deschamps, Andréanne Massé, Anne-Sophie Pelletier-Morin et Nicolas Wang Vuong Legentil
SUPERVISEURS Dre Élise Crête, Dre Yanouchka Labrousse et Dre Catherine Martineau
Objectifs
Objectif principal : établir le profil des soins pharmacologiques prodigués aux patients admis en soins palliatifs Objectifs secondaires : établir les caractéristiques démographiques des patients, la cause du décès, le lieu du décès, la durée du séjour ainsi que les soins non pharmacologiques administrés durant l’hospitalisation
Méthode
Il s’agit d’une étude descriptive effectuée à l’Hôpital Charles-LeMoyne via la révision de 98 dossiers médicaux de patients hospitalisés et décédés au sein du département de soins palliatifs entre le 1er avril 2014 et le 31 mars 2015. Une grille d’analyse structurée a été utilisée pour la collecte de données.
Résultats Notre étude nous a permis entre autres de déterminer que :
- 79% des patients sont décédés dans les quatre heures suivant l’administration du protocole de détresse respiratoire. - Parmi les patients ayant reçu des perfusions d’opiacés, 91% recevaient également du midazolam en continu. - 55% des patients sont décédés à l’unité de soins palliatifs, dont 48% en chambre privée. - 41% des patients sont demeurés moins de 24 heures à l’unité de soins palliatifs avant leur décès.
Conclusion
Notre étude nous a permis de décrire plusieurs caractéristiques de la population hospitalisée en soins palliatifs à l’Hôpital Charles-LeMoyne. Or, puisqu’il s’agit d’une étude descriptive, nous ne pouvons qu’émettre des hypothèses quant à la signification des résultats obtenus. Nous estimons tout de même que cette étude contribuera à promouvoir un financement adéquat afin d’offrir à tous les patients des soins de fin de vie optimaux.
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TITRE 11 L’échographie ciblée au département d’urgence pour le diagnostic de thrombophlébite profonde du membre inférieur
PRÉSENTATEURS Véronique Bélanger-Huot MD, Félix Trudel MD
AUTEURS Kathleen Bannon MD, Véronique Bélanger-Huot MD, Félix Trudel MD
SUPERVISEURS Maxime Valois MD
Objectifs
La thrombophlébite du membre inférieur (TPP) est une pathologie fréquemment rencontrée au département d’urgence. Le diagnostic se fait généralement par échographie doppler au service de radiologie. Or, il existe une technique (EDU2) pouvant être faite par un urgentologue au chevet du patient pour poser ce diagnostic. Celle-ci pourrait accélérer le diagnostic à l’urgence et réduire le nombre de traitements empiriques inutiles chez ces patients se présentant avec des symptômes de TPP. L’objectif est de comparer la sensibilité et la spécificité de l’échographie ciblée du membre inférieur selon ta méthode EDU2 lorsqu’effectuée par des urgentologues, en comparaison avec l’échographie doppler effectué au service de radiologie, pour poser un diagnostic de thrombophlébite profonde du membre inférieur.
Méthode Étude prospective visant à recruter 122 patients avec une présentation clinique de TPP au service d’urgence d’un centre hospitalier affilié universitaire (HCLM). Dans un premier temps, une première échographie par technique EDU2 est effectuée par un urgentologue. Dans un deuxième temps, un second examen est fait par écho doppler au service de radiologie de l’hôpital. La sensibilité et la spécificité sont calculées en utilisant comme comparaison le résultat du doppler.
Résultats 21 patients ont été recrutés. L’âge moyen était de 49 ans. (15-84 ans). Des 21 dossiers, 17 furent disponibles pour l’analyse statistique. 1 a présenté un diagnostic positif de TPP à l’EDU et l’écho doppler. 2 patients ont eu un diagnostic à l’écho doppler de TPP intramusculaire ou infragéniculée qui avaient été manqué avec la technique EDU2. En comparaison avec l’écho doppler, la technique EDU2 a démontré une sensibilité de 0,50 (0,01 - 0,98) et une spécificité de 0,80 (0,51 - 0,96).
Conclusion
Les résultats de l’étude ne permettent pas de déterminer si l’EDU2 est une technique sensible et spécifique pour le diagnostic de TPP du membre inférieur à l’urgence. Des études subséquentes de plus grande envergure seraient nécessaires afin d’être en mesure de conclure sur l’efficacité de cette technique échographique.
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TITRE 12 Les syndromes gériatriques : Comment bien utiliser les ressources pour un suivi optimal de la personne âgée en externe?
PRÉSENTATEURS Sarah Bédard et Simon Gohier
AUTEURS Sarah Bédard, Mohamad Ghalayini, Simon Gohier et Noémie Lacroix-Faucher
SUPERVISEURS Louise Champagne
Objectifs
Par le moyen d’algorithmes, outiller le médecin de famille en bureau, pour l’utilisation ciblée des ressources communautaires en lien avec le suivi optimal des personnes âgées atteintes de syndromes gériatriques.
Méthode Élaboration d’un sondage, qui a été distribué aux médecins et résidents de l’UMF Charles-LeMoyne, afin de déterminer quatre syndromes gériatriques pour les lesquels les besoins d’information sur les ressources communautaires étaient les plus grands. Puis, production d’un recueil de ressources communautaires régionales et d’algorithmes d’utilisation de ces ressources en lien avec les quatre syndromes gériatriques ciblés.
Résultats
Algorithme et recueil des ressources communautaires pouvant être utiles dans la prise en charge des quatre syndromes ciblés soit les troubles cognitifs, les symptômes psychologiques et comportementaux de la démence, la dépression et l’épuisement des proches aidants.
Conclusion
De nombreuses ressources publiques et communautaires existent, mais leur rôle est souvent méconnu par les médecins de famille, entraînant une sous-utilisation de ces ressources qui pourraient pourtant apporter une aide précieuse dans l’évaluation et le suivi des patients atteints de syndromes gériatriques. Avec nos outils nous espérons favoriser l’utilisation de ces ressources auprès des médecins de famille de l’UMF Charles-LeMoyne.
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TITRE 13 Rôle du médecine de famille dans la planification préalable des soins de fin de vie
PRÉSENTATEURS Francesca Duguay, Amélie Hendriks, Émilie Corriveau, Thomas McNally
AUTEURS Francesca Duguay, Amélie Hendriks, Émilie Corriveau, Thomas McNally
SUPERVISEURS Dre Jalila Jbilou
Objectifs
1) Explorer les approches prévalentes pour la discussion de la PPS en médecine familiale; 2) Décrire lesprincipaux facteurs barrières et facilitateurs à la PPS selon la perspective des médecins de famille; 3) Établir des recommandations pratiques pour soutenir la PPS parmi les médecins de famille de l’UMF-Dieppe
Méthode
Une étude pilote exploratoire basée sur une approche qualitative au moyen d’entrevues semi-structurées avec des médecins de famille de l’UMF-Dieppe
Résultats
Peu de médecins rapportent entreprendre une discussion sur la PPS avec leurs patients dans le contexte d’une visite au bureau. Nous identifions certains facteurs facilitateurs et des barrières pour la PPS. Ces facteurs sont identifiés au niveau organisationnel, professionnel et personnel
Conclusion
La PPS est rarement utilisée dans le bureau du médecin de famille. Afin d’améliorer la situation, il faut développer des outils organisationnels, des méthodes de coopération inter-professionnelles, développer des habiletés de communication et améliorer l’éducation des médecins et des patients sur la PPS
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TITRE 14 Un podcast pour les gardes : développer et évaluer une innovation pédagogique
PRÉSENTATEURS Pierre Nasri
AUTEURS Pierre Nasri
SUPERVISEURS Dre Luce Pélissier-Simard et Dr Maxime Valois
Objectifs Évaluer l’utilité d’un podcast accompagné d’un résumé comme moyens d’apprentissage pour des résidents 1 en MF dans leur gestion de cas aigus en situation de garde.
Développement du podcast et de l’aide mémoire :Un premier questionnaire sur les besoins ressentis, ainsi que sur l’intérêt d’un podcast adressant la gestion de cas aigus en situation de garde fut envoyé aux 17 résidents 1 (R1) en médecine de famille de Charles-LeMoyne. Suite aux réponses des 13 R1, un podcast de 30 minutes, ainsi qu’un document résumé d’une page sur les six pathologies les plus graves dans la douleur rétro-sternale (DRS), furent développés. Évaluation de l’innovation pédagogique : Un deuxième questionnaire fût ensuite envoyé à ces mêmes 13 R1, après six mois de formation. Ils devaient y répondre après avoir écouté le podcast et consulté le résumé d’une page, pour une période allouée de deux semaines.
Résultats Les 13 R1 avaient complété leur formation ACLS, mais leur exposition aux gardes était variée (31% avaient accompli entre 1-4semaines de garde, 38% entre 4-8 semaines et 31% entre 8-12 semaines). Les outils d’écoute ont été le cellulaire (46%), l’ordinateur (39%) et la tablette électronique (15%). La moitié d’entre eux faisait une autre activité pendant l’écoute. Une modification favorable du sentiment de compétence dans la gestion des six pathologies a été observée suite au podcast, avec 9 R1 affirmant avoir « surtout appris de nouvelles notions » contre 4 R1 affirmant plutôt que « c’était surtout des rappels ». Aucun d’entre eux n’a répondu que le podcast n’avait pas eu d’impact sur leur gestion d’une DRS ou qu’ils comprenaient moins bien après l’avoir écouté. Ils étaient tous unanimes pour affirmer que l’aide-mémoire était utile et qu’ils avaient apprécié le podcast comme méthode d’apprentissage.
Conclusion Ce podcast fut le premier en français s’adressant à des médecins résidents. Malgré que nous ayons évalué un seul enregistrement audio et non une série, l’effet favorable sur l’apprentissage de même que l’appréciation générale qui a été observée, nous laisse croire que cet effet serait superposable à une série d’enregistrement. La maitrise du contenu afin de bien l’adapter à la clientèle cible, ainsi que la maitrise des outils technologiques sont des aspects importants à considérer dans l’élaboration d’un podcast. L’aide d’un professeur dévoué pour implanter ce projet à plus grande échelle serait essentielle à des résidents intéressés, comme c’est le cas pour la majorité des R1 de cette étude.
Catégorie : PROJET D’INNOVATION PÉDAGOGIQUE
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Méthode
TITRE 15 Projet pilote pour l’évaluation d’une règle de décision clinique visant à éviter une imagerie thoracique inutile à des patients hémodynamiquement stables victimes de traumas contondants avec mécanisme de haute vélocité
PRÉSENTATEURS Gabrielle Chabot, Jennifer Toueg et Ming Kun Sun
AUTEURS Gabrielle Chabot, Jennifer Toueg et Ming Kun Sun
SUPERVISEURS Dr Jean-François Deshaies
Objectifs Déterminer la prévalence des lésions thoraciques chez les patients ≥ 15 ans victimes d'accident à haute vélocité se présentant hémodynamiquement stables à l'urgence.
Évaluer les sensibilités/spécificités de la règle de TIRC (Thoracic injury rule-out Criteria) dans cette population.
Méthode
Projet pilote rétrospectif par analyse de dossier. Inclusion: patients victimes d'accident à haute vélocité, hémodynamiquement stables à l'urgence. Exclusion: < 15 ans, trauma pénétrant. Un échantillon de 100 dossiers répondant aux critères était visé. Une analyse statistique descriptive ainsi qu'un calcul de sensibilité/spécificité type de la règle de TIRC.
Résultats Un total de 780 dossiers de patients s'étant présenté au CHUS de janvier à avril 2014 et pour lesquels une feuille Évaluation initiale du polytraumatisé a été remplie a été sorti. 369 ont été consultés pour atteindre l'échantillonnage visé (100 dossiers). 62% étaient des hommes et 59% entre 20-40 ans. L'accident de voiture était prédominant (82%). Chez 7%, une lésion thoracique cliniquement significative a été diagnostiquée. 11% n'ont pas eu d'imagerie. 64% ont réussi la règle de TIRC, un patient avait une lésion cliniquement significative. 36% ont échoué la règle; 6 avaient une lésion significative. Les sensibilités/spécificités de la règle de TIRC sont 85,7% (42,1% - 99.6%) et 64,1% (52,1% - 73,8%).
Conclusion
La prévalence de lésions thoraciques dans notre population à l'étude se situe entre 7% et 18%. La sensibilité de la règle de TIRC dans notre population est de 85,7%, ce qui est insuffisant pour qu'elle soit appliquée telle quelle dans notre pratique.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 16 Documentation de la lisibilité des documents d’information portant sur le diabète remis aux patients des CISSS affiliés à l’Université de Sherbrooke.
PRÉSENTATEURS Pierre-Luc Corbeil et Jessica Ayoub
AUTEURS Valérie Allard, Geneviève Asselin, Jessica Ayoub, Pierre-Luc Corbeil, Pierre-Vincent Giguère et Audrey-Anne Guillet
SUPERVISEURS Èva-Marjorie Couture, MD-CFMC-MSc (c), Mélissa Lavoie, inf-MSc, Mylène Lévesque, MSc
Objectifs
L’objectif principal était de documenter le niveau de lisibilité des documents d’information traitant du diabète remis aux patients des UMF affiliées au réseau de l’Université de Sherbrooke et leur installation partenaire.
Méthode Un devis de type descriptif simple a été utilisé pour cette étude. La population ciblée pour l’étude correspond aux documents dont la diffusion est autorisée par la Direction des soins infirmiers et des services multidisciplinaires (DQ-SI-SM) de chacune des UMF affiliées au réseau de l’Université de Sherbrooke et leur installation partenaire. Ces mêmes documents portaient sur le diabète ont été distribués par les professionnels de la santé aux patients. Pour l’analyse des documents, deux formules ont été utilisées, soit le SOL et le Flesch-Kincaid. Puisqu’aucun logiciel en ligne ou informatique ne s’est avéré fiable et reproductible, la lisibilité des documents a été analysée manuellement pour les deux formules de lisibilité. L’analyse a été faite après avoir effectué une standardisation de la technique d’analyse par tous les membres à l’aide de cinq documents afin de s’assurer de la fiabilité du calcul des syllabes et des mots.
Résultats
Les résultats seront présentés à la Journée de la recherche de l’Université de Sherbrooke qui se tiendra à Sherbrooke le vendredi 27 mai 2016.
Conclusion
La conclusion sera présentée à la Journée de la recherche de l’Université de Sherbrooke qui se tiendra à Sherbrooke le vendredi 27 mai 2016.
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TITRE 17 Spirométrie pour le diagnostic de la MPOC
PRÉSENTATEURS Mélanie P. Léger, Marie-Andrée Thériault, Karine Richard et Martine Melanson
AUTEURS Mélanie P. Léger, Marie-Andrée Thériault, Karine Richard et Martine Melanson
SUPERVISEURS Dre Jalila Jbilou
Objectifs
Évaluer la prévalence de l’application des normes de pratique concernant l’utilisation de la spirométrie comme outil diagnostic de la MPOC.
Évaluer le degré d’écart entre les pratiques observées lors de l’étude réalisée en 2008 et celle de 2016
Méthode
Devis de recherche quantitative d’évaluation de la qualité de l’acte auprès des MD de l’UMF Dieppe
Analyse quantitative des données colligées au sein des dossiers de patients.
Résultats
La majorité des patrons de L’ UMF de Dieppe ont suivi les recommandations de la société canadienne de thoracologie.
Conclusion
Le processus d'analyse des données est en cours et les résultats nous permettront d'élaborer des recommandations en vue de l'amélioration ou le maintien des bonnes pratiques au sein de l'UMF.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 18 Évaluation de la qualité de l’acte médical concernant la sinusite chronique au GMF des Deux-Rives
PRÉSENTATEURS Frédéric Barrette-Pellerin, David Desjardins, Janie Leblanc, Maude Lasnier-Leduc
AUTEURS Frédéric Barrette-Pellerin, David Desjardins, Janie Leblanc, Maude Lasnier-Leduc
SUPERVISEURS Dre Claude Arsenault et Dre Carolle Bernier
Objectifs Vérifier l’exactitude du diagnostic de la sinusite chronique selon les critères des lignes directrices
canadiennes (Canadian Clinical Practice Guidelines for Acute and Chronic Rhinosinusitis) et évaluer la
conformité du traitement de 1re ligne par les médecins de famille de du GMF des Deux-RIves.
Méthode Une étude rétrospective a été menée au sein des dossiers des patients de 18 ans et plus du GMF des Deux-
Rives (Sites de Sherbrooke et Lennoxville). Les dossiers codifiés aux archives par les termes sinusite /
rhinosinusite de janvier 2012 à septembre 2015 ont été analysés excluant le sans rendez-vous. Suite à une
rencontre avec un groupe de médecins et de résidents, il a été statué qu’au moins 80% des dossiers
devraient satisfaire les critères diagnostiques et au moins 90% des dossiers devraient mettre en évidence les
essais thérapeutiques adéquats.
Résultats 248 dossiers ont été analysés. 46 dossiers furent inclus dans l’étude. Les critères diagnostiques sont
conformes dans 70 à 78% des dossiers . Seul 43% des patients avaient une imagerie au dossier pour
confirmer le diagnostic de sinusite chronique. L’essai d’une antibiothérapie à large spectre n’avait été faite
que chez 39% des patients.
Conclusion Il a été recommandé aux médecins du GMF de documenter adéquatement les éléments cliniques clés
nécessaires au diagnostic de la sinusite chronique, de procéder à un essai thérapeutique complet de 3 mois
(irrigation saline, corticothérapie intranasale, antibiothérapie large spectre) lorsqu’un diagnostic de sinusite
chronique est établi et d’envisager une référence en ORL après un échec d’essai thérapeutique complet.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 19 Évaluation de qualité de l’acte sur le bilan d’hypertension artérielle de novo
PRÉSENTATEURS Dr Jean Nguyen, Dr Amine Yahia-Cherif, Dre Inès Tamokwe
AUTEURS Dr Jean Nguyen, Dr Amine Yahia-Cherif, Dre Inès Tamokwe, Dre Joanie Faust,
SUPERVISEURE Dre Alexandra Cayer
Objectifs
Vérifier si le bilan initial, lors de la prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) de novo, est conforme aux recommandations du Programme éducatif canadien sur l’hypertension (PECH) 2013.
Méthode
Recrutement de patients (Janvier 2013-Août 2015): Recherche, via le dossier médical électronique, des raisons de consultations suivantes: « suspicion d’HTA » et « diagnostic d’HTA de novo ».
Critères d’inclusion : ≥18 ans, avec diagnostic d’hypertension.
Critères d’exclusion : Diagnostic d‘HTA maligne, refus de traitement ou d’investigation, niveau d’intensité thérapeutique D, E ou soins palliatifs.
Résultats
Au total 39 dossiers ont été étudiés. L’âge moyen est de 55.9 ans. Le pourcentage de chacun des éléments du bilan : ECG : 67% ; analyse d’urine : 69% ; créatinine : 95% ; ions : 92% ; bilan lipidique : 90% ; dépistage du diabète : 92%. 46% des patients ont eu une investigation complète.
Conclusion
L'ECG et l'analyse d’urine sont les plus fréquemment oubliés. Les autres éléments étaient faits dans plus de 90% des cas. Une ordonnance individuelle pourrait être jointe à la demande de consultation pour l’évaluation de l’HTA de novo.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 20 Prescription médicale appropriée des opioïdes en douleur chronique non cancéreuse
PRÉSENTATEURS Laurence Sirois-Giguère, Anne Roy-Martel
AUTEURS Laurence Sirois-Giguère, Gabrielle Fortin, Anne Roy-Martel, Laurence Lavoie-Beaumont
SUPERVISEURS Philippe Villemure
Objectifs En 2012, le Canada était le 2e consommateur mondial d'opioïdes par personne. 2.3 % des canadiens consommant des opioïdes d'ordonnance auraient abusé de cette analgésie en 2013, entraînant surdoses et mortalité.
Face à cette problématique grandissante, notre objectif était de vérifier au sein de notre UMF si la prescription d'opioïdes se faisait de manière sécuritaire en accord avec les guides de pratique reconnus en douleur chronique.
Méthode Nous avons procédé à une évaluation de la qualité de l’acte par critères explicites.
À partir du DMÉ (dossier médical électronique) de l’UMF d’Alma, nous avons sélectionné 152 dossiers comportant une prescription d’opiacés faite entre novembre 2013 et janvier 2016. Après application des critères d’exclusion, nous avons retenu 59 dossiers pour analyse.
Résultats Les facteurs de risque de dépendance les moins souvent dépistés sont la recherche d’antécédents d’abus sexuel à la préadolescence (2/59), les antécédents personnels d’abus de médicaments d’ordonnance (3/59), et les antécédents familiaux d’abus. Le diagnostic justifiant une prescription a été jugé approprié dans 69% des cas. À l’histoire médicale, l’intensité de la douleur n’était pas gradée dans 83% des cas et il n’y avait pas de caractérisation de la douleur dans 55% des cas. 97% des prescriptions étaient adéquatement documentées au dossier. On note au suivi une évaluation conforme de la réponse au traitement dans 68% des cas.
Conclusion
Il nous importe de diffuser les résultats de notre étude afin de sensibiliser les médecins à la problématique d’abus d’opioïdes d’ordonnance et promouvoir le respect des lignes directrices quant à la prescription d’opioïdes en douleur chronique non cancéreuse.
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TITRE 21 L’utilisation des immunoglobulines anti-D au département d’urgence del’Hôpital Ste-Croix de Drummondville
PRÉSENTATEURS : Elizabeth Cyr Marcotte, Marie-Pier Dupuis et Anne Hébert
AUTEURS Elizabeth Cyr Marcotte, Marie-Pier Dupuis et Anne Hébert
SUPERVISEURS Dr Mathieu-Jacques Daneault
Objectifs L’issue primaire du projet était d’évaluer le taux de conformité de l’utilisation des immunoglobulines anti-D chez les patientes de groupe sanguin rhésus négatif avec test de Coombs négatif. Les issues secondaires étaient d’évaluer la conformité des doses administrées d’immunoglobulines selon le nombre de semaines de gestation, du délai d’administration depuis l’évènement sensibilisant et de l’utilisation du test de Kleihauer-Betke.
Méthode 241 dossiers de femmes enceintes ayant consulté au département d’urgence pour avortement, saignement ou grossesse ont été analysés. Le groupe sanguin, le résultat du test de Coombs, les indications de la prophylaxie, le nombre de semaines de gestation, les doses d’immunoglobulines administrées, le délai d’administration ainsi que l’utilisation du test de Kleihauer-Betke ont été relevés.
Résultats Le taux de conformité d’utilisation des immunoglobulines anti-D était de 92,3%. Dans 10,9% des dossiers analysés, le groupe sanguin n’a pas été vérifié et/ou consigné au dossier. La dose d’immunoglobulines administrée correspondait aux recommandations dans 25,6% des cas. Le délai d’administration des immunoglobulines était toujours < 72 heures. Le test de Kleihauer-Betke a été fait dans 4,8% des cas où il était recommandé.
Conclusion Cette étude a permis de démontrer que les indications d’utilisation des immunoglobulines anti-D étaient généralement bien connues. Il serait toutefois important que les urgentologues s’assurent de toujours bien vérifier et consigner le groupe sanguin des patientes au dossier. Les doses administrées étaient toutes suffisantes, mais dépassaient parfois la dose recommandée, engendrant des coûts supplémentaires au système de santé (mais sans impact négatif pour la patiente). Les indications du test de Kleiheauer-Betke devraient être révisées.
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TITRE 22 Le dépistage des complications microvasculaires du diabète de type II
PRÉSENTATEURS Natacha Leblanc-Gagnon, Joëlle Bertrand-Bovet, Jocelyn Normadin et Samia Mériche
AUTEURS Natacha Leblanc-Gagnon, Joëlle Bertrand-Bovet, Jocelyn Normadin et Samia Mériche
SUPERVISEURS Marie-Michèle Fortier et Renée-Anne Patenaude-Blais
Objectifs
Évaluer la qualité et le respect des recommandations du dépistage des complications microvasculaires du diabète ainsi que le suivi adéquat de l’index glycémique dans une unité d’enseignement en médecine familiale. Plus particulièrement, les complications étudiées seront la néphropathie, la neuropathie et la rétinopathie ainsi que le suivi adéquat du taux d’hémoglobine glycosylée.
Méthode Sélection aléatoire de 50 dossiers respectant les critères établis d’inclusion et d’exclusion parmi les 932 dossiers de patients diabétiques suivis au GMF Champs et Jardins. Analyse des différentes sections pertinentes du dossier papier ainsi que recherche dans la plateforme SoftLab pour la période étudiée soit du 1er juillet 2013 au 30 juin 2014. Collecte des données en équipe de deux observateurs au sein d’un fichier unique.
Résultats Le critère de suivi biannuel de l’hémoglobine glycosylée a été atteint dans 88% des dossiers. Pour le dépistage des complications microvasculaires, les cibles sont moins bien atteintes. En effet, pour la néphropathie, 50% des dossiers présentaient une valeur de créatinine et un ration albumine sur créatinine urinaire. Pour la neuropathie, 22% des dossiers présentaient un examen au monofilament ou à l’aide d’un diapason 128 Hz. Finalement, 31% des dossiers illustraient un suivi ophtalmologique conjoint pour le dépistage de la rétinopathie.
Conclusion
En conclusion, le dépistage des complications microvasculaires du diabète de type II est sous-optimal par rapport aux recommandations actuelles. Une partie de ces résultats pourrait être améliorée notamment en sensibilisant les professionnels, en optimisant le suivi conjoint en équipe multidisciplinaire ainsi que l’utilisation du dossier médical électronique.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 23 Prise en charge d’une infection à Chlamydia
PRÉSENTATEURS Charles Couturier, Catherine B.-Chouinard
AUTEURS Charles Couturier, Catherine B.-Chouinard, Catherine Lapointe, Samuel Dubé et Jérôme Mulhbacher
SUPERVISEURS Annie Roberge et Claude Arsenault
Objectifs
Évaluer si la prise en charge d’une infection à Chlamydia est faite de façon systématique et complète par les patrons et apprenants des GMF des Deux-Rives.
Méthode
Comité d’évaluation de l’acte de type étude rétrospective menée auprès de la clientèle desservie par le GMF des Deux-Rives et des Grandes Fourches. Tous les cas confirmés de Chlamydia trachomatis entre avril 2012 et mars 2014 ont été étudiés.
Résultats
Le traitement est adéquat dans 93% des cas et la déclaration de MADO est faite dans 98% des cas. Des lacunes importantes ont été notées surtout au niveau du dépistage de réinfection à 3 à 6 mois et du counselling. La notification des partenaires est souvent peu documentée.
Conclusion
Un aide-mémoire sous forme de formulaire clinique pourrait faciliter la prise en charge et le suivi adéquats des infections à Chlamydia trachomatis. Les médecins semblent déjà utiliser les recommandations de l’INESSS en ce qui a trait au traitement de cette maladie.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 24 Documentation de la lisibilité des documents d’information portant sur la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) remis aux patients des CISSS affiliés à l’Université de Sherbrooke.
PRÉSENTATEURS Vincent Carrière, MD, Antoine Tanguay, MD
AUTEURS Vincent Carrière, MD, Antoine Tanguay, MD
SUPERVISEURS Alexandra Depokomandy, MD, Eva Marjorie Couture, MD-CFMC-MSc (c), Mélissa Lavoie, inf-MSc, Mylène Lévesque, MSc
Objectifs
L’objectif principal était de documenter le niveau de lisibilité des documents d’information traitant de la MPOC remis aux patients des UMF affiliées au réseau de l’Université de Sherbrooke et leur installation partenaire.
Méthode Un devis de type descriptif simple a été utilisé pour cette étude. La population ciblée pour l’étude correspond aux documents dont la diffusion est autorisée par la Direction des soins infirmiers et des services multidisciplinaires (DQ-SI-SM) de chacune des UMF affiliées au réseau de l’Université de Sherbrooke et leur installation partenaire. Ces mêmes documents portaient sur la MPOC et ont été distribués par les professionnels de la santé aux patients. Pour l’analyse des documents, deux formules ont été utilisées, soit le SOL et le Flesch-Kincaid. Puisqu’aucun logiciel en ligne ou informatique ne s’est avéré fiable et reproductible, la lisibilité des documents a été analysée manuellement pour les deux formules de lisibilité. L’analyse a été faite après avoir effectué une standardisation de la technique d’analyse par tous les membres à l’aide de cinq documents afin de s’assurer de la fiabilité du calcul des syllabes et des mots.
Résultats
Les résultats seront présentés à la Journée de la recherche de l’Université de Sherbrooke qui se tiendra à Sherbrooke le vendredi 27 mai 2016.
Conclusion
La conclusion sera présentée à la Journée de la recherche de l’Université de Sherbrooke qui se tiendra à Sherbrooke le vendredi 27 mai 2016.
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TITRE 25 La bronchopneumopathie obstructive chronique : Nos MPOC le sont-ils vraiment?
PRÉSENTATEURS Andréanne Couture, Marilou Desmarais-Noiseux, Émilie Dubé-Tremblay et Amélie Gagné
AUTEURS Andréanne Couture, Marilou Desmarais-Noiseux, Émilie Dubé-Tremblay et Amélie Gagné
SUPERVISEURS Dre Marie-Michelle Fortier et Dre Renée-Anne Patenaude-Blais
Objectifs
Vérifier si le diagnostic de MPOC est fondé sur une spirométrie.
Méthode
Il s’agit d’une étude rétrospective et la période étudiée était incluse entre le 1er janvier 2013 et le 30 juin 2014. Nous avons inclus tous patients de plus de 40 ans suivis à l’UMF Richelieu-Yamaska et ayant un diagnostic de MPOC.
Résultats 87% avaient une spirométrie au dossier et 17% de celle-ci ne satisfaisaient pas les critères de MPOC. Le statut tabagique a été retrouvé dans 79% des notes d’évolution. Un counselling tabagique a été retrouvé dans 55 % des cas. La vaccination antiH grippale a été abordée chez 19% des patients. 15% des patients ont pu bénéficier d’une réadaptation pulmonaire. La médication était conforme dans 69% des dossiers.
Conclusion
Le diagnostic de MPOC doit toujours reposer sur une spirométrie. Une tenue rigoureuse des dossiers est recommandée ainsi qu’un counselling antiHtabagique lorsqu’approprié. Le vaccin antigrippal doit être proposé chaque année et la réadaptation pulmonaire devrait être offerte plus souvent et plus tôt dans le cours de la maladie. Quant à la médication, tout patient devrait recevoir une prescription de BACA au besoin. Par la suite, les ACLA et BALA seul ou en combinaison, chez les MPOC plus sévères, devraient être prescrits avant d’instaurer un traitement à base de corticostéroïdes.
Catégorie : RECHERCHE
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TITRE 26 Discussion du niveau d’intervention thérapeutique (NIT) au bureau
PRÉSENTATEURS André Tanel, Philippe Lavallée et Amin Ahmadi
AUTEURS André Tanel, Philippe Lavallée, Amin Ahmadi, Kenny Mailloux, Sophia Nabid et Julia Borowicz
SUPERVISEURS Dre Stéphanie Allard et Dre Karen Gallagher
Objectifs Les bienfaits de la discussion des désirs anticipés sur le niveau d’intervention thérapeutique étant de plus en plus reconnus dans la littérature, nous avons voulu évaluer l’assiduité des cliniciens de notre clinique de médecine de famille à discuter le niveau d’intervention thérapeutique chez les patients pour qui il est pertinent.
Méthode Suite à une revue de littérature, nous avons sélectionné au hasard plus de 163 dossiers avec comme critère d’inclusion d’avoir 80 ans avec une comorbidité chronique au début de la période étudiée d’avril 2009 à avril 2014. Nous avons vérifié an analysant dans plusieurs parties spécifiques du dossier si une discussion sur le niveau d’intervention thérapeutique avait eu lieu lors de la période étudiée. Nous avons également noté quelles étaient les comorbidités des patients. Nous avons établi un seuil de conformité de 70%.
Résultats
Suite à l’analyse des dossiers, 12.9% des dossiers avaient un NIT discuté. Les patients avec un NIT discuté avaient en moyenne 89 ans, par rapport à 87 ans, lorsque non discuté. Le NIT semble avoir été plus discuté chez les patients avec MCAS, diabète, insuffisance rénale chronique, cancer et démence.
Conclusion
Tel qu’attendu, le niveau de performance est nettement sous le niveau de conformité établi. Il semble que les cliniciens discutent plus du NIT chez les patients plus âgés et avec certaines comorbidités. Pour s’améliorer, nous recommandons d’avoir un endroit dédié avec rappels dans le dossier médical électronique et faire un enseignement formel aux résidents sur qui et comment aborder le sujet au bureau lors de l’accueil en résidence.
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TITRE 27 Départ contre avis, sommes-nous sécuritaires?
PRÉSENTATEURS Amar Boudjerida
AUTEURS Amar Boudjerida
SUPERVISEURS Antoine Herman-Lemelin
Objectifs Chez les patients qui ont quitté contre avis médical entre le 1er avril 2014 et le 25 août 2015 :
Ont-ils reçu des conseils de départ appropriés
Leur aptitude a-t-elle été évaluée?
Le tout a-t-il été consigné au dossier de façon adéquate?
Méthode Revue de l’ensemble des dossiers dont la case « départ contre avis médical » a été cochée dans le
logiciel SIURGE.
Excluant les patients ayant quitté sans prévenir le personnel (fugue)
Excluant les patients étant sous la responsabilité d’un médecin autre que ceux de l’urgence.
42 dossiers identifiés
Résultats
Moins du tiers des dossiers contenaient l’ensemble des éléments les rendant conformes aux recommandations de l’ACPM sur le congé éclairé en cas de départ contre avis médical.
Conclusion
Nous devons faire un effort supplémentaire pour consigner au dossier l’aptitude ainsi que les conseils de départ donnés aux patients.
Les patients qui quittent contre avis médical devraient recevoir les mêmes conseils que ceux qui obtiennent leur congé.
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TITRE 28 « Mado, avez-vous quelque chose à déclarer? »
PRÉSENTATEURS Mylène Guinlat-Beauregard et Mélody Massé
AUTEURS Mylène Guinlat-Beauregard et Mélody Massé
SUPERVISEURS Dre Jocelyne Blais
Objectifs Notre étude a pour but de vérifier si la déclaration des maladies à déclaration obligatoire (MADO) faite par les médecins oeuvrant à l'urgence et à l'hospitalisation du centre hospitalier HHR du CISSS Montérégie-Centre respecte les lois 80 et 81 du chapitre VIII de la Loi sur la Santé Publique (Annexe 1) et si tous les renseignements prescrits par le règlement du ministre se retrouvent sur les déclarations des médecins.
Méthode La population étudiée englobe des personnes ayant eu un résultat positif à une MADO entre 2011 et 2015 à l’Hôpital du Haut-Richelieu et il s’agit donc d’une étude rétrospective. Une centaine de cas ont été analysés et les maladies ciblées étaient la chlamydia, la gonorrhée, la syphilis, les hépatites B et C ainsi que la maladie de Lyme. Les informations concernant l’identification du patient, le don de sang antérieur par le patient et les informations relatives au médecin étaient analysées.
Résultats Sur les 87 dossiers analysés, toutes maladies confondues, 50 (57%) contenaient des formulaires MADO remplis par le médecin. Les 37 (43%) autres dossiers faisaient mention du diagnostic de la MADO au moment de la visite du patient, mais aucun formulaire n’a été trouvé. Parmi ces 37 formulaires non trouvés, 27 (73%) n’avaient réellement pas été déclarés par le médecin et les 10 autres avaient bel et bien été déclarés par le médecin après vérification avec la santé publique, mais étaient absents du dossier antérieur. Quarante et un (82%) des 50 formulaires remplis étaient des cas de chlamydia. Parmi les 50 formulaires remplis, 13 (26%) seulement l’étaient fait adéquatement et les autres contenaient tous minimalement une information manquante. Près de la moitié de ces formulaires (46%) comportaient plus d’un élément manquant.
Conclusion À la lumière des résultats, il va de soi de constater qu’il y a bel et bien une lacune dans le système de déclaration québécois de MADO. Un des raisonnements qui peut peut-être expliquer cela est le manque probable d’information des médecins sur le processus de déclaration des MADO à la santé publique et sur les conséquences qu’une omission de certaines données du formulaire peut engendrer, dont le délai de traitement de certains patients-contacts. Une mise à jour destinée aux médecins sur ce sujet, de même qu’une amélioration de la mise en page du formulaire pourraient possiblement améliorer le portrait de la déclaration des MADO dans les prochaines années.
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TITRE 29 Prise en charge de la tension artérielle et de la saturation chez les neurotraumas sévères – Projet d’évaluation de la qualité de l’acte
PRÉSENTATEURS Alexandre Sauvé et Laurence Tremblay
AUTEURS May-Laurence Cayer Boudreault, Patrick de Moor, Aylin Kocaefe, Alexandre Sauvé, Laurence Simard, Laurence Tremblay
SUPERVISEURS Dr. Julien Bouchard, Mylène Lèvesque
Objectifs
Évaluer la présence d’épisodes d’hypotension artérielle (TAS ≤ 90) ou de désaturation (Sat ≤ 90%) en salle de stabilisation lors de la prise en charge de neurotraumas sévères à l’urgence de l’Hôpital de Chicoutimi.
Méthode Analyse rétrospective de 99 dossiers archivés de mai 2009 à janvier 2016. La collecte de données s’est effectuée à l’hiver 2016 via l’utilisation d’une grille standardisée. Les critères de conformité utilisés étaient les suivants : 1.0) absence d’hypotension pendant l’ensemble de la réanimation, 1.1) absence d’hypotension en période péri-intubatoire, 2.0) absence de désaturation pendant l’ensemble de la réanimation, 2.1) absence de désaturation en période péri-intubatoire.
Résultats
Concernant la prise en charge globale, des 77 dossiers inclus, 69% se sont avérés conformes versus 31% non conformes. Pour chaque critère pris individuellement, au cours de la réanimation, 73% des patients n’ont pas présenté d’hypotension et 95% n’ont pas présenté de désaturation. Plus spécifiquement en période péri-intubatoire, 94% des patients n’ont pas présenté d’hypotension et 94% n’ont pas présenté de désaturation.
Conclusion
La prise en charge en salle de stabilisation des neurotraumas sévères est conforme aux recommandations actuelles.
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TITRE 30 L’imagerie des lombalgies à l’urgence : « T’as mal au dos, il n’y a pas de photo »
PRÉSENTATEURS Philippe Cossette et David Desruisseaux
AUTEURS Philippe Cossette et David Desruisseaux
SUPERVISEURS Dr Mathieu-Jaques Daneault
Objectifs Évaluer l’utilisation judicieuse de l’imagerie dans l’évaluation des lombalgies chez les patients consultants à l’Hôpital Ste-Croix, en lien avec les indications définies par l’American College of Radiology (ACR).
Méthode Étude rétrospective pour évaluation de la qualité de l’acte. À partir d’une liste de consultations pour lombalgie à l’urgence de l’Hôpital Ste-Croix de Drummondville entre le 1er juillet 2014 et le 30 juin 2015, un dossier sur sept a été sélectionné de façon automatique (n=165). De ce nombre, 41 dossiers ont été exclus pour un total de 124 dossiers inclus dans l’analyse. Chaque dossier a été évalué à partir d’une grille d’analyse visant à consigner la présence de signaux d’alarme et la demande d’une ou plusieurs imageries médicales, afin de déterminer la conformité au guide de pratique de référence. Une analyse de sous-groupe a également été réalisée pour les patients ayant été référés au RAMD et certains critères jugés plus critiquables, soit les femmes entre 50 et 70 ans et un diagnostic de diabète.
Résultats Le taux de conformité a été évalué à 67% pour le groupe de base, avec une majorité de cas non conformes représentant des examens radiologiques indiqués, mais non faits. En ce qui concerne les analyses de sous-groupe, l’exclusion des femmes de 50 à 70 ans comme critère d’indication à réduit le taux de conformité à 64 %. L’exclusion du diabète comme facteur de risque a quant à lui augmenté légèrement le taux de conformité à 69 %. Nous avons également calculé un taux de conformité en faisant preuve de souplesse face à ses deux derniers critères, et ce, en considérant une conduite conforme peu importe le choix de faire une radiographie ou non en présence de ces seuls signaux d’alarme. Le taux a alors grimpé à 74 %. De son côté, l’analyse du sous-groupe RAMD a révélé un taux de conformité de 65%. Finalement, nous avons noté que certains signaux d’alarme n’étaient pas spécifiés dans une proportion importante de dossiers, notamment les symptômes de la queue de cheval (non spécifié dans 65% des dossiers).
Conclusion Dans un contexte de symptôme non spécifique fréquent comme la lombalgie, le taux de conformité de 67% que nous avons observé nous paraît acceptable. Certains signaux d’alarme gagneraient cependant à être demandés plus régulièrement vu l’impact important de certains diagnostics différentiels sur la prise en charge et le pronostic. Parmi ceux-ci nous retenons les symptômes de queue de cheval, qui selon nous devraient être systématiquement questionnés pour une lombalgie.
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NOTES
NOTES
Le Centre de formation continue (CFC) de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke est pleinement agréé par le Collège de médecine du Québec (CMQ) et par le Comité d’agrément des facultés de médecine du Canada (ACFMC). Le CFC reconnait à la présente activité 5 heures, 45 minutes accréditée MAINPRO-1 pour l’omnipraticien/médecin de famille présent. Pour le médecin spécialiste, le CFC reconnait 1 crédit de la Section 1 par heure de participation pour un total de 5,75 crédits pour l’activité globale, conformément au programme de maintien du certificat du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC). Pour tout autre professionnel de la santé, le CFC remet une attestation de cinq heures et quarante-cinq minutes.
REMERCIEMENTS
Nous tenons à remercier les CMDPsuivants pour leur support financier à cette journée
Merci !
Louise Champagne
CISSSde l'Abitibi-Témiscamingue
CIUSSSde l'Estrie - CHUS