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e x p o s i t i o n d u 2 d é c e m b r e 2 0 1 1 a u 2 2 a v r i l 2 0 1 2
R e l a t i o n s a v e c l a p r e s s e
A g e n c e C a t h e r i n e D a n t a nMarie Decap7, rue Charles V - 75004 ParisTél : 01 40 21 05 15Mail : marie@catherine-dantan.frSite : www.catherine-dantan.fr
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Agnès Varda – Y’a pas que la mer
p. 04 Communiqué de pressep. 05 Propos d’Agnès Vardap. 06 Œuvres présentées de manière inédite
dans le cadre de l’expositionp. 08 Zoom sur les œuvres exposées p. 11 Biographie p. 12 Expositionsp. 14 Filmographiep. 16 Le catalogue
Autour de l’exposition
L’actualité du musée Paul Valéry en 2012
Informations pratiques
p. 17 L’équipe du muséep. 17 Jours et horaires d’ouverturep. 17 Tarifs
Sommaire
Visuels disponibles pour la presse
p. 04
p. 16
p. 16
p. 17
Tous les visuels présentés dans ce dossier sont disponibles
pour la presse. Ils sont libres de droit dans le cadre exclusif d’un
article faisant la promotion de l’exposition : Agnès Varda – Y’a
pas que la mer, présentée du 2 décembre 2011 au 22 avril
2012 au musée Paul Valéry.
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I
Fondamentalement attachée à la ville de Sète, où elle a été réfugiée pendant la guerre avec
sa mère et ses quatre frères et sœurs, Agnès Varda garde de ces années-là des souvenirs
heureux de vacances et d’insouciance. Après avoir quitté Sète pour s’installer à Paris et y
passer le baccalauréat, elle y revient fidèlement pendant 10 années, de juin à octobre, à
l’occasion des vacances scolaires. Elle y rencontre alors des pêcheurs, des amis qui lui
donnent l’idée de réaliser en 1954 son premier film La Pointe courte.
C’est donc très naturellement que 50 ans plus tard elle a exposée au CRAC Languedoc
Roussillon en 2007 et a répondu en cette fin 2011 à l’invitation du Musée Paul Valéry afin
de présenter, du 2 décembre 2011 au 22 avril 2012, Y’a pas que la mer, une exposition qui
dévoile une facette moins connue de l’univers de la cinéaste, photographe et plasticienne.
Si la mer (Les Veuves de Noirmoutier ou encore Les Plages d’Agnès) apparaît
comme thème prépondérant dans le travail d’Agnès Varda, d’autres aspects, moins connus,
comme celui de la terre, sont à cette occasion abordés. Majoritairement composée d’instal-
lations, l’exposition s’emploie à mettre en évidence une préoccupation majeure : celle de
la mise en relation et de la confrontation dans l’espace de l’image fixe et de l’image mobile.
En témoignent notamment « les portraits à volets vidéo », installations créées pour cette
exposition à Sète, comprenant une photographie centrale (image fixe) entourée de deux
ou plusieurs vidéos qui lui font écho.
Sont également présentées des œuvres telles que Patatutopia, La Cheminée Patate
(photographie dont le format du tirage est fonction du lieu) ou encore Le Tombeau de
Zgougou, installation réalisée en hommage au chat de la famille Demy / Varda, et présentée
de façon inédite à l’extérieur du musée dans une cabane élaborée pour l’occasion.
D’autres installations, telles qu’Ulysse ou encore La Terrasse du Corbusier donnent
quant à elles à voir des photographies prises à un instant T autour desquelles viennent se gref-
fer une fiction filmée, fantasmée par l’artiste. En effet, de même qu’Agnès Varda s’est souvenue
28 ans plus tard d’une photographie intitulée Ulysse réalisée en 1954 pour en faire un film
en 1982, elle s’empare d’une photographie sur la terrasse de la Cité Radieuse du Corbusier
prise en 1956, à l’occasion d’un reportage : intriguée par cette photographie et se deman-
dant qui sont les personnes qui y figurent, elle imagine un scénario et réalise un film.
Des photographies / autoportraits sont également présentés parmi lesquelles figurent
notamment un autoportrait morcellé à multiples facettes, auto-regard de l’artiste sur plu-
sieurs petits miroirs. Une installation inédite composée de trois triptyques, appartenant à
la série des Portraits à volets vidéo est également présentée dans les espaces du musée.
Cette exposition, fruit de la synthèse de la carrière d’Agnès Varda, réunit en son sein tant
l’univers cinématographique que photographique de l’artiste.
Communiqué de presse
Agnès Varda – Y’a pas que la merDu 2 décembre 2011 au 22 avril 2012
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Invitée dans un musée qui surplombe la mer et moi même encline à filmer
et photographier les plages et les bords de mer, il m a fallu réagir.
Y’ a pas que la mer
J’aime les arbres et les vaches et les villes et les gens qui circulent
et les visages et les marchés en plein air et les patates. Ah les patates,
les patates en forme de cœur quels beaux modèles, quel beau sujet.
Le parcours que je propose est contradictoire et complémentaire.
Photographie et cinéma, portraits immobiles à côté d images mouvantes.
Des veuves qui nous parlent à voix basse et le cri d’une baleine en colère
parce que le monde va mal.
Un cagibi en pagaille et une photographie composée avec soin
par le hasard (ou par moi).
Des murs anciens, craquelés et nuancés et des ustensiles en plastique
aux couleurs violentes d’aujourd’hui.
La vie est variée, l’art est comme le vent.
Décrivez- moi le vent. Quel vent ?
Agnès Varda. Octobre 2011
II Propos d’Agnès Varda
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« Photographie et Cinéma les deux mamelles de Dame représentation »
Les installations telles qu’Ulysse ou encore La Terrasse du Corbusier donnent à voir des
photographies prises à un « instant décisif » autour desquelles viennent se greffer une fiction
filmée, fantasmée par l’artiste.
Ulysse, 1954 [photographie] /
Ulysse, 1982 [film inspiré par la photographie / 30 mn]
Ulysse est le nom de ce petit garçon au centre de
la photographie qu’Agnès Varda a prise en 1954,
sur une plage de Normandie. Vingt-huit ans après,
elle a exploré cette image, ses souvenirs et ceux
des personnes qui avaient posé. Qu’est ce qu’une
image ? Et qu’est donc un film sur une image ?
Ce grand tirage noir et blanc est présenté sur le mur d’une pièce adjacente à une autre pièce.
Dans l’espace suivant le film Ulysse est projeté sur un mur strictement parallèle à celui sur
lequel est accrochée la photographie. Le spectateur passe ainsi d’un espace à un autre, son
regard navigant d’une image fixe à une image mobile, les deux sujets se faisant écho.
La Terrasse du Corbusier, 1956 [photographie]
Les gens de la terrasse, 2007 [film / 2,33 min]
La Terrasse du Corbusier, photographie instan-
tanée prise en 1956 sur la terrasse de l’immeuble
La Cité Radieuse à Marseille, construit par
Le Corbusier. Les gens de la terrasse est une courte
fiction en film vidéo, inspirée par cette image.
III Œuvres présentées de manière inédite dans le cadre de l’exposition
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Les « Portraits à Volets Vidéo » 2011
À gauche et à droite d’un portrait classique et calme, des images filmées en vidéo proposent
des accompagnements ou un environnement à la personne photographiée. L’image fixe
d’un visage. Un regard immobilisé. Et tout autour la vie qui bouge.
Pêcheur à Sète, 2009
Cecilia Mangini à Specchia, 2011
Alice et les vaches blanches, 2011
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IV
La Cheminée Patate, 2003 [Photographie]
Il s’agit d’une photographie prise vers 1962 dans la
salle d’une ferme italienne où l’on gardait du maïs.
L’œuvre présentée est un collage réalisé en 2003 afin
que des patates tombent de la cheminée. Le format de
la photographie présentée pour l’exposition à Sète a
été adapté au lieu.
Le Costume Patate, 2003 [Costume en résine porté
par Agnès ou par un mannequin sur pied]
Pour inviter des visiteurs de la Biennale de Venise en
2003 à venir voir l’installation – triptyque Patatutopia,
Agnès Varda s’est baladée avec un costume de patate,
d’où sortaient des sons : la déclamation des multiples
variétés de patates.
Les 3 autoportraits
Autoportrait, 1949
À 20 ans, l’artiste a posé toute seule devant un miroir.
Elle a ensuite découpé un grand tirage de ce portrait en
petits morceaux et les a replacés sur un carton en les
espaçant pour suggérer un effet de mosaïque.
Autoportrait, 1962
À Venise, devant un tableau de Gentile Bellini, Miracle
de la Sainte Croix sur le Grand canal. Il s’agit ici d’un
détail en bas à droite du tableau où sont représentés les
membres d’une confrérie. Agnès Varda s’est placée parmi
eux, devant eux.
Zoom sur les œuvres exposées
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Autoportrait morcelé, 2009,
fait pour la série des « Portraits Brisés », photographie
prise dans de petits miroirs 20 x 20 et 10 x10 achetés
au BHV.
Patatutopia, 2003 [3 films vidéo et 700 kilos
de patates au sol]
Triptyque en célébration du légume le plus modeste du
monde : la pomme de terre. Sur l’écran central, des
patates en forme de cœur respirent. Ce sont des vieilles
patates ratatinées et fripées, mais qui ont regermé. Sur
les écrans latéraux, des variations de radicelles, germes
et repousses.
Série Patates Cœur, 2002 [13 photographies]
Ces patates qu’elle a vu vieillir, Agnès Varda les a
observées et photographiées à plusieurs stades de leur
pourrissement. « Des vraies beautés ! ».
Ping Pong Tong et Camping, 2005-2006 [Installation en
matériaux plastiques, film vidéo sur matelas, diaporama
dans bouée]
Légers, colorés, les ustensiles et contenants en matière
plastique ajoutent à leur utilité un plaisir pour les yeux.
Les couleurs saturées donnent envie d’acheter. Une
tong à 4 € est un joyau de la société de consommation.
Sur un matelas de plage s’étale un petit film tout-cou-
leurs, tout-musique de Lubat. C’est l’été !
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Dépôt de la cabane de pêcheur, 2010 [Matériaux divers
et vidéo de 7,7 min, en boucle] (inédit en France)
Déposés en vrac, des éléments et matériaux divers, de
quoi assembler une cabane de pêcheur de plage, abri
pour attendre de relever les filets. Le projecteur de DVD
s’est allumé tout seul. L’image est déformée. Des obsta-
cles l’encombrent et en brouillent le sens. Le petit film
vidéo « La mer Méditerranée avec deux r et un n, entre
Sète et Agde » nous présente une plage paisible mais…
une baleine échouée est en colère car le monde va mal.
Les Veuves de Noirmoutier, 2005 [1 film et 14 vidéos, en
boucle, chaises et écouteurs]
Un film central avec le son de la mer et celui d’un violon,
parfois. En polyptyque 14 écrans encadrent l’image des
visages de femmes. Elles sont muettes jusqu’à ce que
l’on choisisse de les écouter. Il y a 14 chaises et des
écouteurs prévus à cet effet. Le dispositif propose un
rapport nouveau à des personnages de documentaires :
le visiteur rencontre une veuve, ou une autre, tandis
que tourne le lent manège des femmes en deuil.
5 photographies de veuves, 2005
Cinq images extraites du ballet des veuves autour d’une
table, sur la plage. D’après l’installation Les Veuves
de Noirmoutier.
Le tombeau de Zgougou, 2006
[Tumulus de terre et sable, vidéo]
Ci-gît Zgougou, une chatte bien aimée. Sur sa tombe,
petit tumulus le long d’un mur de branches sèches,
apparaissent des images puis peu à peu des coquillages
et des fleurs en crépon. Vue d’un peu plus haut, la tombe
disparaît derrière un pin puis se perd au milieu d’une
île. Ce petit chat de rien du tout, vu depuis un satel-
lite, est, comme chacun de nous, un point invisible.
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Née à Ixelles (Bruxelles) en 19 2 8 , Agnès Varda passe sa petite enfance en Belgique avec ses 4
frères et sœurs. La guerre en 1940 pousse la famille jusqu’au sud de la France. Adolescence à
Sète puis à Paris – baccalauréat – cours à l’École du Louvre et le soir à l’école de Vaugirard en
section photographie.
Depuis 19 51, elle vit à Paris 14e, rue Daguerre.
Mariée avec le cinéaste Jacques Demy, elle a élevé avec lui Rosalie Varda-Demy, devenue
créatrice de costumes et Mathieu Demy, comédien et réalisateur. Ils ont passé plusieurs années
à Los Angeles, où Agnès a d’abord tourné dans les a n n é e s 19 6 0 Lions Love… and Lies,
Uncle Yanko, Black Panthers, puis, dans les a n n é e s 19 8 0 , Mur Murs et Documenteur.
Jacques Demy est mort en 19 9 0 .
Agnès Varda devient p h o t o g r a p h e de Jean Vilar à la création du festival d’Avignon en
19 4 8 , puis de la troupe TNP, Théâtre National Populaire, dont Gérard Philipe fut une figure
emblématique.
Première exposition personnelle en 19 5 4 dans la cour de sa maison, puis de nombreux repor-
tages photographiques en Chine, à Cuba notamment. Au gré de ses voyages ou de ses rencontres,
elle réalise des portraits d’anonymes ou de personnalités de son temps.
En 2 0 0 7, une exposition dans la chapelle Saint-Charles à Avignon : Je me souviens de Jean Vilar,
témoigne des grandes années du festival.
En 19 5 4 , Agnès Varda devient c i n é a s t e sans aucune formation. Elle crée alors la société
Ciné-Tamaris (une coopérative) pour produire et réaliser à Sète son premier long métrage,
La Pointe Courte, qui lui vaudra le titre de « Grand-mère de la Nouvelle Vague ».
Ses films les plus connus sont : Cléo de 5 À 7, Le Bonheur, Sans toit ni loi (Lion d’Or à la Mostra
de Venise, en 1985), Jacquot de Nantes, Les Glaneurs et la glaneuse.
En 2 0 0 8 , Les plages d’Agnès, auto-biofilmographie poétique et ludique a trouvé écho dans
le public et obtient le César du Meilleur Documentaire en 2 0 0 9 .
En 2 0 0 3 , Agnès Varda commence sa 3ème vie d’ a r t i s t e - p l a s t i c i e n n e . Ses installations
sont exposées lors des Biennales de Venise et de Lyon, au S.M.A.K. de Gand, à la Fondation
Cartier pour l’Art Contemporain à Paris et à la Galerie Martine Aboucaya, au CRAC de
Sète, à la 41e édition de Basel Art Fair avec la Galerie Nathalie Obadia. À Bruxelles elle a
exposé la série des « Portraits Brisés » en juin 2010.
En 2 010 et 2 011 , elle réalise une série documentaire Agnès de-ci de-là Varda, 5 épisodes de
45 minutes qui seront diffusés sur ARTE du 19 au 2 3 d é c e m b r e 2 011 . Ce sont des chroniques
très libres de voyages, de rencontres avec des artistes célèbres ou moins connus ainsi que des
échanges sur l’art contemporain.
Biographie
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VI Expositions personnellles* et collectives
2 0 0 3 Utopia Station, La Corderie, Biennale de Venise, 15 juin – 2 novembre.
2 0 0 4 Do you believe in reality ?, Biennale d’art de Taipei, Taïwan,
22 octobre 2004 – 23 janvier 2005.
2 0 0 5 3 + 3 + 15 = 3 installations = 11*, Galerie Martine Aboucaya, Paris,
29 janvier – 26 mars.
De ci, de là. Photographies, Galerie de la Cinémathèque, Montréal,
14 septembre – 13 octobre.
Utopia Station, Haus der kunst, Munich, 7 octobre – 16 janvier.
Contact, Le lieu unique, Nantes, 16 octobre – 31 décembre.
A Table(s), Centre d’art, Chamarande, 23 avril – 25 septembre.
2 0 0 6 Patatutopia*, Abbaye de Roncenay, Angers, 12 avril – 2 mai.
L’Ile et Elle*, Fondation Cartier pour l’Art contemporain, Paris,
18 juin – 8 octobre 2006.
SMAK, Stedelijk Museum voor Actuele Kunst, Gand, Belgique,
14 octobre 2006 – 21 janvier 2007.
2 0 0 7 Hommage aux Justes de France*, Panthéon, Paris, 17 – 21 janvier.
La mer immense, Tri postal ; Images commentées ou pas*, Maison Folie Moulins,
Transphotographiques de Lille, 10 mai – 17 juin.
Je me souviens de Vilar en Avignon*, Chapelle Saint-Charles ; Hommage aux Justes
de France, La Miroiterie, Festival d’Avignon, 7 – 27 juillet.
Vitalité vidéo, Sélest’Art 07, Biennale d’art contemporain, Sélestat,
15 septembre – 14 octobre.
Je me souviens de Vilar en Avignon*, Photographies, Théâtre national, Narbonne,
19 octobre – 19 décembre.
Quelques Portraits*, Université de Rennes 2, Galerie de la Présidence ; Le Tombeau
de Zgougou, Médiathèque, Rennes, 8 novembre – 20 décembre.
Poktaktoes, Moscow on the Move, GCCC Centre d’Art Garage, Toit de l’immeuble
Mosenergo, Moscou, 22 novembre – 22 décembre.
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2 0 0 9 Les Veuves de Noirmoutier*, Carpenter Center for Visual Arts, Cambridge,
Harvard, 16 mars – 12 avril.
La mer… etsetera*, CRAC Languedoc-Roussillon, Sète, 7 avril – 15 juin 2009.
Trois cabanes : Cabane aux portraits, Cabane de l’échec [devenue Cabane de cinéma],
Cabane sur la plage, la Sucrière, Biennale de Lyon, 13 septembre 2009 – 3 janvier 2010.
Agnès Varda*, Chapelle du Musée Serralves, Porto, 22 octobre 2009 – 16 janvier 2010.
2 010 Agnès Varda*, Orangerie du Volksgarten ; Quelques Portraits des années 60,
Alliance Française, Köln, 15 janvier – 7 février.
Portraits Brisés*, Galerie Obadia, Bruxelles, 5 juin – 17 juillet.
Basel Art 41, Galerie Nathalie Obadia, Bâle, 16 – 20 juin.
FIAC, Galerie Obadia, Paris, 21 – 24 octobre.
Never More, MAC/VAL, Musée d’Art Contemporain du Val de Marne,
22 octobre 2010 – 16 janvier 2011.
2 011 Das Meer, Traum & Wirklichkeit Eres Stitftung gallery, Munich, 16 février – 21 mai.
Agnes Varda – Open Windows* : Wandesford quay Gallery ; Quelques Portraits
des années 60, Alliance Française, Cork, 10 mars – 2 avril.
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VII
Courts Métrages d’Agnès Varda
- Ô SAISONS Ô CHÂTEAUX (1957)
- L’OPÉRA-MOUFFE (1958)
- DU CÔTÉ DE LA CÔTE (1958)
- SALUT LES CUBAINS (1963), Colombe d’Argent au Festival de Leipzig, 1964
- ELSA LA ROSE (1965)
- UNCLE YANCO (1967)
- BLACK PANTHERS (1968), 1er Prix au Festival d’Oberhausen, 1970
- RÉPONSE DE FEMMES (1975)
- PLAISIR D’AMOUR EN IRAN (1976)
- ULYSSE (1982), César 1984
- UNE MINUTE POUR UNE IMAGE (170 très courts, 1982)
- LES DITES CARIATIDES (1984)
- 7 P., CUIS., S. DE B. (1984)
- T’AS DE BEAUX ESCALIERS, TU SAIS... (1986)
- LE LION VOLATIL (2003)
- YDESSA, LES OURS et ETC… (2004), 1er volet de CINEVARDAPHOTO
(I. YDESSA / II. ULYSSE / III. SALUT LES CUBAINS – 2004)
et les courts-métrages intégrés dans les installations depuis 2003.
Longs-métrages de fiction et Documentaires d’Agnès Varda
- LA POINTE COURTE (1954) Prix de l’Age d’Or Bruxelles, 1955
- CLEO DE 5 A 7 (1961) Sélection française au Festival de Cannes, 1962, Prix Méliès, 1962
- LE BONHEUR (1964) Ours d’Argent au Festival de Berlin, Prix Louis Delluc,
David Selznick Award 1965
- LES CREATURES (1966)
- LIONS LOVE (...and LIES) (1969), en anglais
- NAUSICAA (1970), film disparu
- DAGUERREOTYPES (1975), (documentaire), Prix du Cinéma d’Art et Essai
et Sélection aux Oscars, en 1975, catégorie Documentaire
- L’UNE CHANTE L’AUTRE PAS (1976), Grand Prix Festival de Taormina, 1977
- MUR MURS (1980), (documentaire), Grand Prix Festival dei Populi Florence,
Prix Josef von Sternberg Mannheim, 1981
Filmographie
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- DOCUMENTEUR (1981), Prix du Public au festival du Film de Femmes
de Bruxelles, 1982
- SANS TOIT NI LOI (1985), Lion d’Or au Festival de Venise et Prix Méliès ,1985
- JANE B. PAR AGNES V. (1987), Sélection française au Festival de Berlin, 1988
- KUNG-FU-MASTER (1987), Sélection française au Festival de Berlin, 1988
- JACQUOT DE NANTES (1990), Sélection française, hors compétition,
au Festival de Cannes
- LES DEMOISELLES ONT EU 25 ANS (1992), (documentaire), Sélection
à Cannes pour Un certain regard et Plaque d’Or Festival de Chicago, 1993
- L’UNIVERS DE JACQUES DEMY (1993/95), (documentaire)
- LES CENT ET UNE NUITS (1994), Sélection française au Festival de Berlin, 1995
- LES GLANEURS ET LA GLANEUSE (2000), (documentaire), Sélection française
(hors compétition) au Festival de Cannes, 2000, Prix Méliès, Meilleur Documentaire
Européen (Académie Européenne du Cinéma), 2000 et de nombreux autres prix
- DEUX ANS APRÈS (2002), (documentaire)
- LES PLAGES D’AGNÈS (2008), Sélection officielle festival de Venise, 2008,
César du Meilleur Film Documentaire 2009, Prix du Meilleur Film Français 2008
(Syndicat français de la Critique de Cinéma), « Etoile d’Or » du Documentaire 2008
(Syndicat de la Presse française), Grand Prix de la SACD et Prix Henri Langlois en 2009
- AGNÈS DE-CI DE-LÀ VARDA (2011), Série documentaire, un des épisodes dont une
grande partie est consacrée à Sète sera diffusé le jeudi 22 décembre vers 22 h sur Arte.
Livres d’Agnès Varda
- VARDA par AGNÈS (1994), Éditions des Cahiers du Cinéma (épuisé)
- L’ILE ET ELLE (2006), Livre et Catalogue de l’exposition à la Fondation Cartier
pour l’Art Contemporain - Éditions Fondation Cartier / Actes Sud
- LES PLAGES D’AGNÈS (2010), texte illustré - Éditions de l’Œil
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Catalogue de l’exposition
Editions Au fil du temps
Prix de vente public : 19 €
Auteurs
Raymond Bellour
Dominique Païni
Philippe Piguet
Agnès Varda
Maïthé Vallès-Bled
Pendant l’exposition, deux rencontres-débats
avec Agnès Varda
VIII
IX
Le catalogue
Autour de l’exposition
X
Chabaud
Fauve et expressionniste (1900 – 1914)
Du 15 juin au 28 octobre 2012
Les journées Paul Valery
2e édition
21 – septembre 2012
Salah Stetie et les peintres
Déc. 2012 – fin février 2013
Soirées dans les jardins
Avril – septembre 2012
L’actualité du musée Paul Valéry en 2012
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L’équipe du musée Paul Valér y
Maithé Vallès-BledDirectrice du musée
Conservateur en chef du Patrimoine
Commissaire de l’exposition
Françoise Lopez Directrice adjointe
Responsable des collections
Marine PauzierRégisseur des expositions
Caroll CharraultMédiation des publics
Marie-Hélène MonclusSecrétariat de la conservation
Marie FernandezAdministration
Adresse
Musée Paul Valéry
148, rue François Desnoyer
34200 Sète
Téléphone
(33) 04 99 04 76 16
Site internet
www.museepaulvalery-sete.fr
Jours et heures d ’ouver t ure
Le musée est ouvert tous les jours,
du 1er avril au 31 octobre
de 9h30 à 19h00
Le musée est ouvert tous les jours, sauf le lundi,
du 2 novembre au 31 mars de 10h00 à 18h00
Le musée est fermé
les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre
et 25 décembre
Tar i fs
Tarifs pendant exposition
Plein tarif 5 ?
Jeunes 10-18 ans, étudiants, 2 ?
scolaires hors ville de Sète
Groupes (plus de 10 personnes) 3 ?
Enfants moins de 10 ans, Gratuit
demandeurs d’emploi,
scolaires ville de Sète
Visite commentée (du mardi + 1 ?
au samedi à 10h00 et 16h00)
Classe scolaire hors ville de Sète 25 ?
Accès à la visite des collections Gratuit
le 1er dimanche de chaque mois
XI Les informations pratiques
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