Post on 26-Oct-2021
Programme de Salle
Répétition Générale
Vendredi 3 juin – 20h00
Durée : 3h15
Clôture de la saison d’opéra
CARMEN
Opéra en quatre actes
Livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy
d’après la nouvelle de Prosper Mérimée
Musique de Georges Bizet
(Editions musicales Leduc)
Création à l’Opéra-Comique à Paris, le 3 mars 1875
Production des Chorégies d’Orange
Programme de Salle
DISTRIBUTION
Direction musicale Laurent CAMPELLONE
Direction des chœurs Aurore MARCHAND
Direction de la Maîtrise Florence GOYON-POGEMBERG
Etudes musicales Hélène BLANIC
Mise en scène, décors et costumes Louis DÉSIRÉ
Assistante à la mise en scène Irène FRIDRICI
Assistant décors et costumes Diego MENDEZ- CASARIEGO
Lumières Patrick MÉEÜS
Carmen Karine DESHAYES
Micaëla Ludivine GOMBERT
Frasquita Clémence TILQUIN
Mercédès Albane CARRÈRE
Don José Florian LACONI
Escamillo Christian HELMER
Zuniga Thomas DEAR
Moralès Philippe-Nicolas MARTIN
Le Dancaïre Philippe ERMELIER
Le Remendado Raphaël BRÉMARD
ORCHESTRE REGIONAL AVIGNON-PROVENCE
Directeur général : Philippe Grison
Premier chef invité : Samuel Jean
CHŒUR ET CHŒUR SUPPLÉMENTAIRE DE L’OPERA GRAND AVIGNON
Direction : Aurore Marchand
MAÎTRISE DE L’OPÉRA GRAND AVIGNON
Direction : Florence Goyon-Pogemberg
Les décors ont été fabriqués dans l’Atelier Artefact (Courthezon)
Les costumes ont été réalisés dans le Petit Atelier de Marseille
Les costumes des toreros ont été fournis par la Maison Cornejo (Madrid)
et les chaussures par la Maison Calzature Epoca (Milan)
L'Opéra Grand Avignon remercie le Festival d’Avignon pour sa collaboration technique.
Programme de Salle
GEORGES BIZET (1838-1875)
Georges Bizet est né le 25 octobre 1838 dans une famille de musiciens, dont le père enseignait
le chant. Dès 1848, il entre au Conservatoire de Musique, suit les classes de piano de Marmontel
et apprend le contrepoint avec Zimmerman et Gounod. Il remporte bientôt un Premier Prix de
piano (1852), travaille la composition avec Halévy, l’orgue chez Benoist, et se voit attribuer en
1855 un Premier Prix de fugue et d’orgue. En 1856, un Second Prix de Rome récompense sa
cantate David et, l’année suivante, son opérette, Le Docteur Miracle, obtiendra un prix, ex
aequo avec le compositeur Lecocq, décerné par Offenbach. Il lui sera enfin attribué le Premier
Grand Prix de Rome en 1857, et sa cantate Clovis et Clotilde, qui sera jouée à l’Institut
remportera un grand succès. Grand ami de Liszt qui l’admirait beaucoup, il part pour Rome où
il sera ovationné en qualité de pianiste. Il compose en 1859 Don Procopio, un opéra-comique
dans le style italien.
De retour à Paris, il écrit Scherzo et Marche funèbre ainsi que La Chasse d’Ossian. En 1862,
sa maîtresse, Marie Reiter, lui donne un fils ; il commence un opéra-comique, La Guzla de
l’Emir, et la première version d’un Ivan IV. Le 11 janvier 1863, son Scherzo pour orchestre,
dirigé par Pasdeloup, fait scandale au cirque Napoléon. Il retire La Guzla de l’Emir, en
répétition à l’Opéra-Comique, pour travailler sur la partition des Pêcheurs de Perles, qui
rencontrent alors un accueil mitigé au Théâtre Lyrique. En 1864, Carvalho lui demande une
nouvelle version d’Ivan IV pour le Théâtre Lyrique, qui sera refusée plus tard. Cette année-là,
Victor Massé et Victorien Sardou projettent d’écrire une Carmen d’après Mérimée et de confier
le rôle-titre à une jeune cantatrice, Galli-Marié. En décembre 1866, il termine La Jolie Fille de
Perth, tirée du roman de Walter Scott. C’est le seul et réel succès de ces années hésitantes et la
critique est alors favorable.
Il commence à trouver son propre style, mais hésite encore parfois, suit les traces de Gounod,
Halévy ou Mendelssohn dans la symphonie Roma que dirige Pasdeloup en février 1869.
Dans les dernières années de l’Empire, Bizet change, il traverse, et ce jusqu’à la fin de sa vie,
de graves crises de dépression.
En juin 1869, il épouse Geneviève Halévy dont le portrait physique et moral rejoint de façon
impressionnante la Carmen littéraire. Les six années de son mariage seront traversées d’orages
et de séparations.
Pendant la Commune, il s’installe au Vésinet. Le 22 mai 1872, Djamileh échoue à l’Opéra-
Comique.
Après la naissance de son fils, Bizet compose rapidement une musique de scène pour
L’Arlésienne de Daudet ; l’esprit général est déjà celui de Carmen dont il possède depuis le
mois de juin le scénario de Meilhac et Halévy. Il commence à travailler à sa partition au
printemps de 1873, mais ses démêlés avec l’Opéra-Comique ralentissent sa tâche. Les
répétitions commencent en octobre. Le 3 mars, au matin de la première de Carmen, le Journal
Officiel annonce que Bizet est fait Chevalier de la Légion d’Honneur.
Georges Bizet meurt à trente-sept ans, le 3 juin 1875.
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GÉNÈSE
L’année 1872 fut une année heureuse pour Georges Bizet, alors âgé de trente-quatre ans. Durant
les répétitions de L’Arlésienne, le compositeur pensait déjà à Carmen. La nouvelle de Prosper
Mérimée avait été publiée en 1845, et Meilhac et Halévy en avait tiré un livret qu’ils avaient
remis à Bizet, dès le mois de juin 1872. Mais le musicien s’était alors heurté aux réticences des
directeurs de l’Opéra-Comique : Camille du Locle et Adolphe de Leuwen. Ce dernier trouvant
le sujet scandaleux. Selon lui, mettre en scène Carmen sur la respectable scène de l’Opéra-
Comique, théâtre des familles bourgeoises, relevait de la provocation. Une fille aux mœurs
dissolues, un drame passionnel, un environnement qui ne pouvait que choquer profondément
un public habitué aux héroïnes naïves. Les librettistes s’engagèrent pour que le personnage de
Carmen soit atténué, qu’ils introduisent dans l’opéra une jeune fille innocente et chaste
(Micaëla) et que la mort de Carmen soit escamotée à la fin, derrière des cortèges, des ballets et
des fanfares. Adolphe de Leuwen finit par céder, mais recommanda à Ludovic Halévy de ne
pas faire mourir Carmen : « La mort à l’Opéra-Comique- s’était-il écrié, horrifié –cela ne s’est
jamais vu, jamais. » Heureusement pour Bizet, Camille du Locle racheta les parts d’Adolphe
de Leuwen, et devint en 1874 le seul directeur de l’Opéra-Comique. Libérés de toute contrainte,
les librettistes purent ainsi suivre les indications de Bizet pour la mort de l’héroïne, juxtaposant
cette scène pathétique sur l’épisode joyeux de la corrida.
Le choix de l’interprète du rôle de Carmen posa quelques problèmes. Le personnage fut d’abord
proposé à la cantatrice Marie Roze qui refusa. Camille du Locle proposa alors le rôle à Célestine
Galli-Marié, mezzo-soprano, aussi bonne actrice que cantatrice. Elle était la « Carmen » idéale,
et celle-ci accepta le rôle.
Après maintes péripéties, l’ouvrage fut finalement créé le 3 mars 1875. Le public fut scandalisé
par le réalisme de Carmen, des cigarières aguichantes, des soldats corrompus, des
contrebandiers, des duels, de la violence, des cris sensuels et pour finir, un crime passionnel sur
scène !
Se faisant écho de la réaction indignée du public, les critiques furent mauvaises. Heureusement
s’élevèrent des voix plus lucides pour saluer la beauté de l’ouvrage : celles de Théodore de
Banville, Vincent d’Indy, Camille Saint-Saëns, en France et Friedrich Nietzche, en Allemagne.
Carmen ne tarda pas à faire l’unanimité et fut donné quarante-neuf fois en 1875.
Bizet mourut brusquement le soir de la 34ème représentation à l’heure où son héroïne tirait la
carte de la mort.
Carmen reste aujourd’hui, l’opéra le plus joué dans le monde.
Programme de Salle
NOTE D’INTENTION
Carmen nous guide depuis sa création sur les sentiers de son destin, sans jamais regarder en
arrière.
Aujourd’hui, la liberté des femmes d’occident ne choque plus la morale bourgeoise. Le scandale
d’alors est révolu.
Carmen ne chante pas l’Espagne ni son folklore, mais une musique française qui la guide
inexorablement vers ce jour fatidique, lu dans les cartes.
S’il est vrai que le chemin de la vie est déterminé par nôtre dernier jour, alors Carmen est une
héroïne parfaite. Elle vit et meurt sans haine ni peur, sans honte ni pudeur.
La gitane rebelle de Mérimée, chantant Bizet, a gagné toutes les batailles. Son immense succès
doit certainement, là où elle est, encore la surprendre…
Deux lignes dans la rubrique “faits divers” d’un journal de Séville, se sont transformées en un
torrent intarissable.
Louis Désiré
Programme de Salle
ARGUMENT
Acte I – Une place à Séville
Des dragons oisifs contemplent les allées et venues de la foule. Survient Micaëla qui cherche Don José.
Le brigadier Moralès lui répond que Don José n’est pas là et cherche à retenir la jeune fille.
Précédée d’une bande de gamins, la garde montante vient relever la garde descendante. Moralès informe
Don José de la visite de Micaëla. La cloche de la manufacture se fait entendre. Les cigarières à qui leurs
soupirants décochent œillades et propos galants sortent de la manufacture. Très entourée, Carmen chante
sa Habañera. Don josé ne jette sur elle qu’un regard distrait, mais elle s’approche de lui et lui lance une
fleur qu’elle tenait entre ses lèvres, puis Carmen et les autres cigarières regagnent la manufacture. Don
José reste seul. Micaëla revient. Elle donne à Don José des nouvelles de sa mère, lui remet une lettre et
l’embrasse, comme elle l’a promis, lui transmettant ainsi le baiser maternel. Micaëla s’éloigne, pendant
que Don José lit la lettre où sa mère lui conseille d’épouser la jeune fille. Un grand tumulte se produit.
Des cigarières se précipitent hors de la manufacture et expliquent aux soldats qu’au cours d’une querelle,
Carmen a blessé sa rivale. On amène Carmen devant l’officier Zuniga qui décide de la faire conduire en
prison, et charge Don José de cette mission. Carmen, les mains liées, reste seule en compagnie de Don
José, chante une séguédille et achève de séduire Don José qui lui délie les mains. Carmen bouscule les
soldats et s’échappe.
Acte II – Chez Lillas Pastia : une taverne
Carmen, Frasquita et Mercédès sont à table avec des officiers. Carmen se lève et chante sa chanson
bohème, puis apprend de Zuniga que Don José, emprisonné à cause d’elle, est libre. Arrive alors,
accompagné de ses admirateurs, le torero Escamillo. Il remarque Carmen et lui fait une déclaration. En
même temps, Carmen, très sollicitée, éconduit Zuniga. Une fois Escamillo sorti, entrent le Dancaïre et
le Remendado, deux contrebandiers qui, en prévision d’une « affaire », recrutent des complices et font
appel aux talents de Carmen, Frasquita et Mercédès. Carmen attend Don José car il est convenu qu’il la
retrouverait chez Lillas Pastia. On entend de très loin une chanson de soldat. C’est Don José. Carmen
danse en son honneur. Sonneries de clairon dans le lointain. Don José prie Carmen d’arrêter sa danse :
« je dois rentrer au quartier pour l’appel ».
Furieuse, Carmen lui envoie son shako et son sabre à la volée. Don José, avec une exaltation croissante,
chante son amour. Carmen réplique en le défiant. S’il l’aimait vraiment, il déserterait pour
l’accompagner dans la montagne et connaîtrait à ses côtés l’ivresse de la liberté. Don José refuse et
Carmen le chasse. Zuniga apparaît et se moque de Carmen « d’avoir pris le soldat alors qu’elle avait
l’officier ». Fou de jalousie, Don José se précipite sur Zuniga. Les bohémiens interviennent et désarment
le lieutenant. Il ne reste plus à Don José qu’à déserter et à suivre Carmen et les contrebandiers dans la
montagne.
Acte III – Dans la montagne
Don José songe. Le village où sa mère habite avec Micaëla n’est pas loin. Carmen questionne et s’irrite :
« qu’il aille donc retrouver sa mère ». Puis, avec Frasquita et Mercédès, elle interroge les cartes. Pour
Carmen, les cartes n’ont qu’une seule réponse : la mort. Don José reste garder le camp, tandis que les
trois bohémiennes vont distraire les douaniers pendant que les contrebandiers passent la marchandise.
Micaëla, qui a appris la présence de don José dans le repaire des contrebandiers, cherche à le rencontrer.
Escamillo, sur qui Don José a tiré, s’approche et se fait connaître. Il apprend à Don José que, s’il vient
de risquer sa vie, c’était pour rencontrer celle qu’il aime, une bohémienne, Carmen. Les deux rivaux se
provoquent et se battent, navaja au poing. L’arme d’Escamillo se brise. Don José va frapper, lorsque
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survient Carmen qui arrête son bras. Escamillo se retire. La fureur de Don José est à son comble. Micaëla
supplie Don José de venir au chevet de sa mère mourante. Carmen invite son amant à suivre Micaëla.
Don José ne se contient plus ; il a compris que Carmen voulait se débarrasser de lui pour rejoindre son
nouvel amant, mais il s’y opposera, dût-il lui en couter la vie. Micaëla insiste. Don José consent enfin à
l’accompagner. On entend la voix d’Escamillo. Carmen veut s’élancer. Don José lui barre le passage.
Acte IV – Une place à Séville devant les arènes
La foule attend le début de la corrida. Puis arrive le défilé. Escamillo a auprès de lui Carmen, radieuse,
qui le quitte à l’entrée des arènes. Frasquita et Mercédès, qui ont aperçu Don José caché dans la foule,
avertissent Carmen. Mais c’est en vain : Carmen attendra Don José et lui parlera. La foule est entrée
dans l’arène. Carmen et Don José restent seuls. Don José ne menace pas, il implore. Il est prêt à
recommencer avec Carmen une autre vie. Carmen réplique : « jamais je n’ai menti, entre nous tout est
fini… ». Don José insiste : « Carmen il est temps encore, laisse-moi te sauver… ». Carmen ne cède pas,
et c’est alors l’échange des dernières répliques tandis qu’on entend les cris de la foule qui acclame
Escamillo. Carmen veut entrer dans l’arène, mais Don José lui barre le passage et la frappe de son
couteau. Elle tombe. Don José s’agenouille auprès d’elle : « Vous pouvez m’arrêter, c’est moi qui l’ai
tuée ! Ah ! Carmen ! ma Carmen adorée… !».
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L’Equipe artistique
LAURENT CAMPELLONE Direction musicale
Après des études de violon, de tuba, de percussions et de chant, Laurent Campellone apprend
la direction d’orchestre au Conservatoire Frédéric Chopin de Paris, en parallèle de l’obtention
de son diplôme de philosophie. A vingt-trois ans, il est nommé assistant du directeur musical
de l’Opéra de Toulon. En 2000, il se rend auprès de Christoph Eschenbach pour compléter sa
formation.
En 2001, à vingt-neuf ans, il remporte à l’unanimité le Premier Prix de la 8ème édition du
Concours International des jeunes chefs d’orchestre de la Communauté Européenne à Spoleto
(Italie), en association avec l’Académie Sainte-Cécile et l’Opéra de Rome.
Depuis lors, Laurent Campellone a été invité à diriger près de deux cent cinquante oeuvres
symphoniques et quelques cinquante partitions lyriques différentes, parmi lesquelles La
Gioconda, Carmen, Turandot (Deutsche Oper de Berlin), Les Troyens (Opéra de Manaus), Les
Pécheurs de perles et Faust (Opéra de Madison, USA), Lakmé, Don Quichotte, La Traviata,
Turandot, La Damnation de Faust (Opéra National de Bulgarie), Les Contes d'Hoffmann
(Bolchoï), L’enfance du Christ de Berlioz, La Périchole (Opéra de Marseille), Don Pasquale,
Lucia di Lamermoor, Cleopatra de Cimarosa (Spoleto), L’Etoile et La Grande Duchesse de
Gerolstein, Les Mamelles de Tirésias et La Voix humaine à l’Opéra de Toulon, Les Contes
d’Hoffmann et L'Etoile à Angers Nantes Opéra, Il Barbiere di Siviglia à l’Opéra National de
Bordeaux et La Cenerentola à l’Opéra de Bogota.
En 2004, Laurent Campellone est nommé Directeur musical de l’Opéra et de l’Orchestre
Symphonique de Saint-Etienne, où il a relancé une politique de redécouverte du répertoire
lyrique français du XIXème siècle, dirigeant à ce titre de nombreuses oeuvres rares de Massenet
(Sapho, Le Jongleur de Notre-Dame, Ariane, Le Mage...), de Gounod (La Reine de Saba,
Polyeucte) et de Lalo (Le Roi d'Ys). Cette passion pour les raretés du répertoire romantique
français n'éclipse pas pour autant, ses lectures très remarquées et saluées par la presse
internationale des partitions du grand répertoire, notamment Turandot, Rigoletto, Norma,
Samson et Dalila, Tosca, Die Walküre, Der Fliegende Höllander, Roméo et Juliette, Carmen,
L’Elisir d'amore, ou encore Faust.
Régulièrement invité par les plus grandes maisons lyriques internationales, telle le Deutsche
Oper de Berlin, Laurent Campellone se produit désormais à la tête de nombreux orchestres
prestigieux, parmi lesquels le Bayerischer Rundfunk Orchestrer (Orchestre de la Radio
bavaroise), l'Orchestre National du Brésil, le New Russia State Orchestra, l'Orchestre
Philharmonique de Dublin, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, la Philharmonie de
Sofia, l’Orchestre National des Pays de la Loire, le Malaysian Philharmonic Orchestra,
l’Orchestre de l'Opéra National de Lorraine et l'Orchestre Philharmonique de Nice. Il est par
ailleurs régulièrement l’invité de festivals prestigieux en France, dont le Festival de la Chaise-
Dieu ou le Festival Berlioz, pour ne citer qu’eux.
Chef principal invité de l’Opéra National de Sofia, à ce titre, il y dirige deux nouvelles
productions (Traviata, Carmen) ainsi que plusieurs reprises (Lakmé, Don Quichotte, Turandot),
Il dirige également plusieurs reprises de Carmen et Traviata au Bolchoï, Cavalleria Rusticana
et Pagliacci au Nouveau Théâtre de Moscou, Roméo et Juliette à l’Opéra de Monte-Carlo
et Barbe Bleue à Angers-Nantes Opéra. Dernièrement, il a dirigé à Nancy et Nantes Orphée
aux Enfers, et Les Mousquetaires au Couvent à l’Opéra-Comique.
Parmi ses projets, notons Roméo et Juliette à Oman, Orphée aux Enfers à Angers-Nantes
Opéra, Fantasio au Théâtre Imperial de Compiègne et pour la réouverture de l’Opéra-Comique,
ainsi que Carmen à Monte-Carlo.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli pour Lakmé
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AURORE MARCHAND
Direction des Chœurs
Aurore Marchand débute la musique au Conservatoire National de Musique de Région
d’Orléans, où elle étudie le violoncelle, puis le chant. Elle acquiert également au cours de ces
années des expériences de musique de chambre instrumentale, vocale et d’orchestre
symphonique.
En 1983, elle se tourne définitivement vers le chant et intègre le chœur de l’Opéra de Tours.
Elle participe à toutes les productions en qualité de soprano et se voit attribuer des petits rôles
dans divers opéras et opérettes.
En septembre 2002, elle est nommée Chef de Chœur à l’Opéra de Tours et prépare notamment
les différentes saisons lyriques, Jenufa (Janacek), Le Mikado, (Sullivan), La Belle Hélène
(Offenbach), Un Ballo in Maschera ou encore Don Carlo (Verdi)…
Depuis 2007, Aurore Marchand assure la direction du Chœur de l’Opéra Grand Avignon.
En 2011, elle participe aux Chorégies d’Orange pour Aida et Rigoletto, en 2012 pour La
Bohème et Turandot, en 2013 pour Der Fliegende Hollander et Un Ballo in Maschera, en 2014
pour Otello et Nabucco, en 2015 pour Carmen et Il Trovatore, et en 2016, on la retrouvera pour
Madama Butterfly et La Traviata.
En 2010, elle a dirigé le spectacle Le Petit Prince à l’Opéra Grand Avignon, à l’Opéra de Reims
et au Théâtre Impérial de Compiègne, en 2013 un Concert Verdi, en 2014 un Concert Gounod
et en 2015 le Stabat Mater de Rossini à la Collégiale Saint-Didier d’Avignon.
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FLORENCE GOYON-POGEMBERG Direction de la Maîtrise
Née en 1964, en région parisienne, Florence Goyon-Pogemberg effectue ses études générales
et musicales dans le cadre des classes musicales jusqu’à l’obtention du baccalauréat série F11.
Elle étudie le piano dès l’âge de six ans avec Renée Heuclin, Anne-Marie Mangeot, Eliane
Richepin et suit des stages d’été avec Bruno Rigutto.
Plusieurs fois diplômée aux Concours de l’Université Musicale Iinternationale de Paris et aux
Concours Léopold Bellan, elle obtient également une médaille d’or, niveau Excellence, au
Conservatoire National d’Orsay (Essonne).
De 1982 à 1988, elle partage son activité musicale entre l’enseignement, l’accompagnement
et la création d’un opéra pour enfants de Jean-Michel Damase.
Florence Goyon-Pogemberg entre à l’Opéra Grand Avignon en 1988, en qualité de pianiste
de ballet.
Répétitrice et pianiste de scène depuis 1990, (Mireille, La Traviata, Il Trovatore, Lucia di
Lammermoor) elle complète sa formation de chef de chant en effectuant un stage, auprès de
Janine Reiss en 1992.
Parallèlement à ses activités professionnelles, elle s’occupe de 1999 à 2004 d’un groupe de
chanteurs amateurs « Vocal en Scène », avec lequel elle monte plusieurs spectacles en musique
et en espace.
Elle participe régulièrement avec la Maîtrise, dont elle en est depuis 2008 la directrice, aux
animations Inter’notes, ainsi qu'à certains ouvrages lyriques de l'Opéra Grand Avignon.
Elle a présenté à l’Opéra Grand Avignon Monsieur Offenbach restera chez lui… spectacle
conçu avec les élèves de la Maîtrise.
Programme de Salle
HÉLÈNE BLANIC Etudes musicales
Après des études musicales effectuées au Conservatoire de Musique à Rayonnement Régional
d'Orléans où elle obtient plusieurs premiers prix (piano, solfège, accompagnement), Hélène
Blanic est engagée en qualité de pianiste accompagnatrice au CNIPAL de Marseille (Centre
National d'Insertion Professionnelle d'Artistes Lyriques), puis comme chef de chant à l'Opéra
Grand Avignon, à l’Opéra de Monte-Carlo et à l'Opéra de Nice où elle travaille avec de
nombreux artistes de renommée internationale.
Elle est chef de chant et continuiste pour Il Viaggio a Reims, en partenariat avec le Centre
Français de Promotion Lyrique et de nombreux théâtres lyriques français (Reims, Vichy,
Massy, Montpellier, Clermont-Ferrand, Tours et Metz pour la saison 2008-2009, puis Nancy,
Toulon, Nice. Saint-Etienne,Toulouse, Bordeaux, ou encore Marseille).
Parmi ses engagements, notons La petite renarde rusée de Janacek (Opéra National de
Montpellier), La Cenerentola et Nabucco, Roméo et Juliette (Opéra de Massy), La Bohème
(Opéra de Reims), Tosca (Beyrouth), Un Ballo in Maschera, Nabucco, Il Trovatore (Chorégies
d'Orange) et Otello (Opéra de Massy).
Elle a été invitée par Ramon Vargas à l'Opéra Bellas Artes de Mexico pour une nouvelle
production de Manon de Massenet en mars 2014.
Elle est à nouveau invitée en octobre 2014 pour un récital avec la soprano Maria Katzarava.
Elle travaille régulièrement à Radio-France avec des chefs d'orchestre prestigieux tels que Kent
Nagano, Pinchas Steinberg, Daniel Harding ou encore Mikko Frank.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueillie de 1988 à 1990, en qualité de pianiste répétitrice aux
côtés de Serge Gandolfi, alors chef des chœurs ; en 2003 pour Tosca, et lors du Tremplin Jeunes
Chanteurs, en 2005 pour Madama Butterfly et la Fête de la Musique, en 2006 à nouveau pour
Tosca et un concert lyrique donné dans le cadre de la Fête de la Musique, ainsi que pour le
Requiem de Mozart ; pour les fêtes de fin d’année 2006/2007 pour Die Zauberflöte, en 2008
pour La Bohème, et Orphée aux Enfers, en 2011 pour Thaïs, en 2012 pour Faust, en 2013 pour
Madama Butterfly, en 2014 pour Cavalleria Rusticana / Pagliacci et Mireille, en 2015 pour La
Bohème, dans le cadre du Tremplin Jeunes Chanteurs, lors des fêtes de fin d’année pour La
Chauve-Souris et en mars 2016 pour Tremplin Jeunes Chanteurs.
Programme de Salle
LOUIS DÉSIRÉ Mise en scène, décors et costumes
Louis Désiré a participé à de nombreuses productions d'opéra en Europe, mais aussi en
Amérique et en Asie : Opéra National de Paris, Opéra National de Montpellier, Opéra de
Nice, Théâtre du Capitole de Toulouse, Chorégies d’Orange, Opera Ireland de
Dublin, Teatro Filarmonico de Verone, Teatro Regio de Turin, Teatro Comunale de Modène,
Teatro Massimo Bellini de Catane, Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles, Opera
d’Amsterdam, Théâtre Royal de Copenhague, Teatro de la Maestranza de Seville, Festival de
Santander, Festival de Perelada, Grand Théâtre du Liceù de Barcelone, Palau de les Arts de
Valence, Opéra de Leipzig, Opera de Lausanne, Megaron d’Athènes et de Tessalonique,
Festival del Centro Historico de Mexico, Teatro Colón de Buenos-Aires, New-York City Opera
ou encore Santa Fe Opera,
En septembre 2007, il fait ses débuts à la mise en scène, décor et costumes avec Werther
au Teatro Colòn de Buenos-Aires.
En 2009-2010, il est invité au Festival de Santa Fe (USA) pour Alceste (décor et costumes),
au Liceù de Barcelone et au Teatro Real de Madrid pour El arbol de Diana (costumes),
au Teatro Colòn de Buenos-Aires pour I due Foscari (mise en scène, décors et costumes),
à Valence pour Una cosa rara (costumes) et Salomé (décors, costumes), ainsi qu’à l’Opéra
National du Rhin pour Macbeth (décors et costumes).
En 2010-2011, Louis Désiré est invité à San-Francisco pour Werther (décors et costumes);
à Buenos- Aires pour Francesca da Rimini (mise en scène, décor et costumes) ; à Monte-
Carlo pour Un Ballo in maschera (mise en scène et costumes) ; au Grand Théâtre de Genève
et à l’Opéra d’Amsterdam pour I Puritani (costumes) ; à Bilbao pour Macbeth (décors et
costumes), ainsi qu’aux Chorégies d’Orange pour Rigoletto (décors et costumes).
En 2011-2012, il est à Pékin pour La Cenerentola (costumes), Montpellier pour Arbore di
Diana, à Monte-Carlo pour Francesca da Rimini (mise en scène, décor et costumes) et Macbeth
(décor et costumes), à Chicago pour Rinaldo (décors, costumes), ainsi qu’à Buenos-Aires pour
Norma (mise en scène)
En 2012-2013, il dessine le décor et les costumes de Carmen à Séoul, ceux de Werther à
Chicago et du Trovatore à Macerata.
En 2013-2014, il signe la mise en scène, le décor et les costumes de La Cenerentola à Metz et
de Der Fliegende Höllander à Buenos- Aires, puis réalise le décor et costumes d’Alcina à
Oslo et la mise en scène de La Bohème à Montevideo, la scénographie et les costumes de
Mitridate à Drottningholm.
En 2014-2015 à Bilbao, il est engagé pour Werther, puis pour Alcina à Copenhague, Tosca à
Marseille et Carmen aux Chorégies d’Orange.
En 2015 et début 2016, il a été à Cluj Napoca pour Werther (décor et costumes), à Saint-
Etienne pour Tosca (mise en scène décor et costumes) et à Bienne pour la mise en scène, décor
et costumes de La Traviata, ainsi qu’à Metz, où il signe le décor et costumes du Midsummer
night’s. Prochainement, il sera à Macerata pour Il Trovatore, et aux Chorégies d’Orange pour
la mise en scène de La Traviata.
Parmi ses projets, notons en 2017 Il Trovatore à Monte-Carlo et Madrid, Lohengrin à Marseille
et Saint- Etienne, Les contes d’Hoffmann à Shanghaï ou encore Les pêcheurs de perles à Bienne.
L’Opéra Grand Avignon l’a déjà accueilli en 1994 pour la signature des costumes d’Un Ballo
in Maschera.
Programme de Salle
IRÈNE FRIDRICI Assistante à la mise en scène
Née à Saverne, Irène Fridrici débute l’apprentissage de la danse au Conservatoire National de
Danse de Région de Metz. Par la suite, elle est engagée en qualité de danseuse à l’Opéra Grand
Avignon.
En 1995, elle s’oriente vers la mise en scène et devient l’assistante de Bernard Broca pour
Eugène Onéguine et La Traviata à l’Opéra-Théâtre de Metz, ainsi que pour Carmen à l’Opéra
Grand Avignon.
Depuis lors, elle accompagne également dans leurs mises en scène Christian Gangneron (The
Rake’s Progress, Don Giovanni, Le Nozze di Figaro), Paul-Emile Fourny (Carmen), Daniel
Benoin (La Bohème) et Nadine Duffaut (La Fille du Tambour-Major, Les Pêcheurs de Perles
et Manon).
En 2004, à l’Ile de la Réunion, elle remonte la mise en scène de La Traviata de Jean-Claude
Auvray.
En 2006, Irène Fridrici assiste Robert Fortune à l’Opéra Royal de Wallonie pour Les
Huguenots, collabore avec Christian Gangneron à Vichy pour Le Nozze di Figaro (dans la
production d’Avignon), et avec Daniel Benoin à Trieste pour La Bohème.
En 2007, elle assiste Nadine Duffaut à Shangaï pour une nouvelle production de Carmen.
En 2008, les Chorégies d’Orange l’invitent pour Carmen et en 2010 pour Tosca (mises en
scène Nadine Duffaut).
Elle collabore également en 2009 pour Mireille à Marseille (mise en scène Robert Fortune), en
2010 pour Manon à Massy, pour I Capuleti e i Montecchi à Tours et pour Le dernier jour d’un
condamné à Szeged (mises en scène Nadine Duffaut).
Elle est également l’assistante de Jean-Claude Auvray pour Cavalleria Rusticana et I Pagliacci
à Orange et à Marseille.
En 2011, elle collabore pour Rigoletto à Montpellier, pour Le Château de Barbe-Bleue et La
Voix humaine (mises en scène René Koering) à Nice, et pour la reprise des Nozze di Figaro
(mise en scène Christian Gangneron) à Massy et Marseille.
Les Chorégies d’Orange l’invitent en 2009 pour Cavalleria Rusticana et I Pagliacci et en 2013
pour Un Ballo in Maschera (mises en scène Jean-Claude Auvray).
Elle est invitée à Nice en 2013 pour Der Freischütz (Guy Montavon) et en 2014 pour Semele
avec Jacob Petersmeyer.
En 2015, elle assiste Nadine Duffaut pour Katia Kabanova à l’Opéra de Toulon Provence-
Méditérranée, et toujours dans ce même lieu, travaille pour Pelléas et Mélisande en janvier
2016.
Parmi ses projets, notons Le Nozze di Figaro en décembre 2016 à l’Opéra de Toulon Provence-
Méditérranée
L’Opéra Grand Avignon l’a accueillie en 2005 pour Carmen et Le Nègre des Lumières, en
2007 pour Les Pêcheurs de Perles, et La Traviata, en 2009 pour Manon et I Capuleti e i
Montecchi, en 2011 pour Carmen, en 2012 pour Tosca et en 2014 pour Cavalleria Rusticana
et I Pagliacci.
Programme de Salle
DIEGO MENDEZ-CASARIEGO Assistant décors et costumes
Diego Mendez-Casariego a participé et collaboré à de nombreuses productions d’opéra auprès
de Louis Désiré.
Il est à la fois scénographe, directeur artistique et architecte d’intérieurs pour des particuliers
en Europe et aux Etats-Unis. Son travail a été publié dans des magazines spécialisés.
Il a réalisé les décors et les costumes du Der Fliegende Holländer et de Norma à Buenos-Aires,
ville dont il est originaire et ceux de La Bohème à Montevideo en Uruguay.
Il a également collaboré à la production de Carmen donnée aux Chorégies d’Orange en 2015.
Auprès du cinéaste français Alain Deymier, il a été directeur artistique de plusieurs courts et
longs métrages. Il prépare actuellement son prochain film qui se tournera à Ibiza en septembre
prochain.
Parmi ses projets, notons sa participation à La Traviata aux Chorégies d’Orange 2016, puis
Lohengrin à l’Opéra de Marseille et Les Pêcheurs de Perles à Biel, opéras pour lesquels, il
dessinera les décors et les costumes.
Début à Avignon.
Programme de Salle
PATRICK MÈÜS
Lumières
Né en 1963, Patrick Méeüs a commencé par éclairer de nombreuses chorégraphies ; il a ainsi
réalisé plus de soixante-dix mises en lumière pour la danse. Depuis 1992, il éclaire la danse, le
théâtre et l’opéra.
Pour le théâtre, il a collaboré avec Daniel Mesguich, avec lequel il a créé un grand nombre de
mises en lumière, notamment pour Bérénice (Racine), Hamlet (Shakespeare), Dom Juan
(Molière) en deux versions ; La Vie Parisienne (Offenbach), La Tempête (Shakespeare), Le
Dibbouk (Anski), Electre (Sophocle), Médée (Euripide), Le Diable et le Bon Dieu (Sartre),
Esther (Racine), Antoine et Cléopâtre (Shakespeare), Le Prince de Hombourg (Kleist), ou
encore Cinna de Corneille.
Notons des collaborations enrichissantes avec la Comédie Française telles que Agatha, Le
Glossaire, La Dernière Lettre (Ghelderode), La Vie Parisienne, La Tempête, Oh, les beaux
jours…
Pour l’opéra, il a éclairé Pelléas et Mélisande (Debussy), Gogol (Lévinas), Ces sacrés
Nibelungen (Oscar Straus), Samson et Dalila (Saint-Saëns), Wozzeck (Alban Berg), Till
l’Espiègle (Karetnikov), Des saisons en enfer (Marius Constant), Le Fou (Marcel Landowski),
Elephant Man (Laurent Petigirard), Le Triptyque (Puccini), Faust (Gounod), Cosi fan Tutte
(Mozart), Les Joyeuses Commères de Windsor (Nicolai), La Vedova scaltra (Wolff-Ferrari), La
Vida Breve (De Falla), L’Ombre de l’âne (Strauss), L’Elisir d’Amore (Donizetti), Aida (Verdi),
Les Contes d’Hoffmann (Offenbach), Rigoletto (Verdi), Werther (Massenet), Callirhoé
(Détouches) ou encore A Midsummer Night’s Dream de Britten.
Parmi ses dernières réalisations, nous pouvons citer Les Contes d’Hoffmann pour l’Opéra de
Pékin, 1962 de Medhi Charref au Théâtre Montparnasse, Rigoletto pour les Opéras de Lausanne
et Vichy, Oh, les beaux jours pour la Comédie Française, La Révolte (Villegier) pour le Théâtre
de l’Athénée, Werther pour l’Opéra de Nice, Boulevard du Boulevard du Boulevard (Mesguich)
pour le Théâtre du Rond-Point, Soirée Stravinsky (Wainrot-Christie) pour le Ballet de l’Opéra
de Nice, Callirhoé (Koering) pour l’Opéra National de Montpellier, A Midsummer Night’s
Dream pour le Theatro Colon de Buenos-Aires, La Traviata pour l’Opéra de Prague, et Cinna
(Corneille) pour Daniel Mesguich.
Il a mis en lumière Rigoletto à Marseille, Nantes et Angers, Exodus chorégraphié par Farid
Berki, Eine florentisnische Tragödie (Alexander von Zemlinsky) et Il segreto di Susanna
(Ermanno Wolf-Ferrari) à l’Opéra National de Montpellier ; Carmen à l’Opéra d’Helsinki,
L’Elisir d’Amore et La Dame de Pique au Capitole de Toulouse, La Vedova scaltra et A
Midsummer Night’s Dream à l’Opéra de Nice. Il a réalisé les éclairages de La Vida Breve,
Werther, et A Midsummer Night’s Dream au Colon de Buenos-Aires, dans des mises en scène
de Paul-Emile Fourny.
Les Chorégies d’Orange l’ont reçu en 2011 pour Rigoletto et en 2015 pour Carmen.
Parmi ses projets, notons en juillet 2016, Don Giovanni au Festival d’Opéra de Savonlinna, puis
en aout La Traviata aux Chorégies d’Orange, en janvier 2017 Manon à l’opéra de Monte-Carlo,
en février Carmen à l’Opéra National d’Helsinki, Boris Godounov à l’Opéra de Marseille et
Werter à l’Opéra de Massy.
L’Opéra Grand Avignon l’a déjà reçu en 2007 pour Le Pays du Sourire, en 2008 pour Rigoletto
et en 2015 pour une Soirée de ballets avec le Ballet de l’Opéra Grand Avignon.
Programme de Salle
Les Interprètes
KARINE DESHAYES Carmen
Karine Deshayes intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans la
classe de Mireille Alcantara, après avoir obtenu une licence de musicologie à la Sorbonne. Elle
suit les master-classes de Régine Crespin, et rejoint la troupe de l’Opéra National de Lyon où
elle interprète entre autres les rôles de Cherubino (Le Nozze di Figaro), Stephano (Roméo et
Juliette) et Rosina (Il Barbiere di Siviglia). Sa carrière se développe rapidement. Dès 2002, elle
chante à l’Opéra National de Paris dans Rusalka, puis elle se produit au Festival de Salzbourg
dans Die Zauberflöte (Deuxième Dame) sous la direction de Riccardo Muti, et en 2006 elle fait
ses débuts au Metropolitan Opera de New-York dans le rôle de Siebel (Faust).
Son répertoire comprend de nombreux rôles : La Cenerentola, Elena (La Donna del Lago),
Isolier (Le Comte Ory), Cendrillon, La Navarraise, Charlotte (Werther), Poppea
(L’Incoronazione di Poppea), Sesto (Giulio Cesare), Dorabella (Cosi fan Tutte), Sesto (La
Clemenza di Tito), Fenena (Nabucco), Carmen, Urbain (Les Huguenots), Nicklausse (Les
Contes d’Hoffmann), Adalgisa (Norma), Isoletta (La Straniera) ou encore Roméo (I Capuleti e
i Montecchi).
La carrière de Karine Deshayes s’est à la fois développée à l’Opéra National de Paris (Garnier
et Bastille), en province (Toulouse, Lyon, Marseille, Strasbourg, Nancy, Bordeaux, Tours,
Orange…), ainsi qu’à l’étranger (Metropolitan Opera de New-York, San-Francisco, Teatro
Real de Madrid et Liceù de Barcelone).
Plus récemment, elle a chanté le rôle-titre de La Cenerentola à l’Opéra de San-Francisco et de
La Belle Hélène à Toulon ainsi qu’à Tours. Elle est également Nicklausse (Les Contes
d’Hoffmann) au Metropolitan Opera de New-york, sous la direction de James Levine et Donna
Elvira (Don Giovanni) à l’Opéra National de Paris
Elle se produit également en récital et en concert, sous la direction d’Emmanuelle Haïm,
Emmanuel Krivine, David Stern, Kurt Masur, Louis Langrée, Myun-Whun Chung ou encore
de Josep Pons.
Karine Deshayes a remporté le Premier Prix du Concours des Voix Nouvelles en 2002 et les
Victoires de la Musique, dans la catégorie artiste lyrique en 2011 et en 2016.
Parmi ses projets, notons les rôles d’Adalgisa (Norma) au Teatro Real de Madrid, ainsi que
Concepción (L’Heure Espagnole) en version concert à Bordeaux. Elle reprendra également
celui de Roméo (I Capuleti e i Montecchi) à l’Opéra de Marseille et chantera pour la première
fois les rôles-titres d’Armida dans l’œuvre de Rossini à l’Opéra National de Montpellier et
d’Alceste à l’Opéra National de Lyon. En concert, elle interprétera la Symphonie n°3 de Mahler
avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse.
L’Opéra Grand Avignon l’a déjà accueillie en 1997 pour La Didone, en 2002 pour un concert
Voix Nouvelles, dont elle fut l’une des lauréates, en 2003 pour Barbe-Bleue, Il Barbiere di
Siviglia et La Forza del Destino, en 2009 pour Sesto (La Clemenza di Tito), en 2010 pour
Roméo (I Capuleti e i Montecchi), Angelina (La Cenrentola), en 2013 pour Il Barbiere di
Siviglia, en 2015 pour un récital avec Philippe Cassard et en janvier 2016 pour Maria Stuarda.
On la retrouvera en juin 2017 dans le cadre de la soirée Une Nuit à l’Opéra.
Programme de Salle
LUDIVINE GOMBERT Micaëla
Ludivine Gombert a commencé très tôt ses études de chant et se perfectionne actuellement à
Berlin auprès d'Abbie Furmansky.
La jeune soprano française est finaliste du Concours de la ville de Béziers, Premier Prix du
Concours Muses de Nice, Premier Prix du Concours Lyrique de Crest et Prix Jeune Espoir au
Concours International de Marmande.
Pendant la saison 2010-2011, Ludivine Gombert chante le rôle d’Amour dans Pygmalion
(Cherubini) au Festival de Musique Baroque en Avignon, Micaëla dans Carmen à l’Opéra de
Reims, Barberine dans Le Nozze di Figaro à l’Opéra Grand Avignon et la Sacerdotessa dans
Aida aux Chorégies d’Orange. A l’Opéra Grand Avignon, elle se produit dans la Sacerdotessa
dans Aida (Verdi, Ida dans Die Flerdermaus (Strauss), Malou dans l’opérette Un de la
Canebière (Scotto), et avec la maîtrise de l’Opéra, interprète le rôle de Rowan dans Le Petit
Ramoneur (Britten).
En 2012-2013, à l’Opéra de Massy, elle est Susanna dans Le Nozze di Figaro (Mozart). Rôle
qu'elle reprend dans une mise en scène de Jean-Paul Scarpitta en septembre et octobre 2012. La
même année, elle est Inès dans Il Trovatore, Annina dans La Traviata et pour les fêtes de fin
d'année, Nadia Popoff dans La Veuve Joyeuse. Elle participe également en janvier 2013 au
Concert du Nouvel An dirigé par Robert Tuohy avec l'Orchestre National de Montpellier. Cette
même année, elle est aussi Barena dans Jenufa de Janacek, et reprend le rôle de la Sacerdotessa
à l'Opéra de Marseille.
En 2014, elle est Pomme d'Api dans Pomme d'Api d'Offenbach à l’Autre Scène (Vedène) et se
produit dans Tremplin Jeunes Chanteurs, concert qui est redonné en décembre de la même
année au Théâtre du Bolchoï à Moscou. Elle s’est également produite à l’Eglise Saint-Didier à
Avignon dans l’Ave Maria et le Requiem de Gounod.
Ludivine Gombert est fréquemment invitée à chanter le répertoire sacré comme le Requiem de
Schumann, le Stabat Mater de Pergolèse, la Petite Messe Solennelle et le Stabat Mater de
Rossini, les Vêpres Solennelles d’un Confesseur et Thamos de Mozart ainsi que les Bachianas
brasileiras de Villa-Lobos dans le cadre des Rencontres de Violoncelle de l'Isle-sur-la-Sorgue.
Elle poursuit parallèlement une activité de récitaliste qui l’a vue se produire à de nombreuses
reprises dans la région Provence Alpes Côte-d’Azur (Nîmes, Orange, Avignon...) mais aussi à
l’Opéra National de Montpellier aux côtés d’artistes comme Françoise Garner, Philippe Do et
Alain Fondary. A l’étranger, elle donne des récitals dans les villes de Wolfsburg (Autostadt) en
Allemagne, Londres et Liverpool (European Center) au Royaume-Uni.
En 2015, elle chante pour la première fois Mimi dans La Bohème de Puccini à l'Opéra de Reims,
ainsi que le rôle d’Inès dans Il Trovatore de Verdi aux Chorégies d’Orange, puis se produit dans
le rôle de Desdemona dans Otello de Verdi à l’Opéra de Massy, dans celui d’Antonia dans
L’Homme de la Mancha à l’Opéra Grand Avignon, puis chante le rôle de Pauline dans La Vie
Parisienne à l’Opéra de Marseille pour les fêtes de fin d’année. En janvier 2016, elle chante le
rôle d’Anna Kennedy dans Maria Stuarda à l’Opéra Grand Avignon, puis en février, elle est
Thérèse de Lorget dans L’Aiglon à l’Opéra de Marseille et en mars, tient le rôle de Miss Ellen
dans Lakmé à l’Opéra Grand Avignon.
Parmi ses projets, notons le rôle de Xenia dans Boris Godounov à l’Opéra de Marseille.
L’Opéra Grand Avignon l’accueillera en novembre 2016 dans Katia Kabanova, puis la
retrouvera en juin 2017 dans le cadre de la soirée Une Nuit à l’Opéra.
Début dans le rôle
Programme de Salle
CLÉMENCE TILQUIN Frasquita
Après des études de violoncelle et de chant au Conservatoire de Genève, couronnées par un
Diplôme de Soliste ainsi que par le Prix de la ville de Genève, Clémence Tilquin commence
une double carrière qui l’emmène à travers toute l’Europe et au Japon. Lauréate des
prestigieuses fondations Leenaards et Mosetti et conseillée par Eda Moser, Teresa Berganza,
Jean-Paul Fouchécourt et Haken Hagegard à Oslo et Sue MacCulloch à Londres, elle décide de
se consacrer exclusivement au chant.
Elle aborde avec beaucoup d’aisance des répertoires très différents. Si elle excelle dans les
opéras baroques et classiques tels que l’Incoronazione di Poppea (Poppea) de Monteverdi, Il
Sansone (Dalila) de Bonaventura Aliotti, Orfeo ed Euridice (Amour) de Gluck, Orlando
Paladino (Angelica) de Haydn, Die Zauberflöte (Papagena) et Bastien und Bastienne
(Bastienne) de Mozart, elle est également très sollicitée dans le répertoire français : citons
notamment L’Enfant et les Sortilèges (Ravel) avec lequel elle fait ses débuts au Festival d’Aix-
en-Provence, le rôle-titre de Cendrillon de Frank Martin (enregistré par la Radio Suisse
Romande), mais aussi dans un registre plus léger Orphée aux Enfers (Eurydice) d’Offenbach
et La Fille de Madame Angot (Clairette). Enfin citons ses prestations remarquées dans L’Elisir
d’Amore (Adina), I Vespri Siciliani (Ninetta), Gianni Schicchi (Lauretta), ainsi que dans
L’Amour des trois oranges (Ninette), ou encore The Turn of the Screw de Britten.
En concert, outre la Messe en do, opus 86 et Opferlied, opus 121b de Beethoven interprétés
avec grand succès au Victoria Hall de Genève, on a pu l’applaudir dans le Magnificat de Bach,
la Petite messe solennelle de Rossini, Carmina Burana de Carl Orff, le Requiem de Fauré,
l'Oratorio de Noël de Saint-Saëns, le cinquième Bachianas Brasileiras de Villa-Lobos, Pierrot
lunaire de Schönberg, la Misa Criola de Ramirez ou encore le Gloria de Poulenc.
Applaudie sur de nombreuses scènes européennes comme Genève (ou elle a intégré la Troupe
du Grand Théâtre), Bergen, Liège, Amsterdam, Aix-en Provence ou Montpellier, son parcours
musical lui permet de chanter sous la baguette de John Nelson, Alexander Lazarev, James
Loughran, Wolfgang Rihm, Yves Abel, Jonathan Darlington ou encocre Emmanuel Krivine.
Récemment on a pu l’entendre dans La Fille de Madame Angot à Liège, L’Elisir d’amore à
Bregenz, Poppea e Nerone à l’Opéra National de Montpellier ; L’Enfant et les sortilèges à Aix-
en-Provence, puis en tournée au Maroc et Gianni Schicchi à Tourcoing. Elle s’est produite
également en concert avec l’Ensemble Intercontemporain et l’Orchestre de la Suisse Romande.
Parmi ses projets, citons le rôle d’une religieuse dans Proserpine à l’Opéra Royal de Versailles
et celui de Fanny dans La Cambiale di Matrimonio au Théâtre des Champs-Elysées à Paris en
février 2017.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueillie dans L’Italiana in Algeri en 2012 et dans La Vie
Parisienne en février 2016.
Début dans le rôle.
Programme de Salle
ALBANE CARRÈRE Mercédès
La mezzo-soprano française, Albane Carrère, est née à Vienne en Autriche. Après avoir obtenu
une maîtrise en sociologie à l'Université libre de Bruxelles, elle entre au Conservatoire Royal
de Musique et au Koninklijk Conservatorium, où elle termine ses études de chant et obtient son
diplôme avec les félicitations du jury.
En Belgique, elle est plusieurs fois invitée en récital au Festival Solistes au Domaine,
notamment aux côtés de Barbara Hendricks et José van Dam, au Festival Musical de Stavelot,
au Festival de l’Eté Mosan, au Festival de Saint-Riquier et au Palais des Beaux-Arts de
Bruxelles. En 2008, elle fait ses débuts à l'opéra dans le rôle de Mallika dans Lakmé de Delibes
à l'Opéra de Gand, et interprète le rôle de Maria dans la comédie musicale La Mélodie du
Bonheur au Palais des Beaux-Arts et au Forum de Liège. Elle interprète également le rôle-titre
de Thérèse à l’Opéra Royal de Wallonie, puis celui d’Adine au Théâtre Royal de la Monnaie
de Bruxelles, dans la création mondiale de Benoît Mernier, La Dispute.
En France, Albane Carrère se produit à l'Opéra de Rouen dans les rôles de Karolka (Jenufa de
Janacek) et Mrs Grose (The Turn of the Screw de Britten). Elle est Flora (La Traviata de Verdi)
à l'Opéra de Versailles, puis la Seconde Dame (Die Zauberflöte de Mozart) à l’Opéra de Toulon
Provence-Méditerranée. A l’Opéra de Tours et de Reims, elle chante Zerlina (Don Giovanni de
Mozart), puis Mercédès dans Carmen. Elle se produit également en soliste dans plusieurs
concerts et récitals, notamment à la Cité de La Musique avec Opera Fuoco, à Saint-Petersbourg,
Tallinn et en Suède avec l’Ensemble Contraste, ainsi qu’à l’Opéra de Toulon Provence-
Méditerranée. Albane Carrère est plusieurs fois invitée au Festival Martha Argerich à Lugano,
où elle interprète le rôle de Samantha dans La Fugue d’Alexis Weissenberg accompagnée, entre
autres, par Martha Argerich (enregistrement live EMI/Virgin Classics).
La saison dernière, elle est Zerlina (Don Giovanni de Mozart) pour Opéra en Plein Air puis
Lucienne (Die Tote Stadt de Korngold) aux opéras de Nancy et de Nantes, avant de se produire
dans le cadre de Musiques en Fête, depuis le Théâtre Antique des Chorégies d’Orange.
Albane Carrère a participé à la nouvelle émission Fauteuils d’Orchestre consacrée à Ruggero
Raimondi, et présentée par Anne Sinclair (diffusion décembre 2015 sur France 3).
Parmi ses projets, notons The Fairy Queen (Purcell) à l’Opéra-Théâtre de Metz, La Tsigane
dans Le Journal d’un Disparu de Janáček en tournée avec l’Arcal, le rôle de la femme dans
Senza Sangue de Peter Eötvös en concert à Göteborg (Suède) avec l'Orchestre Symphonique de
Göteborg, puis en version scénique à Budapest et à l’Armel Festival Opera, et le rôle de Clotilda
dans Norma à l'Opéra-Théâtre de Saint-Etienne.
Elle chantera également divers programmes de concerts en Belgique, en France et en Chine
(Shenzhen et Shanghai).
L’Opéra Grand Avignon l’a accueillie dans Senza Sangue en mai 2016.
Début dans le rôle.
Programme de Salle
FLORIAN LACONI
Don José
Florian Laconi est né à Metz où il étudie l'art dramatique et participe à de nombreuses pièces
de théâtre en qualité de comédien, mais aussi en tant que metteur en scène. Il étudie le chant
avec Michèle Command, Gabriel Bacquier et Christian Jean.
Sa carrière de soliste commence en janvier 1999, avec le rôle-titre de Faust de Gounod.
Depuis il chante sous la direction de chefs tels que Giuliano Carella, Marco Guidarini, Alain
Guingal, John Nelson, Jacques Lacombe, Alberto Zedda, Alain Altinoglu, Michel Plasson et
Georges Prêtre, dans des mises en scène de Jean-Louis Grinda, Pier Luigi Pizzi, Ian Judge,
Brontis Jodorowsky, Laurent Pelly, Nadine Duffaut et Jérôme Savary, en France et à l’étranger.
Florian Laconi interprète un large panel de rôles, notamment issus du répertoire belcantiste
comme Il Conte Almaviva (Il Barbiere di Siviglia), Nemorino (L´Elisir d´Amore), Tebaldo (I
Capuleti e i Montecchi) et français, tels que les rôles de Jean (Le Jongleur de Notre-Dame de
Massenet), Nicias (Thaïs), Nadir (Les Pêcheurs de Perles), Roméo (Roméo et Juliette), Pâris
(La Belle Hélène), Vincent (Mireille), Don José (Carmen), Hoffmann (Les Contes
d’Hoffmann), Georges (La Vivandière de Benjamin Godard), Le Chevalier de la Force
(Dialogues des Carmélites) et Gonzalve (L’Heure Espagnole). Dans les œuvres du répertoire
verdien, vériste et puccinien, il incarne le Duc (Rigoletto), Fenton (Falstaff), Prunier (La
Rondine), Luigi et Rinuncio (Il Trittico), Beppe (I Pagliacci), Cassio (Otello), Rodolfo (La
Bohème) et Des Grieux (Manon). Enfin, il interprète également les rôles dramatiques de Steva
Buryjovska (Jenufa) et de Lenski (Eugène Oneguine).
Il se produit également dans des oratorios : la Petite Messe Solennelle et le Stabat Mater de
Rossini, les Requiem de Mozart, Berlioz et Gounod, le Stabat Mater de Haydn, ou encore La
Missa Criola de Ramirez.
Le 14 juillet 2013, il est invité par le Général Boulanger, gouverneur militaire de la ville de
Paris, pour interpréter La Marseillaise lors du défilé sur les Champs-Elysées en présence du
Président de la République, François Hollande.
Il fait ses débuts à l’Opéra National de Paris en 2012 dans Pagliacci, puis chante le rôle de
Georges (La Vivandière) au Festival de Radio France et Montpellier, Don José (Carmen) à
l’Opéra de Tours et Mylio (Le Roi d’Ys) à l’Opéra de Marseille, puis le rôle d’Hoffmann (Les
Contes d’Hoffmann) à Rouen et Versailles, Mylio (Le Roi d´Ys) à Marseille et Cassio (Otello)
aux Chorégies d’Orange (2014). Plus récemment, il interprète les rôles d’Hoffmann (Les Contes
d’Hoffmann) aux Opéras de Rouen et Versailles, de Roméo (Roméo et Juliette) à Massy, Metz
et Reims, ainsi que les rôles de Luigi et Rinuncio (Il Trittico) et Gonzalve (L’Heure Espagnole)
à l’Opéra de Tours.
Parmi ses projets, notons le rôle de Lenski (Eugène Onéguine) en avril 2017, et d’Hoffman (Les
Contes d’Hoffmann) en novembre 2017 à l’Opéra-Théâtre de Saint-Etienne.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli de nombreuses fois, notamment en 2008 pour L’Elisir
d’Amore, en 2009 pour Manon et Les Contes d’Hoffmann, en 2010 pour La Vie Parisienne, en
2011 pour Eugène Onéguine et Faust, en 2013 pour Roméo et Juliette, en 2014 pour Mireille et
en 2015 pour La Bohème ainsi que pour les fêtes de fin d’année pour La Chauve-Souris, en
février 2016 pour La Vie Parisienne et en mars pour Lakmé.
On le retrouvera en novembre 2016 pour Katia Kabanova et pour les fêtes de fin d’année pour
Le Chanteur de Mexico, puis en 2017, pour Faust et dans le cadre de la soirée Une Nuit à
l’Opéra.
Programme de Salle
CHRISTIAN HELMER Escamillo
Diplômé de Supélec, Christian Helmer entreprend l’étude du chant à l’Ecole Normale de
Musique de Paris. En 2004, au Concours International de Marmande, il remporte le Prix du
CNIPAL, où il se perfectionne durant la saison 2004-2005.
Depuis, il a participé à de nombreuses productions : Guglielmo (Cosi fan Tutte) au Festival de
Feldkirch puis d’Antibes, Le Bret (Cyrano de Bergerac d’Alfano) aux côtés de Placido
Domingo au Théâtre du Châtelet et au Teatro Real de Madrid, Lodovico (Otello) à l’Opéra
National de Montpellier et à l’Opéra de Gelsenkirchen, les rôles de Schaunard (La Bohème) au
Grand théâtre de Tours et de Limoges, ainsi que de Colline (La Bohème) au Festival de
Beiteddine (production des Chorégies d’Orange) et à la Salle Pleyel, Amantio di Nicolao
(Gianni Schicchi) à l’Opéra National de Paris, Don Giovanni au Festival de Lacoste, d’Antibes
et de Chartres, Escamillo (Carmen) à l’Opéra de Rouen et à l’Opéra Royal de Versailles, ainsi
que Masetto (Don Giovanni) au Théâtre des Champs-Elysées, sous la direction de Jean-Claude
Malgoire.
A l’étranger, Christian Helmer se produit à Gelsenkirchen et Nuremberg dans les œuvres
suivantes : Le Comte Ory, La Bohème, Otello, L’Assedio di Calais de Donizetti et
L’Incoronazione di Poppea, ainsi qu’à Dublin Don Giovanni, à Madrid et Amsterdam Iphigénie
en Aulide et à Bari le rôle de Pietro dans La Muette de Portici.
Plus récemment, il a interprété les rôles d’Orbozzano (Tancredi) et Cecil (Maria Stuarda) au
Théâtre des Champs-Elysées ainsi que Girot (Le Pré aux clers d’Hérold) à l’Opéra-Comique.
Il a également participé à l’opéra contemporain Mimi de Frédéric Verrière au Théâtre des
Bouffes du Nord.
Parmi ses projets, notons, Zuniga (Carmen) au Festival d’Aix-en-Provence.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli pour Carmen en 2011 et pour Le Dernier Jour d’un
Condamné en 2014.
Programme de Salle
THOMAS DEAR
Zuniga
Thomas Dear est issu de l’Académie de Musique Rainier III de Monte-Carlo.
Il fait ses débuts sur scène à l’Opéra de Monte-Carlo dans des rôles tels que Snug dans le
Midsummer Night’s Dream de Britten, Crébillon dans La Rondine, Ein Lakai dans
Der Rosenkavalier et participe aux productions de Jenufa et de La Forza del Destino.
Il chante les Quatre Diables dans Les Contes d’Hoffmann, Escamillo dans Carmen, Lorenzo
dans I Capuleti e i Montecchi, Monterone dans Rigoletto dans diverses productions en France.
En janvier 2011, il est lauréat du Concours Viñas de Barcelone, ce qui lui ouvre les portes
d’une carrière internationale.
Dès lors, il chante au Grand Théâtre de Genève (Farfarello dans L’Amour des Trois Oranges
puis First Murderer / Archbishop dans Richard III de Battistelli). Il fait ses débuts à l’Opéra
National de Paris (Cappadocien dans Salomé, puis le Comte Lamoral dans Arabella), il chante
à l’Opéra Royal de Wallonie (L’Enchanteresse de Tchaïkovski), au Nederlandse Opera
d’Amsterdam (un Prêtre et un Homme d’arme dans Die Zauberflöte), à l’Opéra de Nice (le
Médecin et le Berger dans Pelléas et Mélisande, Colline dans La Bohème, un Prêtre et un
Homme d’arme dans Die Zauberflöte, l’Ermite dans Der Freischütz, Hobson dans Peter
Grimes), à l’Opéra National de Bordeaux, au Théâtre du Capitole de Toulouse (4e Berger dans
Daphné, Frère Bénédictine et 3e Masque dans Les Fiançailles au Couvent), à Limoges
(Escamillo dans Carmen) et à Toulon (Rochefort dans Anna Bolena). Il a également été
Sarastro dans Die Zauberflöte lors de la tournée d’Opéra en plein air et Colline dans La Bohème
au Festival de Souston. Il participe à la production des Caprices de Marianne d’Henri Sauguet
(Claudio), production présentée dans une quinzaine de maisons françaises d’opéras par le
Centre Français de Promotion Lyrique.
En concert, on l’entend avec l’Orchestre de la BBC lors du concours de direction d’orchestre
de Besançon, avec l’Orchestre National des Pays de la Loire, sous la direction de John Axelrod
lors du spectacle « Amadeus ». Il se produit aux Arènes de Nîmes dans le Requiem de Verdi et
enregistre la Petite Renarde Rusée de Janacek (le Blaireau, le Chien) avec l’European Opera
Centre. Il chante aussi le Requiem de Mozart et le Stabat Mater de Rossini et participe à
La Navarraise de Massenet et au Dernier Jour d’un Condamné de David Alagna en concert à
la Salle Pleyel à Paris.
Cette saison, il a chanté le Requiem de Mozart à Nice et la Messe en ut à Saint-Etienne, a
repris Les Caprices de Marianne à Rouen, Vichy, Bordeaux, Saint-Etienne et Limoges, puis a
chanté le Baron Douphol dans La Traviata et Méru dans Les Huguenots à Nice.
Parmi ses projets, notons en juillet 2016 Pelléas et Mélisande au Festival d’Aix-en-Provence
avec Esa-Pekka Salonen, en octobre 2016 Béatrice et Bénédict de Berlioz et en juin 2017 Le
Prophète de Meyerbeer à Toulouse, puis plus tard, Oroveso dans Norma, Grémine dans Eugène
Onéguine à Saint-Etienne ou encore Pelléas et Mélisande.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli en 2015 pour Les Caprices de Marianne.
Début dans le rôle.
Programme de Salle
PHILIPPE-NICOLAS MARTIN Moralès
Diplômé des Conservatoires de Marseille et d’Aix-en-Provence, Philippe-Nicolas Martin
obtient parallèlement une Maîtrise de Musicologie et le titre de professeur certifié de
l'Education Nationale.
En 2009, il intègre le CNIPAL de Marseille où il chante Gasparo dans Rita de Donizetti et Peter
dans Hänsel und Gretel de Humperdinck.
Au cours des dernières saisons, il chante Guglielmo dans Cosi fan Tutte (Bulgarie), Moralès
dans Carmen (Metz et Nancy), Madame Beurrefondu dans Mesdames de la Halle d’Offenbach
(Lyon), le Commissaire Impérial / Prince Yamadori dans Madama Butterfly et Papageno dans
Die Zauberflöte (Opéra en plein air), Gregorio dans Roméo & Juliette (Marseille), Un Chevalier
dans Lohengrin (Toulon), Pimpinone dans Vespetta et Pimpinone d’Albinoni. Plus récemment,
le deuxième Commissaire et le Geôlier dans Dialogues des Carmélites (Angers-Nantes Opéra),
l’Horloge et le Chat dans L’Enfant et les Sortilèges (au Bahreïn avec les artistes du Festival
d’Aix-en-Provence) et Marullo dans Rigoletto (Rennes). Il participe à La Belle Mère
Amoureuse, parodie d’Hippolyte et Aricie de Rameau (rôle de Thésée) à Malte et en tournée en
France, Octave dans Les Caprices de Marianne de Sauguet en tournée dans une quinzaine de
maisons d’opéra, Belcore dans l’Elisir d’Amore (Malte), Le Medium (rôle de Mr. Gobineau) et
The Téléphone (Ben) de Menotti (Sédières), Jupiter dans Platée (Budapest), The Fairy Queen
de Purcell (Hardelot) ou encore Uthal de Méhul (Versailles).
En concert, on l’entend dans le Deutsches Requiem de Brahms, le Requiem de Fauré, le Requiem
de Campra, L'Oiseau a vu tout cela d’Henri Sauguet, la Messe Solennelle de Berlioz, Carmina
Burana de Carl Orff et la Symphonie n°9 de Beethoven, ainsi que dans plusieurs récitals à Paris
et Venise.
Cette saison, il a chanté Sganarelle dans Le Médecin malgré lui à Saint-Etienne, le Garde-
Chasse dans La Petite Renarde Rusée en tournée et a repris le rôle d’Octave dans Les Caprices
de Marianne à Vichy, Rouen, Bordeaux et Limoges.
Parmi ses projets, citons en septembre 2016 Lohengrin, puis Le Temple de la Gloire et Naïs de
Rameau, L’Italiana in Algeri, la reprise de La Petite Renarde Rusée et Madama Butterfly.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli en 2015 pour Les Caprices de Marianne.
Début dans le rôle.
Programme de Salle
PHILIPPE ERMELIER
Le Dancaire
Après une formation tout à la fois éclectique et complète, avec des cours de théâtre de Jean-
Laurent Cochet, de Jean Pérymoni et de La FACT (Ecole Franco-Américaine Cinéma Théâtre),
Philippe Ermelier suivra des cours de dessin d’arts appliqués à l'Ecole Boulle,
Il travaille ensuite sa voix avec Jean-Marie Siougos et Suzy Sach, ce qui le conduira au
CNIPAL, alors sous la direction de Raymond Duffaut ; il y rencontrera Rita Streich, avant
d’intégrer l'Ecole de Chant de l'Opéra National de Paris dans la classe de Michel Sénéchal.
Son vaste répertoire s'étend du baroque - avec les rôles d’Aenaes (Dido and Aeneas de Purcell),
Phinée (Jephtée de Monteclair), Orfeo (Orfeo ed Eurydice de Gluck) - au grand répertoire
d'opéra, avec des rôles tels que le Sacristain (La Tosca), Mathieu (Andrea Chénier) Laërte
(Mignon), l'Officier espagnol (Cyrano de Bergerac d'Alfano), le Geôlier (Dialogues des
Carmélites), ou encore Johann (Werther).
Rossini est aussi très présent dans son répertoire, avec des rôles comme Haly (L’Italiana in
Algeri), Figaro (Il Barbiere di Siviglia), Tobia Mill (La Cambiale di Matrimonio).
Il aborde très vite le répertoire de l'opérette et de la comédie musicale dans lequel il excelle. Sa
mise en scène de Phi-Phi lui vaudra une invitation au Théâtre Parisien du Tambour Royal où
il sera par la suite très régulièrement invité.
Ses rôles dans ce répertoire sont très nombreux : ainsi le retrouve-t-on dans des œuvres
d’Offenbach (Jupiter, Agamemnon, Calchas / La Belle Hélène, Le Général Boum / La Grande-
Duchesse de Gerolstein, Le Baron / La Vie Parisienne, le Vice-Roi / La Périchole) ; de Varney
(Brissac / Les Mousquetaires au Couvent), de Lehâr (Popoff, Gustav / La Veuve Joyeuse), de
Weill (Tiger Brown) et des œuvres de Jacques Duparc (Charrette ou La Victoire des Vaincus,
Clémenceau, la tranchée des Baïonnettes et French Cancan).
Il a chanté dans Cendrillon (Massenet), La Fille de Madame Angot à l’Opéra royal de Wallonie,
La Navarraise de Massenet, L’Homme de la Mancha et Guillaume Tell à Monte-Carlo,
Dialogues des Carmélites à Toulon, Cléopâtre à Marseille, Béatrice et Bénédict au Festival
Berlioz-La Côte Saint-André avec l’Orchestre Les Siècles dirigé par François-Xavier Roth, La
Vie Parisienne à l’Opéra de Nice, La Bohème à Reims, et La Périchole aux Folies Lyriques à
Montpellier puis au Festival de Saint-Céré.
En janvier 2016, il s’est produit dans My Fair Lady à Metz et Massy, puis en mars dans
Geneviève de Brabant à Montpellier.
Parmi ses projets, notons en octobre 2016 La Belle Hélène à Marseille et en janvier 2017 Manon
à l’Opéra de Monte-Carlo.
Par ailleurs, il a été Directeur du Festival d’Art Vocal en Morvan pendant quatorze années.
L’Opéra Grand Avignon l’a accueilli de nombreuses fois, notamment en 2012 dans Faust, en
2013 dans Jenufa et Il Barbiere di Siviglia, pour les fêtes de fin d’année 2013-2014 dans My
Fair Lady, Le dernier Jour d’un condamné, Monsieur Choufleuri restera chez lui et Pomme
d’Api à l’Autre Scène (Vedène), Mireille et La Belle Hélène en 2014 et en 2015 pour L’Homme
de la Mancha. On le retrouvera en 2016 pour Katia Kabanova et en 2017 pour Faust.
Début dans le rôle.
Programme de Salle
RAPHAËL BREMARD
Le Remendado
Amateur et chanteur dans des groupes de rock, Raphaël Brémard se destinait à être technicien
forestier quand il rencontre Marie-Paule Nounou qui l’initie au chant lyrique. Pendant trois ans,
il se forme auprès d’elle et de Gilles Ragon avant d’intégrer le CNIPAL à Marseille, de 2004 à
2006, où il reçoit les conseils de Mady Mesplé, Yvonne Minton, Tom Krause et David Syrus..
Il chante régulièrement avec Opéra Éclaté au Festival de Saint-Céré, ainsi qu’en tournée en
France. A l’étranger, Raphaël Brémard se produit au Festival de Spoleto en Italie, avec le
Glyndebourne Touring Opera en Angleterre et en tournée mondiale (Australie, Chine,
République tchèque, États-Unis...) dans Une Flûte Enchantée de Peter Brook (Molière du
Spectacle Musical 2010).
Grâce à son aisance scénique et à son timbre de voix, il est un ténor qui peut aussi bien aborder
des rôles d’opéra que des rôles d’opérette.
En parallèle, des ensembles font régulièrement appel à lui pour des oratorios (Magnificat de
Bach, Requiem de Mozart...).
Lors de la saison 2013/2014, Raphaël Brémard reprend la tournée d’Une Flûte Enchantée de
Peter Brook, chante Goro (Madama Butterfly), Freddy (My Fair Lady), Gustave (Pomme d’Api)
et Chrysodule Babylas (Monsieur Choufleuri) à l’Opéra Grand Avignon.
Il est en 2014-2015, Le Roi Bobêche (Barbe-Bleue) à Angers-Nantes Opéra et à l’Opéra de
Rennes, Ajax 1er (La Belle Hélène) au Théâtre du Châtelet, ainsi que Tibia (Les Caprices de
Marianne) au cours de la tournée organisée par le Centre Français de Promoton Lyrique.
En janvier 2016, il a tenu le rôle de Freddy dans My Fair Lady à l’Opéra-Théâtre de Metz, puis
à l’Opéra de Massy, et en mars celui de Pedrillo dans Die Entführung aus dem Serail à l’Opéra
de Tours.
L’Opéra Grand Avignon l’a reçu en avril 2015 pour Les Caprices de Marianne, en mai pour
Hamlet et en novembre pour L’Homme de la Mancha.
Programme de Salle
ORCHESTRE REGIONAL AVIGNON-PROVENCE
Directeur Général
Philippe Grison
Premier chef invité
Samuel Jean
Premiers Violons
Cordelia Palm
Sophie Saint-Blancat
Sylvie Bonnay
Marc Aidinian
Jean -Luc Amiel
Cécile De Rocca Serra
Jeanne Maizoué
Corinne Puel
Marie Hafiz
Seconds Violons
Gabriella Kovacs
Patricia Chaylade
Anne-Marie Bernard
Nathalie Caulier
Natalia Madera
Juliette Nougué
Véronique Bourgue
Alti
Fabrice Durand
Marie-Claude Conrad
Michel Tiertant
Laurence Vergez
Gaëlle Brunier
Stéphanie Bayle
Véronique Sauci
Violoncelles
Nicolas Paul
Emmanuel Lécureuil
Jean -Christophe Bassou
Jean -Victor Bahuaud
William Imbert
Contrebasses
Frédéric Béthune
Jean Claude Galigné
Eugenio Romano
Flûtes
Nicole Gonin-Libraire
Cécile Robilliard
Hautbois
Frédérique Costantini
Thierry Guelfucci
Clarinettes
François Slusznis
Christophe Hocquet
Bassons
Arnaud Coic
Pascal Chabaud
Cors
Eric Sombret
Gaëlle Claudin
Clémence Lion
Suzanne Schmid
Trompettes
Thierry Aubier
Alain Longearet
Trombones
Didier Comte
Jérémie Mateo
Olivier Dubois
Tuba
Daniel Beltramo
Timbales
Marie-Françoise Antonini
Percussions
Hervé Catil
Rachel Faucon
Julien Sombret
Harpe
Aliénor Girard
SSecrétaire générale en charge
de l’administration
et de la diffusion
Pauline Barascou
Secrétaire de direction
Bénédicte Denton
Comptable
NN
Régisseur générale
Daniel Loustaunau
Musicien bibliothécaire
David Gobbe
Régisseur principal
Marc-Antoine Degrenier
Technicienne d’orchestreAnaïs Poul
Chargée de mission
nouveaux publics
Attachée de presse,
Assistante de communication
Margot Roura
Stagiaire en communication
Zoé Harding
Programme de Salle
CHŒUR DE L'OPERA GRAND AVIGNON Direction : Aurore Marchand
Soprani
Julie Mauchamp – Vanina Mérinis– Béatrice Mezrich
Isabelle Monpert - Marie Simoneau – Runpu Wang
Alti
Solenne Aubrun - Christine Craipeau
Laura Darmon-Podevin – Wiebke Nolting
Ténors
Julien Desplantes – Cyril Héritier – Patrice Laulan
Serge Mione – Gentin Ngjela
Barytons- Basses
Saeid Alkhouri – Jean-François Baron
Pascal Canitrot – Thibault Jullien – Xavier Seince
CHŒUR SUPPLEMENTAIRE
Soprani
Tanya Laing – Frédérique Laulan – Pascale Sicaud-Beauchesnais
Marie-Elsa Picciocchi - Désirée Rappin
Alti
Sonia Fakir – Isabelle Guillaume – Judith Lorach
Sylvia van Gysel - Pascale Vernassa
Ténors
Rémi Beer-Demander – Karim Bouzra – Samuel Oddos
Pascal Porquet – Paolo Riccucci
Basses
Olivier Dubois – Jean-Philippe Lefèbvre – Franck Licari
Aurélien Simonot – Pascal Terrien
_______________________________
Régisseur du Chœur
Wiebke Nolting
Bibliothécaire
Vanina Mérinis
Pianistes répétiteurs
Florence Goyon-Pogemberg - Pierre-Luc Landais
Surtitrage
Pierre-Luc Landais
Programme de Salle
MAÎTRISE DE L’OPERA GRAND AVIGNON
Direction : Florence Goyon-Pogemberg
Mathilde Adamo – Lou Angevin-Duffaut – Fantine Baudelot
Sofia Boualleg – Charlotte Boutin Versin Viens – Thiphaine de Rauglaudre
Anouk Hanquiez – Thimothée Mesguen – Valentine Paulides
Léna Turgis – Lou-Sarah Vilaplana
Noé Amoureux- Cret - Evan Chakir-Vergier
Grégoire Chalut - Marcel Laugier
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FIGURATION
Sophie Garagnon
Frédéric Berthon – Ismaël Bouadar – Martin Bourdelier
Fabien Colin – Laurent Dallias – Gabriel da Silva Almeida
Bruno de Souza – Malik Elake el Miliani – Johann Gasch
Simon Jouannot – Samuel Roche
Programme de Salle
Directeur de l’Opéra Grand Avignon : Pierre Guiral
PRODUCTION ARTISTIQUE
Directeur de production et de scène
Philippe Turchi
Régisseur général Patrice Blancke
Régisseurs de scène Nathalie Bruno, Michele Soro
Responsable de l’atelier retouches et habillage Sophie Chateau
Retoucheuses et habilleuses Saliha Bouaziz, Coline Blanchard, Liliane Bouvier, Roseline Galeazzi
Liliane Tomei, Cécile Jacquemin, Delphine Ploye
Responsable de l’atelier de couture Elza Briand
Gestionnaire de costumes Céline Alba
Couturières Gaëlle Le Liboux, Michèle Nouveau, Christiane Para
Responsable coiffure Sandrine Degioanni
Coiffure
Delphine Roux
Chef maquilleuse
Laurence Labrousse
Maquilleuse
Alexia Dalmas
ÉQUIPE TECHNIQUE
Directeur Vincent Payen
Adjoint Pascal Balducchi
Adjoint – Responsable bâtiments et transports Valentin Clavel-Segura
Assistante administrative Ghislaine Persia
Responsable du service machinerie Bruno Perrin
Adjoints au responsable du service machinerie Laurie Barquet, Olivier Kinoo
Machinistes Jean-Christophe Bot, David Demoucron, Adrien Estève, Fabien Fenoglio
Yliès Khebat, Simon Le Gouverneur, Michaël Palao
Georges Perrad, Thierry Siliprandi, Laurent Villeseche
Responsable du service accessoires Jean-Luc Vonier
Accessoiristes
Programme de Salle
Laurent Berto, Thierry Borba Da Costa, Nicolas Coudène
Responsable son et vidéo Frédéric Pons
Technicien son Frédéric Audrin
Responsable du service électrique Robert Perez
Adjoints au responsable du service électrique Frédéric Ponchon, Laurent Martin
Electriciens Fabrice Barroo, Hamoud Chabane, Mickaël di Nicola
Jean-Michel Gautier, Jean Lescot, Sylvain Singla
Tapissier Gérard Persia
Service intérieur
Denis Forêt, Christian Moreau, Cyril d’Ascanio
Elia Mione
Programme de Salle
LYRIQUE
2016 – 2017
Samedi 8 octobre – 20h30
Création
SOL Y SOMBRA
avec
BEATRICE URIA-MONZON mezzo-soprano
Christophe Guiot* / violon
Jean Ferry* / violoncelle
Jean-Marc Bouget* / piano
de l’Opéra National de Paris
Turina – Granados – Obradors
Chueca et Serrano – Albeniz – De Falla
_______________________
Dimanche 27 novembre 2016 – 14h30
Mardi 29 novembre 2016 – 20h30
Nouvelle Production
Janáček
KATIA KABANOVA*
Direction musicale : Balázs Kocsár
Mise en scène : Nadine Duffaut
Décors : Emmanuelle Favre
Costumes : Danièle Barraud
Lumières : Jacques Chatelet
Réalisation : en attente
Christina Carvin – Marie-Ange Todorovitch
Ludivine Gombert – Marion Lebègue*
Philippe Ermelier - Florian Laconi – Yves Saelens
Julien Dran – Sébastien Lemoine*
En co-production avec
l’Opéra de Toulon Provence-Méditerranée
____________
Programme de Salle
Vendredi 30 décembre 2016 - 20h30
Samedi 31 décembre 2016 - 20h30
Dimanche 1er janvier 2017 – 14h30
Lopez
LE CHANTEUR DE MEXICO
Direction musicale : Didier Benetti
Mise en scène : Jacques Duparc
Chorégraphie : Eric Belaud
Décors : Christophe Vallaux
Costumes : Rosalie Varda
Lumières : Philippe Grosperrin
Julie Morgane* - Caroline Mutel – Jeanne-Marie Lévy
Florian Laconi – Claude Deschamps – Jacques Duparc
Bernard Imbert – Antoine Bonelli* - Kevin Levy – Franck Licari
En co-production avec
l’Opéra Grand Avignon, Opéra de Toulon Provence-Méditerranée et l’Opéra de Reims
______________________
Vendredi 20 janvier 2017 – 20h30
Dimanche 22 janvier 2017 – 14h30
CONCERTS VERDI
Direction musicale : Roberto Rizzi-Brignoli
Solistes
PATRIZIA CIOFI / soprano
LEO NUCCI / Baryton
LA TRAVIATA / RIGOLETTO (Extraits)
Orchestre Régional Avignon-Provence
______________________
Vendredi 27 janvier - 20h30
TREMPLIN JEUNES CHANTEURS
« La nuit de l’opérette »
Mise en espace : Nadine Duffaut
Chorégraphie : Eric Belaud
Lumières : Philippe Grosperrin
Etudes musicales / piano : Kira Parfeevets
Solistes
Amélie Robins / soprano - Violette Polchi / mezzo-soprano
Rémy Mathieu / tenor - Christophe Gay / baryton
Programme à confirmer
Entrée libre sur réservation
Programme de Salle
Mardi 7 février 2017 – 20h30
PATRICIA PETIBON* soprano
avec
l’Ensemble Amarillis*
FLAMMES DE MAGICIENNES
_____________________
Dimanche 19 février 2017 - 14h30
Mardi 21 février 2017 - 20h00
Création à Avignon
Nouvelle Production
Moliere / Lully
LES AMANTS MAGNIFIQUES*
Direction musicale : Hervé Niquet*
Mise en scène : Vincent Tavernier
Chorégraphie : Marie-Geneviève Massé*
Décors : Claire Niquet
Costumes : Erick Plaza-Cochet
Margo Arsane* - Lucie Roche – Eva Zaicik*
Laurent Deleuil – Clément Debieuvre* – Victor Sicard*
Virgile Ancely* – Geoffroy Buffières
Comédiens
Mélanie Lemoine* – Marie Loisel* – Claire Barrabès*
Laurent Prévôt* – Maxime Costa* – Benoît Dallongeville* – Pierre-Guy Cluzeau*
Quentin-Maya Boyé*- Olivier Berhault*
Orchestre Le Concert Spirituel*
Ballets « L’Eventail* » et Opéra Grand Avignon
En co-production avec les Malins Plaisirs, le Concert Spirituel, Le Compagnie l’Eventail,
l’Opéra de Rennes, le Centre de Musique Baroque de Versailles et l’Opéra de Massy
____________________
Programme de Salle
Vendredi 10 mars 2017 - 20h30
Dimanche 12 mars 2017 – 14h30
Création à Avignon
Nouvelle Production
Matalon
L’OMBRE DE VENCESLAO
d’après l’œuvre de Copi
Direction musicale : Ernest Martinez-Izquierdo*
Mise en scène : Jorge Lavelli
Assistante à la mise en scène : Dominique Poulange*
Décors : Ricardo Sanchez-Cuerda*
Costumes : Francesco Zito*
Lumières : Jean Lapeyre*
Estelle Poscio* - Sarah Laulan
Thibaut Desplantes* – Ziad Nehme* - Mathieu Gardon*
avec le soutien de la Fondation Orange et du Ministère de la Culture et de la Communication
(LOGO)
en co-production avec le Centre Français de Promotion Lyrique, l’Opéra National de
Bordeaux, le Centre Lyrique Clermont-Auvergne, l’Opéra de Marseille, l’Opéra Orchestre
National Montpellier Languedoc-Roussillon,
l’Opéra de Reims, l’Opéra de Rennes, l’Opéra de Toulon Provence-Méditerranée
et le Théâtre du Capitole de Toulouse
en partenariat avec France Télévisions et France Musique (LOGO)
___________________
Mercredi 15 mars 2017 – 20h30
CONCERT ROSSINI
Direction musicale : Jean-Marie Zeitouni*
Marie-Nicole Lemieux mezzo-soprano
Programme
Mathilde di Shabran - Semiramide - Tancredi
L’Italiana in Algeri – Il Barbiere di Siviglia
Orchestre National Montpellier Languedoc Roussillon
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Programme de Salle
Dimanche 2 avril 2017 - 14h30
Mardi 4 avril 2017 – 20h30
Nouvelle Production
Verdi
MACBETH
Direction musicale : Alain Guingal
Mise en scène : Frédéric Bélier-Garcia
Chorégraphe : Marion Ballester*
Décors : Jacques Gabel
Costumes : Sarah Leterrier
Lumières : Roberto Venturi
Alex Panda* – Violette Polchi
Jésus Rodriguez – Adrian Sempetrean*
Giuseppe Gipali – Kevin Amiel - Jean-Marie Delpas
En co-production avec l’Opéra de Marseille
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Samedi 8 avril 2017 - 20h30
Dimanche 9 avril 2017 – 14h30
Bock
UN VIOLON SUR LE TOIT
d’après Sholem Aleichem
Paroles de Sheldon Harnick
Livret de Joseph Stein
Direction musicale : Patrick Leterme*
Mise en scène : Emmanuel Dell’Erba*
Chorégraphe : Johan Nus*
Assistante à la chorégraphie : Sabrina Giordano*
Scénographie : Mohamed Yamani*
Assistante à la scénographie : Chloé Kegelart*
Costumes et graphisme : Gaël Bros Vandyck*
Lumières : Alain Collet*
Pati Helen-Kent* - France Renard* - Julie Prayez* - Maeva Mathon*
Anouk Ganzevoort* - Aurélie Castin* - Marie-Catherine Baclin*
Chris de Moor - Jacques Calatayud – Nicolas Dorian* - Julien Husser* - Jérémy Legrand*
Jean-Luc Baron* - Joël Minet* - Jean-Charles Gosseries*
Harry Lapp Organisation
Programme de Salle
Dimanche 14 mai 2017 – 14h30
Mardi 16 mai 2017 – 20h30
Donizetti
ANNA BOLENA
Direction musicale : Samuel Jean
Mise en scène : Marie-Louise Bondy-Bischofberger*
Décors : Erich Wonder*
Costumes : Kaspar Glarner*
Lumières : Bertrand Couderc*
Irina Lungu* - Kate Aldrich* – Alhima Mhamdi
Carlo Colombara* - Isamël Jordi – Patrick Bolleire – Jérémy Duffau*
Nouvelle Production de l’Opéra National de Bordeaux
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Vendredi 9 juin 2017 – 20h00
Dimanche 11 juin 2017 – 14h30
Sous l’égide de l’association des « Amis du Théâtre Lyrique »
Nouvelle Production
Gounod
FAUST
Direction musicale : Alain Guingal
Mise en scène : Nadine Duffaut
Chorégraphie : Eric Belaud
Décors : Emmanuelle Favre
Costumes : Gérard Audier
Lumières : Philippe Grosperrin
Nathalie Manfrino – Marie-Ange Todorovitch
Florian Laconi – Jérôme Varnier – Lionel Lhote
Rémy Mathieu – Philippe Ermelier
En co-production avec les Opéras de Marseille, Massy, Metz, Nice, Reims et Tours
Programme de Salle
Jeudi 15 juin 2017 – 20h00
UNE NUIT A L’OPÉRA
avec l’amicale participation de
Direction musicale
Luciano Acocella – Alain Guingal – Samuel Jean
Jean-Yves Ossonce - Dominique Trottein
Soprani
Ludivine Gombert – Ermonela Jaho - Nathalie Manfrino
Zuzana Markova - Inva Mula - - Vannina Santoni
Mezzo-soprani
Sylvie Brunet-Grupposo – Karine Deshayes
Marie-Ange Todorovitch – Béatrice Uria-Monzon
Ténors
Thomas Bettinger– Florian Laconi
Barytons
Marc Barrard – Alexandre Duhamel – Seng-Youn Ko
Lionel Lhote – Armando Noguera
Nicolas Cavallier / baryton-basse
Nicolas Courjal - Wojtek Smilek / basse
Chœur, Maîtrise et Ballet de l’Opéra Grand Avignon
Orchestre Régional Avignon-Provence
*Pour la première fois à l’opéra
Programme de Salle
PROCHAINS SPECTACLES
Jeudi 16 juin – 20h30
STÉPHANE GUILLON
« Certifié conforme »
________________/
Vendredi 24 juin – 14h30 / Samedi 25 juin – 18h00
LE CINÉ CONCERT DES QUARTIERS
Musique de Nigji Sanges
Auteur, conteur et musicien intervenant
Louis-Noël Bobey
Réalisateur : Sébastien Fau
avec les écoles d’Avignon :
Grands Cyprès A, Henri-Fabre B, Les Olivades, Saint-Roch
Avec le soutien de la SACEM
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Dimanche 26 juin– 20h30
CONCERT DE CLÔTURE
DU XXe FESTIVAL DE COR
Direction : Francis Orval
avec
Pierre Azzuro – Christophe Danel – Olivier Darbelay
Jacques Deleplancque – Vladimir Dubois – Timothy Jones – Eric Sombret
Orchestre de Chambre de Marseille
Références : Kobbé, Mille et un Opéra et Google
Directeur de la publication : Pierre Guiral
Brochure réalisée par Marie-Christine Vincent / attachée de presse
Opéra Grand Avignon - BP 40111-84007 Avignon Cedex 01
04 90 14 26 00 (administration) - 04 90 14 26 40 (location) -Télécopie : 04 90 14 26 42
Licences n°1 – 1088054 – 1088053 – 1088055
Site internet : operagrandavignon.fr – Google Plus : OpéraGrandAvignon
Facebook : OperaTheatreAvignon - Twitter : @OperaAvignon
Prix : 5 euros